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Jura
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Église, à la Motte

devis comparatif et correspondance. Une des nombreuses restauration d'église de Jeanne Bueche. La Motte est un charmant hameau situé au bord du Doubs, à la frontière française.

Église, à Vicques

2 variantes d'implantation (1/500) et un croquis. Esquisses d'implantation pour une église, 2 variantes avec études de vue. Variantes d'implantation d'une nouvelle église avec études d'impact visuel

Église, à Undervelier

dossier habituel pour une petite restauration et les petits malheurs qui peuvent en résulter.

Église, à St-Brais

devis et correspondance. Restauration de l'église du village.

Église, à Soubey

dossier complet pour l'exécution. Ce projet est exemplaire pour la pratique de la restauration de Jeanne Bueche. L'église de Soubey, petite commune jurassienne située sur les berges romantiques du Doubs, n'a plus été entretenue pendant des décennies lorsque Jeanne Bueche est chargée de la transformer. La nef gothique, de belle facture, est simplement rénovée alors que le clocher est reconstruit dans sa forme d'origine selon des documents d'époque. L'ensemble retrouve ainsi une unité qu'il avait perdue. Les fenêtres sont ornées de vitraux de Coghuf. Ce chantier illustre le soin avec lequel Jeanne Bueche reconstitue les éléments du passé en acceptant de se soumettre à leur propre règle. Pourtant, dans bien des cas, elle n'hésite pas à intervenir dans la substance du bâtiment et à lui donner un caractère nouveau.

Église, à Réclère

0071.03.0170/1: correspondance ; 0071.03.0170/2 :devis et adjudications. Jeanne Bueche restaure la petite église du XIXe siècle en étant consciente que les proportions de celle-ci sont inélégantes. L'artiste Wilfried Moser, collègue de Jeanne Bueche à la commission fédérale des Beaux-Arts, réalise les vitraux après insistance.

Église, à Montignez

soumissions, devis et correspondance. Restauration d'une église villageoise.

Église, à Miécourt

devis et croquis ainsi que pour le projet de l'église des Breuleux.

Église, à Miserez

relevés. La chapelle de Miserez est une des plus ancienne chapelle gothique du Jura. Elle se trouve en pleine campagne et un foyer de retraite a été construit à ses côtés. En 1971, Jeanne Bueche est mandatée pour la restauration de l'édifice alors à demi abandonné. Les travaux sont subventionnés par la Confédération. La restauration est très simple et consiste à remettre les éléments fort du bâtiment en valeur. Vitraux de Januarius Di Decarli.

Église, à Lajoux [maquette]

Maquette sobre en bois permettant une étude de la lumière par les fentes. L'ancienne église semble difficile à agrandir correctement: nombreuses études de variantes insatisfaisantes par rapport à la volumétrie ou à la vue. Ceci a certainement encouragé l'architecte a établir un projet d'église neuve daté de 1965 et d'inspiration organique. Grandes coques de bois en forme d'ailes.

Église, à Lajoux

variantes d'agrandissement (1/100), plans, coupes, façades (1/50), projet d'église neuve daté de 1965 (d'inspiration organique) peut-être proposé vu la difficulté d'agrandir correctement l'église existante. L'ancienne église semble difficile à agrandir correctement: nombreuses études de variantes insatisfaisantes par rapport à la volumétrie ou à la vue. Ceci a certainement encouragé l'architecte a établir un projet d'église neuve daté de 1965 et d'inspiration organique. Grandes coques de bois en forme d'ailes.

Église, à Lajoux

correspondance du conseil de paroisse qui abandonne le projet de nouvelle église de Jeanne Bueche ainsi que son projet de transformation. L'ancienne église semble difficile à agrandir correctement: nombreuses études de variantes insatisfaisantes par rapport à la volumétrie ou à la vue. Ceci a certainement encouragé l'architecte a établir un projet d'église neuve daté de 1965 et d'inspiration organique. Grandes coques de bois en forme d'ailes.

