Area dell'identificazione
Tipo di entità
Forma autorizzata del nome
Forma(e) parallele di nome
- John-Théodore Cornaz
Forme normalizzate del nome in conformità ad altre regole
Altra(e) forma(e) di nome
Codice identificativo dell'ente
Area della descrizione
Date di esistenza
Cronologia
Architecte ENSBA. Formé à l'ENSBA-Paris (atelier Defrasse), actif à Lausanne et environs de 1924 à 1966. Réputation d'architecte "néo XVIIIe" puisant son inspiration chez Andrea Palladio ou chez Claude-Nicolas Ledoux et ayant travaillé pour la bourgeoisie locale. Création de meubles; composition de jardins; aménagement intérieur. Association avec E. Terry, W. Baumann, I. Ferrari.
Bureau situé à la rue du Lion d'Or 2b, Lausanne. Cornaz se voit confier les travaux de restauration du château de Locarno en 1908, par Naef, président du comité de la société suisse des monuments historiques et ami de son père (Théodore Cornaz), avant le début de ses études aux Beaux-Art de Paris (il pensait alors s'inscrire au Polytechnique de Zurich). Il semble à cette époque avoir déjà une certaine familiarité avec le métier d'architecte (il a 22 ans), peut-être à la suite d'un stage.
Parmi ses réalisations les plus emblématiques figurent le manoir du Petit-Ouchy, aux allure classique, ainsi qu'un petit édifice à fronton et deux maisons reliées par une porte au-dessus du Denantou, pour la famille Brandenburg. Cornaz a également conçu le palais de Roger de Cérenville, un banquier, caractérisé par son portique dorique et ses niches ornées de statues. De plus, il a travaillé sur de nombreuses demeures nouvelles, notamment pour Devrient, Guiness, Maurice Baumgartner, Dr. Georges Piguet, Dr. Jacques Roux, et Dr. Brüstlein, ainsi que sur des rénovations d'anciennes maisons telles que Fantaisie, Hauterive, Cheseaux, et le Schlossberg à la Neuveville. Il a également travaillé au palais de Maurice Sandoz au-dessus des Thermes de Caracalla à Rome. Parmi ses projets, on trouve également le "Pavillon pour un éditeur" à Puidoux, situé sur une éminence.
Luoghi
Architecte.