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Pays Dogon

Conférence inaugurale de l'exposition Pays dogon par
Claude LEFEBVRE, auteur de l'exposition.
Les Dogons habitent une région de steppe située au sud-ouest de la boucle du Niger à Tombouctou et constituent quelque sept cents petites communautés qui s’alignent le long de la falaise de Bandiagara. Par leurs conditions de vie fondamentales, les Dogons ne diffèrent pas en apparence de leurs voisins immédiats. Cependant, ils ont mis au point un mode de vie qui les distingue de tous les autres peuples d'Afrique. Ils se sont livrés à une méditation approfondie de tous les phénomènes de l'existence et leurs créations : en particulier l'architecture : sont animées d'un symbolisme minutieux qui trouve sa source dans la conception même de l'univers.

Perception et expression plastique, travaux d’étudiants de l’unité pédagogique d’architecture de Lyon

Conférence inaugurale de l'exposition Perception et expression plastique par Marc GRUAIS, plasticien, à l'initiative du Professeur G. van Bogaert.
Parmi les dispositions prises en 1968 par le ministère des Affaires culturelles concernant la réforme de l'enseignement de l'architecture, l'une intéressait la mise en place du champ disciplinaire « Perception et expression plastique ». Marc Gruais présente ici le résultat de cette période d'investigation, résultat qui témoigne de l'intérêt porté par les étudiants à une approche globale du phénomène plastique.

Perret Frères, architectes constructeurs : Aphorisme et pensée constructive

  • 0185.02.0011/11
  • Pièce
  • 7 novembre 1984
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Jean-Paul RAYON, chargé de cours au DA.
Derrière la personnalité délibérément représentative d'Auguste Perret se cache une « entreprise familiale » rigoureusement organisée qui conduit souvent le projet depuis sa conception architecturale jusqu’à l'exécution matérielle des travaux. l'expression architectonique, les références stylistiques, la forme de l'enseignement d'Auguste Perret qui prétendent à une certaine universalité sont à réévaluer au profit d'une pensée constructive qui a marqué les meilleurs et les plus différents architectes.

Perret et l'école du classicisme structurel ; 1910-1960 Histoire théorique d'une tendance

  • 0185.02.0013/05
  • Pièce
  • 12 février 1986
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Les premiers élèves de Perret 1923-1930 : la génération de l'atelier du Palais de Bois : Goldfinger,Luyckx. Forestier, Nitzchke, Nelson, Ledonne, Brelet, Guilbet, Honneger, Sardnal, Lambert, Vetter par Joseph ABRAM, architecte, assistant à l'Ecole d'architecture de Nancy.
Dans les années 1910 apparaît en France une ligne architecturale nouvelle : le classicisme structurel. Cette ligne puise ses principes dans la théorie rationaliste du « Monument Parfait » (Viollet-le-Duc, 1863) et trouve, après une série d'expérimentations stylistiques avec le béton armé, sa première traduction accomplie dans la construction du Théâtre des Champs-Elysées. Elle atteint en 1923, avec l'église du Raincy, son manifeste radical. A partir de cette date se développe, en grande partie grâce à l'enseignement d'Auguste Perret, une école architecturale cohérente et stable qui étendra son cycle sur plus de cinq décennies.

Peter Behrens. Industrial Architecture : AEG et Fagus factories

  • 0185.02.0007/010
  • Pièce
  • 29 octobre 1980
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Film de Tim BENTON. 
Peter Behrens (1888-1940) et Walter Gropius (1883-1969) sont parmi les premiers architectes du XXe siècle à maîtriser une pensée architecturale répondant aux postulats de la civilisation industrielle et à développer un type d'activité répondant aujourd'hui au nom d'esthétique industrielle.
En 1907, Muthesius fonda AEG (Allgmeine Elektrizität Gesellschaft) et charge Behrens de la conception globale de l'architecture, de la production et de la publicité. En 1911, Gropius construit en collaboration avec A. Meyer l'usine Fagus qui restera une étape importante de l'utilisation du verre et de l'acier dans l'histoire de l'architecture. Le film fait une comparaison entre les deux oeuvres.


Peter Eisenmann versus Hiromi Fujii : Landscape of Architectural Displacement

  • 0185.02.0017/12
  • Pièce
  • 30 mai 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Hiroshi MARUYAMA, architecte, New York, professeur invité au DA.
If one might say « landscape » appeared in architecture with the birth of « modern subject », Hiromi Fujii, Japan and Peter Eisenmann, USA, are two typical architects who have rejected this « landscape » since the beginning of their work.
However, this problem recently became an inevitable issue for both architects, confronting them with « Outside/Otherness ». The transcendency of « landscape » being confused with tradititional view of nature, seems to be an obstacle to understand Japonese contemporary architecture.
This lecture will define the different approach of these two conceptual architects through my experience of working with them and open a new critical discourse on Japonese Contemporary Architecture.

Piranèse, visionnaire et théoricien

  • 0185.02.0007/13
  • Pièce
  • 12 novembre 1980
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Ulya VOGT-GOEKNIL, docteur en philosophie, Zurich, invitée à l'initiative du Professeur Franz Füeg. 
Bien qu’architecte de formation, Piranèse ne réalise que peu de constructions et son activité principale a consisté en dessins de bâtiments historiques, principalement des ruines romaines, d'édifices de la Renaissance et du baroque, se limitant ainsi à des « copies » d'originaux existants. Mais Piranèse, qui était tenu par ses contemporains comme un investigateur et un glorificateur de l'architecture romaine, se révèle un visionnaire dans ses propres créations que sont les visions de cachots et, pour cela, il s’éloigne complètement des principes de l'architecture ancienne. Ses dessins fantastiques inventent la forme la plus radicale de la captivité par la répétition d'éléments formels architectoniques, tels l'arc et le pont, coupant ainsi toute possibilité d'espoir.

