Église catholique, à Neuchâtel
- 0018.04.0164
- Dossier
- 1935
Fait partie de DUMAS Fernand
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Église catholique, à Neuchâtel
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Deux restaurations successives
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Fait partie de DUMAS Fernand
Ce dossier artificiel contient une gouache (encadré pour une exposition) de Théophile Robert probablement concernant le projet de polychromie de la chapelle de Gorgier.
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
2ème + 3ème étape transformation de l'usine
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
32 : vitrerie ;
33 : stores à lamelles ;
36 : palans ;
41 : portes spéciales ;
52 : peinture ;
53 : revêtement de sols ;
54 : revêtement plafonds ;
71 : nettoyages ;
72 : amortisseurs ;
calories.
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Extension du bâtiment d'exploitation 4ème étage
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Villa Marcel Grisel, à Auvernier
Fait partie de CORNAZ Jack
Dossier complet, projet et exécution, études et plans de détail : coupes en long et en travers, façade ouest et sud, plans du sous-sol, du rez-de-chaussée, des combles (1er étage), plans au 1:10 des lucarnes, escaliers, détails grandeur des moulures intérieures et extérieures, embrasures avec spécification des matériaux, dallage.
3 calques et des esquisses d'un avant-projetportant l'indication "Noiraigue" [alors lieu de résidence du maître de l'ouvrage].
Chronologiquement, les premiers documents portent l'indication Noiraigue (7.61) puis Auvernier (à partir de 10.61).
Héliographies de plans, détails et plans de situation pour le projet d'Auvernier.
Dessinateur Pi.
2 plans de situation d'Auvernier portent le timbre Ed[ouard] Calame architecte à Neuchâtel.
Quel lien avec Jack Cornaz?
Objet : Plan au sol en U, le ressaut des ailes sert à définir des courettes. Un niveau sur sous-sol, deux pièces habitables dans les combles. Ordonnances nord et sud symétriques, vue traversante (à travers le hall et le salon). Les sanitaires et la cuisine sont placés sur l'axe longitudinal (est-ouest). Vocabulaire ornemental habituel : urnes faîtières, balustrades en fer forgé...
Église et Salle paroissiale, à la Chaux-de-Fonds
Fait partie de BUECHE Jeanne
Tirages du concours sur papier fort, colonne du Parthénon (vraisemblablement un exercice d'apprenti). Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
Immeuble locatif "AGRA", à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Villa Robert, à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Maisons mitoyennes à Marin 2 : projet
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Villa Grandjean, à La Chaux-de-Fonds : projet
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Villas en terrasses, chaine N°2 à La Chaux de Fonds
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Maison du Peuple, à La Chaux-de-Fonds : transformation
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Recorne 9, à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
SI Les Sentiers, à La Chaux-de-Fonds : Bâtiment E
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Chemin de Flore, [La Chaux-de-Fonds ?], projet GECO
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Ecoles, à La Chaux-de-Fonds : concours
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Concours pour des écoles à La Chaux-de-Fonds, présentés avec les devises
Théâtre, à Neuchâtel : concours N°2
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Concours pour un théâtre à Neuchâtel, présenté avec la devise "Prologue".
Quartier d'habitation aux Cornes-Morel, à La Chaux-de-Fonds : concours
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Concurs pour un quartier d'habitation aux Cornes-Morel, à La Chaux-de-Fonds, présenté avec dévise "Family-life".
Nouvelle Préfecture, à La Chaux-de-Fonds : concours
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Concours pour une préfecture à La Chaux-de-Fonds, présenté avec la devise "Janus".
2ème prix et mandat d'étude.
Théâtre, à Neuchâtel : concours N°3
Fait partie de HAEFELI Georges-Jacques
Concours pour un théâtre régional à Neuchâtel, présenté avec devise "Nautilus".
Temple Saint-Jean, à la Chaux-de-Fonds, réalisation
Fait partie de GAILLARD André
Dossier complet, contenant une série d'esquisses préliminaires au feutre, stylo et crayon. Plans de courbes de terrain devant servir de base à une maquette. Le document le plus ancien consiste en un plan d'affectation de l'ouest de la ville, tandis que les plus récents sont relatifs aux modifications proposées pour le clocher en cours de travaux. Echelles 1:1000 / 1:500 / 1:100 / 1:50 / 1:20 / 1:5.
