![Original Digitales Objekt not accessible](/uploads/r/archives-de-la-construction-moderne/7/6/6/766aa843cee926458c0670e9b0b74f0b8b850a3391cb6f494ef785dfc04320f9/0185_141.jpg)
Bereich "Identifikation"
Signatur
Titel
Datum/Laufzeit
- 7 mai 1981 (Anlage)
Erschließungsstufe
Umfang und Medium
Bereich "Kontext"
Name des Bestandsbildners
Bestandsgeschichte
Abgebende Stelle
Bereich "Inhalt und innere Ordnung"
Eingrenzung und Inhalt
Conférence de Werner OESCHLIN, professeur à Bonn et à Berlin. L'histoire est à la mode, depuis que le post-modernisme, soutenu par un marketing expansif, a déclaré le « anything goes ». Mais il y a bien d'autres raisons que celles de la mode pour analyser les rapports de l'architecture avec sa dimension historique. Quant à Palladio, déjà Wotton (1612) a bien su séparer le côté historique (limité à son propre contexte) du côté « logique » et générique. Et nous trouvons chez Palladio lui-même les fondements réels d'une telle définition a-historique : la déclaration de « règles universelles », la postulation d'une science de l'architecture et d'une méthode de créer les projets, la description de typologies architecturales. Si nous parcourons l'histoire de la critique de Palladio de Wotton à Quatremère de Quincy, de Colin Rowe à la Casa Tonini de Reichlin/Reinhart de 1972-74, la question se dirige donc vers une vérification des fondements réels d'une imitation : si elle s’oriente plutôt vers la phénoménologie des formes ou bien si elle est capable de retracer les « règles universelles » qui sont celles de l'architecture d'hier et d'aujourd'hui.