Ensemble relié contenant des plans et des photographies de maquettes
Catalogue rassemblant de nombreuses usines. "L'Union englobe les plus importantes Usines de France" dixit.
Planches
Ce recueil de planches contient en introduction plusieurs textes de la SADG
Concerne : Exposition nationale suisse (1896 - Genève). Village suisse
Cet ouvrage se compose d'un rapport et d'une série de reproductions séparées par des calques. Le rapport est annoté par Charles Weibel et contient six pages de correspondance au sujet de l'hôtel municipal.
Recueil de 100 planches, troisième série.
Recueil de planches, cartable contenant le document en 3 cahiers non reliés.
Recueil de 13 petites planches cartonnées en français et en allemand.
Catalogue de cheminées en marbre.
Ouvrage traitant du zinc et de son utilisation.
Carnet de calculs et de relevés des détails de la surface des sols, relié, collage de plans sur papier calque à l'intérieur du carnet, notes manuscrites
Adresse manuscrit "Monsieur Marguet, pré du marché à la Villetta, Lausanne", cachet postrale de Vevy du 29 juillet 18[63] et de Lausanne à la même date.
Notations manuscrites.
Avec sceaux et cachet de Vevy du 1 août 1863 et de Lausanne à la même date.
Adressée à M. Marguet architecte, pré du marché à la Villetta, Lausanne.
Papier en tête de "Ormond & Cie, Vevy et Genève (Suisse)".
Concerne des détails par rapport aux exigences du travail.
Trace sceaux et cachet de Vevy du 6 août 1863 et de Lausanne à la même date.
Papier en tête de "Ormond & Cie, Vevy et Genève (Suisse)".
Adressé à M. Marguet architecte au pré du Marché à Lausanne à la Villetta.
Concerne une précision par rapport au calque envoyé avec la lettre du 29 juillet.
Programme détaillé du projet "L'économie n'est pas toujours profitable" pour la construction de la salle de spectacles, avec description des planches.
Plan de l'élévation générale du pont, échelle 1:500, 15 juin 1890, reproduction.
Plan demi-coupe transversale, échelle 1:10, 15 juin 1890, reproduction.
Plan d'élévation partielle d'une extrémité de la bâche, échelle 1:10, 15 juin 1890, reproduction.
Plan de raccordement des chemins de halage avec les culées, échelle 1:10, 15 juin 1890, reproduction.
Plan des appareils d'ancrage et de dilatation, échelle 1:10, 15 juin 1890, reproduction.
Plan de l'épure des résistances et indication des panneaux de l'âme des poutres, échelles diverses, 15 juin 1890, reproduction.
Cahier (4p.) contenant l'ensemble des détails estimatifs des travaux, 15 juin 1890, reproduction.
Palais du Tribunal fédéral Lausanne, concours. Dévise “Lycurgue”. Croquis du projet définitif, variante du projet de concours, tenant compte des observations du jury. Crayon et gouache sur papier
Palais du Tribunal fédéral Lausanne, concours. Dévise “Lycurgue”. Plan d'étage (sous-sol). Crayon, encre et aquarelle
Palais du Tribunal fédéral Lausanne, concours. Dévise “Lycurgue”. Plan d'étage (combles). Encre et aquarelle sur papier
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Plan d'étage (sous-sol).
Encre et aquarelle sur papier.
Au dos de la pièce est collé une feuille sur laquelle un texte manuscrit de B. Recordon mentionne qu'il s'agit des planches du "projet dit des Cinq Architectes" et qui explique dans quelles conditions ce projet a pu se développer.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Coupe longitudinale.
Encre et aquarelle sur papier.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Plan d'étage (rez-de-chaussée). Encre et aquarelle sur papier.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Plan d'étage (étage principal). Encre et aquarelle sur papier
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Façade nord, élévation. Encre et aquarelle sur papier.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Façade latérale, élévation. Encre et aquarelle sur papier.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Coupe transversale. Encre et aquarelle sur papier.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Façade principale, élévation. Encre et aquarelle sur papier.
Palais du Tribunal fédéral, Montbenon. Façade principale, perspective. Encre et lavis sur papier.
Titre propre : " Le Palais du Tribunal Fédéral de Montbenon, à Lausanne. Esquisse Monographique par Benjamin Recordon, Architecte. "
Texte monographique éditée probablement par l'auteur (aucune mention d'éditeur). Imprimerie La Concorde, Lausanne.
2 exemplaires
Fontaine Dapples à Monbenon. Variante du corps central. Crayon et aquarelle sur papier : échelle 1:50.
1 Carnet contenant 9 reproductions de plans et une page avec un extrait de texte en lien avec l'inauguration du 5 mai 1877. L'état d'usure des reproductions des plans rend la lisibilité difficile.
Flèche de l'église de Môtiers. Elévation. Crayon et lavis sur calque collé sur carton. Projet datant de l'époque ou B. Recordon travaillait pour le bureau de Léo Châtelain à Neuchâtel.
1 Reproduction d'un dessin d'architecture pour le projet des bâtiments académiques de Lausanne, Édifice de Rumine (1890)
Récit autobiographique chronologique de 1845 à 1890 dactylographié.
