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The thought of construction

Conférence de Sverre FEHN, professeur à l'Ecole d'architecture d'Oslo.
Associé à Geir Grund qui fut plus tard l'un des membres du Team X, Fehn construit en 1955 une maison pour personnes âgées à Oskern/Oslo et le Musée des Traditions populaires de Lillehammer en 1959. Il gagne le concours du Pavillon norvégien de l'exposition de Bruxelles en 1958. Cette composition néo-plastique, utilisant largement le bois, éclairée par les interstices des poutres du toit, présente les caractéristiques les plus essentielles de l'architecture de Sverre Fehn, insistant sur la poésie de la construction avec quelque chose de plus subtil que la simple élégance de la structure formelle et des détails méticuleux.

La mutation de l'espace de travail

  • 0185.02.0014/16
  • Item
  • 2 et 3 décembre 1987
  • Part of BIANCHI Edith

■ 12 présentations pour 12 chaises d'architectes contemporains
21 au 5 février 1987 : Exposition.

■ La maison du rêve
14 janvier 1987 : Conférence de Kaj NOSCHIS, docteur en psychanalyse, chargé de cours au DA de l'EPFL.
« Dès le début, la tour (de Bollingen) fut pour moi un lieu de maturation. Elle me donnait l'impression que je renaissais dans la pierre. On pourrait dire que je l'ai construite dans une sorte de rêve » (C. G. Jung, Ma vie). Jung parle ici d'une maison qu’il a construite de ses propres mains en marge de son activité de psychiatre et de psychologue analyste.
Les deux rêves que Jung considère lui-même comme les plus importants de sa vie sont des rêves de maison/atmosphères d'intérieurs et parcours d'une chambre à l'autre. En construisant la tour de Bollingen, l'activité consciente de Jung a pris le relais de son activité onirique. Nous avons tous fait des rêves de maison. Nous avons ainsi pu nous sentir touchés par les images de nos maisons « nocturnes ». Notre maison diurne, celle où nous habitons, nous interpelle sans cesse. Dès lors, comment pouvons-nous, architectes ou profanes, envisager la transition de la maison nocturne à la maison diurne ?

■ Rome : décomposition et recomposition de la ville antique
21 janvier 1987 : Conférence de Carlo BERTELLI, professeur d'histoire de l'art à l'Université de Lausanne.
l'emplacement à la périphérie de la ville ancienne de deux pôles principaux de la nouvelle réalité chrétienne a provoqué un dynamisme centrifuge qui s’opposait à la centralité du Forum. La situation politique créée dans la nuit de Noël 800 avec le couronnement de Charlemagne empereur donne au Pape la possibilité de détruire le Palatin comme résidence de l'empereur et de transformer son palais administratif au Latran en une résidence officielle sur le modèle du palais de Constantinople.
La deuxième étape sera la construction d'une ville nouvelle, la cité léonine, tout près de Saint Pierre. Rome devient une conurbation composée de centres différents, petites communautés fortifiées disséminées dans une région en grande partie inhabitée. C’est au XIVe siècle qu’on remet en question cet aspect de Rome en réalisant une grande construction publique, l'escalier de l'Aracoeli qui change l'orientation de la ville vers le nouveau centre habité qui est installé dans la région autrefois peu peuplée du Champ de Mars. Cette situation détermine le dynamisme de la Rome des Papes, comme problème de rattachement des parties isolées dans la ville, ce qui demande la présence de symboles urbains très forts pour souligner une unité qui existe à peine dans le tissu urbain.

■ La couleur, un élément de l'architecture
4 février 1987 : Conférence de Werner SPILLMANN, professeur au Technicum de Winterthur.
L'apparence d'un bâtiment et de ses éléments est largement définie par les couleurs et les matériaux dont le choix dépend des architectes. La conférence a pour objet la manière dont la couleur est choisie en architecture pendant les différentes époques de l'histoire et de nos jours et de discuter certains des aspects fondamentaux de la couleur en architecture : la relation de la couleur à l'homme, à l'environnement, au voisinage des bâtiments entre eux, à la structure de la construction elle-même tout autant qu’aux phénomènes des relations entre les couleurs.

■ La villa de Noailles : Hyères 1923, Rob Mallet-Stevens
■ 9 au 20 février 1987 : Exposition.

■ Rome : l'impossibilité de l'histoire
11 février 1987 : Conférence de Franco PURINI, architecte, Rome.
La nouvelle architecture à Rome n’est pas facile à décrire dans son ensemble car elle n’est pas linéaire dans son développement. La situation est marquée par des débats dont les racines remontent loin et témoignent des contradictions de l'histoire de la ville. La discrimination de la périphérie de la métropole montre le sous-développement de manière significative, processus résultant d'une négligence politique et gestionnelle à laquelle la ville fut soumise pendant les trente années qui suivirent la guerre. Entre 1975 et 1985, la ville avait adopté une gestion socio-communiste qui aurait dû apporter un changement. Dans les faits, très peu de ce qui avait été projeté a été réalisé, et, parmi les architectes romains de la nouvelle génération, on a travaillé avant tout sur une base historique pour comprendre d'une manière nouvelle l'architecture dans la ville du passé.
Franco Purini a fait d'abondantes propositions pour la ville de Rome, souvent publiées, jamais réalisées, qui sont liées à la fidélité aux méthodes de projétation néo-rationalistes et à l'intention d'approfondir les images de Piranèse. Il faut aussi rappeler combien ses architectures ont influencé à l'étranger la définition de l'imaginaire architectonique.