Place, form and cultural identity

  • 0185.02.0013/07
  • Pièce
  • 30 avril 1986
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Kenneth FRAMPTON, historien de l'art, professeur invité au Collège scientifique de Berlin.
« Le phénomène d'universalisation, tout en étant un progrès de l'humanité, constitue une sorte de destruction subtile des cultures traditionnelles, ce qui n’est peut-être pas un mal irréparable. Mais aussi ce que j’appellerais le noyau créatif des grandes civilisations et des grandes cultures. Là se trouve le paradoxe : comment devenir moderne et retourner à ses sources : comment raviver une vieille civilisation latente et faire partie d'une civilisation universelle » (Paul Ricoeur, La civilisation universelle et les cultures nationales).

Plaques de verre

  • 0182.01
  • Série
  • [?]-1920-av.1960
  • Fait partie de PERROCHET

Série de vue couvrant toute la Suisse (et spécialement les cantons de Berne, Fribourg, Valais et Vaud), avant 1960. Destinées à la production de cartes postales.
Plusieurs plaques portent les traces de retouches photographiques (marques, repiques, retouches à la mine de plomb ou à l'éosine).
Parfois, on y retrouve (sur la plaque originale) la signature du photographe.

Pleinciel

  • 0182.02
  • Série
  • 1960-1968
  • Fait partie de PERROCHET

En 1960, Perrochet SA fonde Pleinciel SA et débute une campagne systématique de photographies aériennes (dans le but d'en tirer des cartes postales), qui s'achève en 1968.
Les images sont prises depuis un avion Piper avec un appareil Mamiya et un pilote engagé à l'année; les clichés sont des négatifs monoculaires et des vues obliques dont les échelles s'étendent du 1:2000 au 1:4000.
Une telle campagne est unique en Suisse et a produit un excellent matériel pour des études de cas du développement territorial dix ans avant la mise en vigueur de la première loi sur l’occupation foncière.
Cette collection a été systématiquement ciblée et organisée; chaque prise de vue est datée. Elle représente non seulement par son contenu, mais aussi par l’organisation de sa couverture territoriale, un témoignage de la perception et des valeurs données, à cette époque et par l’auteur de la collection, aux objets et au territoire. Elle renseigne aussi l'histoire de la carte postale.

Possible ou probable : la ville de l'architecte et de l'urbaniste ?

Conférence de Bernardo SECCHI, professeur au Politecnico de Milan et co-rédacteur de la revue Casabella.
Possible et probable sont deux mots qui délimitent un territoire. A l'intérieur de celui-ci, il peut y avoir différents itinéraires de recherche : les uns visant à définir les conditions de ce qui se produit : qui, pour être contradictoire, n’en est pas moins possible : les autres cherchant à analyser ce qui a une chance de se produire. l'architecte et l'urbaniste ne sont pas deux personnes professionnelles distinctes mais des termes à travers lesquels deux itinéraires peuvent s’exprimer. Leur chemin dans l'histoire récente a été de plus en plus solitaire. La conséquence est que l'on a souvent affaire aujourd'hui à des projets impossibles et à des plans improbables.

Post tabulam rasam

  • 0185.02.0012/03
  • Pièce
  • 6 février 1985
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Jacques GUBLER, professeur au Département d'architecture de l'EPFL.
La revue ABC, lancée à Zurich en 1924 par l'architecte hollandais Mart Stam, alimentée par le peintre russe El Lissitzky, soutenue passionnément par un petit groupe d'architectes suisses parmi lesquels « l'ingénieur » Emil Roth et le « théoricien » Hans Schmidt, énonce ainsi son programme : « Cette revue publiera des articles qui entendent clarifier les tâches et le processus de la ‘configuration’ (Gestaltung) :

  • configuration de la ville sous le rapport de la technique, de l'économie et du cadre social
  • configuration du logement, du lieu de travail, du trafic
  • configuration en matière de peinture et de théâtre
  • configuration en matière de technique et d'invention. »
    Ce programme sera suivi pendant quatre ans. Il culminera dans le fameux manifeste ABC proclamant la dictature de la machine de l'été 1928.

Pourquoi étudier l'architecture vernaculaire ?

  • 0185.02.0005/07
  • Pièce-
  • 31 mai 1978
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Paul OLIVER, professeur au Dartington College of Art, auteur de « Shelter and Society » et « Shelter in Africa » Ed. Harris & Rockliff
Depuis quelques années, les formes architecturales des cultures tribales et populaires font l'objet d'études de plus en plus nombreuses. La conférence, illustrée par des diapositives et des enregistrements, débattra des principales attitudes à l'égard de l'abri, de leurs relations avec la pratique architecturale et la formation. l'attention sera alors portée sur les motivations des architectes et de ceux qui enseignent d'autres disciplines dans le domaine de l'architecture vernaculaire. En tenant compte du fait que les architectes sont principalement concernés par les structures apparentes des sociétés, une tentative d'investigation de la structure essentielle du système de valeurs en relation avec l'abri traditionnel sera proposée.


Problèmes de la sémiologie dans l’architecture

Conférence de Robert MAXWELL, architecte et professeur.
Aujourd'hui, plus personne ne croit au fonctionnalisme pur dans l'architecture. Depuis la naissance de l'Esprit Nouveau, après 40 ans de production, on constate que la forme des bâtiments dérive autant des exemples précédents que d'analyses objectives des fonctions. Il existe en effet une tradition de l'art moderne, une persistance de la forme d'un exemple à l'autre. Le fonctionnalisme n’a pas libéré l'architecture de la rhétorique.
Peut-on parler d'un langage architectural ? La conférence examinera plusieurs tentatives d'établir une sémiologie de l'architecture et quelques problèmes qui en découlent.

Profils, joints, finissages

  • 0185.02.0016/06
  • Pièce
  • 22 février 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition « Atelier Cube/Patrick Devanthery & Inès Lamunière/Bernard Gachet & Patrick Mestelan » par Jacques GUBLER, professeur au DA de l'EPFL.

Projet pour l’hôpital de Venise de Le Corbusier

  • 0185.02.0003/17
  • Pièce
  • 9 décembre 1976
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition par Mario BOTTA, architecte.
« On ne peut pas bâtir haut, il faudrait pouvoir bâtir sans bâtir et puis il faut trouver l'échelle ». (LC) Avec ce projet se terminait en 1965 la longue et patiente recherche créatrice du maître, aboutissement de nombreuses années de travail et expression d'un riche répertoire formel et idéologique. Il s’agit d'une œuvre nouvelle par la diversité de ses aspects, différente de toute sa production architectonique précédente. Elle donne une ouverture nouvelle à sa recherche et est particulièrement émouvante par son humilité et son exceptionnel contenu artistique.

