Expertise patrimoniale des Grand magasins Innovation SA / Jelmoli, dans le cadre d'une demande de démolition-reconstruction.
Contient :
- Coupure de journaux
- Correspondance diverse
- Photographies avant et après destruction
Expertise patrimoniale des Grand magasins Innovation SA / Jelmoli, dans le cadre d'une demande de démolition-reconstruction.
Contient :
Expertise dans le cadre d'un arbitrage entre Frei & Egger Architekten et la société immobilière Burgacker Ag.
Contient :
Dossiers techniques et administratifs documentant les différentes étapes de la construction du Collège du Lac (~Neues Gymnasium Biel), ou Nouveau Collège, de Bienne.
Comprend :
Archives techniques (plans originaux, dossiers de construction et des chantiers) et administratives (correspondances, pièces comptables, pièces diverses) et photographiques documentant toute l'activité professionnelle de Max Schlup. Contient notamment les dossiers concernant le Palais de congrès de Bienne.
Max SchlupArticles dans l'INSA sur Le Locle et La Chaux-de-Fonds, intitutlé "Neuchâtel Ville et canton, Le Locle, La Chaux-de-Fonds".
Dossiers et livres :
Catalogue des Francs-Maçons suisses 1910-1911 : Deuxième partie comprenant toutes les Loges sauf celles de Genève/éd. par William Vogt [1912]
Le syndicalisme suisse : Histoire politique de l'Union syndicale 1880-1980/Philippe Garbani, Jean Schmid [1980]
125e anniversaire Suchard [1951] - Nouvelle revue neuchâteloise : Faust et Le Corbusier/Marc Alb. Emery [1984]
Nos monuments d'art et d'histoire : Assemblée générale à Neuchâtel [1985/2]
Revue neuchâteloise : Guide de l'art monumental du 20e siècle dans le canton de Neuchâtel/Chantal Sandoz
Géographie du département du Jura/Paul Joanne [1912].
Vue à vol d'oiseau aquarellée de la cité des villas Dubochet à Clarens. Il s'agit probablement d'un projet ; les villas représentées ne correspondant pas précisément à celles qui ont été réalisées; le plan d'ensemble, l'implantation des villas et leur diversité stylistique correspondent toutefois à la réalisation.
Plans, coupes, façades et détails concernant une construction nouvelle d'une maison unifamiliale à Interlaken.
Plans, coupes, façades et détails concernant la maison de Mr. Stauffer à Spiez.
Plans concernant une nouvelle chauffage à vapeur et des façades. Propriété de H. Seewer, architecte G. Rhyner (architecte à Frutigen).
Plans, coupes et façades d'une construction nouvelle de l'hôpital cantonal à Interlaken.
Plans concernant plutôt le magasin et les écuries de cette quincaillerie.
Plans de trois façades et un détail concernant un hôtel à Interlaken, propriété de Johannes Roth.
Plans, coupes et façades concernant un agrandissement d'une maison à Interlaken.
Plans, coupes et détails concernant la propriété de Mr. Johannes Roth à Interlaken.
Centre de Montcroix, Délémont : situation.
Maquette sobre en bois permettant une étude de la lumière par les fentes. L'ancienne église semble difficile à agrandir correctement: nombreuses études de variantes insatisfaisantes par rapport à la volumétrie ou à la vue. Ceci a certainement encouragé l'architecte a établir un projet d'église neuve daté de 1965 et d'inspiration organique. Grandes coques de bois en forme d'ailes.
Ce dossier artificiel ne contient que des documents sortis des dossiers existants, mais jamais rangés, parce que M. Daucourt a toujours refusé de les coter. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
Grand tirage photographique de l'extérieur, tiroir. Une des grandes églises totalement neuves construites par Jeanne Bueche. Implantation parallèle à la route principale, sur un terrain en pente. Coupe intelligente avec salle paroissiale en sous-sol comme prolongation du mur de soutènement. L'église est composée d'un grand volume avec toiture en pente et d'un volume encastré avec toiture en pente inversée pour définir le choeur. Efficacité spatiale malgré l'économie de moyens. La volumétrie relativement réduite de cette église catholique en terre réformée est agrandie visuellement par l'absence de percements dans la maçonnerie. La maquette montre que les toits inversés de la chapelle jouent en opposition au toit traditionnel d'une grande ferme (aujourd'hui disparue) sur le terrain en face. L'ensemble est construit de maçonnerie crépie en blanc, les claustras sont en béton. L'intérieur en brique de terre cuite apparente est chaleureux. Ce choix de matériau pour le revêtement intérieur révèle discrètement le matériau des murs structurels.
