- 0001.04.0032
- Dossier
- 1916
Fait partie de HELD
Détail fronton sur porte. Dossier assez complet avec détails grandeur nature, boiseries, plafonds, décors, armoirie
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Fait partie de HELD
Détail fronton sur porte. Dossier assez complet avec détails grandeur nature, boiseries, plafonds, décors, armoirie
Villa M. Oderbolz, au Le Locle
Fait partie de HELD
Dossier d'architecture complet; détail des élévations intérieures; détails 1/1
Magasin Au Printemps, à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de HELD
Détails menuiserie, plan porte revolver, dessins Held : 6084; 5412; 5413; 5416; 5414; 5415; dessin d'un bloc cuisine livré par une entreprise des USA, Philadelphia
Confiserie et tea-room M. Moreau, à Neuchâtel
Fait partie de HELD
Aménagement de tea-room et magasin dans immeuble appartenant à Veuve Chs. Hemmeler
Villa M. Dr. Keller, à Neuchâtel
Fait partie de HELD
Dossier complet d'architecture
Fait partie de HELD
Dessins Held N°: 6516. Aménagement du magasin : plans, élévations intérieures; banques, devantures
Hôtel du Guillaume Tell, à Neuchâtel
Fait partie de HELD
Agrandissement et transformation : plan et coupe
Fait partie de HELD
Aménagement magasin : plans, élévations intérieures; mobilier
Fait partie de HELD
Aménagement du magasin : plans; projets de banques pour Leob frères à Berne
Café-restaurant de La Rotonde, à Neuchâtel
Fait partie de HELD
Dessins Held N°: 7414, 7415, 7438, 7439, 7445. Aménagement du restaurant : plans et élévations intérieures
Fait partie de HELD
Aménagement du magasin : plans
Villa locative M. G. Schaldenbrand, à Neuchâtel
Fait partie de HELD
Dossier d'architecture; nombreux détails menuiseries
Fait partie de HELD
Agrandissement fenêtres entresol
Hôtel des Trois Rois, à Le Locle
Fait partie de HELD
Transformations intérieures
Fumoir : chaise longue ottomane, table et tabouret M. P. Vogel
Fait partie de HELD
chaise longue : perspective ; table : perspective ; tabouret : perspective
Salle à manger M. P. Vog fils : table et chaise
Fait partie de HELD
table : plan, perspective ; chaise : perspective
Fait partie de HELD
Plusieurs tirages héliographiques: porte, paroi, salle polyvalente. (Poncif)
Maison de weekend Roth, Saint-Aubin : photographies
Fait partie de LANZ Eduard
Détails (intérieurs et extérieurs) du "week-end" de la famille Roth à Saint-Aubin.
Concours pour un musée d'horlogerie, à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de BRERA Georges et WALTENSPÜHL Paul
Concours pour un musée de l'horlogerie à la Chaux-de-Fonds; Devise: "LABYRINTHE 2001"
Fait partie de DUMAS Fernand
Salle des corporations, au Landeron
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Église catholique, à Neuchâtel
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Restauration en 1937 par Fernand D., clocher en 1951, agrandissement en 1961 par Pierre D.
Un dessin encadré se trouve dans le dossier 18.04.201b.
Fait partie de DUMAS Fernand
Ce dossier artificiel contient une gouache (encadré pour une exposition) de Théophile Robert probablement concernant le projet de polychromie de la chapelle de Gorgier.
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Deux restaurations successives
Église de Notre-Dame, à Peseux
Fait partie de DUMAS Fernand et HONEGGER Denis
Deuxième étape en 1950, dont les plans sont signés par F. Dumas seul. Ce projet n'est pas sans évoquer l'église du Christ-roi à Fribourg dessinée par les mêmes architectes à cette époque: voûte tronquée pour la nef, coupole sur le choeur, campanile détaché. Le plan en demi-cercle est une spécificité sexpérimentée plusieurs fois par Honegger. Les nervures de l'intrados de la voûte sont une interprétation de la coupole de la chapelle du château d'Anet construit au 17e siècle par Philibert de l'Orme, un des pères du classicisme français. L'atmosphère intérieure dessinée en perspective est tout-à-fait comparable à l'atmosphère intérieure dessinée pour le Christ-Roi. La similitude est également frappante en façade principale où l'on retrouve le même motif d'entrée et de tympan qu'à Fribourg.