OBJET : Bâtiment à l'architecture plastique et sculpturale caractérisé par une spirale sur plan elliptique et l'absence d'angles vifs ou droits. Un premier projet avait été élaboré pour le même lieu en 1962-63, avant d'être repris et réorganisé. Une série d'esquisses dans le dossier du premier projet comme dans celui de la réalisation permet d'avoir au moins un aperçu des différentes variantes envisagées dans un premier temps. Il y a également eu des modifications vers la fin des travaux (début 1972) concernant le clocher. Technique de construction dite de gunitage (béton projeté sur armature de treillis métallique et de polystyrène expansé) brevetée par Daniel Grataloup (concepteur des villas-coques). Les portes, les éléments de mobilier et de décoration comme les objets liturgiques sont signés du peintre-sculpteur Jean Latour, et les vitraux de dalles de verre sont l'oeuvre de Paulette Schwarz (informations tirées du guide de La Chaux-de-Fonds "Bon pied, bon oeil. Découvrez la ville en parcourant ses rues", La Chaux-de-Fonds, 1997).
Auberge, à Hauterive : transformation : plans, coupes, façades, notes, correspondance, esquisses
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Centre scolaire des Coteaux, à Peseux : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.
Centre scolaire des Coteaux, à Peseux : rendu de concours (tirages)
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.
École, à Marin-Epagner : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.
École, à Marin-Epagner : coupes et tirages
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Coupes et tirages de plans, vraisemblablement en vue d'un rendez-vous préliminaire. Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.
École, à Marin-Epagner : décomptes
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Tableau des décomptes. Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.
École, à Marin-Epagner : vue de la salle de gymnastique
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.
Église, à Peseux : 1 plan du terrain (1/100)
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Dessins en lien avec la construction de l'église. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
Église, à Peseux : rendu du concours
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Rendu du concours pour la construction de l'église catholique de Peseux sur papier fort, vue perspective à vol d'oiseau avec la chapelle et deux maisons prévues à l'arrière. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
Église, aux Parcs : rendu de concours
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Rendu de concours sur papier (1/200). Cette église, proposée en concours, porte la devise "le coq". Il s'agit d'un édifice de plan traditionnel comprenant une nef prolongée d'une abside et flanquée d'un clocher, l'entrée est surmontée d'une tribune. Le sous-sol à demi-enterré abrite une salle paroissiale. Le langage architectural est parfaitement imitatif du classicisme régional en vigueur au 18e siècle pour les églises villageoises. Les façades sont revêtues d'un placage de pierre composé de rectangles disposés verticalement ou horizontalement selon un ordre aléatoire. Il pourrait s'agir d'un concours pour la restauration d'une église existante. Le traitement des portes vitrées et des claustras (vitraux) sont les seules allusions à la modernité. Sur les coupes, un parc urbain adjacent en terrasse vers le sud (et le lac?) est esquissé. La situation est vraisemblablement neuchâteloise mais cette donnée n'est pas vérifiée à ce jour.
Fabrique de ressorts d'horlogerie, à Peseux : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Bâtiment industriel composé e deux corps reliés par une passerelle. L'ossature de béton évoque l'architecture d'Auguste Perret. De nombreux écarts sont cependant perceptilbes par rapport au modèle du maître. Le plus frappant est l'interruption des pilastres dans leur hauteur par les corniches, en parfaite contradiction avec la notion d'abri souverain chère à Auguste Perret. Cette innovation est motivée par l'impossibilité de couler d'un coup le pilastre qui est logiquement interrompu par la tête de dalle. Cette contradiction interne du système d'Auguste Perret avait été surmontée par le maître dans la dissociation des ordres à l'intérieur d'un immeuble, les colonnes libres suportant la toiture étant dissociées strucutrellement et plastiquemement de la carcasse portante des étages. Dans le cas présent, les éléments obturés de la façade exécutés en surfaces enduites de même le cadre de baie défini par l'appuis et non par les jambages sont des interprétations de l'oeuvre de Perret.