■ Grands chantiers du XXe siècle
4 avril 1987 : Conférence inaugurale de l'exposition Grands chantiers du XXe siècle par Ricardo MARIANI, professeur à l'EAUG.
Au milieu du XIXe siècle, l'Europe industrielle explose. La France se couvre de ponts, de voies ferrées et de chaussées nouvelles. La photographie s'est vite imposée comme le témoin fidèle de cette évolution. Chacune de ces photographies a su garder, malgré l'indifférence apparente du sujet, une vision personnelle transformant les personnages en statues de pierre et géométries de fer, ou magnifiant les cintres d'un pont en apparition champêtre. C'est de ce jeu d'évocations matérielles où la voûte et le tympan roman se font une seconde jeunesse que naît peut-être un sentiment du sacré et du commémoratif; le moindre édifice y fait figure de cathédrale, de minaret, de stèle. Du plus humble tunnel qui agrémente la promenade du rentier avec son chien à la plus extravagante résille d'étais et entretoises qui encombre la vallée, c'est le Grand oeuvre du siècle qui veut être vu sous son plus beau jour, comme un peu l'ouvrage d'un seul : le spectateur.

■ Les places de Bruxelles : miroirs, miniatures ou métaphores de la structure de la ville
8 avril 1987 : Conférence de Christian GILOT, Université catholique de Louvain, chargé de cours au DA de l'EPFL.

■ Le Corbusier et la Suisse
6 mai 1987 : Conférence inaugurale de l'exposition Le Corbusier et la Suisse par Werner OESCHLIN, professeur à l'EPFZ.

■ Le Corbusier
13 mai 1987 : Séminaire avec la participation de :

  • Jacques SBRIGLIO, professeur à l'Ecole d'architecture de Marseille : Le Corbusier et Marseille
  • Pierre-Alain CROSET, rédacteur de Casabella, assistant au DA de l'EPFL : Le Corbusier : les yeux qui voient
  • Franz OSWALD, professeur à l'EPFZ : Le Corbusier et l'utopie.

■ Rudolph M. Schindler : Space Architecture and the tradition of the Moderne
20 mai 1987 : Conférence inaugurale de l'exposition R.-M. Schindler (1887-1953) par le Dr August SARNITZ, Vienne.
Schindler fut l'un des architectes les plus marquants du Mouvement Moderne aux Etats-Unis. Né à Vienne, il fit ses études sous la direction d'Otto Wagner à l'Académie des Beaux Arts, sous celle d'Adolf Loos à la Bauschule et de Frank Lloyd Wright en travaillant dans son bureau à Oak Park et à Taliesin. Envoyé par Wright en Californie superviser la construction de la Barnsdall House, Schindler y trouve la situation idéale pour imaginer des variations sur le thème de la maison individuelle qui va constituer la majeure préoccupation de sa carrière. Dans la Lovell Beach House de 1926, souvent considérée comme son chef d'oeuvre, il expérimente les espaces intérieurs fluides, les vérandas, l'utilisation du béton et du verre.
Le dessin architectural de Schindler reflète l'influence de ses professeurs mais il marque aussi durablement l'architecture moderne aux Etats-Unis. Bien que n'enseignant que très peu dans les écoles d'architecture, ses articles et ses oruvres furent publiés en Europe et aux Etats-Unis. Ses réflexions personnelles sont tout à fait particulières car il fut élevé en Autriche mais passa le reste de sa vie aux Etats-Unis sans jamais revenir en Europe. Il la quitta juste avant la première guerre mondiale et ne maintint pas de relations directes avec les architectes et les artistes du Constructivisme russe, du Cubisme hollandais, du Bauhaus allemand ou du Futurisme italien. La plupart des architectes qui quittèrent l'Allemagne ou l'Autriche le firent pendant la période fasciste dont Schindler n'eut pas à subir les contraintes. Il fut ainsi très isolé tout au long de sa vie du style international et le résultat en fut une interprétation très personnelle de l'architecture.

■ The thought of construction
3 juin 1987 : Conférence de Sverre FEHN, professeur à l'Ecole d'architecture d'Oslo.
Associé à Geir Grund qui fut plus tard l'un des membres du Team X, Fehn construit en 1955 une maison pour personnes âgées à Oskern/Oslo et le Musée des Traditions populaires de Lillehammer en 1959. Il gagne le concours du Pavillon norvégien de l'exposition de Bruxelles en 1958. Cette composition néo-plastique, utilisant largement le bois, éclairée par les interstices des poutres du toit, présente les caractéristiques les plus essentielles de l'architecture de Sverre Fehn, insistant sur la poésie de la construction avec quelque chose de plus subtil que la simple élégance de la structure formelle et des détails méticuleux.

■ Les filiations de l'architecture contemporaine à Paris.
10 juin 1987 : Conférence de Georges MAURIOS, professeur à Paris-la Défense
Les architectes disposent à Paris d'un patrimoine culturel reconnu comme base de l'architecture urbaine parisienne. Les filiations communes à plusieurs projets conduisent à la définition d'un style, voire d'un mouvement parisien, fût-il limité à quelques auteurs.
La concordance des réponses est issue des références communes trouvées dans le patrimoine parisien de l'architecture moderne. Ces références engendrent des règles morphologiques : dans un premier rapport, on trouve le travail de la façade, la reconnaissance des angles, les raccordements et soudures, la hiérarchie rue/intérieur d'îlot, le traitement des cours, la conformité géométrique avec le site : tendance contextualiste. Le deuxième rapport est celui du détail architectural : proportion des ouvertures, encadrements, soubassements, matériaux de façade, couronnements, garde-corps, etc., continuité d'un langage enrichi d'évocations nouvelles.