Bien que très semblable, le contenu de la présente pièce n'est pas exactement identique à la Pièce 0023.04.0001/42 - " Autobiographie manuscrite de 1845 à 1890 ".
Journal chronologique manuscrit de 1845 à 1930 sous forme de tableau avec une granularité au jour relatant des faits essentiellement d'ordre privé brièvement décrits.
Titre propre : " Recordon Benjamin et sa famille de Rances. Résumé chronologique général. 1845 - 1930 ".
Le contenu bien que semblable n'est pas identique à la Pièce 0023.04.0001/45 - " Journal chronologique manuscrit de 1881 à 1935 ".
Journal chronologique manuscrit sous forme de tableau avec une granularité au jour relatant des faits essentiellement d'ordre privé brièvement décrits du 27 avril 1932 au 6 novembre 1933.
Le contenu bien que semblable n'est pas identique à la Pièce 0023.04.0001/45 - " Journal chronologique manuscrit de 1881 à 1935 ".
Journal chronologique manuscrit de février 1880 à juin 1889 variant entre de brèves descriptions de faits et des considérations plus détaillées. Le contenu aborde notamment, des éléments biographiques privés et professionnels, des descriptions et des relevés météorologiques, et des notes sur les élections communales de Vevey et de Lausanne. Quelques esquisses et croquis sont également présents dans le carnet.
Photographies de bâtiments prise en 1926 à Nice, Cagnes et Monaco. Photographe : B. Recordon.
Dédicace en page de titre : " à mon cher collègue et ami M. B. Recordon un souvenir affectueux Gull "
Photocopie d'une lettre manuscrite (1879) de François Bocion (1828-1890) adressée à B. Recordon au sujet de l'emplacement du palais de Justice de Montbenon
Étude concernant le terrain au Midi de l'Hôtel des postes à Lausanne
4 pages A4 d'une lettre dactylographiée datant de 1939. Lettre d'hommages officiels adressée par l'EPF à Madame Franel lors du décès de son mari, Monsieur Jérôme Franel (1859-1939), mathématicien.
L'hypothèse de "l'habit d'arlequin" associée à la décalcomanie énoncée dans la cote 07 semble se confirmer au vu des élévations. Copier / coller.
Représentation : plan/rez-de-chaussée
Objet : Villa et dépendances. Maison d'un niveau avec combles habitées, toiture vaudoise, révillonnée, plan au sol en tau. Escalier placé au bout de la longue branche du tau,les indications du propriétaire ont influencé le projet, autant du point de vue formel que de celui de l'organisation interne (information orale donnée par le maître de l'ouvrage) Le Dr Georges Piguet possède le dossier administratif et un dossier d'exécution presque complet de cet objet, catalogués sous 0024.05.0001 et 0024.04.0 Plusieurs plans dans le dossier varia 0024.04.0086 L'objet porte également le nom de SI Ballègues SA
Représentation : perspective/façade garage
Objet : Une copie carbone d'une lettre d'accompagnement dépourvue de signature datée du 3 oct. 1936 adressée à Louis Monay, Garage Ch. Ramuz SA Lausanne: "Mon cher Monay, voici les petits croquis que je vous avais promis. Ils vous montreront plus clairement que mes explications comment j'envisage les différents enduits de la façade du garage." (dossier 0024.04.0036)
A côté de la signature -E. Terry Arch.- les initiales IF, probablement un dessinateur. Il existe d'autres dessins et esquisses de cette desserte,ils ne sont pas tous signés E. Terry. Un plan signé J. Cornaz de 1931 semble concerner une variante du même objet .
Représentation : élévation/côté du plateau, plan/desserte, élévation/faces développées du piètement
Objet : Nous présumons qu'il s'agit d'Auguste Brandenburg, puisque le piètement de la table est constitué du monogramme AB. Il apparaît que E. Terry puis J. Cornaz ont travaillé successivement sur ce même objet. L'un et l'autre ont exploité l'aspect anguleux du A et la rotondité du B, pour les affronter ou les associer. Un plan 1:2 signé E. Terry, arch. de 1928 (ancienne cote 10) en est un bon exemple. Tous ces plans se trouvent dans le dossier 0024.04.0004. Une commode signée J. Cornaz, sans date, exploite le même monogramme stylisé. Le meuble est composé d'un plateau à angles rabattus posé sur un support en zig-zag formé des initiales entrelacées.
Représentation : élévation/façade nord, élévation/façade sud, élévation/façade est, élévation/façade ouest
Objet : Bâtiment d'un niveau sous un toit en croupe, cantonné par une véranda à l'ouest. Composition symétrique des façades nord et sud avec pignon transversal en guise de fronton. Le toit est recouvert de tuiles canal formant génoise et toutes les ouvertures sont barlongues. Variation en mode mineur des grandes demeures cornaziennes.
En vrac à la fin du dossier. Planche de mise en couleur du salon du pavillon, par Henry Bischoff,arc décoré d'une fresque.
