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  • 0185.02.0013/06
  • Pièce
  • 24 avril 1986
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Aurelio GALFETTI, architecte, Bellinzona.
« Je n’ai pas l'intention de parler de la restauration en général mais plutôt du travail que j’ai fait et suis en train de faire à Castelgrande. J’aimerais parler de cette expérience particulière mais surtout décrire la condition commune à beaucoup d'architectes qui participent à la tâche de la restauration : la contribution de l'architecte est étouffée par trop de commissions qui lui attribuent le seul rôle de conseiller technique et contestent sa fonction créatrice.
J’aimerais aussi contester ces mythes usés jusqu’à la corde :

  • Tout ce qui est ancien doit être conservé
  • Le rapport dialectique entre l'ancien et le nouveau : tout se résout par l'opposition.
  • La solution naît du monument : le monument ignore le contenu. »

Construire en terre

  • 0185.02.0010/05
  • Pièce
  • 1er juin 1983
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Séminaire organisé à l'initiative du Professeur René Vittone avec la collaboration de :

  • Jean-Claude PIGUET : Projet de recherche interdépartemental à l'EPFL
  • François ISELIN : Réalisations en terre en Suisse
  • Jean-Marie PLANCHEREL : Murs et voûtes en terre sèche pour l'habitat social
  • Jacques VAUTHERIN et Henriette FLOTTES DE POUZOLES : Habitat du grand nombre ; problèmes et réalisations
  • Alfred MBASSI : Programme de l'Institut panafricain de développement à Ouagadougou, Haute Volta.

Construire l'architecture

  • 0185.02.0012/04
  • Pièce
  • 14 février 1985
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Gresleri & Varnier par G. GRESLERI & S. VARNIER, architectes, Rovereto, IT.
l'Italie est-elle encore en mesure de « s’exporter culturellement » ? La période actuelle connaît une remise en cause des grands idéaux avancés par le Mouvement Moderne, remise en cause issue principalement de l'intelligentsia architecturale Made in Italy.
Il est symptomatique de noter que l'Italie semble marquer un temps mort sur le plan des réalisations quand elle se met en évidence par une ample production culturelle architecturale exprimée surtout par le dessin d'architecture et le débat historique. Des expositions de critique architecturale, d'enquêtes historiques, de divulgation et de soutien aux thèses stylistiques de théorie d'architecture sont produites à un rythme remarquable et exportées en Europe et aux USA. Elles constituent un véhicule de grand intérêt mais les constructions sont le fait d'autres nations.
A pareil état de la situation italienne fait exception cette exposition complètement consacrée à des œuvres italiennes construites par Glauco Gresleri et Silvano Varnier dans les quinze dernières années dans le Frioul méridional. Leurs caractéristiques peuvent être résumées en quelques points : une grande sensibilité au génie du lieu et à la végétation, l'attention portée à la lumière, au contrôle technique de la construction, la poésie et la modestie des détails ainsi qu’une grande résistance au temps.

Continuité historique et architecture actuelle

  • 0185.02.0008/05
  • Pièce
  • 25 février 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Luigi SNOZZI, architecte FAS, Locarno. 
En s’appuyant sur la propre expérience projectuelle, à travers la présentation d'une série de projets qui se rapportent à la ville, on cherchera à mettre en évidence quelques motivations fondamentales qui les sous-entendent. Ce type d'approche au projet vise à la recherche d'une continuité historique de l'architecture actuelle par une longue critique de la ville, conçue comme expression formelle de l'histoire, et par la reproposition de certaines valeurs géographiques, typologiques, morphologiques - aujourd'hui aliénées - dans une confrontation dialectique avec l'existant.


Coop Himmelblau

  • 0185.02.0016/03
  • Pièce
  • 1er février 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Wolf D. PRIX, architecte, Vienne et Los Angeles.

D'une géométrie baroque : licence ou règle ?

  • 0185.02.0010/10
  • Pièce
  • 9 décembre 1983
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Inès LAMUNIERE et Patrick DEVANTHERY, architectes EPFL.
La recherche d'une règle de la géométrie dans le processus d'élaboration du projet architectural nous interroge sur les phénomènes liés à l'histoire de l'architecture et à sa théorie. La question d'une spécificité de la discipline architecturale s’exprime aujourd'hui par un retour sur son histoire, non seulement comme un répertoire de formes architecturales aptes à la citation mais aussi comme un ensemble de formes qu’il s’agit de repérer dans les dessins du projet.
Dans la courte période de cette révolution sur l'espace qu’est le baroque romain, la géométrie a-t-elle des significations intrinsèques, que substitue-t-elle, qu’abstrait-t-elle dans le dessin et lors du passage à la matérialisation spatiale ?
A Santa Maria della Pace, Pietro di Cortona fragmente les figures géométriques, il déconstruit l'unicité de l'espace ; quelles règles met-il en place ? Par des opérations de transformation géométrique, l'usage de référence à des objets archétypiques est transgressé dans le projet en cours d'élaboration ; quel ordre ces transformations appellent-t-elles ? Cortona, avec Borromini et Bernini, assigne, par des règles de perception, un rôle à la géométrie dont les licences nous éclaboussent encore (I. L.+ P. D).