■ A la recherche de l'espace sensible
4 novembre 1987 : Conférence de Giles BARBEY, professeur invité au DA de l'EPFL.
l'interrogation itérative et souvent tâtonnante sur les propriétés de l'espace se poursuit depuis une trentaine d'années. Dans quelle mesure l'architecture influence-t-elle de manière décisive les comportements humains ? Il n’y a pas de réponse simple à cette question mais seulement quelques indications apportées par les sciences sociales pour élargir l'horizon de nos références. Au-delà de l'enquête sociologique permettant la prise en compte des modes de vie dans la création architecturale se situerait tout un travail laborieux qui consiste à étudier la relation affective entretenue avec les espaces fréquentés dans la vie quotidienne, en particulier ceux du logis. Cette voie emprunte le détour de considérations objectives et de l'analyse phénoménologique. Elle ne peut être exposée ici que de manière allusive.

■ Saint-Simoniens, Fourriéristes et architecture
11 novembre 1987 : Conférence de Bernard MARREY, historien, Paris.
La révolution de 1798 a fait éclater les carcans corporatifs qui entravent l'essor industriel et commercial. Un vent de liberté souffle sur la France. Sans sous-estimer ses bienfaits, la déréglementation inquiète certains esprits qui réfléchissent à une nouvelle organisation sociale. Parmi eux, Fourier, dont la pensée est proche de ceux qu’on appellera les socialistes, et Saint-Simon, dont la pensée plus technicienne est assez proche d'un capitalisme d'Etat, ont une influence très forte sur le milieu intellectuel français et aussi bien sur les architectes et les ingénieurs entre 1820 et 1860.

■ La mutation de l'espace de travail
■ 2 et 3 décembre 1987 : Colloque international sous la direction de René VITTONE, professeur au DA de l'EPFL, avec la participation de :

  • Jean-Jacques PALTENGHI, Service de prospective et de recherche pour l'EPFL : Le parc scientifique et technologique de l'EPFL à Ecublens
  • Franco DEBENEDETTI, ingénieur, industriel, administrateur d'Olivetti : Déterminants et effets de l'activité créatrice
  • Luigi MAZZA, architecte, professeur à l'Université de Turin : Justification du projet, justification du plan
  • Gianni VATTIMO, philosophe, professeur à l'Université de Turin : Fin de la modernité, fin du projet ?
  • Pietro DEROSSI, architecte, professeur au Politecnico de Turin : La poésie est une nécessité
  • Francesco DAL CO, professeur d'histoire de l'architecture IUAV : l'image du travail dans la métropole moderne
  • Alain MINC, ingénieur des mines, ENA, administrateur de sociétés : La révolution du travail
  • Maria Grazia DAPRA’CONTI, architecte, professeur au Politecnico de Turin : l'architecte et la mutation de l'espace de travail
  • Roger PERRINJAQUET, ingénieur-architecte ETS, sociologue EHESS, Paris, chargé de cours EPFL : La conception des lieux de travail.

Projets

Conférence de Raffaele CAVADINI, architecte à Locarno, professeur invité au DA de l'EPFL.

La place et son essence vide

Conférence d'Eugenio TRIAS, philosophe, professeur à l'Ecole d'architecture de Barcelone.
Cherchant à lire le projet controversé des architectes Viaplana et Piñon pour la place de Sants à Barcelone, le philosophe Eugenio Trias extrapole la réflexion sur la phrase de Marx : « Jusqu’à présent, les philosophe se sont bornés à interpréter de diverses façons le monde ; l'important, c’est de le transformer » au domaine de l'architecture. C’est également à la philosophie que Viaplana se réfère quand il dit qu’en réfléchissant à ce projet, il avait besoin d'une autorité différente de la sienne en laquelle il pouvait reconnaître certaines vérités absolues. Dans ce cas, ce fut Nietzsche, dans une phrase reprise un peu au hasard dans le Gai savoir qui dit ceci : » Il serait nécessaire de comprendre, et, probablement ce jour est-il proche, ce qui manque avant tout dans une grande vie, des lieux de silence destinés à la méditation pourvus de hautes et longues galeries pour les intempéries ou le trop ardent soleil, où ne pénètrent nulle rumeur de voiture ou de crieurs (…) Notre désir serait de nous voir nous-mêmes traduits dans la pierre et dans la plante, de nous promener au-dedans de nous-mêmes, lorsque nous irions de-ci, de-là, dans ces jardins ».

Architectures à Porto

Conférence d'Edoardo SOUTO DE MOURA, architecte, professeur à l'Ecole d'Architecture de Porto.