Cité-jardin des "Jeanneret", à Le Locle (1)
Fait partie de DUMAS Fernand et HONEGGER Denis
Études d'implantation, en perspective, et dossier d'exécution.
Cité-jardin des "Jeanneret", à Le Locle (2)
Fait partie de DUMAS Fernand et HONEGGER Denis
Suite.
Fait partie de CORNAZ Jack
Plusieurs objets :
– Grand Denantou (3 plans d'exécution),
– villa Piguet (nombreux documents d'avant-projet),
– projet de maison pour la comtesse Fleurieu (nov. 1960),
– projet de porte pour le château de Bardonnex,
– propriété de H. Giraud,
– plans de transformation pour M. Périllard, avenue des Mousquines 28 (plans de rue Stoll arch.),
– plan de Ed. Calame, concernant la maison Marcel Grisel, à Auvernier, s.d.
– Maison de Monsieur R. Guex, à Ecublens, détail toit sur porte d'entrée (1:10), 19.2.1931
Stratification visible du projet Piguet en trois variantes que Jack Cornaz propose systématiquement à ses commanditaires.
Nombreux calques non datés ni signés.
Villa Marcel Grisel, à Auvernier
Fait partie de CORNAZ Jack
Dossier complet, projet et exécution, études et plans de détail : coupes en long et en travers, façade ouest et sud, plans du sous-sol, du rez-de-chaussée, des combles (1er étage), plans au 1:10 des lucarnes, escaliers, détails grandeur des moulures intérieures et extérieures, embrasures avec spécification des matériaux, dallage.
3 calques et des esquisses d'un avant-projetportant l'indication "Noiraigue" [alors lieu de résidence du maître de l'ouvrage].
Chronologiquement, les premiers documents portent l'indication Noiraigue (7.61) puis Auvernier (à partir de 10.61).
Héliographies de plans, détails et plans de situation pour le projet d'Auvernier.
Dessinateur Pi.
2 plans de situation d'Auvernier portent le timbre Ed[ouard] Calame architecte à Neuchâtel.
Quel lien avec Jack Cornaz?
Objet : Plan au sol en U, le ressaut des ailes sert à définir des courettes. Un niveau sur sous-sol, deux pièces habitables dans les combles. Ordonnances nord et sud symétriques, vue traversante (à travers le hall et le salon). Les sanitaires et la cuisine sont placés sur l'axe longitudinal (est-ouest). Vocabulaire ornemental habituel : urnes faîtières, balustrades en fer forgé...
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de très nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Intitulé d'origine de la boîte : "plans d'exécution entreprises : A. Félix, Bussigny, Calorie SA., Neuchâtel"
2ème + 3ème étape transformation de l'usine
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Correspondance entreprises métrés I :
2ème + 3ème étape transformation de l'usine
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Extension du bâtiment d'exploitation 4ème étage
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Agrandissements + extension divers
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
2ème + 3ème étape transformation de l'usine
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
32 : vitrerie ;
33 : stores à lamelles ;
36 : palans ;
41 : portes spéciales ;
52 : peinture ;
53 : revêtement de sols ;
54 : revêtement plafonds ;
71 : nettoyages ;
72 : amortisseurs ;
calories.