Église, à Grandfontaine

croquis de charpente très intéressant, tirages de la coupe, soumissions, contrat et correspondance, en particulier avec le curé. Modernisation et aménagement de l'église. Intervention intéressante en charpente permettant la surélévation du plafond. Amélioration de la volumétrie intérieure. Mandat à Adrien Holy pour la fresque du coeur. Première transformation d'église pour Jeanne Bueche. Cette activité deviendra sa spécialité.

Église, à Grandfontaine

croquis d'étude. Modernisation et aménagement de l'église. Intervention intéressante en charpente permettant la surélévation du plafond. Amélioration de la volumétrie intérieure. Mandat à Adrien Holy pour la fresque du coeur. Première transformation d'église pour Jeanne Bueche. Cette activité deviendra sa spécialité.

Église, à Glovelier

décompte, correspondance et devis. Petites transformations dans l'église.

Église, à Glovelier

restauration de la tour, contentieux avec la paroisse qui refuse de payer les honoraires et qui engage un autre architecte pour le reste de l'église. Petites transformations dans l'église.

Église, à Glovelier

détails constructifs (1/20, 1/1) de porte, entrée et balustrade. Petites transformations dans l'église.

Église, à Fahy

relevé sommaire de Jeanne Bueche, devis général, correspondance. Aménagement et modernisation d'une église jurassienne.

Église, à Epauvillers

plans d'exécution. Restauration d'une église de campagne dans le Clos-du-Doubs.

Église, à Develier

restauration de l'église. Transformation et aménagement intérieur de l'église de Develier. Les fenêtres seront ornées de vitraux de Manessier. Jeanne Bueche crée un nouveau plafond à caisson et modules géométriques un peu curieux dans ce contexte.

Église, à Develier

tirages et dessins pour les bancs des stalles, une feuille manuscrite de Jeanne Bueche. Transformation et aménagement intérieur de l'église de Develier. Les fenêtres seront ornées de vitraux de Manessier. Jeanne Bueche crée un nouveau plafond à caisson et modules géométriques un peu curieux dans ce contexte.

Église, à Courtételle

correspondace relatant un litige avec les autorités communales provoque l'abandon du projet de Jeanne Bueche au profit de celui d'Alban Gerster, le maître de l'ouvrage exige une expertise de la SIA au sujet des honoraires de Jeanne Bueche, Jeanne Bueche fait recours auprès du président de la SIA contre cette expertise qui lui cause un tort moral. Projet d'agrandissement par ajout de bas-côtés, diverses tentatives de résolution du pignon en style pittoresque. Les bas-côtés, directement inspirés de l'église du Raincy de Perret, sont composés de voûtes transversales par rapport à la nef. L'effet est saisissant. Le projet semble avoir été abandonné. Le projet de Jeanne Bueche prévoyait l'agrandissement de l'église du village par l'adjonction de bas-côtés sur le même principe que le chantier de Courfaivre mais avec une succession de voûtes en béton. Suite à un contentieux grave avec les autorités, ce projet ne sera finalement pas construit et entraînera la fin de l'étude d'autres projets dans cette commune.

Église, à Courtételle

croquis d'étude, plan pour l'agrandissement de l'église de Courfaivre daté de 1952 et présentant quelques similitudes de principe. Projet d'agrandissement par ajout de bas-côtés, diverses tentatives de résolution du pignon en style pittoresque. Les bas-côtés, directement inspirés de l'église du Raincy de Perret, sont composés de voûtes transversales par rapport à la nef. L'effet est saisissant. Le projet semble avoir été abandonné. Le projet de Jeanne Bueche prévoyait l'agrandissement de l'église du village par l'adjonction de bas-côtés sur le même principe que le chantier de Courfaivre mais avec une succession de voûtes en béton. Suite à un contentieux grave avec les autorités, ce projet ne sera finalement pas construit et entraînera la fin de l'étude d'autres projets dans cette commune.

Église, à Courtedoux

devis, accomptes et correspondance, petits contentieux avec certains artisans. Dessins originaux conservés par les Archives de la République et Canton du Jura, à Porrentruy.

Église, à Courtedoux

tirages. Dessins originaux conservés par les Archives de la République et Canton du Jura, à Porrentruy.