Viollet le-Duc et la montagne : un architecte géologue dans le massif du Mont-Blanc

Conférence de Pierre FREY, historien de l'art et de Jörg WINISTOERFER, professeur à l'Institut de Géographie de l'Université de Lausanne.
Dès après son éviction de l'Ecole des Beaux-Arts en 1863, Viollet-le-Duc entreprend des investigations dans le Massif du Mont-Blanc. l'architecte-géologue cherche à dégager le principe constructif qui a présidé à la formation de l'écorce terrestre et aux chaînes de montagne en particulier. Il cherche sur le terrain les « preuves » à l'appui de sa théorie. A la manière de l'architecte-archéologue, confronté à un monument, il se livre à un relevé minutieux du massif. Il fait près de 600 dessins et dresse une carte topographique au 1 :40000 après avoir constaté les imprécisions des cartes existantes. Viollet-le-Duc s’attaque aux problèmes glaciologiques armé des théories d'Agassiz. Il confronte sur le terrain ses connaissances aux connaissances de l'époque.
Les glaciers sont pour lui les agents principaux de destruction du massif. l'érosion glaciaire et la résistance différentielle des formations géologiques expliquent l'aspect ruiniforme des Aiguilles de Chamonix. Il s’empresse de proposer une reconstitution paléogéographique raisonnée des appareils glaciaires des montagnes.

Antonio Cruz & Antonio Ortiz

Conférence inaugurale de l'exposition « Antonio Cruz & Antonio Ortiz » par Antonio ORTIZ, architecte, Séville.
A. Ortiz e A. Cruz sont nés à Séville, respectivement en 1948 et 47. Ils ont étudié ensemble à l'Ecole d'architecture de Séville puis à Madrid, mais ils se distinguent de la plupart de leurs collègues qui ont préféré une activité d'enseignement en choisissant d'exercer la profession et en ouvrant tout de suite leur propre bureau bien que le « climat » à cette époque fût loin de la situation actuelle avec les centres que représentent Barcelone et Madrid. Leurs premiers travaux concernent des bâtiments d'habitation caractérisés par le patio comme centre du projet, se soumettant ainsi à une typologie traditionnelle de la région. Ils participent à de nombreux concours pour des bâtiments publics et ont travaillé, particulièrement dans les dernières années, à la rénovation de bâtiments historiques. Depuis 1987, ils ont été appelés comme professeurs invités à l'EPFZ et actuellement à Harvard.

Alejandro de la Sota et le modernisme espagnol

Conférence inaugurale de l'exposition « Alejandro de la Sota » par William CURTIS, historien, critique et écrivain.
« On a enfin commencé à comprendre l'importance de la contribution espagnole à l'architecture moderne des années 50 et 60 et c’est dans une perspective nationale et européenne que la conférence présentera l'œuvre d'Alejandro de la Sota qui a maintenant 76 ans et qui continue de travailler à Madrid en insistant sur le Siège du Gouvernement à Tarragone (1951) et sur son chef-d'œuvre, le Gymnase de l'Ecole Maravillas à Madrid en 1961. Il est certain que de la Sota a exercé une grande influence sur la jeune génération espagnole en transcendant le style et en donnant des principes ».

SCHMID Pierre-Paul

  • 0197
  • Fonds (EN)
  • 1957-1997

Archives techniques (plans et dessins d'architectes), documentant la carrière de Pierre-Paul Schmid.

Pierre-Paul Schmid

GIGER René

  • 0194
  • Fonds (EN)
  • 1962-2000

Archives de formation et techniques.
Travaux d’étudiant (projets, notes de cours, croquis), projets d’architecture et de nombreux dessins perspectifs documentant toute l'activité professionnelle d'André Giger.
Également, un classeur de réductions couleur, des documents personnels (CV et "Liste production architectural") et une plaquette de présentation : R. Giger, "Ouvragisme", [Sierre]: [chez l'auteur], [s.d.].

René Giger

La ville dans la peinture : la pensée plastique de Piet Mondrian

Conférence d'André DUCRET, docteur en sociologie, EAUG.
Principal théoricien du néo-plasticisme, Piet Mondrian (1872-1944) compose dès la première guerre mondiale des toiles et des écrits qui définissent à ses yeux le style de l'avenir (De Stijl). A la combinaison de formes particulières agencées en un tout harmonieux, le peintre oppose l'assemblage équilibré de couleurs pures. Couleurs primaires contre non-couleurs, verticales contre horizontales, lignes contre surfaces, autant d'antinomies qui font le rythme du tableau, son dynamisme, son rayonnement hors du cadre convenu de la peinture. Le tableau, alors, change de statut. Il n’est plus fenêtre ouverte sur le monde, mais prend valeur de modèle pour l'architecture. Mieux : il instaure un nouvel espace plastique qui, un jour, s’étendra au mur, à l'atelier, à la rue, à la ville tout entière.

Luigi Snozzi : Monte Carasso

Conférence de Luigi SNOZZI, professeur au DA de l’EPFL.
Depuis la fin des années 70, la Commune de Monte Carasso au Tessin met en oeuvre la réalisation du nouveau plan de son centre. Luigi Snozzi y est associé qui reconnaît que, grâce à un rapport privilégié avec la Municipalité, il a pu inaugurer un discours plus général à long terme et que c’est une étape importante de son travail qui l'a obligé à se rendre aux exigences réelles d'une petite commune. Actuellement ont été réalisé ou sont en cours de réalisation le gymnase, l'agrandissement du cimetière avec de nouveaux caveaux, l'école maternelle, l'école primaire dans l'ancien Couvent des Augustins et plusieurs mandats privés pour des maisons et la Banque Raiffeisen.