DAXELHOFER Jean-Pierre °

  • 0052
  • Fonds
  • 1943-1984

369 dossiers documentant 343 objets. Des expertises de défauts de construction pour la plupart, mais aussi des essais de matériaux ou d’éléments de construction. Les dossiers contiennent généralement un rapport, de la documentation technique et de la correspondance avec les intéressés: ingénieurs, architectes ou autres.

Jean-Pierre Daxelhofer

DAXELHOFFER Marcel

  • 0134
  • Fonds
  • 189?-190?

Dessins de Marcel Daxelhoffer.

Marcel Daxelhoffer

DI CLEMENTE Lucio °

  • 0070
  • Fonds
  • 1942-1991

64 dossiers documentant 37 objets. Le fonds comprend un certain nombre d’affaires, ses travaux d’élève chez Tschumi, son travail de diplôme.

Lucio Di Clemente

DISTINCTION ROMANDE D'ARCHITECTURE

  • 0192
  • Fonds
  • 2003-2006, 2014

Dossiers de candidature sous forme papier et numérique
Dossier graphique, maquette de la Distinction remise apposée sur les bâtiments lauréats: R circonflexe

Association « Distinction Romande d'Architecture »

DORIER Fernand-Louis

  • 0012
  • Fonds
  • 1913-1995

Calques documentant différentes villas pour des particuliers situées essentiellement sur la Côte

Fernand-Louis Dorier

DUMAS Fernand

  • 0018
  • Fonds
  • 1868 ; 1919-1962

Ce fonds constitue la partie principale des archives du bureau Dumas, soit les travaux de Fernand (parfois repris par son fils Pierre), ainsi que ceux issus de l'association de Fernand Dumas avec Denis Honegger.
Plans originaux et quelques héliographies, concernant surtout la rénovation et la construction d’églises catholiques principalement dans la région de Fribourg, le district d’Echallens et la France. Il s'agit des archives du bureau Fernand Dumas, qui ont été catalogués selon les responsabilités suivantes: Fernand Dumas, F. Dumas & D. Honegger, Denis Honegger.

Fernand Dumas

DUMAS Fernand et HONEGGER Denis

  • 0020
  • Fonds
  • 1933-1952

Ce fonds constitue une partie des archives du bureau Dumas, soit les travaux de Fernand Dumas avec Denis Honegger.
Plans originaux et quelques héliographies, concernant surtout la rénovation et la construction d’églises catholiques (dont l'église du Christ-Roi), l'Université Miséricorde, des immeubles et villas principalement dans la région de Fribourg.

Fernand Dumas

DUMAS Pierre °

  • 0021
  • Fonds
  • 1944-1973

240 dossiers documentant 208 objets dont 45 églises.
Plans originaux et quelques héliographies. Il s’agit des archives du bureau Fernand Dumas, puis Pierre Dumas, qui qui ont été cataloguées selon les responsabilités suivantes: Fernand Dumas, F. Dumas & D. Honegger, Denis Honegger, Pierre Dumas.

Pierre Dumas

DUVILLARD Ernest

Le fonds se divise en trois séries. La première série (A) documente différents projets de l’architecte principalement entre 1885 et 1900 à travers des plans et des dessins d’architecture. Les pièces disponibles par dossiers varient fortement entre les différents projets, ainsi certains contiennent plus d’une vingtaine de documents alors que d’autres n’en possèdent qu’un seul. Les dossiers concernent majoritairement des projets de villas et des aménagements de propriétés privées ainsi que différents bâtiment publics ou industriels tel que l’œuvre hospitalière évangélique de Guebwiller (1889-1891), l’école de dessin de Mulhouse (1890), le Comptoir d’Escompte de Mulhouse (1889-1891), le bâtiment de la Banque d’Alsace et de Lorraine (1890-1891) ainsi que le Bureau Central de DMC (1887-1891). Notons également, différents projets singuliers comme le Pavillon de Dillmont de l’Exposition Universelle de Paris de 1889 et la même année le projet en lien avec la Société de Protection contre les accidents de fabrique de l’Exposition de Berlin ainsi que le projet de boîtes pour coton à broder et de fils pour machine que E. Duvillard a créé pour la compagnie DMC (1887-1888).
La deuxième série (B) contient des devis et des correspondances en lien avec ses projets et finalement la troisième série (C) contient des documents relatifs au parcours de formation de l’architecte notamment concernant ses études à l’École des Beaux-Arts de Paris (1881-1885).