1 plan et 1 coupe de l'Eglise à Ins (1/200),
cartable. Ce concours prévoyait la construction d'une chapelle catholique. Le projet de Jeanne Bueche n'a pas été construit mais elle a repris le conept pour le projet de Vellerat. A Ins, l'église est liée au presbytère par un passage couvert et un mur de soutènement formant ainsi un parvis.
dossier d'avant-projet pour une villa en style régionaliste et pittoresque.
dossier d'avant-projet (1:100) pour une maison au chemin des mûriers, à Delémont, plusieurs esquisses de variantes pour la toiture et les façades avec le même plan (révèlent la progression de la réflexion). Avant-projet abandonné de maison familiale pour Paul Aubry, ingénieur civil que Jeanne Bueche mandatera pour la construction de la chapelle de Montcroix à Delémont. Expression monumentale du volume et éléments pittoresques. Projet apparenté à la villa du docteur Jean-David Gloor, vétérinaire à Oron-la-Ville.
dossier d'avant-projet (1:100) avec estimation des coûts griffonnée sur la couverture par Jeanne Bueche. Une des première maison familiale de Jeanne Bueche, programme économique. L'expression semble dérivée des projets de maisons jumelées faits à la même époque.
petit dossier d'avant-projet (1:100). Ce projet de maison familiale s'inscrit dans la série des premières oeuvres de Jeanne Bueche. Il s'agit d'une construction simple avec un toit à 4 pans avec l'appartement à l'étage et le garage au rez-de-chaussée.
relevés d'une maison dans la vieille ville de Delémont.
relevés. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.
relevés. Restauration de la chapelle villageoise en surplomb de la commune. Jeanne Bueche construit un plafond voûté en bois de type naval. Des esquisses montrent cette bizarrerie spatiale en terre jurassienne. Toutefois, ce procédé permet d'améliorer considérablement les proportions intérieures du bâtiment.
relevés. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.
relevés. L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
relevés. La chapelle de Miserez est une des plus ancienne chapelle gothique du Jura. Elle se trouve en pleine campagne et un foyer de retraite a été construit à ses côtés. En 1971, Jeanne Bueche est mandatée pour la restauration de l'édifice alors à demi abandonné. Les travaux sont subventionnés par la Confédération. La restauration est très simple et consiste à remettre les éléments fort du bâtiment en valeur. Vitraux de Januarius Di Decarli.
tirages héliographiques. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
tirages annotés du projet de transformation. Transformation d'une maison bourgeoise sur la place de l'hôtel de ville pour une famille de notables.
Tirages d'un projet de transformation. Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.
plusieurs tirages. Maison à caractère imposant et toit à 4 pans, reliée aux dépendances par un porche couvert à colonnes. Eléments classicisants (colonnes perretiennes, escalier intérieur) et régionalistes (appareillage de pierre apparente en façade). On remarque l'aisance du programme. Ce projet, dessiné à St-Imier, est un des premiers grands projets de Jeanne Bueche.
un tirage. Etudes pour une cordonnerie.
dossier composé de tirages. L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
tirages héliographiques qui portent la mention St-Imier sans aucune indication d'auteur. Projet de clinique rationnelle construite ou transformée vraisemblablement par le père de Jeanne Bueche.
2 tirages des plans . L'église de Cornol est une église jurassienne typique du XVIIIe siècle. Le projet de modernisation de Jeanne Bueche est caractéristique de sa spécialisation dans ce domaine. L'intervention consiste à mettre en évidence la carcasse structurelle du bâtiment. Le décor - autels, chaire, stucs, statuaire - étant supprimé, Jeanne Bueche réinterprète la spatialité du lieu et modernise sa matérialisation: platrage des murs, redessin du pavement, reconstruction du plafond en bois. Les éléments cultuels et le mobilier sont repensés dans l'esprit de la liturgie postconsiliaire et de l'esthétique nouvelle: autels en pâte de verre, bancs modernes, polychromie du choeur. Les vitraux sont de Manessier et le retable en marbre rose de Remo Rossi. L'effet général est de bon ton. En 1961, Jeanne Bueche remplace la couverture du clocher par une majestueuse flèche en style régional.