Barcelone : architecture à l'échelle intermédiaire

Conférence de Joan BUSQUETS, architecte, professeur invité au DA.
Joan Busquets est professeur de planification et d'urbanisme à l'Ecole d'Architecture de Barcelone depuis 1969. Chef du Département de l'urbanisme de 1983 à 1989 au Conseil Municipal de Barcelone où il travaille sur la planification des Jeux Olympiques de 1992 et New Downtown. Il donne la priorité à la rénovation du front de mer et à la planification du processus d'amélioration des quartiers existants.

Patrick Berger

Conférence de Patrick BERGER, architecte, Paris, professeur invité au DA de l'EPFL.

Mémoires, usages et développements de la ville

Journées d'études à l'occasion du XXe anniversaire de l'Institut de recherche sur l'environnement construit avec la participation de :

  • Joseph CSILLAGHY, co-directeur de l'IREC
  • Paul BAIROCH, professeur d'histoire économique à l'Université de Genève : Villes et développements économiques, la révolution industrielle et le tiers monde
  • Bernard HUET, professeur d'histoire critique de l'architecture à l'Ecole d'Architecture de Paris-Villemin : l'architecture et la ville
  • Thierry GAUDIN, chef du Centre de prospective et d'études au Ministère de la Recherche et de la Technologie de Paris : 2100, Récits du prochain siècle
  • Michel BASSAND, co-directeur de l'IREC
  • Jean-Marc LAMUNIERE, chef du Département d'architecture
  • Bernard VITTOZ, président de l'EPFL
  • Yvette JAGGI, syndique de la ville de Lausanne et conseillère aux Etats
  • Roland CROTTAZ, président du Conseil des Ecoles polytechniques fédérales.

AUBRY Frédéric

  • 0160
  • Fonds (EN)
  • 1967-2000

Fonds d'enseignement et de recherche, concernant l'architecture vernaculaire. Notamment, il contient tout le matériel lié à l'enseignement du cours d'architecture vernaculaire du Prof. Aubry tenu à de 1962 à 1992 l'EPUL/EPFL (documentation, examens, travaux d'étudiants), avec la collaboration de Plemeka Supic et du maquettiste Bernard Borboen. Cela comprend une collection de maquettes d'architecture vernaculaire, réalisées par les étudiants, accompagnées de dossiers documentaires et de relevés d'architecture.

Frédéric Aubry

Gérard Blachere

11 juin 1974 – Conférence-Débat, Gérard BLACHERE, directeur du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment à Paris, auteur de « Savoir bâtir » et « Vers un urbanisme raisonné » (1969), invité à la demande du Professeur G. van Bogaert
La méthode scientifique dans la conception des bâtiments : définition des exigences psychologiques et sociologiques, le processus de la conception architecturale, la programmation de la recherche dans le bâtiment.

Superstudio

Conférence inaugurale de l'exposition par J.-P. FICCI et A. NATALINI, architectes, Superstudio.
Créé en 1966, le bureau d'architecture florentin Superstudio développera son activité dans la recherche théorique de l'architecture et dans le design. Superstudio produit des films et des projets de divulgation sur des thèmes fondamentaux qui sont des tentatives critiques de détermination de nouvelles bases théoriques et anthropologiques de l'architecture. En développant à l'extrême une tendance architecturale ou urbanistique, leurs projets, parfois utopiques, servent d'avertissements.

Victor Horta

Conférence de Francis STRAUVEN, professeur à l'Ecole d'Architecture d'Anvers et de Hasselt, rédacteur de la revue hollandaise TABK.
Réagissant contre l'architecture et le décor académiques, Victor Horta (1861-1947) fut avec Van de Velde le principal créateur du style Art Nouveau. Les caractéristiques de son style résident dans l'emploi du fer, du verre et des matériaux colorés, les structures apparentes, le goût de la dissymétrie, des formes incurvées et la création d'un décor exubérant et onduleux aux formes dites « en coup de fouet ».

Inigo Jones

Conférence inaugurale de l'exposition Inigo Jones par :

  • C.-A. BEERLI, professeur à l'EPFL et à l'EAUG.
  • J. GUBLER, chargé de cours à l'EPFL.
    Inigo Jones (1573-1652) introduisit l'architecture palladienne en Grande Bretagne et traça la voie à Wren, Howsmoor , Adam et aux maîtres de l'architecture géorgienne. Son style, sobre et classique, va transformer l'habitation en Grande Bretagne. Son principe de construction est caractérisé par le cube ou le double cube qu’il multipliera ou divisera selon ses besoins.

Claude-Nicolas Ledoux

Film.
Personnalité imaginative, C.-N. Ledoux (1726-1808) fait évoluer le style Louis XVI dans le sens de la grandeur monumentaliste. Il marque une prédilection pour les volumes simples, les murs nus, les effets de masse. Son plan radio-concentrique pour Arc-et-Senans dénonce un sens du grandiose et un goût prononcé pour les formes symboliques, la destination spécifique de chaque édifice.

Magritte ou la leçon de choses

Film.
Peintre et dessinateur belge, Magritte (1895-1967) recourt à une facture impersonnelle pour représenter des motifs hétéroclites qui, déplacés de leurs contextes, sont invertis dans leurs fonctions et permutés dans leurs attributs. Il recherche par le biais de l'humour et de l'absurde à démonter les mécanismes de la représentation.