Ernest Duvillard

De la ville à la métropole

  • 0185.02.0011/02
  • Pièce
  • 25 janvier 1984
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Ghairo DAGHINI, professeur l'EAUG.
Le mot « ville « a ceci de paradoxal : il nous renvoie à quelque chose pourvu de sens pour tout le monde, à une forme générale inscrite dans notre imaginaire : et, en même temps, le mot désigne des villes singulières, irréductible les unes aux les autres, qui différent d'une façon radicale même quant à leur image urbaine. Bref, il nous renvoie à des objets insaisissables avec des concepts axés sur des constellations d'essences établies une fois pour toutes.
La notion de la ville se laisse plutôt saisir par les évènements et par les formes qui la produisent au fil de son histoire, par ses avatars complexes dont les architectures sont sans doute les éléments majeurs. Ce qui permet de parler des architectures de la ville et de proposer des classifications de formes qui caractérisent l'espace dit urbain.
Or, que désigne le passage de la ville à la métropole ? Dans la prolifération actuelle de l'urbain, ce n’est plus immédiatement évident que la ville soit l'objet qu’on pensait connaître. La notion de métropole en effet n’est pas uniquement caractérisée par un gigantisme urbain mais aussi par une réalité qui est en train de passer d'une modernité centrée sur le maintien d'une maîtrise de l'espace à une réalité obsédée par le temps. Il s’agit d'une tendance mais déjà c’est un problème crucial.

De l’air pour vivre

Film de Peter STIERLIN.
Ce film traite de la pollution de l'air. En partant de trois exemples aux USA et en Angleterre, il envisage les différentes mesures à prendre avant qu’il ne soit trop tard.

Deconstructivist Architecture

  • 0185.02.0016/02
  • Pièce
  • 25 janvier 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Mark WIGLEY, historien d'art, New York, commissaire avec Philip Johnson de l'exposition « Deconstructivist Architectur »e au MOMA.

Design as a « typological collage »

Conférence de O. M. UNGERS, professeur, Cornell University, Ithaca, USA.
Présentation des travaux de O. M. Ungers des 10 dernières années.

Du temps et de la durée en architecture

  • 0185.02.0008/09
  • Pièce
  • 18 mai 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Leçon terminale du Professeur Conrad-André BEERLI, présidée par le président de l'EPFL, Bernard VITTOZ. 
« Quand nous construisons, disons-nous que nous construisons à tout jamais ? Que ce ne soit pas pour l'unique joie de l'heure présente, pour la seule utilité de l'heure présente. Que ce soit un travail dont nous remercions nos descendants. » « La plus grande gloire d'un édifice; est dans son âge » John Ruskin, 1848 (Les sept lampes de l'architecture).
« l'éphémère, c’est l'impression de « provisoire » dans laquelle baigne notre vie quotidienne. Nous sommes tous, en fait, citoyens de l'Age de l'Ephémère. » Alvin Toffler, 1970 (Le choc du futur).
De la juxtaposition de ces deux citations extrêmes, séparées par plus d'un siècle, découle une réflexion sur deux plans : sur l'idée du déroulement du temps dans les concepts des architectes (temps irréversible ? : Viollet-le-Duc le pensait réversible) d'autre part, sur la notion de durée de l'architecture « éternelle » (Giedion) ou au contraire éphémère, adaptée au rythme d'une civilisation mécanisée, habituée à une consommation rapide. Déjà la cadence de la rénovation urbaine est à ce point accélérée qu’un architecte d'aujourd'hui a de fortes chances, s’il jouit d'une bonne santé, de voir démolir son ouvrage de son vivant;

Du théâtre à l'architecture

Conférence de Gae AULENTI, architecte, Milan. 
Les lois d'apparition de l'architecture sont aujourd'hui mises en question de différentes manières mais pour échapper à des questions dualistiques (continuité ou non du mouvement moderne), il faut travailler à la recherche de matériaux dotés d'articulations très différenciées.
Une expérience dans le théâtre peut faire découvrir que les éléments constitutifs de l'architecture sont des figures rhétoriques à refonder : le Lieu et ses modifications, la Construction et sa réalité ou son apparence, les Objets comme générateurs d'actions antérieures à l'évènement architectonique. 


ECOLE D'INGENIEURS de l'Université de Lausanne

  • 0077
  • Fonds
  • 185?-1931

Le fonds contient :

  • des documents en lien avec l'enseignement ;
  • des planches originales du travail de diplôme signé K. Nyeborg daté de juin 1922, soit un projet de pont rail en maçonnerie ;
  • projet de machines diverses ;
  • divers autres documents concernant les chemins de fer ;
  • des plans originaux qui devaient appartenir aux Marguet concernant la construction du chemin de fer Boulogne-Amiens, remontant aux années 1840 ;
  • des plans et rapports sur le "rail-way" en Angleterre ;
  • des plans originaux des ateliers de réparation de la compagnie de l'Ouest suisse à Yverdon ;
  • le plan du rez-de-chaussée de la première gare de Lausanne ;
  • divers plans relatifs au viaduc de la Paudèze.

