Texte tapuscrit contenant la version préliminaire des propos du premier Congrès international d'architecture moderne (Congrès de La Sarraz), qui se tiendra au Château de La Sarraz en juin 1928. Le document inclut le programme de travail, une liste de six questions destinées à être débattues lors du congrès, la liste des architectes participants et celle des représentants de la presse invités.

Document imprimé, relié, contenant la version définitive des propos et du programme du premier Congrès international d'architecture moderne (Congrès de La Sarraz), qui se tiendra au Château de La Sarraz du 28 au 28 juin 1928. Le document inclut les six questions destinées à être débattues lors du congrès. Contient une pièce destinée à être collée à l'intérieur de la couverture : "Membres du Comité de Patronage par ordre alphabétique".

Document textuel, daté, rédigé par Alberto Sartoris. Transcription manuscrite de Zoé Sartoris, depuis l’original dactylographié. Contient la relation d’Alberto Sartoris pour le Congrès préparatoire international d’architecture moderne de La Sarraz.
Le préambule annonce : « Toutes les déclarations qui suivront, seront faites également au nom de mon collègue Carlo Enrico Rava, architecte de Milan ».

Document textuel contenant la version française de la déclaration finale du Congrès préparatoire international d’architecture moderne.
Suite du titre : Congrès préparatoire international d’architecture moderne au Château de la Sarraz, du 25 au 29 juin 1928. Traditionnellement connu sous le titre : Déclaration de La Sarraz.

Document textuel contenant les résolutions et les décisions prises lors du congrès, comprenant l’institution du CIRPAC (Comité international pour la réalisation du problème architectural moderne), l’élection des comités d’action et d’honneur et la rédaction d’une déclaration finale.

Document textuel. Article signé par Lucienne Florentin, coupé de l’édition du 3 juillet 1928 de « La Suisse ». Contient la transcription de la correspondance entre Gabriel Guevrerkian à Joseph Vago concernant sa candidature au Congrès, et de l’échange de télégrammes entre Johnny Aubert et Hélène de Mandrot, concernant la candidature de Flegenheimer.