Les Carmathes du Sud-Yemen

Film de Claude DEFARGE.
Communistes depuis plusieurs siècles, les Carmathes forment une ethnie qui vit repliée dans les montagnes à l'écart des influences du monde islamique. Leurs maisons remarquables, construites en pierre sèches, sont l'exemple des gratte-ciels d'Arabie du Sud.

Architectures marginales aux USA

Montage audiovisuel.
L'objet du montage est de présenter les architectures réalisées par des communautés ou des personnes qui, à des titres divers, sont marginales dans la société américaine contemporaine. On peut y déceler l'apparition d'un mode de vie différent, l'émergence d'un comportement nouveau vis-à-vis de la société de production, du travail et du plaisir, la naissance de rapports nouveaux des individus avec la nature, l'éclosion d'un nouveau langage architectural. On peut surtout y dénoter l'apparition de pratiques nouvelles par lesquelles les habitants tentent de maîtriser eux-mêmes, sans intermédiaire, leur cadre de vie quotidien et de se protéger des méfaits aliénants, répressifs et dépersonnalisants de notre environnement moderne.

La crise de l'urbanisme, expression de la crise de la société et de la crise de la culture

Conférence de Raymond LEDRUT, directeur du Centre de Recherches de Toulouse
La crise de l'organisation des villes, qui revêt de multiples aspects, est le symptôme d'une crise plus profonde. La crise de nos rapports à l'espace est tout à la fois un effet de conditions sociales déterminées et une expression concrète, un symbole de notre civilisation. l'urbanisme reflète le système social et la structure de la société, les grandes normes culturelles et les images dominantes. La crise de l'urbanisme est donc une transcription dans la vie concrète, dans l'espace et dans le temps, des conflits, des oppositions et des contradictions du monde social. d'un coté, la crise de l'urbanisme traduit les transformations dans la lutte des classes, l'apparition de nouvelles classes, les changements dans les systèmes de pouvoir et la crise de l'Etat lui-même. d'un autre côté, la crise de l'urbanisme manifeste les ruptures et les mutations qui ont affecté depuis un certain temps, en Europe comme en Amérique, nos façons de vivre, avec les tensons multiples qui en résultent. La crise des villes prendra fin avec la crise de la civilisation.


Antonio Sant’Elia

Conférence de Luciano MIOTTO-MURET, architecte, professeur à Paris VIII
Trois cents dessins, deux écrits (Messagio et Manifesto dell Architettura futurista), pratiquement pas de réalisations : Sant’Elia n’a travaillé que six ans, y compris le temps de ses études. Pourtant il reste le plus prestigieux représentant de la culture architectonique italienne d'avant la première guerre : son ambiguïté entre ses origines Liberty (ou sécessionnistes) et l'avant-garde futuriste traduit les désaccords, les tensions sociales et culturelles de l'Italie de 1909-1915. En même temps, ses projets utopiques de la Cita Nuova soulignent les désaccords du « modernisme mécanique » préconisé par les futuristes. 


Vieilles églises serbes en bois

Conférence de Dobroslav PAVLOVITCH, docteur en architecture, Professeur à l'Université de Belgrade, à l'initiative de Plemenka Supic, assistante au DA
En Serbie, les construction en bois les plus intéressantes sont les églises de village, monuments précieux de l'architecture vernaculaire. Le dernier siècle passé sous le joug des Turcs a obligé les Serbes à enfouir les églises au fond des forêts pour les dérober à la vue. Leurs proportions sont celles d'une simple maison en bois de forme rectangulaire. Le toit haut et abrupt, couvre tout le bâtiment. La croix se distingue à peine du faîtage. l'emplacement de la petite église, ses dimensions, ses fermes, sa décoration, tout dénote l'époque de la construction. l'église en bois est avant tout le monument de l'insurrection, la preuve d'un art original et raffiné, inné au peuple serbe (DP ).

Habitat et modèles culturels

Conférence de Nicole HAUMONT, sociologue, Institut de sociologie urbaine de Paris, invitée à l'initiative du Professeur Michel Bassand
. Dans le champ de l'analyse sociologique appliquée à l'habitat, un problème particulier est celui de la pratique du logement par les habitants, Nous exposerons les résultats des recherches effectuées par l'Institut de Sociologie Urbaine des différents types de logement urbain en France (individuels, collectifs, en propriété et en co-propriété). Ces recherches ont montré l'importance des modèles culturels (sociabilité, « élevage des enfants, rôle masculin, féminin, sexualité) dans l'organisation des espaces du logement.


Du théâtre à l'architecture

Conférence de Gae AULENTI, architecte, Milan. 
Les lois d'apparition de l'architecture sont aujourd'hui mises en question de différentes manières mais pour échapper à des questions dualistiques (continuité ou non du mouvement moderne), il faut travailler à la recherche de matériaux dotés d'articulations très différenciées.
Une expérience dans le théâtre peut faire découvrir que les éléments constitutifs de l'architecture sont des figures rhétoriques à refonder : le Lieu et ses modifications, la Construction et sa réalité ou son apparence, les Objets comme générateurs d'actions antérieures à l'évènement architectonique. 


La notion de quartier et les échelons de vie sociale

Conférence de Paul CHOMBART DE LAUWE, maître de recherches au CNRS, Paris. 
Sera examinée la notion de quartier dans les diverses perspectives des sciences humaines ainsi que dans les rapports avec les multiples niveaux de la vie sociale.