Église, à Courtedoux

Contentieux assez grave avec le charpentier. Dessins originaux conservés par les Archives de la République et Canton du Jura, à Porrentruy.

Église, à Courrendlin

correspondance et documents habituels pour ce type d'intervention. Restauration d'une belle église jurassienne du XVIIIe siècle. Les deux autels latéraux baroques sont conservés.

Église, à Courgenay

dossier de construction habituel. Jeanne Bueche restaure ici une église du XIXe siècle plus grande que les église jurassiennes habituelles, avec nef et bas-côtés.

Église, à Courfaivre et Halle, à Courfaivre

0071.03.0036/1: église, à Courfaivre: bons de charpentier et soumissions ; 0071.03.0036/2: halle, à Courfaivre: soumissions pour la halle des fêtes ; 0071.03.0036/3: église, à Courfaivre: soumissions.

Église, à Courfaivre

tirages héliographiques. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

adaptation tardive du choeur de l'église à la nouvelle liturgie de Vatican II. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

dessin (1/1) d'un claustras circulaire destiné à recevoir un vitrail de Fernand Léger. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

documents habituels précédent l'ouverture d'un chantier. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

factures de Fernand Léger pour l'exécution des vitraux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

relevés, croquis d'étude, plans, coupes, façades (1/100), dessins finaux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

décompte de maçonnerie et correspondance générale. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

tirages héliocopies de Paul Aubry, ingénieur civil EPFZ à Tavannes. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

tirages héliographiques des plans d'ingénieur. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courchavon

préparation du chantier. Le village de Courchavon compte deux églises: l'une de construction récente, au centre du village, n'a pas été bâtie par Jeanne Bueche. L'autre église, sur la colline, est désaffectée et seul le clocher est encore visible. Il est difficile a déterminer où Jeanne Bueche est intervenue.

Église, à Cornol

construction d'un nouveau porche. L'église de Cornol est une église jurassienne typique du XVIIIe siècle. Le projet de modernisation de Jeanne Bueche est caractéristique de sa spécialisation dans ce domaine. L'intervention consiste à mettre en évidence la carcasse structurelle du bâtiment. Le décor - autels, chaire, stucs, statuaire - étant supprimé, Jeanne Bueche réinterprète la spatialité du lieu et modernise sa matérialisation: platrage des murs, redessin du pavement, reconstruction du plafond en bois. Les éléments cultuels et le mobilier sont repensés dans l'esprit de la liturgie postconsiliaire et de l'esthétique nouvelle: autels en pâte de verre, bancs modernes, polychromie du choeur. Les vitraux sont de Manessier et le retable en marbre rose de Remo Rossi. L'effet général est de bon ton. En 1961, Jeanne Bueche remplace la couverture du clocher par une majestueuse flèche en style régional.

Église, à Cornol

2 tirages des plans . L'église de Cornol est une église jurassienne typique du XVIIIe siècle. Le projet de modernisation de Jeanne Bueche est caractéristique de sa spécialisation dans ce domaine. L'intervention consiste à mettre en évidence la carcasse structurelle du bâtiment. Le décor - autels, chaire, stucs, statuaire - étant supprimé, Jeanne Bueche réinterprète la spatialité du lieu et modernise sa matérialisation: platrage des murs, redessin du pavement, reconstruction du plafond en bois. Les éléments cultuels et le mobilier sont repensés dans l'esprit de la liturgie postconsiliaire et de l'esthétique nouvelle: autels en pâte de verre, bancs modernes, polychromie du choeur. Les vitraux sont de Manessier et le retable en marbre rose de Remo Rossi. L'effet général est de bon ton. En 1961, Jeanne Bueche remplace la couverture du clocher par une majestueuse flèche en style régional.