Tirages héliographiques du cinéma "La Piccionaia" de Rino Tami.
Durant la guerre, Jeanne Bueche est stagiaire au Tessin chez Rino Tami. Il est difficile de savoir à quels projets elle collabore, mais l'influence de Tami sur Jeanne Bueche est évidente. Les deux architectes sont restés bons amis longtemps.
tirages. Dessins originaux conservés par les Archives de la République et Canton du Jura, à Porrentruy.
plans et dessins aquarellés. Grands projets d'urbanisation pour l'Est delémontain.
tirages héliographiques des plans d'ingénieur. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
plan, plan du sous-sol (1/200),
cartable. Une des grandes églises totalement neuves construites par Jeanne Bueche. Implantation parallèle à la route principale, sur un terrain en pente. Coupe intelligente avec salle paroissiale en sous-sol comme prolongation du mur de soutènement. L'église est composée d'un grand volume avec toiture en pente et d'un volume encastré avec toiture en pente inversée pour définir le choeur. Efficacité spatiale malgré l'économie de moyens. La volumétrie relativement réduite de cette église catholique en terre réformée est agrandie visuellement par l'absence de percements dans la maçonnerie. La maquette montre que les toits inversés de la chapelle jouent en opposition au toit traditionnel d'une grande ferme (aujourd'hui disparue) sur le terrain en face. L'ensemble est construit de maçonnerie crépie en blanc, les claustras sont en béton. L'intérieur en brique de terre cuite apparente est chaleureux. Ce choix de matériau pour le revêtement intérieur révèle discrètement le matériau des murs structurels.
plans d'ingénieur. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
Tirages du concours sur papier fort, colonne du Parthénon (vraisemblablement un exercice d'apprenti). Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
relevés, plans de poutraison, projet. Transformation d'une grande ferme jurassienne typique (toit à croupe): le rural est aménagé en plusieurs appartements de vacances. Jeanne Bueche conserve au maximum la structure existante et intègre des fenêtres rustiques dans les façades!
relevés (1/50), dessins d'exécution, détails de conservation des stucs, projets pour l'autel et l'ameublement, relevés de la charpente. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.
dessins d'exécution pour la sacristie et le porche, études de détails. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.
dessins définitifs d'exécution, détails constructifs. L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
projet d'étude pour les salle d'assises et d'audience, croquis et dessins provisoires, plans, coupes, façades(1:50). L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
idem 0071.04.0277. L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
plans d'étage (1:50), projet définitif. L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
plans d'exécution, détails constructifs. L'état de Berne confie en mandat direct à Jeanne Bueche la mission de transformer l'ancien palais de justice: aménagement d'une salle d'assise, construction de nouvelles prisons, restauration du bâtiment existant. Grand chantier fait de petites interventions. Architecture en rien caractéristique, si ce n'est par son intégration à l'existant.
avant-projet, projet (1/50) et détails d'exécution, vue intérieure en perspective centrale, vue du choeur de la chapelle de Vellerat. Restauration de la chapelle villageoise en surplomb de la commune. Jeanne Bueche construit un plafond voûté en bois de type naval. Des esquisses montrent cette bizarrerie spatiale en terre jurassienne. Toutefois, ce procédé permet d'améliorer considérablement les proportions intérieures du bâtiment.
dossier d'exécution. Maison de dimension réduite construite à St-Brais pour l'abbé Jeanbourquin. Architecture régionale avec quelques éléments pittoresques (porte de garage voûtée, chaînage de pierre!) de goût douteux.
projet exécuté pour l'oirie, et consacré à une nouvelle barrière ainsi qu'à l'aménagement d'un appartement indépendant dans les combles, relevés de l'immeuble (1:50) et projet. Aménagement de divers équipements et d'un appartement dans les combles d'une maison de maître à Delémont, à l'avenue de la gare. Cet immeuble en style régionaliste est inventorié dans l'INSA.