Immeuble "Le serpent", à St-Blaise : vue
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
1 prise de vue en contre-plongée. Ce bâtiment est une barre de logement qui présente deux incurvations, en forme de S. Cette volumétrie n'est pas sans évoquer certains bâtiments de Niemeyer, l'hôtel de Funchal à Madère en particulier. Cette référence de villégiature n'est d'ailleurs pas étrangère à la façade sud composée de loggias en continu orientées vers le lac. Les pilotis du rez-de-chaussée évoquent, dans le même esprit, un grand hall. Par contre, la typologie des appartements révèle un souci d'économie des surfaces, notamment des surfaces de circulation. Le plan est marqué par un couloir central qui distribue d'une part les chambres et d'autre part le séjour et la cuisine. Les locaux de services, tels que salle de bain et réduit, ou cage d'escalier et ascenseurs, épaississent l'immeuble en son centre. Bien que rationnelles, ces dispositions sont néanmoins caractéristiques d'une opération immobilière de rentabilité; les appartements semblent avoir été vendus en copropriété.
Immeuble pour personnes âgées, à la Rosière : héliographie
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Immeuble, à la rue Bachelin, à Neuchâtel : plan, coupe
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
1 plan du studio (1/20), 1 coupe transversale (1/50). Cette immeuble de plusieurs étages présente une distribution par coursive, les circulations verticales sont situées aux extrémités. Chaque étage compte 7 studios.
Immeuble, au quai Suchard, à Neuchâtel : présentation du projet
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
1 cahier de présentation du projet (à but promotionnel), en couleur, sur papier fort, glacé. Immeuble de caractère moderne. Maître de l'ouvrage: Monsieur E. Wicky, ingénieur.
Maison A. Blanc, à Cormondrêche : correspondance, esquisses, notes
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Maison Berger, à Cormondrêche : plans et façades
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Rénovation/transformation d'une maison de village ancienne, de type médiéval ou 17e siècle.
Maison Ducommun, à Neuchâtel : escalier : dessins
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
dessins pour la réalisation d'un escalier (1/50, 1/10). Ce projet est une transformation dans une maison résidentielle existante. Il est notamment question d'un escalier.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Maison Heyd, à Wavre : plans, coupes et façades, croquis, relevé
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Plans, coupes et façades (1/50), croquis d'intention montrant une image de la maison plus moderniste que l'image véritablement réalisée (fenètres plus grandes), relevé du terrain. Cette maison présente une volumétrie relativement complexe, en particulier la toiture à pulsieurs pans, décallés au faîte ou inversé, qui n'est pas sans ressemblance avec certaines maisons particulières réalisées antérieurement au Tessin par Rino Tami. Dans une telle configuration, les pignons se donnent à lire comme façades principales, cas peu fréquent dans l'oeuvre des architectes. Les ouvertures forment une composition aléatoire en équilibre asymétrique et sont disposées selon leur fonction: fenêtres pour les chambres, baies vitrées abritées d'avants-toits pour le séjour, jours de souffrance pour les locaux de service. Le plan est clairement articulé: le vestibule traverse latéralement la maison et articule clairement le plan entre les pièces de nuit à l'est et les espaces de jour à l'ouest. Le séjour est surmonté d'une "librairie" en mezzanine.
Maison Luther, à Neuchâtel : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Maison Perrenoud, à Peseux : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.
Maison Roger Bader, à Auvernier : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.
Maison Roger Bader, à Auvernier : photo
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Une photo sur bois. Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.
Pavillon de vacances V. Stettler, à Enges
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est une variante du modèle de maison familiale que les architetes n'ont cessé de décliner dans leur production: un plan en équerre dont l'aile principale, perpendiculaire au terrain, abrite le séjour et la cuisine, et l'autre aile, parraléle à la pente, qui abrite les chambres. Dans le cas présent, l'organisation de la section longitudinale en demi-niveaux est une astuce volumétrique qui affirme l'articulation de la masse. L'inversion des pans de toiture, inédite dans les projets de maisons individuelles des architectes, participe au même effet. Les façades construites partiellement en bois sont également une option à laquelle les architectes ont rarement recouru. Ce projet est sans doute un des plus originaux conçu par les architectes. Par son image générale de pavillon de vacances et certains détails de l'aménagement intérieur (cheminée du séjour), il n'est pas sans évoquer les maisons réalisées par Breuer dans la campagne de la côte Est des Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale.