Représentation : élévation/intérieure salon, élévation/intérieure face cheminée salon
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Sous-dossier 2, avec d'autres études de façade concernant plusieurs objets différents. Probablement variante de la maison Devrient, entrée instrumentée non seulement par la niche-hauteur mais aussi par deux colonnes qui soutiennent un entablement destiné à recevoir les retombées de la niche. Obélisques en antéfixes, et un trophée à la romaine au faîte du toit.
Représentation : élévation/façade nord
Objet : Un étage sur rez, toit à deux pans. Villa-fronton, une niche réalisée en briques (rappel: la famille Savary, des cousins de Cornaz, possède une fabrique de briques à Faoug, faut-il en tirer des conclusions?) en contraste avec le reste du bâtiment, développée sur toute la hauteur de la façade sur rue, souligne l'entrée. La façade sud (vers le lac) a un rythme 1-3-1. La travée centrale est soulignée par un revêtement en briques, comme le fronton (qui s'étire sur toute la largeur de la façade). Photos dans le dossier 0024.02.0001, où l'on voit les obélisques placés aux quatre coins du toit. JC signe seul mais E. Terry n'est pas loin. Les déclinaisons autour de la niche-hauteur (ET en réalise une pour Marcel Nahmias à Boulogne-Billancourt) se retrouvent dans de nombreux dossiers, preuve que JC a cherché à la développer, à la replacer ailleurs. Certains détails sont jubilatoires (volute). La maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient. Réalisée, sans doute, par le même maquettiste que celles déposées aux A.C.M. Belle facture, très soignée dans le traitement des matériaux, des teintes. Souci hyperréaliste du rendu de la toiture, du dallage, des parements de briques. Une enveloppe avec permis de construire. Croquis d'intention puis trois variantes de façades sud et nord (les trois étant présentées sur le même calque). Une proposition hispano-provençale développe plusieurs corps de bâtiment disparates sur les trois côtés d'une cour fermée par un mur d'enceinte, dont la porte d'entrée est en arc. Une autre solution avec portique en façade nord au milieu duquel s'ouvre la porte d'entrée en forme de niche, propose en plan un hall rappellant, à une échelle différente, l'antichambre classique.
Héliographie colorée, avec légende des parties à démolir, à construire et à conserver. Suppression du porche hors oeuvre d'origine, remplacé par une entrée centrale. Libéré de l'escalier à double volée, le hall reçoit un nouvel escalier semi-circulaire balancé à droite. Un vestiaire et un WC sont logés sous cet escalier. Le plan est clarifié, la façade nord hiérarchisée, les espaces servants bien définis. La suppression du vestiaire et du WC initiaux au profit d'une grande bibliothèque donne une bonne idée du travail de détail auquel se livre Jack Cornaz. Une fois tracé l'axe de symétrie nord-sud, curetage du volume (suppression de deux vérandas semi-circulaires). En façade sud, il retravaille parfois de quelques centimètres seulement les embrasures des ouvertures de façon à respecter les entraxes.
Représentation : plan/rez-de-chaussée
Objet : Le nom de la propriété est successivement: Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par JC associé à Bujard et Roessler en 1960. JC n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails: ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …,Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Etude de l'ordonnance nord dépouillée de tous les ornements et surtout sans toit, ce qui laisse penser que à ce stade il s'agit de définir un parti, basé uniquement sur l'analyse des pleins et des vides, et que la forme du toit n'est pas encore définie. Des études similaires existent dans le même dossier pour les façades est et ouest.
Représentation : élévation/façade nord
Objet : Le nom de la propriété est successivement: Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par JC associé à Bujard et Roessler en 1960. JC n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails: ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …,Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Proposition de niche hauteur comprenant porte et fenêtre,l'ensemble du bâtiment se présente comme un fronton muni d'une clé qui, en raison de sa position, prend une importance considérable et fausse les rapports d'échelle. Il ne s'agit probablement pas de la Villa Inaebnit, mais se trouve dans un dossier concernant cet objet.
Représentation : élévation/façade sur jardin
Objet : Cube "classicisant" d'un niveau sur rez-de-chaussée. Sous-sol. Toit à deux pans à faible pente. Gênoise sur les pignons simulant un fronton. Ordonnance des murs goutterot franchement quelconque. Quelques tics cornaziens: portes-fenêtres en plein cintre avec contrevents distincts haut / bas. Garde-corps "Empire".
Deux catégories émergent: cornes d'abondance opposées ou affrontées de part et d'autre de l'oeil-de-boeuf ou feuilles d'acanthes.
Représentation : élévation/fronton
Agencement rationnel et centrifuge (tous les éléments contre les murs, centre libre). Deux cuisinières (une à gaz, l'autre électrique). Deux prises de jour sur le même mur dans la cuisine, deux dans l'office. Version pour "ménie disposant de personnel de maison" de la cuisine hygiéniste. Claire séparation office / cuisine par des entrées distinctes débouchant à 45° sur un petit vestibule.
Représentation : plan/cuisine et office, élévation/face AA, élévation/face BB, élévation/face CC, élévation/face CC
Représentation : plan/escalier rez, plan/escalier premier étage, coupe/AA, coupe/BB