Projets

  • 0185.02.0015/02
  • Pièce
  • 27 janvier 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Raffaele CAVADINI, architecte à Locarno, professeur invité au DA de l'EPFL.

Projets de l'Ecole d'architecture et d'urbanisme

Ce dossier contient un album photographique concernant les travaux d'élèves de Jean Tschumi à l'EPUL:

  • une chappelle en montagne, esquisse 2ème classe: Ce bâtiment devra avoir un caractère en rapport avec le sit. La Surface intérieure est de 60 m2 environ. M. Ruche p. 201 No 149

-une porte de prison, esquisse 1ère classe en 1 jour, M. Zumbrunnen p. 202 No 45

  • un bassin dans un parc, equisse 2ème classe en 10 heures, M. Zumbrunnen p. 202 No 204

  • une tribune pour un défilé, esquisse 1ère classe en 1 jour, M. Ruche p. 203 No 206

  • une entrée de cinéma, esquisse 1ère classe en 10 heures, M. Ruche p. 203 No 209, M. ? p. 203 No 46

  • une entrée de stade, esquisse de 1ère classe en 10 heures, M. Ruche p. 203 bis No 208

  • une salle de conférence, esquisse 1ère classe en 10 heures, M. Ruche p. 203 bis No 147

  • étude compérative d'ordres doriques, 1ère classe, p. 203 No 132

  • étude de points d'appuis, 1ère classe, p. 203 bis No 211

  • une banque dans une petite ville, projet rapide 1ère classe, p. 204 No 104

  • un théâtre en plein air, projet rapide 1ère classe, M. Zumbrunnen p. 205 No 207/210

  • une mosquée, projet rapide 1ère classe, p. 206 No 137/131

  • un groupe d'habitation: A l'orée d'un bois sur terrain en déclivité, on se propose de construire de petites maisons privées et quelques grands immeubles locatifs pour familles à ressources modestes. M. Huber p. 207 No 92-96, Mme Ascher p. 209 No 98-102, M. Zumbrunnen p. 211 No 103/176

  • un musée des beaux-arts, projet rapide 1ère classe en 7 jours: Ce terrain, situé le long d'une grande avenue, mesure 80 m sur 80. L'arrière donne sur un jardin intérieur en contrebas de l'avenue. Le musée comprend des salles de sculpture, peinture, des salles d'expositions fixes et temporaires, salle de conférences et le logement du concièrge. M. Ruche p. 212 No 26/24/25/23/27/28, M. Zumbrunnen p. 214 No 32/30/31/29, M. Caperonis p. 216 No 35/33/34/36, M. Cizer M. p. 218 No 43/41/39/38/37/42/40

  • une foire d'echantillons en dessous du pont Chauderon (Lausanne), projet 1ère classe, M. Cizer M. p. 220 No 135/133/134/155/129/128

-une bibliothèque nationale pour Ankara, travail de diplôme, M. Cizer M. p. 222 No 161/175/174/177/176/182/183/159/184/181/159/173/180/178/160

Projets pour la ville

  • 0185.02.0007/11
  • Pièce
  • 5 novembre 1980
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Mario Botta, Architecture et projets des années 70 par Mario BOTTA, architecte, Lugano. 
Tessinois, né en 1943, dessinateur chez Tita Carloni à 17 ans, première œuvre à 18 ans, reprend des études à Milan à 19 ans, élève de Carlo Scarpa à Venise à 21 ans. Travaille 6 mois chez Le Corbusier sur le projet de l'hôpital de Venise et, en 1969, avec Kahn à Paris sur le projet du Palais des Congrès. Puis commence son activité professionnelle à Lugano. 
Voilà pour la biographie, maintenant quelques thèmes liés à la personnalité de Mario Botta : 
- Attachement respectueux et actif à l'histoire
- Intérêt déterminant pour la problématique urbaine
- Référence consciente et désinvolte au vernaculaire alpestre et tessinois
- Pertinence du choix des matériaux
- Subtile mise en situation des rapports dialectiques entre l'effet architectonique et l'effet pictural (J.P. Rayon).


Projets récents, projets en cours

  • 0185.02.0017/01
  • Pièce
  • 10 janvier 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Yves LION, architecte, Paris.
Yves Lion appartient à la génération qui a réclamé à cor et à cri le « retour à la ville » à l'occasion des concours de Marne-la Vallée et de la Roquette à Paris en 1973-74. Trois thèmes caractérisent ses projets les plus importants : la double nécessité de l'intégration et de la confrontation au site, le goût de faire simple et le souci de travailler avec la lumière naturelle qui joue un rôle important dans la stratégie formelle de ses projets.

Promenades sur le fil du rasoir

Conférence de Félix KUHN, architecte, Aarau, professeur invité au DA, membre du bureau Metron jusqu’en 1989.
« Promenade entre simplicité et banalité, fasciné par la complexité et la contradiction. Promenade entre rationalisme et romantisme avec le danger de la désolation et du kitsch.
Promenade entre utopies sociales et contraintes économiques. Promenade entre provincialité, petite bourgeoisie et culture familière de la périphérie de la petite ville ou du village. Ce qui me manque le plus dans la discussion actuelle sur l'architecture, ce sont les contenus. Dans le débat intensif sur la forme, la technique, le détail et l'image, ces contenus sont souvent réduits à un rôle secondaire ».

QUILLET Pierre °

  • 0119
  • Fonds
  • 1941-1986

Archives techniques sur papier (projets d’architecture et d’urbanisme : un asile pour aveugles, des constructions à la place de la Riponne à Lausanne, bâtiments locatifs et scolaires - Cheseaux, Chavannes, Prilly, La Tour-de-Peils, Prangins, Lausanne, Ecublens -, immeubles divers, villas individuelles), administratives (correspondances, devis, soumissions, pièces comptables, pièces diverses), photographiques (photographies de certaines réalisations) et documentation (brochures, directives et recommandations, livres techniques).