dessins d'exécution, en particulier pour la croix et l' escalier à vis de la tribune. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
dessins d'exécution du bâtiment. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
esquisses et dessins définitifs (1/50). La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
brouillons des plans sous forme de bouts de calques avec esquisses et croquis. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
dossier complet pour l'exécution de la chapelle, belle coupe (1/10) sur la moise de la colonne, coupe en long sur le choeur, plans d'exécution soignés, détails constructifs (1/1). La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
plans d'ensemble montrant la chapelle et la résidence avec jardin, avant-projet (1/100) de la version finale vraisemblablement dessiné après la fin du chantier, très beaux plans, avant-projet plus simple daté 06.49. Le projet de Montcroix comprend tous les objets regroupés sous la dénomination Domaine de Montcroix.
0071.04.0265/1 : dessins ; 0071.04.0265/2 : tirages pour le concours avec vue en perspective. Projet intéressant pour un concours de salle polyvalente à Granges. Composition articulée de plusieurs volumes, architecture à toit de béton voûtés et façades en pierre. Dans le jardin d'inspiration romantique, une quantité d'arbres tempèrent la monumentalité de l'architecture. Le résultat est un singulier mélange de modernité et de pittoresque propre à Jeanne Bueche.
projet de transformation de la ferme, traces de projet pour une grande salle, des ateliers et une école ménagère. Ce projet consiste à transformer la ferme certainement en vue d'une nouvelle méthode d'agriculture. Traces d'un projet de bâtiment neuf destiné à abriter une grande salle, des ateliers et une école ménagère.
dossier d'exécution complet avec projet (1/50) et détails constructifs (1/20). Construction d'un entrepôt pour les Forces Motrices Bernoises à Delémont. Bâtiment appuyé aux anciens remparts de la ville. L'expression architecturale manifeste l'ossature en béton armé à la manière d'Auguste Perret. Le remplissage des façades est constitué par les portes en bois du dépôt et par des claustras en béton. Le bâtiment a été démoli en 1988.
grands plans aquarellés et gouachés se référant aux autres dossier portant sur le même sujet. Grands projets d'urbanisation pour l'Est delémontain.
dessin (1/1) d'un claustras circulaire destiné à recevoir un vitrail de Fernand Léger. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Tirage d'un plan, servait d'emballage au dossier 0071.04.0254. Projet de concours pour une église catholique et une salle paroissiale. Architecture murale à toit plat inhabituelle pour Jeanne Bueche. Articulation intéressante des volumes, création d'un parvis avec clocher détaché.
avant-projet (1:100), projet (1:50) daté 10.3.1972 et esquisses de variantes de façades. Maison à caractère moderne régional typique de Jeanne Bueche, composée d'un volume avec un grand toit à un pan. Les études montrent des variantes plus traditionnelles avec une toiture à deux pans, ainsi que des essais de façade en crépis ou en bois.
projet de concours (1:200) sur papier cartonné (architecture à caractère moderne sans éléments régionaux), plan général cruciforme, façades des pavillons d'hébergement avec loggias (ce projet n'a certainement pas été dessiné par Jeanne Bueche). La maison des retraites est un centre de formation religieuse et sa construction fut l'objet d'un concours. L'édification du bâtiment se fait à l'emplacement d'un ancien bâtiment.Projet pour un centre catholique de rencontre, d'hébergement et de prière situé à proximité du couvent de Montcroix à l'emplacement d'une ancienne demeure.
projet complet pour la transformation: escalier extérieur, entrée, escalier de la tribune, maître-autel, socle, tabernacle, autres dossiers: dessins de l'agrandissement de la maison St-Georges à St-Imier (17.09.62), chapiteau corinthien, plan de l'église de Réclère. Jeanne Bueche restaure la chapelle du village de Buix. Elle modernise l'accès à l'extérieur, ajoute une entrée, dégage les poteaux porteurs en bois et les plafonds de leurs stucs. La décoration intérieure et le mobilier sont refaits d'une manière sobre et élégante.
dessin d'une croix. Projet ou relevé pour une croix en fer forgé à Buix, peut-être pour la tombe de la famille Prongué.