École d'ingénieurs de l'Université de Lausanne

Edifices astronomiques : Calendriers et astronomie des mayas

  • 0185.02.0006/10
  • Pièce
  • 31 octobre 1979
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Edifices astronomique : anciens instruments astronomiques géants de l'Inde, du Mexique et du Pérou par Avram HAYLI, professeur à l'Université Claude Bernard de Lyon. 
Dans les années 1730, un maharaja hindou, Jai Singh II, fasciné par le ciel, avait imaginé de faire de son jardin un observatoire du ciel. Il y avait bien à cette époque des instruments de laiton mais ils manquaient de précision. Jai Singh II fit alors construire des instruments géants, cent fois plus grands que les cadrans et les échelles que l'on connaissait, pour obtenir des mesures cent fois plus exactes. Il fit ainsi construire des observatoires à Bénarès, Delhi et Jaipur.
Au Mexique, les connaissances mathématiques des Mayas trouvent leur première application dans l'établissement d'un calendrier aussi précis que possible. Comme dans toute civilisation de type agraire, c’est en effet de la détermination des saisons que dépend la prospérité. Ces connaissances leur ont permis de développer une astronomie d'une valeur et d'une précision remarquables et n’ont pas été sans influer profondément sur l'architecture et même sur certaines formes d'urbanisme.
« Gnomons » et « astrolabes », cadrans solaires et autres instruments composent ainsi l'ordonnance secrète de ces constructions fascinantes par la beauté sculpturale de leurs formes : l'architecture considérée comme le temps mis en forme, comme une charnière entre l'espace et le temps.


Eileen Gray : un autre chemin pour la modernité

  • 0185.02.0008/15
  • Pièce
  • 25 novembre 1981
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Brigitte LOYE, chargée de recherches au CORDA, Paris. 
Une idée chorégraphique; une constante pour Eileen Gray depuis ses premières laques jusqu’à sa production architecturale. En appliquant les cinq points de l'architecture moderne, en particulier pour sa maison de Roquebrune, elle recherche avant tout à faciliter un certain type de geste, afin de permettre à l'homme des années trente de devenir un autre. A tous les stades de sa production, elle hésite devant la théorisation, l'abstraction, cherchant à comprendre comment évolue le geste et à mettre en scène l'homme dans son espace. « Une recherche patiente » en laquelle réside l'originalité d'Eileen Gray et qui la différencie de Le Corbusier et du De Stijl, ses contemporains et amis.


El Lissitzky et l'espace moderne

  • 0185.02.0015/16
  • Pièce
  • 14 décembre 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Yves-Alain BOIS, historien de l'art, professeur à la John Hopkins University, Baltimore.

Eldred Evans & David Shalev

  • 0185.02.0005/05
  • Pièce-
  • 22 février 1978
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Evans & Shalev par David SHALEV, architecte, Londres
. Les deux jeunes architectes britanniques Eldred Evans et David Shalev ont produit un grand nombre de projets mais réalisé seulement trois d'entre eux : une école à Newport de 1967 à 72, un home d'enfants à Camden de 1972 à 77 et un foyer pour personnes handicapées à Camden de 1972 à 78. On trouve dans tous leurs projets une sensibilité particulière pour la conception spatiale et la forme bâtie comme réponse à un programme complexe et une grande rigueur pour traduire des concepts par l'intermédiaire de la technologie.
 Ils précisent les termes de leur travail comme suit : 
- Un ordre hiérarchique pour mettre en relation le privé et le communautaire en manipulant la transition et la progression de l'intérieur vers l'extérieur et vice-versa 
- Une liberté de mouvements avec la possibilité de choisir des cheminements multiples (circulations et entrées)
- La complexité spatiale en réponse à des programmes complexes et à un besoin d'une perpétuelle ré-interprétation de l'utilisation 
- Le choix d'une technique de construction servant l'idée tridimensionnelle et les espaces que nous souhaitons créer (système structurel, méthode de construction, matériaux, installation).

Emanations spectrales / Projections architecturales

  • 0185.02.0015/10
  • Pièce
  • 2 novembre 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Dialogue inaugural de l'exposition « cHUbe cHrOME » entre Robert SLUTZKY, professeur invité au DA de l'EPFL, Peter VERSTEGH et Bruce DUNNING, architectes, Genève, assistants au DA.
cHUbe/cHrOME est une recherche sur les relations métaphoriques et métaphysiques possibles dans et entre la peinture et l'architecture. Elle pose les questions suivantes : est-ce que leur essence peut être déterminée à l'aide de l'expression de métaphores, actuellement à la mode, à la fois comme outil de projétation et comme critère analytique ? Dans ce cas, la signification de l'architecture et de la peinture serait toujours déplacée par rapport à leur expression naturelle (significative). Ou alors, est-ce que la métaphore est à la base même de cette expression naturelle, ce qui déplacerait architecture et peinture de leur contexte historique et technologique ?
En utilisant forme et couleur en tant que concepts abstraits, nous opposons dans ce projet la peinture à l'architecture. Les objets montrent un mouvement entre peinture et architecture. Sans être des réponses, ils renvoient toujours aux questions, en leur permettant d'être ainsi réfléchies.

Emilio Battisti

  • 0185.02.0016/12
  • Pièce
  • 7 juin 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Emilio BATTISTI, architecte, Milan, professeur invité au DA.

Espace intérieur : photographies de Christian Vogt

  • 0185.02.0018/18
  • Pièce
  • 20 novembre au 4 décembre 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Exposition réalisée par le Musée d'Architecture de Bâle.
Christian Vogt révèle une approche complètement différente de l'espace avec la camera panoramique. Avec de grandes images de deux mètres de long, le visiteur expérimente l'espace comme des raies, comme une bande. D'une part il se déroule devant nos yeux ou, d'autre part, il vient à notre rencontre à l'instant, comme si notre champ de vision s'était élargi. les parois s'étendent pour approcher le visiteur.