Pierre Quillet

RADULESCU Stefan

  • 0113
  • Fonds
  • 1973-1995

Archives techniques sur papier (Villa Stern à Cologny, plans et dessins) et sur microfilm (perspectives pour plusieurs architectes, villas, bâtiments commerciaux et touristiques dans les cantons de Genève et Vaud, et à l’étranger) du bureau de Stefan Radulescu et René Giger.

Stefan Radulescu

RAVANNE Mirco

  • 0043
  • Fonds
  • 1953-1991

235 dossiers documentant 149 objets. Quelques dossiers administratifs concernant sa pratique architecturale. Dossiers de plans de projets d’architecture, de design, de sculpture et de recherche. Quelques livres.

Mirco Ravanne

RECORDON Benjamin

  • 0023
  • Fonds
  • [1845-1938]

Le fonds se distingue par un contenu à la fois professionnel et privé.
Au niveau professionnel, le fonds documente en particulier le projet du Palais du Tribunal fédéral de Montbenon à Lausanne (1877-1886) avec des plans et des élévations illustrant les différentes phases du projet (Concours, Projet dit des cinq Architectes, projet définitif) ainsi que différents documents administratifs, des coupures de presses, un dossier de tirages photographiques des statues du bâtiment et des documents divers. Les autres réalisations et projets de B. Recordon sont documentés de façon limitée dans le fonds, avec parfois qu’une seule pièce. Il s’agit de la Fontaine Dapples de Montbenon à Lausanne (1985-188), le Collège des filles de Vevey (1874-1877), la flèche de l’église de Môtiers (1869-1871), le laboratoire de machines de l’École polytechnique de Zurich (1898), la Villa « le Cèdre » à Vevey (1890), l’Edifice de Rumine (1890) et la bibliothèque de l’École polytechnique de Zurich (1886-1900). Parmi les pièces personnelles, le dossier « autobiographie professionnelle » (cote 0023 (B1)), documente très précisément l’ensemble de la carrière de B. Recordon.
Au niveau des contenus privés, les documents personnels (Journaux, autobiographies, carnets, et agendas) que contient le fonds, sont d’une très grande richesse pour retracer et comprendre la vie de B. Recordon. Le détail de ses écrits apporte un éclairage permettant de saisir avec beaucoup de précisions l’intimité et la personnalité de l’architecte.

Benjamin Recordon

REVERDIN Dominique

  • 0105
  • Fonds
  • ~1964 ; 1971-1975

Archives techniques (plans de la Station fédérale de Changins - plans des bâtiments du siège principal, et autres non inventoriés) et iconographique (photographies concernant le Circarama des CFF et le Rotorama des PTT du secteur 'Les communications et les transports' pour l'Expo 64).

Dominique Reverdin

REY Eugène et BETTINGER William

  • 0092
  • Fonds
  • 1826-1924

14 dossiers. Études, esquisses, lithographie, surtout de William Bettinger (architecte admis à la SIA en 1913, décédé en 1917), et autres auteurs.

Eugène Rey

RUCHE Jean-Louis et Maurice

  • 0102
  • Fonds
  • 1936-1975

Le fonds documente à la fois l'activité d'enseignement et de sculpteur de Jean-Louis Ruche, et celle de maquettiste de son frère Maurice.

Jean-Louis Ruche

RUCKSTHUL Paul : Expo 64

  • 0050
  • Fonds
  • 1964

1 dossier contenant plusieurs photos en noir et blanc et couleur de l'exposition nationale suisse à Lausanne en 1964.

Paul Ruckstuhl

Recent works

  • 0185.02.0017/07
  • Pièce
  • 18 avril 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Justo SOLSONA, architecte, Buenos Aires.

Recherche méthodique pour la conception architecturale et urbanistique à Burano

  • 0185.02.0003/15
  • Pièce
  • 1er décembre 1976
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Pierre FEDDERSEN, architecte EPFZ et assistant à l'EPFL.
Cette recherche méthodique consiste en une application concrète et marginale de la méthode du Pattern Language de Christopher Alexander en tant qu’instrument d'analyse, d'aménagement et de projetation.
Elle a pour but d'observer, d'étudier et de comprendre le rapport entre le comportement humain et l'environnement construit d'une architecture et d'un urbanisme populaire et pour objet une petite île de pêcheurs de la lagune vénitienne : Burano.
Les deux auteurs, Marie-José Dozio et Pierre Feddersen, ont travaillé pendant deux ans à cette recherche dans le cadre de l'EPFZ, en grande partie sur le terrain, en étroite collaboration avec la population de l'île, avec le concours des autorités locales, de l'Office d'urbanisme de Venise et de l'Unesco.

Remarques critiques d’un urbaniste à propos de la protection des monuments

  • 0185.02.0003/13
  • Pièce
  • 3 novembre 1976
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Pas d'avenir sans passé par Ueli LAMEY, architecte-urbaniste au Planungsverband Äusserer Wirtschaftsraum, Munich.
Cette exposition : réalisée par le Werkbund de Bavière en collaboration avec le Service de protection des Monuments historiques à l'occasion de l'année du patrimoine architectural : se propose d'observer et d'analyser lucidement le processus de transformation qui a modifié notre environnement ces dernières décennies.
Ce n’est pas une exposition d'art mais plutôt une série d'images à but didactique. l'exposition tente de rendre le public attentif au déclin continuel de la diversité de la vie et de sa richesse visuelle. Elle demande au visiteur de ne pas se résigner en démontrant que l'Etat et son administration ne sont pas seuls responsables de la conservation du patrimoine culturel.