Église, à Cornol

dossier complet pour la transformation de l'église et de son clocher: soumissions, devis, décompte et correspondance. L'église de Cornol est une église jurassienne typique du XVIIIe siècle. Le projet de modernisation de Jeanne Bueche est caractéristique de sa spécialisation dans ce domaine. L'intervention consiste à mettre en évidence la carcasse structurelle du bâtiment. Le décor - autels, chaire, stucs, statuaire - étant supprimé, Jeanne Bueche réinterprète la spatialité du lieu et modernise sa matérialisation: platrage des murs, redessin du pavement, reconstruction du plafond en bois. Les éléments cultuels et le mobilier sont repensés dans l'esprit de la liturgie postconsiliaire et de l'esthétique nouvelle: autels en pâte de verre, bancs modernes, polychromie du choeur. Les vitraux sont de Manessier et le retable en marbre rose de Remo Rossi. L'effet général est de bon ton. En 1961, Jeanne Bueche remplace la couverture du clocher par une majestueuse flèche en style régional.

Église, à Charmoille

documents nécessaires à la restauration de cette église. Réfection de l'intérieur de l'église, en particulier le sol et le plafond.

Église, à Charmoille

croquis d'étude. Réfection de l'intérieur de l'église, en particulier le sol et le plafond.

Église, à Buix

projet complet pour la transformation: escalier extérieur, entrée, escalier de la tribune, maître-autel, socle, tabernacle, autres dossiers: dessins de l'agrandissement de la maison St-Georges à St-Imier (17.09.62), chapiteau corinthien, plan de l'église de Réclère. Jeanne Bueche restaure la chapelle du village de Buix. Elle modernise l'accès à l'extérieur, ajoute une entrée, dégage les poteaux porteurs en bois et les plafonds de leurs stucs. La décoration intérieure et le mobilier sont refaits d'une manière sobre et élégante.

Église, à Buix

correspondance, devis et soumissions. Jeanne Bueche restaure la chapelle du village de Buix. Elle modernise l'accès à l'extérieur, ajoute une entrée, dégage les poteaux porteurs en bois et les plafonds de leurs stucs. La décoration intérieure et le mobilier sont refaits d'une manière sobre et élégante.

Église, à Boécourt

soumissions et décompte. Restauration intérieure d'une église villageoise et réparation à l'identique des éléments dégradés.

Église, à Bonfol

Ddvis général pour une restauration de l'extérieur de l'église paroissiale. Il s'agit semble-t-il d'un petit chantier de restauration extérieure.

Église, à Boncourt

tirages des plans de l'église de Boncourt et brochure historique sur cette église. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

correspondance, devis, expertise des historiens d'art, démission de Jeanne Bueche et contentieux. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

tirages, plans, coupes, élévations (1/100) de l'état existant. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

devis, soumissions et correspondance pour la transformation de l'église de Boncourt
. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

documents manuscrits. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

dessins d'exécution pour la sacristie et le porche, études de détails. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

relevés. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Boncourt

tirages des plans d'origine, signés Gustave Doppler architecte, Bâle. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.

Église, à Beurnevésin

correspondance avec tirages annotés et publicité + restauration de l'église. Transformation intérieure d'une petite église dominant le village. Coeur gothique bien proportionné et nef tardive, clocher situé à l'intersection. Jeanne Bueche réaménage le coeur et y crée une sacristie. Création de mobilier sacré.

Église, à Beurnevésin

correspondance et soumissions. Transformation intérieure d'une petite église dominant le village. Coeur gothique bien proportionné et nef tardive, clocher situé à l'intersection. Jeanne Bueche réaménage le coeur et y crée une sacristie. Création de mobilier sacré.

Église, à Beurnevésin

  • 0071.04.0001
  • Dossier
  • 23.06.1961-24.10.1968
  • Fait partie de BUECHE Jeanne

relevés (1/100), plans, coupes, élévations (1/50) du choeur et de la nef,
détails (1/20, 1/10, 1/1) de l'autel, des fenêtres, des marches, de la porte,
croquis d'étude (autel). Transformation intérieure d'une petite église dominant le village. Coeur gothique bien proportionné et nef tardive, clocher situé à l'intersection. Jeanne Bueche réaménage le coeur et y crée une sacristie. Création de mobilier sacré.