Fumihiko Maki

Conférence inaugurale de l'exposition Fumihiko Maki par Fumihiko MAKI, doyen de l'Ecole d'Architecture de Tokyo. 
Considéré comme un des leaders de l'architecture japonaise, Maki, disciple de Tange et de Sert, subira encore l'influence de l'Amérique. Ce rôle d'intermédiaire ne met nullement en cause l'originalité de son œuvre, la culture japonaise n’est-elle pas caractérisée par sa faculté d'absorption ?
Maki enseigne pendant dix ans aux Etats-Unis pendant lesquels il se consacra au développement de sa théorie de la conception de la forme collective. A partir de 1972, Maki recherche un langage formel individuel avec le centre sportif d'Osaka dans le domaine des superstructures et en 1974, dans le bâtiment central de l'Université de Tsukuba, avec deux formes caractéristiques : le T inversé et l'idée des interstices spatiaux. l'un des thèmes dominants de l'architecture de Maki est l'oku : espace intérieur ou centre dissimulé. Il ne suit aucune méthodologie dans ses projets et se laisse toujours inspirer par l'environnement. Il commence par une foule d'idées individuelles qui seront intégrées de « haut en bas ».

l'architecture passive

  • 0185.02.0007/09
  • Item
  • 17 juin 1980 et 18 juin 1980
  • Part of BIANCHI Edith

Conférences de David WRIGHT, architecte, Nevada City : l'état de l'art dans l'architecture bioclimatique (système solaire passif) et Estimation des performance et dimensionnement d'un bâtiment solaire passif.


MATTHEY-DORET Charles

  • 0168
  • Fonds (EN)
  • 1921-1923

Projets de jardins (travaux d'école) de Charles Matthey-Doret.

Charles Matthey-Doret

KRAFFT Anthony

  • 0199
  • Fonds (EN)
  • [196-]-[1991]

Ce fonds constitue principalement une documentation relative à la publication du périodique 'Architecture contemporaine', ainsi qu'aux diverses activités éditoriales menées par Anthony Krafft. Il comprend une variété de documents, tels que des photographies (sous forme de tirages et de diapositives), des manuscrits, de la correspondance (actives et passives), des imprimés et des coupures de presse, des dessins et des esquisses, etc. Ces documents sont organisés selon le nom des correspondants ou le sujet traité, et réparti en 30 boîtes. Un carton contenant des plans enroulés, probablement en lien avec les documents rangés dans les boîtes, complète l'ensemble.

Anthony Krafft

HONEGGER Denis

  • 0037
  • Fonds (EN)
  • 1915-1974

Ce fonds constitue la partie concernant uniquement Honegger. Les archives du bureau Dumas comprenant les travaux de Fernand et de son fils Pierre, ainsi que ceux issus de l'association Fernand Dumas et Denis Honegger font partie d'un autre fonds.
Le fonds contient trois dossiers provenant des archives du bureau Fernand puis Pierre Dumas, concernant les objets suivants:

  • Société d’assurances Winterthur, (1947) ;
  • Institut de physique, Genève (1947) ;
  • Hôtel particulier de Weck (1949).

Denis Honegger

ZWAHLEN & MAYR

  • 0016
  • Fonds (EN)
  • [~1929-1931]

Photographies de la construction de la tour Bel-Air Métropole à Lausanne.
Une cassette vidéo documentant la construction d’un pont sur la Dalla (VS) éditée par l'entreprise dans les années 1970 (donnée par le directeur de l'entreprise en 1995).

Zwahlen & Mayr SA

TSCHUMI Jean

  • 0060
  • Fonds (EN)
  • 1917-1969, 1974

Le fonds se compose principalement des archives parisiennes et lausannoises de Jean Tschumi. Ces archives englobent diverses documents, qui reflètent les travaux et concours élaborés au sein des agences de Paris et de Lausanne. Les documents techniques et les dessins comprennent des supports variés tels que des lavis, des pastels, des encres sur calque et des tirages héliographiques.
Par ailleurs, les archives iconographiques occupent une place significative dans ce fonds. Elles comprennent des photographies en lien avec les réalisations architecturales de Jean Tschumi ainsi que des clichés documentant ses voyages.
Les archives d'enseignement retracent son parcours pédagogique à l'EPUL (École Polytechnique de l'Université de Lausanne), et sont complétés par des éléments liés à ses expositions et conférences.
Les archives à caractère personnel couvrent divers aspects de la vie de Jean Tschumi. Elles abordent sa formation, sa correspondance ainsi que des pièces diverses témoignant de sa trajectoire personnelle et professionnelle.
En outre, ce fonds comprend une collection documentaire qui regroupe des documents de travail ainsi que des revues de presse. Ces éléments viennent compléter la documentation disponible. De plus, des documents additionnels relatifs à Jean Tschumi, à caractère posthume, sont également inclus.

Jean Tschumi

OMS à Genève : terrain : photographies, photographies aériennes

6 planches de photomontage du projet dans le paysage genevois, dont le document original du montage de carton collé sur la vue aérienne du site ainsi que 2 tirages successifs retouchés, ces tirages proviennent de l'atelier Boissonnas (documents de valeur exceptionnelle).