Espace social de la ville algérienne : plaidoyer pour la medina

  • 0185.02.0011/07
  • Pièce
  • 23 mai 1984
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Nadir MAROUF, sociologue, professeur à l'Université d'Oran.
Le plaidoyer pour la médina ne procède pas d'une attitude sentimentale ou ethnographique à l'endroit de l'espace social traditionnel. Les cités occidentales les plus prestigieuses et en même temps les plus significatives des temps modernes s’ordonnent autour d'une sémiologie spatiale léguée par le passé. De là le présupposé que les exigences de notre temps n’interdisent pas le maintien, certes sous des modalités sans cesse renouvelées, d'un cadre archétypal qui fonde une civilisation et une culture (exemple du maintien de la centralité comme fondement du sens urbain).
Il y a tout d'abord lieu de dresser un panorama des configurations urbaines, de leur implantation au cours de l'histoire maghrébine et donc d'en comprendre les légitimations.
Si la ville pré-coloniale, voire même coloniale en Algérie, répondait à une rationalité saisissable (sur laquelle on peut toujours porter un jugement mais qui reste productrice d'un sens), la ville actuelle semble s’acheminer vers un décalage de plus en plus grand entre valeurs, aspirations nouvelles, principes ethnico-normatifs édictés par le Pouvoir et inscription dans l'espace de cet ensemble hétéroclite. Il semble en effet que la ville algérienne se laisse placer sous le signe de l'empirie. Mais est-ce que l'empirie relève elle-même d'une rationalité ? En d'autres termes, si la rationalité est une catégorie irréductible et donc immanente à ce qui, pour l'heure, peut paraître opaque et indéchiffrable, faut-il attendre qu’elle transparaisse à l'issu de l'oeuvre urbain en train de se faire, post-festum pourrait-on dire, ou faut-il proposer d'autres alternatives, fussent-elles un peu trop « rétro » ?
En conclusion, le rapport entre structure urbaine, société et politique dicte quelques uns de nos propos et surtout de nos orientations de recherche en matière de restructuration-réhabilitation de la medina. On en verra aussi la complexité pratique et donc les limites.

Et si la sculpture n’était plus ce que l'on croit ?

  • 0185.02.0010/06
  • Pièce
  • 8 juin 1983
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Jean-Luc DAVAL, historien de l'art, chargé de cours à l'Université de Genève et doyen de l'Ecole d'Art visuel de Genève.
Toutes les fonctions qui ont été données à la sculpture ont directement influencé ses formes, ses sujets et son matériau : liée au culte des morts, elle dut défier le temps ; intégrée à l'architecture, elle intervint en tant qu’emblème ou dédicace ; devenue indépendante et illusionniste, elle remplit une fonction commémorative qu’elle perdit quand le geste se vit privé de toute interprétation symbolique; mais quand l'urbanité laisse voir qu’elle a perdu son âme et la nature son sens, quand l'homme mesure la manière dont une médiatisation outrancière l'a dévalisé, le producteur d'espace se sent l'obligation de proposer d'autres manières de vivre, des expérimentations différentes du réel.
(Une des rares affiches signées ; en bas à droite).

FAS Romandie - Fédération des Architectes Suisses, Section Romandie

  • 0205
  • Fonds
  • 1978-2014

Le fonds est constitué de documents produits et rassemblés essentiellement par le Comité de section et la Présidence de la Section romande de la FAS, à partir du milieu des années 1980. L’ensemble documentaire permet une lecture des activités et du fonctionnement de la FAS Romandie des dernières décennies. Il offre aussi un regard sur des éléments de premier plan de la pratique architecturale et urbanistique dans les cantons de Fribourg, Jura, Neuchâtel, Valais et Vaud.

Fédération des Architectes Suisses (FAS), Section Romandie

FAVARGER Jacques °

  • 0010
  • Fonds
  • 1933-1945

Le fonds Favarger comporte 48 dossiers documentant 62 objets.
Ceux-ci sont, pour la plupart, constitués de quelques pièces, ainsi que des dessins sans rapport avec l'architecture; quelques meubles et des coussins avec des textiles réalisés sur carton par Favarger lui-même; des pastels et des aquarelles.
Les projets documentés sont principalement ceux pour le quartier d’Etraz, le marché couvert à la rue du Pré et l’immeuble “SFA Gare”.
Quelques documents administratifs et éléments de correspondance ont été conservés.

Jacques Favarger

FAVRE Jacques

  • 0156
  • Fonds
  • 1922-1985

Ensemble documentaire documentant l'activité professionnelle et les travaux de Jacques Favre (plans, maquettes, affiches, meubles), tels que la Clinique Bonvin et la Châlet Framar à Crans, ainsi que des expositions. Contient également de la documentation postérieure à son décès.

Jacques Favre

FORETAY Pierre

  • 0209
  • Fonds
  • 1912-2014

Le fonds contient des plans de construction, des expertises, le matériel de ses cours d'architecture, des publications, des diapositives de cours et de voyages d'études, trois maquettes.