Église, à Asuel

Ce dossier montre le contentieux qui a opposé Jeanne Bueche au maître de l'ouvrage pour des raisons d'honoraires. Finalement, le projet audacieux de Jeanne Bueche pour l'agrandissement du choeur par un déambulatoire à colonnes perretiennes ne sera pas construit. . Esquisses pour un projet audacieux d'agrandissement du coeur par un déambulatoire. Belle perspective intérieure montrant des colonnes de style perretien. Projet malheureusement non-construit.

Église, à Asuel

Esquisses et perspective intérieure. Esquisses pour un projet audacieux d'agrandissement du coeur par un déambulatoire. Belle perspective intérieure montrant des colonnes de style perretien. Projet malheureusement non-construit.

Église, aux Breuleux : rendu de concours

Rendu de concours. Pour ce concours, Antognini semble conserver le nef de l'ancienne église mais la recouvre d'une charpente béton à nervures et caissons. Le choeur est reconstruit en demi-cercle. Le concours demandait l'agrandissement de l'église très étriquée et en mauvais état, tout en gardant le clocher. Les différences de niveau du sol ont permis l'aménagement au sous-sol d'une sacristie et d'une salle de réunion à l'usage de la paroisse. Concours restreint, projet primé par le conseil de paroisse.

Église, au Noirmont

échange de correspondance avec la commission de construction de la nouvelle église contentieux dû sans doute au montant de la dépense pour une si petite commune dans le contexte de l'époque (l'édifice sera construit par Dumas de Fribourg), lettre à Etienne Bueche au sujet de l'école du Noirmont.

École, à Mervelier

Devis général et offres pour un oratoire, aussi curieux que cela puisse paraître dans un dossier intitulé école!.

École, à Glovelier

Soumissions, devis et correspondance. Jeanne Bueche restaure l'ancienne école du village. Dans les années septante, une nouvelle école sera construite par André Brahier,autre architecte jurassien intéresant.

École, à Delémont

Nombreux croquis pour le concours de la nouvelle école de Delémont. Etudes d'implantation, de façades et de volumétrie. . Concours gagné et construit par H.+G. Reinhardt, Berne. Ressemblance avec le projet de Jeanne Bueche au point de vue de l'implantation et de la volumétrie. Idées de façades avec expression structurelle et éléments pittoresques.

École, à Delémont

Esquisses pour le concours, brouillons. Concours gagné et construit par H.+G. Reinhardt, Berne. Ressemblance avec le projet de Jeanne Bueche au point de vue de l'implantation et de la volumétrie. Idées de façades avec expression structurelle et éléments pittoresques.

École, à Courfaivre

fragments (1:100). Projet mal déterminé. Il s'agit sans doute d'une école.

École, à Charmoille

Croquis d'études et variantes d'intervention. Projet de transformation et d'agrandissement d'une école de village jurassienne typique.

École, au Noirmont

plans, coupes, façades (1:50) ; coupe (1:20) sur la charpente ; nombreuses études de façades avec annotations. Architecture plus régionale et plus moderne qui correspond à une phase de l'évolution de Jeanne Bueche. Bâtiment à caractère moderne régional montrant la juxtaposition des modules de classes. La coupe montre un décrochement en toiture souvent utilisé par les modernes pour un soucis d'éclairage naturel optimal, même au centre des pièces.

École, au Noirmont

Dossier d'exécution avec plans, coupes et façades (1:50, 1:20). Plans datés à St-Imier. Bâtiment à caractère moderne régional montrant la juxtaposition des modules de classes. La coupe montre un décrochement en toiture souvent utilisé par les modernes pour un soucis d'éclairage naturel optimal, même au centre des pièces.

École, au Gros-Seuc, à Delémont

Règlement et programme du concours pour la construction d'une école au lieu-dit: le Gros-Seuc par la municipalité de Delémont. Rapport de Jeanne Bueche sur son projet Evariste. Règlement et programme du concours pour la construction d'une école au lieu-dit: le Gros-Seuc par la municipalité de Delémont. Rapport de Jeanne Bueche sur son projet Evariste.

École normale, à Delémont

dossier montrant la décision d'agrandir l'école normale est retardée par l'Etat (de Berne) pour cause de programme de construction chargé et pour cause de problèmes fonciers (terrain pas encore acquis). Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.

