Concours pour un théâtre régional à Neuchâtel, présenté avec devise "Nautilus".
Concours pour un théâtre à Neuchâtel, présenté avec la devise "Prologue".
Concours pour un musée d'archéologie à Neuchâtel, présenté avec la devise "Baba-cool".
6e prix.
Concours pour un bâtiment pour l'Université de Neuchâtel.
Concours pour la cité Suchard à Neuchâtel-Serrière : 1er prix non exécuté.
Concours pour un bâtiment pour l'université de Neuchâtel aux Jeunes-Rives, présenté avec la devise "Univers 80".
Concours pour une cité universitaire à Neuchâtel.
1er prix et exécution.
Mandat de l'Etat.
Non exécuté.
Hangar au chemin des Noyers et construction d'un local à transformateurs:
- Plans et coupes ;
- Plan de situation
Villa d'un étage sur rez-de-chaussée avec combles.
- Plans et façade ;
- Détails ;
- Études ;
- Plan de situation.
Dossier comportant plans topographiques, perspectives, études plans masse, élévations, plans d'étage (dont esquisses feutre, crayon et encre), et plans du projet final (plans d'exécution?). Echelles 1:1000 / 1:500 / 1:250 / 1:200 / 1:100.
OBJET : Le projet final implique un bâtiment allongé sur 7 niveaux. Un socle de trois niveaux sur lequel repose deux unités mêlant dans leur silhouette la façade allongée rectangulaire basse, couverture plate, à des excroissances triangulaires dont la couverture est formée d'un seul versant d'une pente d'environ 45°. Deux unités plus ou moins nettement séparées. Une partie avec les éléments classiques d'un hôtel (2/3 de la surface): espaces publiques (restaurant, salons, hall), chambres individuelles, espaces de service. L'autre partie accueille des appartements, du studio au 4 pièces en duplex.
Cet ensemble provient du cartable N° 29 ayant contenu des documents concernant probablement l'activité de Charles Brugger chez Emil Faesch, architecte à Bâle, et éventuellement chez Prince et Béguin à Neuchâtel; comprend deux planches (plans, coupes et façades) pour ce concours. La participation de Prince et Béguin ou de Charles Brugger à ce concours n'est pas attestée par les documents.
plans, notes, esquisses concernant la transformation de la scierie
1 prise de vue d'une planche restée en la possession du fils de l'architecte, Jean Bernard Billeter à Genève. Complexe composé de deux bâtiments.
1 cahier de présentation du projet (à but promotionnel), en couleur, sur papier fort, glacé. Immeuble de caractère moderne. Maître de l'ouvrage: Monsieur E. Wicky, ingénieur.
Complète 0120.04.0075. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Plans et coupes d'exécution. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
deux contrecalques de la façade et un relevé. L'hôtel Du Peyrou est le plus beau palais urbain de Neuchâtel, révélateur de l'influence du classicisme dans cette ville aux 17e et 18e siècles. La coupe est intéressante, avec une adaptation très sensible au sol en forte dénivellation à cet endroit. Dans les environs subsiste l'orangerie et une portion du parc aujourd'hui transformé en jardin urbain. Le reste à été loti.
Façades (1/50), 1 dessin de calepinage des éléments de façade et leur identification. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
1 plan du sous-sol. Cette immeuble de plusieurs étages présente une distribution par coursive, les circulations verticales sont situées aux extrémités. Chaque étage compte 7 studios.
plans, coupes et élévations (1/50), détails constructifs, quelques plans égarés provenant d'autres projets: dessins des portes et fenêtres de l'ancienne cote GRC et cheminée de l'ancienne cote MFF. Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
plans, coupes et façades (1/50) pour la restauration de ce palais, élévations montrant les pierres à remplacer. L'hôtel Du Peyrou est le plus beau palais urbain de Neuchâtel, révélateur de l'influence du classicisme dans cette ville aux 17e et 18e siècles. La coupe est intéressante, avec une adaptation très sensible au sol en forte dénivellation à cet endroit. Dans les environs subsiste l'orangerie et une portion du parc aujourd'hui transformé en jardin urbain. Le reste à été loti.
dessins pour la réalisation d'un escalier (1/50, 1/10). Ce projet est une transformation dans une maison résidentielle existante. Il est notamment question d'un escalier.
tirages sur papier des plans de ce palais du XVIIIe. L'hôtel Du Peyrou est le plus beau palais urbain de Neuchâtel, révélateur de l'influence du classicisme dans cette ville aux 17e et 18e siècles. La coupe est intéressante, avec une adaptation très sensible au sol en forte dénivellation à cet endroit. Dans les environs subsiste l'orangerie et une portion du parc aujourd'hui transformé en jardin urbain. Le reste à été loti.