Pierre Foretay

FOVANNA Ugo

  • 0161
  • Fonds
  • ~1950-2000

Documents concernant l'activité professionnelle d'Ugo Fovanna.

Ugo Fovanna

Films ethnographiques

  • 0185.02.0003/14
  • Pièce
  • 17 novembre 1976
  • Fait partie de BIANCHI Edith

  • La grande case bamiléké : Film de William HAMON.
    Reportage documentaire sur la reconstruction de la Grande Case en pays Bamiléké, « acte de foi » collectif et merveille d'architecture artisanale. Prix du meilleur film documentaire (St Cast, 1966).
  • Cases : Film réalisé par un groupe d'architectes
    Exposé de la technique de construction de divers types de cases de populations du Nord Cameroun.

Frank Lloyd Wright : détruire la boîte

  • 0185.02.0005/04
  • Pièce-
  • 2 février 1978
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Frank Lloyd Wright : dessins 1887-1959 par Allen BROOKS, professeur d'histoire de l'art au Département des Beaux-Arts de l'Université de Toronto. 
Les formes architecturales de Frank Llyod Writh ont exercé une influence particulière sur les architectes du monde entier. Mais sa contribution la plus révolutionnaire s’est effectuée dans le domaine de l'espace intérieur. La pièce, entourée de 4 murs, d'un plancher et d'un toit, existe depuis que l'homme construit des habitations pour se loger. Wright, en définissant l'espace de manière implicite au lieu de l'enfermer, a inauguré une nouvelle époque de l'histoire de l'architecture. Sa conception de l‘espace et ses conséquences sur notre avenir seront les sujets de cette conférence.


Fumihiko Maki

  • 0185.02.0007/07
  • Pièce
  • 10 juin 1980
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Fumihiko Maki par Fumihiko MAKI, doyen de l'Ecole d'Architecture de Tokyo. 
Considéré comme un des leaders de l'architecture japonaise, Maki, disciple de Tange et de Sert, subira encore l'influence de l'Amérique. Ce rôle d'intermédiaire ne met nullement en cause l'originalité de son œuvre, la culture japonaise n’est-elle pas caractérisée par sa faculté d'absorption ?
Maki enseigne pendant dix ans aux Etats-Unis pendant lesquels il se consacra au développement de sa théorie de la conception de la forme collective. A partir de 1972, Maki recherche un langage formel individuel avec le centre sportif d'Osaka dans le domaine des superstructures et en 1974, dans le bâtiment central de l'Université de Tsukuba, avec deux formes caractéristiques : le T inversé et l'idée des interstices spatiaux. l'un des thèmes dominants de l'architecture de Maki est l'oku : espace intérieur ou centre dissimulé. Il ne suit aucune méthodologie dans ses projets et se laisse toujours inspirer par l'environnement. Il commence par une foule d'idées individuelles qui seront intégrées de « haut en bas ».

FÜEG Franz

  • 0124
  • Fonds
  • 1948-2011

Archives techniques et administratives (documentamnt toutes les réalisations de F. Füeg pendant sa carrière) et collection de livres.

Franz Füeg

GAILLARD André

  • 0143
  • Fonds
  • 1953-1995

Archives techniques (plans) documentant toute l'activité professionnelle d'André Gaillard.
Le fonds comprends également une collection photographique, en dépôt.

André Gaillard

GAY Roland

  • 0222
  • Fonds
  • 1965 - 2022

Le fonds documente l'ensemble de l'activité de Roland Gay, englobant une diversité de documents architecturaux et techniques liés à la conception, la construction, et la rénovation de différents édifices et structures, principalement localisés dans la région de Monthey et ses alentours. Il englobe une gamme variée de projets, depuis la transformation de chalets et de granges jusqu'à la construction de maisons individuelles, avec une préférence pour l'usage du bois et du béton. Le fonds documente également des bâtiments administratifs ou médico-sociaux, des écoles, des structures polyvalentes, ainsi que des complexes de logements collectifs, parmi d'autres.
Le fonds se constitue principalement d'esquisses, de plans d'avant-projet, de projet et d'exécution, qui varient de calques dessinés à la main, au crayon et à l'encre, à différentes échelles (1:50, 1:100, 1:200, etc.), jusqu'à des plans de détails à des échelles plus précises (1:20, 1:5, etc.). Il comprend également des documents produits par Dessin Assisté par Ordinateur (DAO), des perspectives architecturales, ainsi que des photographies qui capturent les vues extérieures et intérieures des bâtiments.

Roland Gay

GIGER René

  • 0194
  • Fonds
  • 1962-2000

Archives de formation et techniques.
Travaux d’étudiant (projets, notes de cours, croquis), projets d’architecture et de nombreux dessins perspectifs documentant toute l'activité professionnelle d'André Giger.
Également, un classeur de réductions couleur, des documents personnels (CV et "Liste production architectural") et une plaquette de présentation : R. Giger, "Ouvragisme", [Sierre]: [chez l'auteur], [s.d.].