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Extension de l'usine - 5ème étape
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents divers dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Plans d'exécution charpente métallique
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Extension de l'usine - 5ème étape + dépôts
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Extension de l'usine - 5ème étape
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Extension du bâtiment d'exploitation 4ème étage
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Église et Salle paroissiale, à la Chaux-de-Fonds
Fait partie de BUECHE Jeanne
Rapport du jury pour le concours: Jeanne Bueche gagne le 2e prix doté d'une récompense de 1000 francs. Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
Église et Salle paroissiale, à la Chaux-de-Fonds
Fait partie de BUECHE Jeanne
Tirage d'un plan, servait d'emballage au dossier 0071.04.0254. Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
Église et Salle paroissiale, à la Chaux-de-Fonds
Fait partie de BUECHE Jeanne
Tirages du concours sur papier fort, colonne du Parthénon (vraisemblablement un exercice d'apprenti). Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
Fait partie de BARBEY Gilles (Fonds et collection)
Articles dans l'INSA sur Le Locle et La Chaux-de-Fonds, intitutlé "Neuchâtel Ville et canton, Le Locle, La Chaux-de-Fonds".
Dossiers et livres :
Catalogue des Francs-Maçons suisses 1910-1911 : Deuxième partie comprenant toutes les Loges sauf celles de Genève/éd. par William Vogt [1912]
Le syndicalisme suisse : Histoire politique de l'Union syndicale 1880-1980/Philippe Garbani, Jean Schmid [1980]
125e anniversaire Suchard [1951] - Nouvelle revue neuchâteloise : Faust et Le Corbusier/Marc Alb. Emery [1984]
Nos monuments d'art et d'histoire : Assemblée générale à Neuchâtel [1985/2]
Revue neuchâteloise : Guide de l'art monumental du 20e siècle dans le canton de Neuchâtel/Chantal Sandoz
Géographie du département du Jura/Paul Joanne [1912].
Jury du concours pour un complexe sportif à l'Est des Jeunes-Rives, à Neuchâtel
Fait partie de SCHLUP Max
– Rapport du jury
– Programme du concours
Jury du concours pour un un agrandissement de l'Ecole supérieure de Commerce, à Neuchâtel
Fait partie de SCHLUP Max
– Correspondance diverse
– PV de séances
– Rapport du jury
– Règlement du concours
Jury du concours pour la concstruction de bâtiments universitaires sur les Jeunes-Rives, à Neuchâtel
Fait partie de SCHLUP Max
– Rapport du jury
– Levée de l'anonymat
– Règlement et programme
– Correspondance diverse
– PV de séances
Jury du concours pour un centre sportif et un centre de protection civile, à Couvet
Fait partie de SCHLUP Max
– Correspondance diverse
– Règlement et programme
– Rapport du jury
Fait partie de VIQUERAT Philippe
Dossier contenant de nombreux plans dont notamment:
Maisons Alfredo Olympi, à Montmollin et à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de ANTOGNINI Emilio
Plusieurs projets pour une maison à La Chaux-de-Fonds. Plans d'exécution et plans de l'ingénieur Pierre Brasey pour la maison de Montmollin. Le maître de l'ouvrage, Monsieur Olympi, est domicilié à La Chaux-de-Fonds. Cet industriel passe quelques mois par année dans la maison à Montmollin, exécutée en 1950 en pierre du Jura. Elle est située sur une butte, au pied du Jura, sur un terrain très accidenté, ce qui ne semble pas avoir influencé la conception de la coupe. On jouit depuis les terrasses de la maison et du jardin aménagé par un spécialiste, d'une vue très étendue embrassant l'ensemble du lac de Neuchâtel, des Préalpes et des Alpes comme toile de fond.
Le dossier comporte en outre un plan d'armatures de l'ing. Brasey pour un immeuble locatif à Fribourg.
Immeuble et garage, à La Chaux-de-Fonds : dossier d'exécution
Fait partie de ANTOGNINI Emilio
Dossier d'exécution. Coupes très intéressante, études en perspective de la rotonde, plans d'exécution (2 boîtes). Cet immeuble très intéressant dans l'œuvre de Antognini est une de ses réalisation les plus puristes en regard de l'enseignement de Perret : squelette béton, colonnes cannelées et fuselées, corniches, pilastres, rotonde néo-classique. Nombreuses similitudes avec les immeubles résidentiels de la cité paroissiale du Christ-Roi à Pérolles, Fribourg projetée par Honegger et à laquelle Antognini a été associé pour la surveillance de l'exécution. L'immeuble de la Chaux-de-Fonds est peut-être un prototype si la réalisation est antérieure à celle des immeubles du Christ-Roi. Le maître de l'ouvrage est la société immobilière "rue Léopold-Robert 17 SA" représentée par Monsieur Charles Koller. Une coupole de 14 m de diamètre permet la solution des circulations des ateliers et des postes de travail. La différence de niveau du sous-sol et du rez autorise le double garage.