Dossier très incomplet: plans (1/50) des appartements-types de 4-5 pièces, plan des studios (1/20). Cette immeuble de plusieurs étages présente une distribution par coursive, les circulations verticales sont situées aux extrémités. Chaque étage compte 7 studios.
Tirages sur papier de façades (1/100) de la salle de gymnastique "Pierre-à-Mazel" à Neuchâtel et de l'école près d'une carrière (cote 0120.04.0017). Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Concours pour un bâtiment cruciforme vraisemblablement destiné à l'université de Neuchâtel. Le motto est "hapax".
Rendu de concours sur papier (1/200). Cette église, proposée en concours, porte la devise "le coq". Il s'agit d'un édifice de plan traditionnel comprenant une nef prolongée d'une abside et flanquée d'un clocher, l'entrée est surmontée d'une tribune. Le sous-sol à demi-enterré abrite une salle paroissiale. Le langage architectural est parfaitement imitatif du classicisme régional en vigueur au 18e siècle pour les églises villageoises. Les façades sont revêtues d'un placage de pierre composé de rectangles disposés verticalement ou horizontalement selon un ordre aléatoire. Il pourrait s'agir d'un concours pour la restauration d'une église existante. Le traitement des portes vitrées et des claustras (vitraux) sont les seules allusions à la modernité. Sur les coupes, un parc urbain adjacent en terrasse vers le sud (et le lac?) est esquissé. La situation est vraisemblablement neuchâteloise mais cette donnée n'est pas vérifiée à ce jour.
Rendu de concours, tirages héliographiques (1/200). Ce projet de Musée n'a jamais été réalisé. Il est organisé sur une grille dont l'élément de base est un carré. La composition est axée sur un corps central qui abrite un vestibule et des locaux de service. A chaque extrémité de ce volume, un portique concave abrite un porche. De part et d'autre du vestibule, une aile est destinée aux expositions temporaires, l'autre aux Beaux-Arts et à l'Histoire; ces espaces semblent susceptibles d'un fractionnement provisoire selon le carré de base de la grille. Des galeries à l'étage abritent une collection particulière et un cabinet des médailles. L'aile arrière du complexe de bâtiments est dévolue aux activités de service: conciergerie, ateliers de réparation, dépôt, WC, auditoire. L'organisation du bâtiment est confuse en plan, aucune hiérarchie des espaces n'apparaissant clairement. L'étude des façades n'est pas aboutie. Il se dégage de l'ensemble une maladresse confondante.
1 plan du studio (1/20), 1 coupe transversale (1/50). Cette immeuble de plusieurs étages présente une distribution par coursive, les circulations verticales sont situées aux extrémités. Chaque étage compte 7 studios.
Cette maison a été construite pour les parents de l'architecte Léopold Veuve qui deviendra plus tard professeur d'architecture à l'école polytechnique fédérale de Lausanne. L'habitation est concentrée sur un niveau unique, surélevé par un socle de béton. La dissociation des pans de mur et des fenêtres est une pratique courante dans l'oeuvre des architectes.
1 prise de vue, photo de chantier. Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Photo du bâtiment peu avant son achèvement. Immeuble de caractère moderne. Maître de l'ouvrage: Monsieur E. Wicky, ingénieur.
Photo de chantier. Immeuble de caractère moderne. Maître de l'ouvrage: Monsieur E. Wicky, ingénieur.
Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Cette maison a été construite pour les parents de l'architecte Léopold Veuve qui deviendra plus tard professeur d'architecture à l'école polytechnique fédérale de Lausanne. L'habitation est concentrée sur un niveau unique, surélevé par un socle de béton. La dissociation des pans de mur et des fenêtres est une pratique courante dans l'oeuvre des architectes.
Couverture de tribunes en porte-à-faux par demi-portiques de béton.
Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Plan de la ville de Neuchâtel daté de 1827.
Recherche historique.
Recherche historique.
Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:
- centre polyvalent d'IDEA à Lisbonne (1992)
- magasin à la Place Bel-Air à Genève (Herth Joseph 92)
- Asen / centre commercial à Genève (1991)
- restaurant Chausse-Coqs Chirat Marc à Genève (1992)
- Quartier des Hallebardiers / aménagement de centre-ville (Grand Rue III) à Morges (Gabriel de Freudenreich 1991)
- Stade de Charmille à Genève (Koechlin, Mocellin, Richardet 1991)
- immeuble d’habitation "Crèche" à la rue de Carouge à Genève (Hermes Alain 1991)
- immeuble d'habitation au Quai Cheval Blanc à Genève (Vasas + Albisati 1991)
- complexe hôtelier en Antilles (Dürr Andreas1992)
- Casino à Morges (Gabriel de Freudenreich 1992)
- Concours Foyer Handicap (Christen 1992)
- Tour Blavignac à Genève (VdG 1992)
- bâtiment ICC (Kleinert 1991)
- Hôtel Président-Wilson à Genève (Erbeia 1991)
- Rousseau Immobilier au Clos St-André
- immeuble d'habitation "Tulipiers" (Ardin 1991)
- immeuble d'habitation à la rue Christiné et la rue de Carouge à Genève (J. Cerutti + D. Lafleur 1991)
- complexe de bureau d'IDEA (Institut pour le Développement et l'Education des Adultes) à l'avenue de Sécheron à Genève (Erbeia1991)
- immeuble des logements à l'avenue de Sécheron à Genève (Bendahan Samuel)
- lotissement "Le Clos Charmeil" (Sibille 1991)
- Marché en Gros à Poznan en Pologne (Radulescu, S+M 1991)
- bâtiment SIG à Verbois (AVV)
- avenue Eugène-Pittard à Genève (Bendahan Samuel 1991)
- CSEM (Centre Suisse d’Électronique et de Micro-technique SA recherche et développement) à Neuchâtel (Gredig 1991)
Dossier contenant de nombreux plans dont notamment:
- plan de situation (original, échelle 1:500) ;
- plans divers de variantes de projet (originaux, échelle 1:50) ;
- plans du sous-sol, rez, étages (originaux, échelle 1:50) ;
- coupes de façades (originales, échelle 1:50) ;
- coupes diverses (originales, échelle 1:20-1:50) ;
- plans et coupes de détails (originaux, échelle 1:10-1:20) ;
- divers croquis.
– Rapport du jury
– Levée de l'anonymat
– Règlement et programme
– Correspondance diverse
– PV de séances
– Correspondance diverse
– PV de séances
– Rapport du jury
– Règlement du concours
– Rapport du jury
– Programme du concours
Articles dans l'INSA sur Le Locle et La Chaux-de-Fonds, intitutlé "Neuchâtel Ville et canton, Le Locle, La Chaux-de-Fonds".
Dossiers et livres :
-
Catalogue des Francs-Maçons suisses 1910-1911 : Deuxième partie comprenant toutes les Loges sauf celles de Genève/éd. par William Vogt [1912]
-
Le syndicalisme suisse : Histoire politique de l'Union syndicale 1880-1980/Philippe Garbani, Jean Schmid [1980]
-
125e anniversaire Suchard [1951] - Nouvelle revue neuchâteloise : Faust et Le Corbusier/Marc Alb. Emery [1984]
-
Nos monuments d'art et d'histoire : Assemblée générale à Neuchâtel [1985/2]
-
Revue neuchâteloise : Guide de l'art monumental du 20e siècle dans le canton de Neuchâtel/Chantal Sandoz
-
Géographie du département du Jura/Paul Joanne [1912].
Dossier contenant de très nombreux documents dont notamment :
- plans divers de situation (reproductions, échelle 1:100-1:500) ;
- plans et coupes divers de réalisation (reproductions, échelle 1:20-1:100) ;
- plans et coupes de détails divers (reproductions, échelle 1:5-1:50) ;
- croquis et schémas divers ;
- correspondances diverses ;
- devis, soumissions ;
- autres...
Agrandissement fenêtres entresol
Dossier d'architecture; nombreux détails menuiseries
Dessins Held N°: 7414, 7415, 7438, 7439, 7445. Aménagement du restaurant : plans et élévations intérieures
Agrandissement et transformation : plan et coupe
Dossier complet d'architecture
Aménagement de tea-room et magasin dans immeuble appartenant à Veuve Chs. Hemmeler