René Giger

GILLIARD Jean-Daniel Dominique

  • 0066
  • Fonds
  • 1948-1997

6 dossiers documentant 5 objets. Ecrits, documents photographiques, diapositives, dessins, bibliothèque, exposition relatifs à son activité à l’Ecole d'Architecture de Genève.

Jean-Daniel Dominique Gilliard

GIRARDET Daniel

  • 0063
  • Fonds
  • 1948-1978

27 dossiers documentant 19 objets. Dossier documentant principalement des bâtiments publics en Suisse, particulièrement en Valais. Dossier documentant des projets en Algérie.

Daniel Girardet

GONET Roger

  • 0095
  • Fonds
  • 1931-1988

Archives photographiques, privées et professionnelles (projets de bâtiments administratifs, scolaires et industriels, chalets, villas, etc. – dont le Cinéma Atlantic, les Droguéries Réunies SA à Renens, la société immobilière rue d'Etraz à Lausanne).
Comprend également une collection de revues.

Roger Gonet

GOËL Véronique

  • 0210
  • Fonds
  • 1998-2003

Le fonds contient surtout le filmage (matériel brut de tournage) de la restauration de la Haus im Schlipf de Hans Schmidt (1893-1972) (Véronique Goël. Hans Schmidt, architecte, 2005. Vidéo, couleur, 45 min). D'autres maison ont été également filmées.
Hans Schmidt (Bâle, 1893 - Soglio, 1972) il fait ses études à Münich et puis à l'EPF Zurich (diplôme en 1918). Marqué par un séjour au Pays-Bas entre 1920 et 1922, il ouvre son propre bureau à Bâle avec Paul Artaria et en 1928 il est parmi les cofondateurs du CIAM. Entre 1930 et 1937 il est urbaniste en URSS. De retour à Bâle en 1937, entre 1956 et 1969 il enseignera à la Deutsche Bauakademie de Berlin-Est. Membre de la Fédération des architectes suisses, de la SIA, de L'Œuvre et de l'Union internationale des architectes.
Député du PdT au Grand Conseil (1944-1955).

Véronique Goël

GUBLER Jacques (Fonds et collection)

  • 0007
  • Fonds
  • 1896-1954

Cette ensemble documentaire (livres, documentation, photographies) documente principalement l'histoire de la construction, de la théorie de l'architecture, et des pratiques d'architectes.

Jacques Gubler

GUGLIELMETTI Umberto (Collection)

  • 0155
  • Collection
  • 1902-1942

Ensemble documentaire relatifs à plusieurs immeubles au Valais (habitations et bâtiments adminsitratifs), aux bâtiments ferroviaires liés à la ligne de chemin de fer Martigny-Châtelard, Martigny-Orsière et Viège-Zermatt, ainsi que à l'usine de Martigny de la Société Suisse des Produits Azotés (SSPA) de Genève, et aux ponts de Branson et Dorénaz (Valais).

Non connu

GUILLET Jules

  • 0048
  • Fonds
  • 1905-191?

Un cartable de dessins, parfois signés "Jules Guillet, Technicien, Morges".
Plusieurs objets, dont :
– projet d'usine pour les ateliers de constructions mécaniques Guillet & Bigler à Morges (1907) ;
– projet de petit chalet suisse (1911) ;
– projet de petite maison de famille (1910)
– projet de bâtiment industriel comprenant ateliers et bureau à construire sur la propriété de Mr. J. Guillet, La Sapinière sur Morges (1903) ;
– autres (maisons, pavillons, dessins techniques...).

Jules Guillet

GUTMANN Rolf : Expo 64

  • 0058
  • Fonds
  • 1958-1964

Le fonds documente et complète le fonds Vischer relatif au secteur des Echanges de l'Exposition nationale de 1964.

Rolf Gutmann

Gian Carlo de Carlo : Urbino

  • 0185.02.0018/04
  • Pièce
  • 30 janvier 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Connie OCCHIALINI, architecte, assistante de G. de Carlo.
Né en 1919 à Gênes. Après avoir fait des études d'ingénieur au Politecnico de Milan et des études d'architecture à l'IAUV, G. de Carlo s’installe à Milan en 1950. Il enseigne l'urbanisme à l'IAUV depuis 1955. Membre du Team X, de Carlo appartient à ce noyau du mouvement de rénovation éthique et formel au sein de l'architecture des années 50. Il acquiert une renommée internationale avec la cité étudiante d'Urbino et ses diverses interventions dans cette ville pour lesquelles cette citation pourrait résumer son attitude : « Le caractère du lieu est donné par la nature et par l'histoire. La nature est l'état original, l'histoire est sa transformation et toutes les deux, par le biais de leurs interrelations, définissent la réalité avec laquelle l'acte de construire doit se mesurer. Un édifice, un ensemble d'édifices, une ville, un paysage cultivé deviennent à leur tour des lieux quand ils réalisent et expriment un rapport équilibré entre la nature et l'histoire. Un autre édifice qui s’y ajoute n’a de valeur que s’il participe à cet équilibre en introduisant l'innovation dans la tradition. »

Giuseppe Terragni : trois œuvres à Côme

  • 0185.02.0018/02
  • Pièce
  • 23 janvier 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Giuseppe Terragni : trois oeuvres à Côme par Enrico MANTERO, professeur l'Ecole polytechnique de Milan.