divers relevés de maisons rurales jurassiennes. Divers relevés de maisons rurales:
1) maison Chételat, Courrendlin
2) Cernevillers, potence de cuisine
3) jeu de quille au restaurant de l'ange, à Bressaucourt
4) ferme Crevoisier, Alexis, à Lajoux
5) relevé, à Réclère
6) carte jurassienne des cuisines rurales, recensement
7) relevé d'un foyer de cuisine découvert en janvier 1980 dans l'écurie de M. Philippe Theubet (1:20)
projet de concours (1/100) sous forme de tirages collés sur du papier cartonné. Projet de concours pour un grand palais urbain de type classique. Dans le cas présent, ce modèle est adapté à une configuration urbaine en V à l'angle de deux rues, créant ainsi une façade sur rue et une façade sur jardin. L'architecture exprime le système porteur ossaturé en béton armé. L'effet monumental convient au programme et au site. Ce projet s'inspire directement du bâtiment de Perret construit au Trocadéro des années auparavant.
dessins à l'encre sur contrecalques. Planification à grande échelle pour une extension urbaine au sud de Delémont. Modèle romantique de la cité-jardin: rues en courbe, peu d'immeubles collectifs, maisons individuelles en ordre non-contigu.
projet (1:100), rendu de concours. Projet de théâtre avec un bureau de poste au rez inférieur. Expression architecturale qui manifeste la structure portante ponctuelle en façade: têtes de dalles et poteaux définissent des surfaces de remplissage crépies. Typologie perretienne du grand palais classique. Majestuosité et générosité surprenante en milieu rural.
tirages héliocopies de Paul Aubry, ingénieur civil EPFZ à Tavannes. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
quelques dessins grandeur nature. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.
dessin grandeur (1/1) en très mauvais état. Dessin ou relevé d'une fenêtre d'église certainement.
tirages sur papier (1/100). La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
tirages de plans, de ferraillage et de structure. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
tirages héliographiques des plans d'ingénieur. Une des grandes églises totalement neuves construites par Jeanne Bueche. Implantation parallèle à la route principale, sur un terrain en pente. Coupe intelligente avec salle paroissiale en sous-sol comme prolongation du mur de soutènement. L'église est composée d'un grand volume avec toiture en pente et d'un volume encastré avec toiture en pente inversée pour définir le choeur. Efficacité spatiale malgré l'économie de moyens. La volumétrie relativement réduite de cette église catholique en terre réformée est agrandie visuellement par l'absence de percements dans la maçonnerie. La maquette montre que les toits inversés de la chapelle jouent en opposition au toit traditionnel d'une grande ferme (aujourd'hui disparue) sur le terrain en face. L'ensemble est construit de maçonnerie crépie en blanc, les claustras sont en béton. L'intérieur en brique de terre cuite apparente est chaleureux. Ce choix de matériau pour le revêtement intérieur révèle discrètement le matériau des murs structurels.
brouillons des dessins, études de détails architecturaux (profil des colonnes, etc), beaux dessins d'étude, élévations et axonométries. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
dossier complet d'exécution (1:20) et avant-projet (1:50), détail de la porte d'entrée. Maison en style moderne régional avec jeu de volumes et de toitures encastrées propre à Jeanne Bueche. Modernité du plan avec articulation des espaces de jour (cuisine, living-room). Séparation des espaces de jour et des espaces de nuit. Etage partiellement mansardé. Les volets sont un élément pittoresque très marqué.
plans d'exécution (1/20) et détails constructifs, variantes d'implantation avec le même bâtiment. La chapelle de Vellerat est un des bâtiments religieux entièrement neuf construit par Jeanne Bueche. Construite dans un hameau jurassien en 1960, c'est une oeuvre tardive. Malgré la dimension réduite, la répartition des ouvertures et des pleins permet d'agrandir visuellement l'échelle des masses. Le bâtiment est composé d'un clocher pénétrant le volume de la chapelle et définissant ainsi le choeur. Construction de la chapelle en maçonnerie crépie et claustras en béton, le clocher est en béton. Vitraux de Bréchêt malgré l'économie de moyens.
plan. Grands projets d'urbanisation pour l'Est delémontain.
bons à tirer d'affiches sur papier fort, peinture et collages. 2 dessins de Jeanne Bueche, 1 imprimé de Florian Bueche et 1 affiche imprimée. Dessin pour une grande inscription et projet pour un orgue.
avant-projet (1/200), études d'implantation. Grand bâtiment à typologie rationnaliste avec expression moderne régionale: façades en pierre et béton, toit à 3 pans, en tuile. La grandeur de l'édifice relativiserait l'échelle de la chapelle.