SAUGEY Marc-Joseph : Expo 64

  • 0035
  • Fonds (EN)
  • 1961-1964

Le fonds contient des plans et croquis du Monorail et du secteur 7 " Le port ", 3 photographies, un carnet de détail de la surface des sols et un plan avec couleurs des toiles

Marc-Joseph Saugey

EPFL : Projet de la première étape : mise à l'enquête publique initiale : maquette / Zweifel et Strickler Associés

La mise à l'enquête initiale de 1973 est caractérisé par une typologie de bâtiments-tours de 42.9 m de hauteur basés sur un plan cruciforme. Bien que réglementaire, ce projet a suscité une controverse publique.
Grâce au plan directeur un nouveau projet, avec des bâtiments à hauteur fortement réduite et moyennant une certaine densification au niveau du sol, a pu être élaboré très rapidement.

RAVANNE Mirco

  • 0043
  • Fonds (EN)
  • 1953-1991

235 dossiers documentant 149 objets. Quelques dossiers administratifs concernant sa pratique architecturale. Dossiers de plans de projets d’architecture, de design, de sculpture et de recherche. Quelques livres.

Mirco Ravanne

JUILLARD Henri

  • 0069
  • Fonds (EN)
  • 1919-1980

28 dossiers documentant 13 objets concernant principalement des barrages et des usines hydrauliques en Suisse (Spitalamm, Grindelwald, Sautet, Oberaar, Sanetsch, Rätherichsboden, Grande Dixence).

Henri Juillard

DI CLEMENTE Lucio °

  • 0070
  • Fonds (EN)
  • 1942-1991

64 dossiers documentant 37 objets. Le fonds comprend un certain nombre d’affaires, ses travaux d’élève chez Tschumi, son travail de diplôme.

Lucio Di Clemente

ARCHINARD Lucien et DEBERTI Albert

  • 0047
  • Fonds (EN)
  • ~1930-1953

Deux photographies d'espaces expositifs, dont une signée "J.P. Junod-Archinard, décorateurs", et un cartable de dessins signées "Deberti-Archinard" (transformation d'une maison à Coppet ; Villa de M. Bondanini, Domaine de la Boissiere ; pavillons ; intérieurs ; autres).

J.P. Junod et Lucien Archinard

GUILLET Jules

  • 0048
  • Fonds (EN)
  • 1905-191?

Un cartable de dessins, parfois signés "Jules Guillet, Technicien, Morges".
Plusieurs objets, dont :
– projet d'usine pour les ateliers de constructions mécaniques Guillet & Bigler à Morges (1907) ;
– projet de petit chalet suisse (1911) ;
– projet de petite maison de famille (1910)
– projet de bâtiment industriel comprenant ateliers et bureau à construire sur la propriété de Mr. J. Guillet, La Sapinière sur Morges (1903) ;
– autres (maisons, pavillons, dessins techniques...).

Jules Guillet

CARLONI Tita : Expo 64

  • 0059
  • Fonds (EN)
  • 1963-1964

Le fonds documente les restaurants du secteur “L’art de vivre, demi secteur: Joie de vivre par les architectes E. Gisel, H. Howald, T. Carloni, D. Schnebli”; la section temps libre et la communauté humaine.
Microfilms.

Tita Carloni

GIRARDET Daniel

  • 0063
  • Fonds (EN)
  • 1948-1978

27 dossiers documentant 19 objets. Dossier documentant principalement des bâtiments publics en Suisse, particulièrement en Valais. Dossier documentant des projets en Algérie.

Daniel Girardet

BRUGGER Frédéric °

  • 0078
  • Fonds (EN)
  • 1951-1997

Fonds volumineux, tant en dossiers de plans qu'en dossiers administratifs.
Zone géographique: principalement Lausanne et environs.
Secteur d'activité et programme: transformations et assainissement, magasins et agencements, immeubles locatifs et administratifs, écoles, habitats privés.

Frédéric Brugger

LA RUCHE à Payerne, Société de construction

  • 0080
  • Fonds (EN)
  • 1893?-1966?

Archives techniques (plans et élévations de l’arch. A. Fraisse, Fribourg) et administratives (dossiers administratifs et comptables, correspondances) de la Société pour la construction de maisons ouvrières La Ruche à Payerne (surtout pour ce qui concerne la construction des logements et leur administration), dès sa fondation jusqu'à env. les années 1960.

Société La Ruche à Payerne

VIQUERAT Philippe

  • 0099
  • Fonds (EN)
  • 1929-1969

Archives de sa formation et archives techniques (plans et dessins originaux de maisons individuelles, locatifs, fermes, restaurants et établissements publics, surtout écoles et collèges).

Philippe Viquerat

RUCHE Jean-Louis et Maurice

  • 0102
  • Fonds (EN)
  • 1936-1975

Le fonds documente à la fois l'activité d'enseignement et de sculpteur de Jean-Louis Ruche, et celle de maquettiste de son frère Maurice.

Jean-Louis Ruche

PACHE Marius

  • 0108
  • Fonds (EN)
  • 1933-1953

Archives techniques (plans et dessins de bâtiments réalisés, transformations et aménagements intérieurs - villas au Monts-sur-Lausanne et Chailly et locatifs à Lausanne et Montreux, un tea room à place St. François à Lausanne, l'Hôpital de Cery, un hôtel-restaurant à l'avenue de la Gare à Lausanne, un cinéma, autres bâtiments, un concours pour un immeuble administratif à la Riponne à Lausanne) et iconographiques (photographies de réalisations et chantiers), documentation (surtout reproductions) sur les activités du producteur.

Marius Pache

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