Renzo Piano : projets et architectures

  • 0185.02.0011/13
  • Pièce
  • 21 novembre 1984
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Renzo Piano par Renzo PIANO, architecte, Gênes et Paris.
l'architecture peut être analysée comme un objet, comme une construction ou comme un container selon le mode d'expression de son réalisateur. Par objet, on entend principalement un artefact destiné à être apprécié en tant que tel ; une « construction » se réfère plutôt aux méthodes et aux moyens constructifs actuels ; un « container » quand le bâtiment répond aux fonctions projetées. Naturellement, toute bonne architecture tient compte de ces trois éléments mais un architecte polémiste doit se préoccuper de l'un d'entre eux, voire deux. Renzo Piano a été un constructeur. Bien que ses bâtiments répondent certainement aux trois objectifs, les développements structurels sont vraiment son point de départ conceptuel.
Bien que se référer aujourd'hui à une architecture nationale ne signifie plus grand chose, il y avait quelque chose d'essentiellement italien dans ses premières recherches et son souci de perfection. Comme Nervi et d'autres maîtres italiens, les succès de Piano viennent de la souplesse du rôle des designers professionnels en Italie (architectes et ingénieurs peuvent être indifféremment constructeurs ou projeteurs) en même temps que de la chance d'avoir des industriels dans sa propre famille qui purent lui commander quelques-uns de ses premiers travaux.
Mais aucun d'entre eux n’aurait attiré l'attention internationale si Piano n’avait rencontré Richard Rogers à Londres et gagné avec lui et Ove Arup Partners le concours du Centre Pompidou. Sa contribution fut égale à celle de Rogers mais Piano fut plus spécialement chargé de la structure et de la conception globale du design exprimé dans le système de construction. Il fut un leader efficace mais encore plus un coordinateur de la conciliation.
Depuis 1977, Piano collabore avec Peter Rice, l'ingénieur en chef de la superstructure de Beaubourg (N. Silver, Architectes contemporains, 1980).

Reportage sur le travail de Venise - Possibilités de recherches futures

  • 0185.02.0009/03
  • Pièce
  • 27 janvier 1982
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition 10 images pour Venise par Bernard HOESLI, professeur à l'EPFZ. 
« Je vais raconter comment nous avons fait notre travail pour Cannareggio : Je vais parler des recherches et d'un travail d'un étudiant de 4e année 1981 sur le terrain de Cannareggio » (BH).


Représentation de l'espace et espace de la représentation en architecture : de la perspective centrale à l'axonométrie 


  • 0185.02.0008/02
  • Pièce
  • 21 janvier 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Giorgio CIUCCI, professeur à l'Institut Universitaire d'Architecture de Venise. 
Le thème de la représentation en architecture de la perspective centrale à l'axonométrie est l'expression d'une recherche sur la transformation qui est arrivée dans la refiguration de l'espace comme conséquence d'une mutation du concept de l'espace entre le 15e et le 17e siècle.
Depuis la Renaissance, à partir de Brunelleschi et à travers la représentation en perspective, il est possible d'observer la nature et de comprendre ses lois harmoniques les plus intimes, jusqu’à la création d'une seconde nature qui est l'architecture : la ville idéale est la création d'un espace artificiel qui se confronte avec l'espace naturel.
Avec la naissance de la science moderne, l'art et en particulier l'architecture n’expliquent plus les lois de la nature, les proportions ne règlent plus l'harmonie de l'espace, la géométrie n’est plus un absolu : on arrive à la compréhension et à la possession de l'espace à travers l'application d'une méthode rationnelle rigoureuse. La perspective devient un langage pour une communication technique, utile pour la « description » des objets : elle fait partie au 17e siècle de la géométrie prospective. 
A la fin du 18e, la géométrie descriptive de Gaspard Monge permet de dessiner scientifiquement l'objet dans l'espace : la reproduction technique devient le système de communication entre ceux qui projettent et ceux qui sont chargés de l'exécution. Quelques dizaines d'années plus tard, l'invention de l'axonométrie permet de représenter et de mesurer d'une manière très simple et détachée un objet qui maintenant flotte dans un espace rationnel.


Restaurer les restaurations ? Le cas de Saint Sernin de Toulouse


  • 0185.02.0008/04
  • Pièce
  • 18 février 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Yves BOIRET, architecte en chef des Monuments historiques, Paris, président de la section française de l'ICOMOS, invité à l'initiative du Professeur Pierre Margot. 
L'abbaye de Saint Sernin de Toulouse a été construite au XIIe siècle. Viollet-le-Duc, au siècle dernier, avait fait subir à St Sernin une restauration que certains qualifient de violente. Cent ans après, l'état de l'édifice exige une reprise générale. Les Monuments historiques adoptent en 1979 le projet d'Yves Boiret qui devrait aboutir à la « dérestauration » des parties « repensées » par Viollet-le-Duc. C’est cette décision qui est en cause et qui cristallise la position de deux écoles : celle des archéologues respectueux de chaque phase historique et celle des architectes soucieux de retrouver le projet initial. Bien que les travaux ne concernent actuellement que les transepts, le parti choisi conditionnera non seulement la suite de la restauration de St-Sernin mais constituera un précédent doctrinal. C’est dire quelle est la gravité de l'enjeu.


Richard Meier

  • 0185.02.0009/06
  • Pièce
  • 10 février au 3 mars 1982
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Exposition réalisée par la Harvard University
.

Rimini


  • 0185.02.0007/01
  • Pièce
  • 14 janvier 1980
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Giancarlo DE CARLO, architecte, Milan.