Fait partie de RADULESCU Stefan
Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:
Archives techniques (plans et dessins relatifs à projets, concours, etc., surtout de villas individuelles et quelques bâtiment scolaire, public ou religieux, dans le Canton de Neuchâtel) et quelques pièces personnelle ou professionnelle (correspondance, diplômes, documents administratifs), et d'enseignement (cours à l'Université populaire neuchâteloise).
Maurice Billeter
Immeuble "La Petite Rochette", à Neuchâtel : recherche historique
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Recherche historique.
Immeuble "Dessoulaxy", à Neuchâtel : recherche historique
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Recherche historique.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Plan de la ville de Neuchâtel daté de 1827.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Immeuble Runtal, à Neuchâtel : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Couverture de tribunes en porte-à-faux par demi-portiques de béton.
Maison de week-end B. Fer, à Corcelles
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Située dans une pinède, la générosité du programme de cette maison de week-end révèle l'intense activité sociale du maître del'ouvrage. Le volume principal est couvert d'un toit à un pan, avec tuiles de terre cuite, auquel sont adjoints deux annexes en appentis: la terrasse couverte et le garage double. Les façades présentent une alternance d'éléments en béton et en enduit, alors que la construction (murs, dalles et toiture) est réalisée entièrement en béton. Cette caractéristique est justifiée notament pour les grandes portées nécessaires aux baies vitrées et aux retraits de façades côté jardin: au rez, un décrochement autorise une terrasse couverte, elle-même prolongée par un abri couvert. En contraste, à l'étage, les nombreuses chambres ne disposent que de petites fenêtres régulières, avec volets. Dans les angles de la maison, les murs coupe-vent forment un cadre avec l'avant-toit dont la matérialisation révèle discrètement la carcasse structurelle de béton inhabituelle dans un programme domestique. L'aménagement intérieur, à commencer par la configuration du plan, est un des ensemble les plus moderne réalisé par les architectes, comme en témoignent l'escalier avec marches encastrées en porte-à-faux ou la cheminée avec âtre et manteau métalliques dissociés de la maçonnerie.
Maison Froidevaux, à la Chaux-de-Fonds : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette grande maison est située sur un terrain en léger surplomb. Les pièces principales s'ouvrent généreusement au sud sur un balcon en retrait à l'intérieur du volume habitable, le garde-corps est exécuté en ferronnerie. Partagée horizontalement par le nez de dalle, la maison abrite à chacun des deux étages un appartement similaire. Au sous-sol se trouvent un garage, un atelier d'horlogerie, les caves et la buanderie. La volumétrie, de configuration simple, est couverte d'un toit à croupe. Les façades présentent un ordonnancement symétrique, régulier et finement proportionné des ouvertures. L'accès, placé sur une façade latérale, est soutenu par un ramblai de terre dont la contention est assurée par un mur de soutènement. Cette n'est pas sans évoquer, par sa typologie, la maison locative Perrenoud réalisée par les architectes à Peseux à la même époque. Un projet non-réalisé de maison de paroisse qui présente une forme générale similaire aux deux habitations susnommées laisse deviner, derrière une apparente simplicité, une variété de partition intérieure, tant en plan qu'en coupe. La répartition des ouvertures par rapport à l'ossature, dans ce dernier projet, est dynamique et inventive.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.