Propriété de Benoit Gaston, à La Chaux-de-Fonds : garage : correspondance, notes, esquisses
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
correspondance, notes, esquisses concernant l'agrandissement du garage
Théâtre, au Mail : plan (1/200e)
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Archives techniques (plans) documentant toute l'activité professionnelle d'André Gaillard.
Le fonds comprends également une collection photographique, en dépôt.
André Gaillard
Groupe locatif du Chemin Perdu, à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de GAILLARD André
Tubes 258, 259 et 261. Six rouleaux (trois petits et trois grands formats). Dossier concernant principalement les immeubles A et E du groupe locatif du Chemin Perdu, avec plans d'ensemble, études, plans d'exécution et détails. Echelles 1:500 / 1:100 / 1:50 / 1:20 / 1:10 / 1:5 / 1:2.
OBJET : Groupe de plusieurs immeubles locatifs, le projet en comptant dix à la base (A à J). Seuls deux paraissent être décrits de manière approfondie et sont peut-être les seuls à avoir été réalisés (A et E). Immeubles allongés aux extrémités en biseau. Immeuble A: Un sous-sol, un rez inférieur, un rez supérieur, 3 étages. Trois cages d'escalier avec deux appartements par palier. Logements de 3 à 4 pièces sans la cuisine, tous traversant, avec balcon. Ce projet succède à l'opération Beaumont.
Groupe locatif La Grève, à Saint-Blaise
Fait partie de GAILLARD André
Complément de dossier avec plans d'ensemble, études plans masse, de plans d'étage et élévation (esquisses feutre et encre), calculs surface, plans d'exécution du bloc A. Echelles 1:1000 / 1:500 / 1:200 / 1:100 / 1:50 / 1:20.
OBJET : Groupe de quatre bâtiments distincts. Pour les bâtiments A et B: un rez-de-chaussée avec deux logements ainsi que caves et abris, trois étages avec cinq appartements par palier et un quatrième étage avec quatre appartements, dont l'un possèdant une grande terrasse. Différence des bâtiments C et D: le quatrième étage est remplacé par un attique, avec deux appartements. Les logements: du studio au 4 pièces 1/2, en comptant la cuisine. Un premier projet, beaucoup plus ambitieux, prévoyait la construction de tout un quartier avec centre commercial, école, immeubles locatif (bâtiments bas et tours). Réalisé
Immeuble résidentiel, à Neuchâtel : projet
Fait partie de GAILLARD André
Concerne un immeuble locatif, composé d'esquisses au feutre collées sur des feuilles numérotées de papier cartonné. L'ensemble est assez fragile vu le conditionnement original (les esquisses se décollent très facillement. Echelle 1:200.
OBJET : Projet d'immeuble sans localisation précise. Un document propose une situation à proximité du lac de Morat avec l'inscription Neuchâtel (Morat): possibilité que la localisation n'ait pas encore définie. les différentes esquisses élaborent une architecture organique, asymétrique, mais ne banissant pas les angles, pour des bâtiments s'approchant d'une forme pyramidale, pouvant également suivre un plan circulaire. Les appartements sont prévus pour être spacieux (entre 8 et 12 pièces, parfois en duplex), conçus comme un assemblage de différentes unités de vie. Les bâtiments proposés comportent généralement deux appartements par palier, sur quatre ou cinq niveaux.