Robert Mallet-Stevens

  • 0185.02.0008/17
  • Pièce
  • 10 décembre 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de montage audiovisuel sur Robert Mallet-Stevens par Maurice CULOT, Archives de la Construction Moderne, Bruxelles. 
Robert Mallet-Stevens (1886-1945) fut l'un des architectes les plus doués de l'entre-deux guerres et l'un des protagonistes du style international en France. Dans la première partie de sa vie d'architecte, il dessine des projets pour la « cité moderne », recueil de dessins publié en 1922, dans lequel apparaît sa conception de la ville et se dessine son style : il conçoit chaque édifice depuis la maison ouvrière jusqu’à la mairie, l'arrêt d'autobus..., il montre la particularité de chaque bâtiment plutôt qu’une vision urbanistique globale. Pour lui, l'image de la ville passe par l'architecture et pourtant tous les édifices ont un trait commun et forment un ensemble : chaque élément est constitué de combinaisons de cubes, cylindres, angles aigus ou arrondis, courbes élégantes s’opposant des formes rectangulaires. Mallet-Stevens traite un bâtiment comme une sculpture. En 1923, il réalise pour Marcel l'Herbier les décors du film l'inhumaine, expérience capitale pour lui. Dès 1924, il construit ses principales réalisations : la villa du comte de Noailles à Hyères, celle de Paul Poiret à Mézy-sur-Oise, le Pavillon du Tourisme et le hall de l'Ambassade française à l'Exposition internationale des Arts décoratifs de 1925 à Paris, en collaboration avec Robert Delaunay et Fernand Léger, plusieurs bâtiments rue Mallet-Stevens dont sa propre maison, le casino de Saint Jean de Luz, etc.
Injustement oublié pendant de nombreuses années, il fut pourtant avec Pierre Chareau, Gabriel Guévrékian et André Lurçat, l'un des rares représentants de ces architectes qui luttaient pour l'air, la lumière, le confort, l'universalité d'un style architectural en opposition au régionalisme.

Rodolphe Luscher

  • 0185.02.0016/04
  • Pièce
  • 8 février 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Rodolphe LUSCHER, architecte, Lausanne.

Rome : décomposition et recomposition de la ville antique

  • 0185.02.0014/03
  • Pièce
  • 21 janvier 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Carlo BERTELLI, professeur d'histoire de l'art à l'Université de Lausanne.
l'emplacement à la périphérie de la ville ancienne de deux pôles principaux de la nouvelle réalité chrétienne a provoqué un dynamisme centrifuge qui s’opposait à la centralité du Forum. La situation politique créée dans la nuit de Noël 800 avec le couronnement de Charlemagne empereur donne au Pape la possibilité de détruire le Palatin comme résidence de l'empereur et de transformer son palais administratif au Latran en une résidence officielle sur le modèle du palais de Constantinople.
La deuxième étape sera la construction d'une ville nouvelle, la cité léonine, tout près de Saint Pierre. Rome devient une conurbation composée de centres différents, petites communautés fortifiées disséminées dans une région en grande partie inhabitée. C’est au XIVe siècle qu’on remet en question cet aspect de Rome en réalisant une grande construction publique, l'escalier de l'Aracoeli qui change l'orientation de la ville vers le nouveau centre habité qui est installé dans la région autrefois peu peuplée du Champ de Mars. Cette situation détermine le dynamisme de la Rome des Papes, comme problème de rattachement des parties isolées dans la ville, ce qui demande la présence de symboles urbains très forts pour souligner une unité qui existe à peine dans le tissu urbain.

Rome : l'impossibilité de l'histoire

  • 0185.02.0014/06
  • Pièce
  • 11 février 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Franco PURINI, architecte, Rome.
La nouvelle architecture à Rome n’est pas facile à décrire dans son ensemble car elle n’est pas linéaire dans son développement. La situation est marquée par des débats dont les racines remontent loin et témoignent des contradictions de l'histoire de la ville. La discrimination de la périphérie de la métropole montre le sous-développement de manière significative, processus résultant d'une négligence politique et gestionnelle à laquelle la ville fut soumise pendant les trente années qui suivirent la guerre. Entre 1975 et 1985, la ville avait adopté une gestion socio-communiste qui aurait dû apporter un changement. Dans les faits, très peu de ce qui avait été projeté a été réalisé, et, parmi les architectes romains de la nouvelle génération, on a travaillé avant tout sur une base historique pour comprendre d'une manière nouvelle l'architecture dans la ville du passé.
Franco Purini a fait d'abondantes propositions pour la ville de Rome, souvent publiées, jamais réalisées, qui sont liées à la fidélité aux méthodes de projétation néo-rationalistes et à l'intention d'approfondir les images de Piranèse. Il faut aussi rappeler combien ses architectures ont influencé à l'étranger la définition de l'imaginaire architectonique.

Rudolph M. Schindler : Space Architecture and the tradition of the Moderne

  • 0185.02.0014/11
  • Pièce
  • 20 mai 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition R.-M. Schindler (1887-1953) par le Dr August SARNITZ, Vienne.
Schindler fut l'un des architectes les plus marquants du Mouvement Moderne aux Etats-Unis. Né à Vienne, il fit ses études sous la direction d'Otto Wagner à l'Académie des Beaux Arts, sous celle d'Adolf Loos à la Bauschule et de Frank Lloyd Wright en travaillant dans son bureau à Oak Park et à Taliesin. Envoyé par Wright en Californie superviser la construction de la Barnsdall House, Schindler y trouve la situation idéale pour imaginer des variations sur le thème de la maison individuelle qui va constituer la majeure préoccupation de sa carrière. Dans la Lovell Beach House de 1926, souvent considérée comme son chef d'oeuvre, il expérimente les espaces intérieurs fluides, les vérandas, l'utilisation du béton et du verre.
Le dessin architectural de Schindler reflète l'influence de ses professeurs mais il marque aussi durablement l'architecture moderne aux Etats-Unis. Bien que n'enseignant que très peu dans les écoles d'architecture, ses articles et ses oruvres furent publiés en Europe et aux Etats-Unis. Ses réflexions personnelles sont tout à fait particulières car il fut élevé en Autriche mais passa le reste de sa vie aux Etats-Unis sans jamais revenir en Europe. Il la quitta juste avant la première guerre mondiale et ne maintint pas de relations directes avec les architectes et les artistes du Constructivisme russe, du Cubisme hollandais, du Bauhaus allemand ou du Futurisme italien. La plupart des architectes qui quittèrent l'Allemagne ou l'Autriche le firent pendant la période fasciste dont Schindler n'eut pas à subir les contraintes. Il fut ainsi très isolé tout au long de sa vie du style international et le résultat en fut une interprétation très personnelle de l'architecture.