École normale, à Delémont

Tirages d'un projet de transformation. Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.

École normale, à Delémont

relevés de l'ancien bâtiment, plans d'origine, petits croquis sur calque, avant-projet (1/200). Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.

École normale, à Delémont

aménagements intérieurs dans les combles de l'ancien bâtiment: chambres, bains et WC. Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.

École enfantine, à Courgenay

avant-projet (1/100),
coupes constructives détaillées (1/20). Beau bâtiment bipartite avec une grande toiture, coupe soignée. Expression moderne tempérée.

École enfantine, à Courgenay

décompte, devis et correspondance. Beau bâtiment bipartite avec une grande toiture, coupe soignée. Expression moderne tempérée.

École enfantine, à Courfaivre

plans, coupes, façades (1/100),
architecture inhabituelle chez Jeanne Bueche. Projet à toit plat rare chez Jeanne Bueche, non construit.

Villa Burrus, Henry, à Boncourt

  • 0001.04.0033
  • Dossier
  • 1920
  • Fait partie de HELD

Concerne agrandissement; par mimétisme; dossier complet; pittoresque néo-médiéval

Usine Viellard et Migeon, à Courchapoix

devis général, notes manuscrites, document de génie civil imprimé portant sur les coques en béton. Projet d'usine avec plan articulé entre la Halle de production, le hall et les bureaux. Architecture qui manifeste la structure en béton, type Perret. Grande similitude avec la chapelle de Montcroix. Toiture composée d'une série de sheds voûtés en voiles de béton. Le projet sera abandonné après un contentieux avec le maître de l'ouvrage.

Usine Viellard et Migeon, à Courchapoix

dossier divisé en deux parties, contient tous les documents qui ont précédé l'abandon du projet et le grave contentieux qui a opposé Jeanne Bueche au maître de l'ouvrage. Projet d'usine avec plan articulé entre la Halle de production, le hall et les bureaux. Architecture qui manifeste la structure en béton, type Perret. Grande similitude avec la chapelle de Montcroix. Toiture composée d'une série de sheds voûtés en voiles de béton. Le projet sera abandonné après un contentieux avec le maître de l'ouvrage.

Usine Viellard et Migeon, à Courchapoix

projet complet (1:50), quelques détails constructifs. Projet d'usine avec plan articulé entre la Halle de production, le hall et les bureaux. Architecture qui manifeste la structure en béton, type Perret. Grande similitude avec la chapelle de Montcroix. Toiture composée d'une série de sheds voûtés en voiles de béton. Le projet sera abandonné après un contentieux avec le maître de l'ouvrage.

Usine Viellard et Migeon, à Courchapoix

documentation, correspondance et devis. Projet d'usine avec plan articulé entre la Halle de production, le hall et les bureaux. Architecture qui manifeste la structure en béton, type Perret. Grande similitude avec la chapelle de Montcroix. Toiture composée d'une série de sheds voûtés en voiles de béton. Le projet sera abandonné après un contentieux avec le maître de l'ouvrage.

Usine Viellard et Migeon, à Courchapoix

esquisses et croquis d'étude. Projet d'usine avec plan articulé entre la Halle de production, le hall et les bureaux. Architecture qui manifeste la structure en béton, type Perret. Grande similitude avec la chapelle de Montcroix. Toiture composée d'une série de sheds voûtés en voiles de béton. Le projet sera abandonné après un contentieux avec le maître de l'ouvrage.

Usine Viellard et Migeon, à Courchapoix

avant-projet complet. Projet d'usine avec plan articulé entre la Halle de production, le hall et les bureaux. Architecture qui manifeste la structure en béton, type Perret. Grande similitude avec la chapelle de Montcroix. Toiture composée d'une série de sheds voûtés en voiles de béton. Le projet sera abandonné après un contentieux avec le maître de l'ouvrage.

Urbanisme, à Delémont

nombreuses esquisses (1:1000, 1:500) pour l'urbanisation des quartiers Est de la ville de Delémont (Morépont, le Righi) et Ouest (route de Rossemaison). Grands projets d'urbanisation pour l'Est delémontain.

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