Projets, réalisations et enseignement / Pierre Zoelly : publications
Fait partie de GAY Roland
Récolte d'imprimés et tapuscrits (brochures, cahiers reliés), concernant plusieurs projets et réalisations de Pierre Zoelly, et ses enseignements universitaires
Villa M. Oderbolz, au Le Locle
Fait partie de HELD
Dossier d'architecture complet; détail des élévations intérieures; détails 1/1
Fait partie de HELD
Dessins Held N°: 6516. Aménagement du magasin : plans, élévations intérieures; banques, devantures
Fait partie de HELD
Agrandissement fenêtres entresol
Salle à manger M. P. Vog fils : table et chaise
Fait partie de HELD
table : plan, perspective ; chaise : perspective
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de très nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Intitulé d'origine de la boîte : "plans d'exécution entreprises : A. Félix, Bussigny, Calorie SA., Neuchâtel"
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant divers documents dont notamment :
Extension de l'usine - 5ème étape + dépôts
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Extension de l'usine - 5ème étape
Fait partie de AAA/AD DECOPPET Alin
Dossier contenant de nombreux documents dont notamment :
Fait partie de DUMAS Fernand
Concours pour un musée d'horlogerie, à La Chaux-de-Fonds
Fait partie de BRERA Georges et WALTENSPÜHL Paul
Concours pour un musée de l'horlogerie à la Chaux-de-Fonds; Devise: "LABYRINTHE 2001"
Cité-jardin des "Jeanneret", à Le Locle (1)
Fait partie de DUMAS Fernand et HONEGGER Denis
Études d'implantation, en perspective, et dossier d'exécution.
Fait partie de CORNAZ Jack
Plusieurs objets :
– Grand Denantou (3 plans d'exécution),
– villa Piguet (nombreux documents d'avant-projet),
– projet de maison pour la comtesse Fleurieu (nov. 1960),
– projet de porte pour le château de Bardonnex,
– propriété de H. Giraud,
– plans de transformation pour M. Périllard, avenue des Mousquines 28 (plans de rue Stoll arch.),
– plan de Ed. Calame, concernant la maison Marcel Grisel, à Auvernier, s.d.
– Maison de Monsieur R. Guex, à Ecublens, détail toit sur porte d'entrée (1:10), 19.2.1931
Stratification visible du projet Piguet en trois variantes que Jack Cornaz propose systématiquement à ses commanditaires.
Nombreux calques non datés ni signés.
Fait partie de DUMAS Fernand
Restauration en 1937 par Fernand D., clocher en 1951, agrandissement en 1961 par Pierre D.
Un dessin encadré se trouve dans le dossier 18.04.201b.
Église et Salle paroissiale, à la Chaux-de-Fonds
Fait partie de BUECHE Jeanne
Rapport du jury pour le concours: Jeanne Bueche gagne le 2e prix doté d'une récompense de 1000 francs. Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
Église et Salle paroissiale, à la Chaux-de-Fonds
Fait partie de BUECHE Jeanne
Tirage d'un plan, servait d'emballage au dossier 0071.04.0254. Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
Fait partie de VIQUERAT Philippe
Dossier contenant de nombreux plans dont notamment:
Projet de villa Mme Bernard Quinche, à Peseux
Fait partie de SARTORIS Alberto
Immeuble Runtal, à Neuchâtel : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.
Immeuble, à Hauterive : plans, coupes, façades
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Immeuble, à la rue Bachelin, à Neuchâtel : appartements-types : plans
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Dossier très incomplet: plans (1/50) des appartements-types de 4-5 pièces, plan des studios (1/20). Cette immeuble de plusieurs étages présente une distribution par coursive, les circulations verticales sont situées aux extrémités. Chaque étage compte 7 studios.
Immeuble, à la rue Bachelin, à Neuchâtel : sous-sol : plan
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
1 plan du sous-sol. Cette immeuble de plusieurs étages présente une distribution par coursive, les circulations verticales sont situées aux extrémités. Chaque étage compte 7 studios.
Lotissement, à la Montagne de Cernier : variantes
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Plusieurs variantes de plans (sur contrecalque) pour l'implantation de maisons mitoyennes.