Réflexions sur la fable du calife, des dix architectes et du philosophe

  • 0185.02.0003/18
  • Pièce
  • 15 décembre 1976
  • Fait partie de BIANCHI Edith

: Conférence de Jean-Pierre PROTZEN, professeur à l'Université de Californie à Berkeley.
Comment l'architecte (l'urbaniste, l'aménagiste du territoire, etc..) peut-il juger de la qualité de ses plans ? Sur quels principes ces jugements sont-ils basés ? Le public affecté par le travail de l'architecte doit-il se fier à ces jugements ? Les problèmes d'architecture (d'urbanisme, d'aménagement du territoire, etc.) sont des problèmes éminemment politiques. Le choix du « meilleur » plan ne doit pas être délégué aux experts : ne devrait-on pas soumettre des variantes au vote populaire ? Un bon plan ne peut émerger que d'un effort politique commun : ou contradictoire : conduit selon des règles à instaurer.

SALLE DE SPECTACLE DE VEVEY : Projet Motto "L'économie n'est pas toujours profitable"

Planches pour un projet dont le motto est "L'économie n'est pas toujours profitable" pour le concours de 1863 pour la salle de Spectacle et Concerts de Vevey, dessinées probablement par Monsieur Marguet (ou Marguet père), "architecte au pré du Marché à la Villetta, Lausanne" (destinataire des lettres). Comprend des correspondances avec L[ouis] Ormond de la Société de Concerts et Spectacles concernant les détails du concours, un mémoire avec les détails du projet et des planches, et 9 planches (avec brouillons) sur papier calque.
Contient aussi des documents plus hétérogènes, dont une photographies qui n'appartient peut-être pas au fonds d'origine.

Marguet père, architecte au Pré du Marché, Lausanne

SARRASIN Philippe

  • 0206
  • Fonds
  • 1918-1997

Archives techniques d'ingénieurs, concernant les activités du Bureau technique A. Sarrasin, puis (dès 1975) Sarrasin Ingénieurs SA. Il documente également les activités de recherche (études et rapports, publications, brevets...) d'Alexandre Sarrasin, ainsi que la formation et les réalisations de Philippe Sarrasin, associé au père dès 1965.
Dossiers de projets et études techniques, dessins de plans, rapports, cahiers manuscrits, etc.
Contient également des photographies des réalisations (tirages, négatifs et encadrés), plusieurs livres et publications.

Philippe Sarrasin

SARTORIS Alberto

  • 0172
  • Fonds
  • [18-?]-2007

Plans, maquettes, représentations graphiques (dont 50 axonométries en couleurs traitées en sérigraphies); œuvres d'art; photographies d'architecture ( 8'000 pièces) et d'art (2'000); livres (18'000); revues (580 titres); manuscrits; correspondances (15'000); dossiers documentaires; coupures de presse (ca 50'000).

Alberto Sartoris

SAUGEY Marc-Joseph : Expo 64

  • 0035
  • Fonds
  • 1961-1964

Le fonds contient des plans et croquis du Monorail et du secteur 7 " Le port ", 3 photographies, un carnet de détail de la surface des sols et un plan avec couleurs des toiles

Marc-Joseph Saugey

SCHLUP Max

  • 0085
  • Fonds
  • 1946-1999

Archives techniques (plans originaux, dossiers de construction et des chantiers) et administratives (correspondances, pièces comptables, pièces diverses) et photographiques documentant toute l'activité professionnelle de Max Schlup. Contient notamment les dossiers concernant le Palais de congrès de Bienne.

Max Schlup

SCHMID Pierre-Paul

  • 0197
  • Fonds
  • 1957-1997

Archives techniques (plans et dessins d'architectes), documentant la carrière de Pierre-Paul Schmid.

Pierre-Paul Schmid

SPINNLER Georges

  • 0073
  • Fonds
  • 1955-1993

62 dossiers documentant 44 objets concernant l'enseignement: originaux destinés à la rédaction des cours polycopiés et exercices donnés aux étudiants; la documentation sur la construction du mésoscaphe.

Georges Spinnler

STEINMANN Georges A.

  • 0142
  • Fonds
  • 195?-2000

Documentation technique, principalement sous la forme de plans d'ingénieurs, concernant plusieurs réalisations de G. Steinmann, dont le Centre international de Conférences, Genève (CICG), construit en 1973 par André et François Gaillard et Alberto Camenzind (architectes).
Contient également de la documentation (articles, brochures, classeurs) sur le génie civil.

Georges A. Steinmann

STEINMANN Martin : Travaux d'étudiants

  • 0165
  • Fonds
  • 1987-2006

Archives de l'enseignement du prof. Steinmann sous la forme de travaux d'étudiants regroupés par année.
Contient également un dossier documentaire sur l'arch. Marc Piccard.

Martin Steinmann

Saint-Simoniens, Fourriéristes et architecture

  • 0185.02.0014/15
  • Pièce
  • 11 novembre 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Bernard MARREY, historien, Paris.
La révolution de 1798 a fait éclater les carcans corporatifs qui entravent l'essor industriel et commercial. Un vent de liberté souffle sur la France. Sans sous-estimer ses bienfaits, la déréglementation inquiète certains esprits qui réfléchissent à une nouvelle organisation sociale. Parmi eux, Fourier, dont la pensée est proche de ceux qu’on appellera les socialistes, et Saint-Simon, dont la pensée plus technicienne est assez proche d'un capitalisme d'Etat, ont une influence très forte sur le milieu intellectuel français et aussi bien sur les architectes et les ingénieurs entre 1820 et 1860.

Santiago Calatrava

  • 0185.02.0013/13
  • Pièce
  • 3 décembre 1986
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Santiago CALATRAVA, ingénieur à Munich, professeur invité au DA de l'EPFL.

Serres et jardins d'hiver au XIXe siècle

  • 0185.02.0013/04
  • Pièce
  • 29 janvier 1986
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Serres et jardins d'hiver au XIXe siècle ; Jean-Marc Lamunière : Dessins pour la serre du Jardin botanique de la ville de Genève.
De 1780 à 1900, l'attrait pour les fleurs exotiques, les plantes rares rapportées si précieusement dans les conditions de la navigation d'alors, le goût du dépaysement aux effluves coloniales et d'une nature renouvelée vont se confondre en une passion pour l'horticulture et en une forme architecturale : les serres et les jardins d'hiver. Leur extraordinaire expansion en fit un véritable mouvement de mode soutenu par la bourgeoisie fortunée qui gagna progressivement l'ensemble de la société européenne.