Esquisses pour le concours, brouillons. Concours gagné et construit par H.+G. Reinhardt, Berne. Ressemblance avec le projet de Jeanne Bueche au point de vue de l'implantation et de la volumétrie. Idées de façades avec expression structurelle et éléments pittoresques.
Esquisses et perspective intérieure. Esquisses pour un projet audacieux d'agrandissement du coeur par un déambulatoire. Belle perspective intérieure montrant des colonnes de style perretien. Projet malheureusement non-construit.
tirages annotés, avant-projet non-construit avec différences mineures par rapport au projet construit: distribution, garage et pergola. Maison en style moderne régional avec volumes et toitures encastrées. Ingéniosité de la coupe pour la prise de lumière, richesse spatiale, construction soignée. Une des plus belles réalisation privée de Jeanne Bueche. Le maître de l'ouvrage, Alphonse Widmer, recteur du lycée cantonal de Porrentruy, fera appel à Jeanne Bueche quelques années plus tard pour restaurer un mas en Provence.
études (1:100) pour la surélévation du toit, plans, coupes, façades (1:50), agrandissement du magasin en 1966: aménagement intérieur, étagères ingénieuses à redans. Transformation d'un bâtiment urbain en librairie, surélévation du toit d'un niveau pour y installer l'appartement du propriétaire.
relevés de l'ancien bâtiment, plans d'origine, petits croquis sur calque, avant-projet (1/200). Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.
avant-projet (1:100) et détails cuisine (1:1). projet semble en lien avec le projet Appartement Chappuis, Marc
Dossier d'exécution avec plans, coupes et façades (1:50, 1:20). Plans datés à St-Imier. Bâtiment à caractère moderne régional montrant la juxtaposition des modules de classes. La coupe montre un décrochement en toiture souvent utilisé par les modernes pour un soucis d'éclairage naturel optimal, même au centre des pièces.
relevés, croquis d'étude, plans, coupes, façades (1/100), dessins finaux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
avant-projet (1:100) daté 30.6.53 et projet en vue de l'exécution: plans, coupes, façades (1:50) daté 15.2.54. Avant-projet abandonné de maison familiale pour Paul Aubry, ingénieur civil que Jeanne Bueche mandatera pour la construction de la chapelle de Montcroix à Delémont. Expression monumentale du volume et éléments pittoresques. Projet apparenté à la villa du docteur Jean-David Gloor, vétérinaire à Oron-la-Ville.
dossier complet pour l'exécution avec détails constructifs. Maison à caractère imposant et toit à 4 pans, reliée aux dépendances par un porche couvert à colonnes. Eléments classicisants (colonnes perretiennes, escalier intérieur) et régionalistes (appareillage de pierre apparente en façade). On remarque l'aisance du programme. Ce projet, dessiné à St-Imier, est un des premiers grands projets de Jeanne Bueche.
relevés du bâtiment existant (1:50), projet de surélévation, études d'implantation (1:1000), tirages annotés de la chapelle. Après l'abandon du projet de collège, Jeanne Bueche est mandatée pour surélever l'ancien bâtiment des pères, qui perdra ainsi son cachet rustique. La nouvelle charpente est constituée de fermes industrialisées en bois sans appuis intermédiaires et permet l'aménagement de dortoirs.
dessins d'exécution, nombreux détails constructifs. Projet plus modeste daté 21.9.50 avec plans, coupes et façades (1:50). Hangar avec structure béton apparente. Caractère monumental, tour de séchage des tuyaux. Projet plus modeste daté 21.9.50.
projet et relevés. Projet de transformation d'une maison de 1596 avec fenêtres à meneaux sculptés. Relevés de meneaux similaires au numéro 36 de la grand-rue, chez Jeanne Bueche.