BASSECOURT, Commune ecclésiastique
- 0193
- SFonds
- 1956-1957
Un dossier de 49 plans originaux concernant la chapelle de Berlincourt, de l'architecte Jeanne Bueche (v. Fonds 0071).
Jeanne Bueche
1 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques
BASSECOURT, Commune ecclésiastique
Un dossier de 49 plans originaux concernant la chapelle de Berlincourt, de l'architecte Jeanne Bueche (v. Fonds 0071).
Jeanne Bueche
Fait partie de BUECHE Jeanne
esquisses pour un bâtiment inconnu. Esquisses pour un bâtiment inconnu.
Chapelle St-Hubert, à Bassecourt
Fait partie de BUECHE Jeanne
devis, soumissions et correspondance. Il s'agit de la restauration d'une petite chapelle sur la paroisse de Bassecourt, située autrefois en dehors de l'agglomération et aujourd'hui intégrée dans les quartiers résidentiels. L'intervention est typique de Jeanne Bueche: mise à nu de l'espace initial, traîtement des éléments constructifs et restauration des éléments manquants. Aspect général sobre.
Fait partie de BUECHE Jeanne
dossier administratif d'exécution avec correspondance, soumissions, décompte et devis. La chapelle de Berlincourt est un des rares sanctuaires construit entièrement par Jeanne Bueche. Il s'agit d'une petite chapelle située à la campagne. Elle est construite en style moderne régional: murs en pierre appareillée, huisseries en bois, couverture en tuiles mécaniques. La matérialisation joue ici un rôle particulièrement important car elle donne à la chapelle son expression architecturale. Malgré ses dimensions réduites, le bâtiment semble généreux par des astuces volumétriques: tribune en avant-corps, absence de fenêtres, proportions habiles. L'espace est éclairé par de longues bandes vitrées intermédiaires entre la maçonnerie et la toiture. La façade nord à pignon donne à l'ensemble un caractère de temple vernaculaire. Vitraux de Maurice Estève.
Clocher, à l'Église, à Courfaivre
Fait partie de BUECHE Jeanne
devis et soumissions, correspondance. Quelques années après avoir transformé l'église, Jeanne Bueche est mandatée pour reconstruire la flèche du clocher. Elle élèvera une pointe de béton armé contrastant singulièrement avec le reste du bâtiment.
Fait partie de BUECHE Jeanne
dossier de correspondance qui relate l'abandon du projet par le maître de l'ouvrage. Transformation d'une maison du début du siècle et agrandissement par épaissisement du bâtiment.
Fait partie de BUECHE Jeanne
projet d'agrandissement (1/100), croquis d'étude et relevés. Transformation d'une maison du début du siècle et agrandissement par épaissisement du bâtiment.
Fait partie de BUECHE Jeanne
devis et factures pour la construction d'un garage à la cure de Courfaivre.
Fait partie de BUECHE Jeanne
adjonction d'un garage à un bâtiment existant.
Fait partie de BUECHE Jeanne
dossier complet pour l'exécution,
dessins (1/50, 1/20, 1/1),
détails constructifs. Belle maison de type familial. Implantation impressionnante à flanc de pente, coupe astucieuse dans le traîtement de la pente et de la volumétrie. Toit à faible pente, tuiles jurassiennes rouges et murs porteurs crépis ou en brique klinker. Détails soignés: porte, etc.
Entrepôt Rémy Christe, à Courfaivre
Fait partie de BUECHE Jeanne
avant-projet (1/200). Entrepôt et bureaux pour une firme de produits préfabriqués en ciment. Jeanne Bueche a utilisé ce type de produits dans la commune pour la restauration et l'agrandissement de l'église. Bâtiment d'expression moderne avec toiture inversée.
Fait partie de BUECHE Jeanne
dessin grandeur (1/1) en très mauvais état. Dessin ou relevé d'une fenêtre d'église certainement.
Fait partie de BUECHE Jeanne
plans, coupes, façades (1/200), plusieurs études de charpente avec conséquences volumétriques.
Maison Mazzucotelli, à Glovelier
Fait partie de BUECHE Jeanne
maison pour deux familles avec toit plat, avant-projet. Maison disgracieuse avec toit plat, ce qui n'est pas fréquent chez Jeanne Bueche.
Maison Willy Mahler, à Courfaivre
Fait partie de BUECHE Jeanne
correspondance et devis.
Maison Willy Mahler, à Courfaivre
Fait partie de BUECHE Jeanne
plan, coupe (1:50), agrandissement d'une maison existante.
Fait partie de BUECHE Jeanne
plans, coupes, façades (1/100),
architecture inhabituelle chez Jeanne Bueche. Projet à toit plat rare chez Jeanne Bueche, non construit.
Fait partie de BUECHE Jeanne
fragments (1:100). Projet mal déterminé. Il s'agit sans doute d'une école.
Fait partie de BUECHE Jeanne
Soumissions, devis et correspondance. Jeanne Bueche restaure l'ancienne école du village. Dans les années septante, une nouvelle école sera construite par André Brahier,autre architecte jurassien intéresant.
Fait partie de BUECHE Jeanne
tirages héliographiques. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
adaptation tardive du choeur de l'église à la nouvelle liturgie de Vatican II. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
dessin (1/1) d'un claustras circulaire destiné à recevoir un vitrail de Fernand Léger. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
documents habituels précédent l'ouverture d'un chantier. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
factures de Fernand Léger pour l'exécution des vitraux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
relevés, croquis d'étude, plans, coupes, façades (1/100), dessins finaux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
décompte de maçonnerie et correspondance générale. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
tirages héliocopies de Paul Aubry, ingénieur civil EPFZ à Tavannes. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Fait partie de BUECHE Jeanne
tirages héliographiques des plans d'ingénieur. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
Église, à Courfaivre et Halle, à Courfaivre
Fait partie de BUECHE Jeanne
0071.03.0036/1: église, à Courfaivre: bons de charpentier et soumissions ; 0071.03.0036/2: halle, à Courfaivre: soumissions pour la halle des fêtes ; 0071.03.0036/3: église, à Courfaivre: soumissions.
Église, à Courfaivre et cathédrale, à N'Zérékoré
Fait partie de BUECHE Jeanne
Dessins d'étude en élévation et perspective pour l'église de Courfaivre et la cathédrale de N'Zérékoré.
Fait partie de BUECHE Jeanne
décompte, correspondance et devis. Petites transformations dans l'église.
Fait partie de BUECHE Jeanne
restauration de la tour, contentieux avec la paroisse qui refuse de payer les honoraires et qui engage un autre architecte pour le reste de l'église. Petites transformations dans l'église.
Fait partie de BUECHE Jeanne
détails constructifs (1/20, 1/1) de porte, entrée et balustrade. Petites transformations dans l'église.
Fait partie de BUECHE Jeanne
devis et correspondance.
Fait partie de BUECHE Jeanne
dossier habituel pour une petite restauration et les petits malheurs qui peuvent en résulter.