Grands chantiers du XXe siècle

  • 0185.02.0014/07
  • Pièce
  • 4 avril 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Grands chantiers du XXe siècle par Ricardo MARIANI, professeur à l'EAUG.
Au milieu du XIXe siècle, l'Europe industrielle explose. La France se couvre de ponts, de voies ferrées et de chaussées nouvelles. La photographie s'est vite imposée comme le témoin fidèle de cette évolution. Chacune de ces photographies a su garder, malgré l'indifférence apparente du sujet, une vision personnelle transformant les personnages en statues de pierre et géométries de fer, ou magnifiant les cintres d'un pont en apparition champêtre. C'est de ce jeu d'évocations matérielles où la voûte et le tympan roman se font une seconde jeunesse que naît peut-être un sentiment du sacré et du commémoratif; le moindre édifice y fait figure de cathédrale, de minaret, de stèle. Du plus humble tunnel qui agrémente la promenade du rentier avec son chien à la plus extravagante résille d'étais et entretoises qui encombre la vallée, c'est le Grand oeuvre du siècle qui veut être vu sous son plus beau jour, comme un peu l'ouvrage d'un seul : le spectateur.

Gérard Blachere

11 juin 1974 – Conférence-Débat, Gérard BLACHERE, directeur du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment à Paris, auteur de « Savoir bâtir » et « Vers un urbanisme raisonné » (1969), invité à la demande du Professeur G. van Bogaert
La méthode scientifique dans la conception des bâtiments : définition des exigences psychologiques et sociologiques, le processus de la conception architecturale, la programmation de la recherche dans le bâtiment.

HAEFELI Georges-Jacques

  • 0178
  • Fonds
  • 1960-2008

Archives techniques (surtout dessins sur papier calque), documentant les objets les plus importants (projets, exécutions et concours) de la production de Georges-Jacques Haefeli, entre 1960 et 2008.
On y retrouve notamment la Cité universitaire de Neuchâtel, le Musée international de l'horlogerie, le quartier de la Recorne, la restauration et l'agrandissement du Musée des beaux-arts et le centre culturel ABC, à La Chaux-de-Fonds, le Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge à Genève, le home pour personnes âgées de Reconviliers, l'établissement scolaire du Noirmont.

Georges-Jacques Haefeli

HELD

  • 0001
  • Fonds
  • 1889-1984

Ensemble des archives techniques et administratives, produites pas la Menuiserie Held de Montreux :

  • plans et et dessins de projets de menuiserie, décorations, agencements, aménagements d'intérieur... ;
  • séries de comptes, correspondance commerciale, devis, listes d’ouvriers.

Menuiserie Modèle Albert Held & Cie. SA, Montreux

HETZER, Système : photographies

Photographies (1 tirage original et 8 reproductions) de plusieurs projets de construction en bois de Système Hetzer : procédé de construction en bois (poutres en bois) moderne qui est breveté. Pour des bâtiments de grandes envergures qui nécessitent des charpentes en bois, tels que halles, usines, hangars ou coupoles.

Non connu

HONEGGER Denis

  • 0037
  • Fonds
  • 1915-1974

Ce fonds constitue la partie concernant uniquement Honegger. Les archives du bureau Dumas comprenant les travaux de Fernand et de son fils Pierre, ainsi que ceux issus de l'association Fernand Dumas et Denis Honegger font partie d'un autre fonds.
Le fonds contient trois dossiers provenant des archives du bureau Fernand puis Pierre Dumas, concernant les objets suivants:

  • Société d’assurances Winterthur, (1947) ;
  • Institut de physique, Genève (1947) ;
  • Hôtel particulier de Weck (1949).

Denis Honegger

Habitat et modèles culturels

  • 0185.02.0006/09
  • Pièce
  • 14 juin 1979
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Nicole HAUMONT, sociologue, Institut de sociologie urbaine de Paris, invitée à l'initiative du Professeur Michel Bassand
. Dans le champ de l'analyse sociologique appliquée à l'habitat, un problème particulier est celui de la pratique du logement par les habitants, Nous exposerons les résultats des recherches effectuées par l'Institut de Sociologie Urbaine des différents types de logement urbain en France (individuels, collectifs, en propriété et en co-propriété). Ces recherches ont montré l'importance des modèles culturels (sociabilité, « élevage des enfants, rôle masculin, féminin, sexualité) dans l'organisation des espaces du logement.


Hans Brechbühler 1907-1989

  • 0185.02.0018/15
  • Pièce
  • 30 octobre 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Hans Brechbühler 1907-1989 par Ueli ZBINDEN, architecte, Zurich.
l'Ecole technique de Berne est indissolublement liée au nom de Hans Brechbüler, un architecte qui a été un représentant typique de la deuxième génération de l'Architecture Moderne. Ce projet plein d'invention pourrait cependant porter ombre à une oeuvre dont la caractéristique principale réside dans le non-spectaculaire et dans une recherche tenace des possibilités spatiales conceptuelles.

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