Pavillon de vacances V. Stettler, à Enges
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est une variante du modèle de maison familiale que les architetes n'ont cessé de décliner dans leur production: un plan en équerre dont l'aile principale, perpendiculaire au terrain, abrite le séjour et la cuisine, et l'autre aile, parraléle à la pente, qui abrite les chambres. Dans le cas présent, l'organisation de la section longitudinale en demi-niveaux est une astuce volumétrique qui affirme l'articulation de la masse. L'inversion des pans de toiture, inédite dans les projets de maisons individuelles des architectes, participe au même effet. Les façades construites partiellement en bois sont également une option à laquelle les architectes ont rarement recouru. Ce projet est sans doute un des plus originaux conçu par les architectes. Par son image générale de pavillon de vacances et certains détails de l'aménagement intérieur (cheminée du séjour), il n'est pas sans évoquer les maisons réalisées par Breuer dans la campagne de la côte Est des Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison a été construite pour les parents de l'architecte Léopold Veuve qui deviendra plus tard professeur d'architecture à l'école polytechnique fédérale de Lausanne. L'habitation est concentrée sur un niveau unique, surélevé par un socle de béton. La dissociation des pans de mur et des fenêtres est une pratique courante dans l'oeuvre des architectes.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Construite dans l'immédiat après-guerre, à une époque où la ferraille et le ciment sont contingentés, cette maison frappe par la simplicité élémentaire de sa composition. La technologie élémentaire des murs de moellons - encouragée à l'époque par les autorités, les palnchers de bois, le toit à croupe, la répétitivité des fenêtres et des contrvents, tout dans ce chantier révèle un souci d'économie tant au niveau des matériaux que de l'investissement humain. Seule l'intensité du travail de l'architecte semble faillir à cette règle: l'étude des proportions du volume et des ouvertures est le fruit d'une recherche fine et soignée, de même que la mise en oeuvre générale. La réalisation de l'avant-toit sur lequel la ligne de pose du chéneau accuse un bombement destiné à la correction optique des horizontale, procédé hérité de l'Antiquité, illustre le souci du détail et le soin du chantier qui ont présidé à la réalisation.
Maison Fallot, à Fontainemelon : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.
Maison Roger Bader, à Auvernier : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette salle de spectacle de moyenne dimension a été ajoutée à un complexe de bâtiments communaux existants. Le classicisme élémentaire de l'ossature de béton sur la façade d'accueil confère au bâtiment un caractère monumental miniaturisé qui n'est pas dépourvu d'ambition. Les détails de modelage de l'ossature aux angles de l'édifice varient de façon à compenser la différence d'ossature entre les façades latérale et frontale, différence engendrée par la disposition d'une mezzanine en dessus de l'entrée. Ainsi, ces détails infimes donnent à lire l'organisation des espaces intérieurs sur une façade relativement peu disserte quant au contenu qu'elle enceint. Toutefois, force est de constater que l'étude géométrique de l'ossature est dans le cas présent un instrument au service de la stabilité de l'édifice autant qu'à la confirmation de sa charge symbolique.
Salles de gym "Pierre-à-Mazel", à Neuchâtel
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Fabrique de ressorts d'horlogerie, à Peseux : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Bâtiment industriel composé e deux corps reliés par une passerelle. L'ossature de béton évoque l'architecture d'Auguste Perret. De nombreux écarts sont cependant perceptilbes par rapport au modèle du maître. Le plus frappant est l'interruption des pilastres dans leur hauteur par les corniches, en parfaite contradiction avec la notion d'abri souverain chère à Auguste Perret. Cette innovation est motivée par l'impossibilité de couler d'un coup le pilastre qui est logiquement interrompu par la tête de dalle. Cette contradiction interne du système d'Auguste Perret avait été surmontée par le maître dans la dissociation des ordres à l'intérieur d'un immeuble, les colonnes libres suportant la toiture étant dissociées strucutrellement et plastiquemement de la carcasse portante des étages. Dans le cas présent, les éléments obturés de la façade exécutés en surfaces enduites de même le cadre de baie défini par l'appuis et non par les jambages sont des interprétations de l'oeuvre de Perret.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
Maison Farron, à Neuchâtel : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.