Maison A. Blanc, à Cormondrêche : correspondance, esquisses, notes
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Maison de week-end B. Fer, à Corcelles : plans, coupes et façades (1/50)
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Située dans une pinède, la générosité du programme de cette maison de week-end révèle l'intense activité sociale du maître del'ouvrage. Le volume principal est couvert d'un toit à un pan, avec tuiles de terre cuite, auquel sont adjoints deux annexes en appentis: la terrasse couverte et le garage double. Les façades présentent une alternance d'éléments en béton et en enduit, alors que la construction (murs, dalles et toiture) est réalisée entièrement en béton. Cette caractéristique est justifiée notament pour les grandes portées nécessaires aux baies vitrées et aux retraits de façades côté jardin: au rez, un décrochement autorise une terrasse couverte, elle-même prolongée par un abri couvert. En contraste, à l'étage, les nombreuses chambres ne disposent que de petites fenêtres régulières, avec volets. Dans les angles de la maison, les murs coupe-vent forment un cadre avec l'avant-toit dont la matérialisation révèle discrètement la carcasse structurelle de béton inhabituelle dans un programme domestique. L'aménagement intérieur, à commencer par la configuration du plan, est un des ensemble les plus moderne réalisé par les architectes, comme en témoignent l'escalier avec marches encastrées en porte-à-faux ou la cheminée avec âtre et manteau métalliques dissociés de la maçonnerie.
Maison Fallot, à Fontainemelon : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.
Maison Fallot, à Fontainemelon : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.
Maison Froidevaux, à la Chaux-de-Fonds : photos
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette grande maison est située sur un terrain en léger surplomb. Les pièces principales s'ouvrent généreusement au sud sur un balcon en retrait à l'intérieur du volume habitable, le garde-corps est exécuté en ferronnerie. Partagée horizontalement par le nez de dalle, la maison abrite à chacun des deux étages un appartement similaire. Au sous-sol se trouvent un garage, un atelier d'horlogerie, les caves et la buanderie. La volumétrie, de configuration simple, est couverte d'un toit à croupe. Les façades présentent un ordonnancement symétrique, régulier et finement proportionné des ouvertures. L'accès, placé sur une façade latérale, est soutenu par un ramblai de terre dont la contention est assurée par un mur de soutènement. Cette n'est pas sans évoquer, par sa typologie, la maison locative Perrenoud réalisée par les architectes à Peseux à la même époque. Un projet non-réalisé de maison de paroisse qui présente une forme générale similaire aux deux habitations susnommées laisse deviner, derrière une apparente simplicité, une variété de partition intérieure, tant en plan qu'en coupe. La répartition des ouvertures par rapport à l'ossature, dans ce dernier projet, est dynamique et inventive.
Maison Heyd, à Wavre : plans, coupes
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Plans, coupes. Cette maison présente une volumétrie relativement complexe, en particulier la toiture à pulsieurs pans, décallés au faîte ou inversé, qui n'est pas sans ressemblance avec certaines maisons particulières réalisées antérieurement au Tessin par Rino Tami. Dans une telle configuration, les pignons se donnent à lire comme façades principales, cas peu fréquent dans l'oeuvre des architectes. Les ouvertures forment une composition aléatoire en équilibre asymétrique et sont disposées selon leur fonction: fenêtres pour les chambres, baies vitrées abritées d'avants-toits pour le séjour, jours de souffrance pour les locaux de service. Le plan est clairement articulé: le vestibule traverse latéralement la maison et articule clairement le plan entre les pièces de nuit à l'est et les espaces de jour à l'ouest. Le séjour est surmonté d'une "librairie" en mezzanine.
Maison Kurt Hilpert, à Valangins : coupes, plans et façades, détails
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Coupes, plans et façades (1/50), détails de construction. Cette maison familiale construite sur un terrain en forte pente est caractérisée par la radicalité du parti d'implantation dicté de cette contrainte. A l'arrière, côté rue, la maison s'accroche au terrain alors qu'à l'avant, elle s'en affranchit par l'intermédiaire d'une puissante infrastucture de béton qui porte l'étage habitable. Au niveau supérieur, les combles abritent le garage, accessible en façade du fait de la toiture à un pan et relié à la rue par une passerelle. L'appartement, en dessous, est concentré sur un seul niveau; son organisation trahit un souci d'économie des surfaces, en particulier les surfaces de circulation. A l'étage inférieur son regroupés les caves et locaux techniques, ainsi qu'un espace couvert sous la dalle de l'appartement daont la surface est plus grande.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.
Maison Roger Bader, à Auvernier : photo
Fait partie de BILLETER Béate et Maurice
Une photo sur bois. Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.