Superstudio

Conférence inaugurale de l'exposition par J.-P. FICCI et A. NATALINI, architectes, Superstudio.
Créé en 1966, le bureau d'architecture florentin Superstudio développera son activité dans la recherche théorique de l'architecture et dans le design. Superstudio produit des films et des projets de divulgation sur des thèmes fondamentaux qui sont des tentatives critiques de détermination de nouvelles bases théoriques et anthropologiques de l'architecture. En développant à l'extrême une tendance architecturale ou urbanistique, leurs projets, parfois utopiques, servent d'avertissements.

TAILLENS Jean et DUBOIS Charles

  • 0038
  • Fonds
  • 1890-1919

Un petit album contenant des reproductions de projets datant de la période d’études à Paris, ainsi que des photographies de certaines réalisations à Cape Town et Johannesburg, mais aussi divers édifices français dus à d’autres architectes. Un dossier de correspondance concernant la participation de Taillens à des jurys de concours d’architecture (concours des villas à Genève, tribunal fédéral à Lausanne, etc.). Un album de photographies et de reproductions de plusieurs édifices bâtis par Taillens et Dubois, en particulier des vues du chantier du siège de l’Union de banques suisses à la place Saint-François à Lausanne.

Jean Taillens

THÉVENAZ Charles

  • 0123
  • Fonds
  • 191?-200?

Le fonds, produit par Charles Thévenaz, Charles Philippe Thévenaz et Charles François Thévenaz, documente plusieurs bâtiments publics lausannois, villas et maisons privées.
Il comprend des dessins techniques (plans) et des papiers administratifs.

Charles Thévenaz

TSCHUMI Jean

  • 0060
  • Fonds
  • 1917-1969, 1974

Le fonds se compose principalement des archives parisiennes et lausannoises de Jean Tschumi. Ces archives englobent diverses documents, qui reflètent les travaux et concours élaborés au sein des agences de Paris et de Lausanne. Les documents techniques et les dessins comprennent des supports variés tels que des lavis, des pastels, des encres sur calque et des tirages héliographiques.
Par ailleurs, les archives iconographiques occupent une place significative dans ce fonds. Elles comprennent des photographies en lien avec les réalisations architecturales de Jean Tschumi ainsi que des clichés documentant ses voyages.
Les archives d'enseignement retracent son parcours pédagogique à l'EPUL (École Polytechnique de l'Université de Lausanne), et sont complétés par des éléments liés à ses expositions et conférences.
Les archives à caractère personnel couvrent divers aspects de la vie de Jean Tschumi. Elles abordent sa formation, sa correspondance ainsi que des pièces diverses témoignant de sa trajectoire personnelle et professionnelle.
En outre, ce fonds comprend une collection documentaire qui regroupe des documents de travail ainsi que des revues de presse. Ces éléments viennent compléter la documentation disponible. De plus, des documents additionnels relatifs à Jean Tschumi, à caractère posthume, sont également inclus.

Jean Tschumi

TSCHUMI Jean, Travaux des élèves

  • 0091
  • Fonds
  • 1945-1951

Archives photographiques et d'enseignement. Dessins originaux (études et analyse comparatives) et photographies des travaux des élèves de Jean Tschumi à l'EPUL.

Jean Tschumi

Terre à vendre

Projection film.
Tourné à la demande de l'Initiative pour l'Aménagement équitable du sol vaudois, ce film pose le problème de l'achat des terrains des paysans pour la construction d'immeubles ou de l'autoroute mettant ceux-ci dans l'impossibilité d'exploiter un domaine.

The thought of construction

  • 0185.02.0014/12
  • Pièce
  • 3 juin 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Sverre FEHN, professeur à l'Ecole d'architecture d'Oslo.
Associé à Geir Grund qui fut plus tard l'un des membres du Team X, Fehn construit en 1955 une maison pour personnes âgées à Oskern/Oslo et le Musée des Traditions populaires de Lillehammer en 1959. Il gagne le concours du Pavillon norvégien de l'exposition de Bruxelles en 1958. Cette composition néo-plastique, utilisant largement le bois, éclairée par les interstices des poutres du toit, présente les caractéristiques les plus essentielles de l'architecture de Sverre Fehn, insistant sur la poésie de la construction avec quelque chose de plus subtil que la simple élégance de la structure formelle et des détails méticuleux.

Thomas Jefferson et l'architecture parlante

  • 0185.02.0008/12
  • Pièce
  • 24 juin 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Gérard LE COAT, sociologue de la culture, président de la Société pour l'étude des Arts comparés à l'Université de Montréal. 
C’est au milieu du XIXe siècle que le qualificatif « architecture parlante » a été utilisé pour la première fois en France pour caractériser l'oeuvre projeté ou réalisé des architectes de la seconde moitié du XVIIIe que nous nommons aujourd'hui « visionnaires » : Boullée, Ledoux, Lequeux.. l'objectif de l'exposé est double : 1.Montrer que Jefferson a lui aussi recours à une architecture que l'on est en droit de qualifier de parlante, et 2. Montrer que les architectes visionnaires français ont influencé dans une certaine mesure les projets et réalisations jeffersoniens, l'influence s’étendant d'ailleurs aux théoriciens français en général des décennies pré-révolutionnaires ou révolutionnaires : sans oublier les idéologues de l'ère impériale. La décision d'entreprendre une nouvelle lecture critique de l'oeuvre architectural de Jefferson se justifie par le fait que les spécialistes américains insistent quasi unanimement et quasi exclusivement sur l'intention fonctionnaliste de celui que l'histoire américaine a baptisé le « père du pragmatisme américain ». Dans cette perspective, seul le lien avec le classicisme romain transmis par Palladio, Desgodets, Fréart de Chambray et alia est souligné. Il est temps de préciser et d'expliquer le rôle de référents idéationnels liés à un programme d'action socio-politique et socio-culturelle en général qui est le coeur de la pensée jeffersonienne bien avant la Déclaration d'indépendance et les années de la présidence.


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