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M. Fuksas & A.-M. Sacconi

  • 0185.02.0011/03
  • Pièce
  • 8 février 1984
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition M. Fuksas et A.-M. Sacconi par Massimiliano FUKSAS, architecte, Rome.
M. Fuksas et A.-M. Sacconi travaillent ensemble depuis 1967 et leurs premières réalisations, un palais des sports et un immeuble d'habitations à Rome datent de 1973. Entre-temps, les luttes politiques les ont beaucoup accaparés mais ils ont, depuis 1973, produits des dizaines de projets. Quatorze de ceux-ci sont en cours de réalisation : tous mêlent intimement espace réel et espace illusoire. Tous résultent de manipulations subtiles, tous brouillent les cartes du jeu de l'architecture : le nouveau cimetière est l'ombre de l'ancien, les fenêtres de l'école maternelle ont l'air de se projeter vers l'extérieur, l'intérieur de la cathédrale est un extérieur, le palais des sports est aussi une ville aperçue à travers les arches d'un pont, la façade du gymnase est en train de disparaître pour laisser plus de place à une nouvelles structure, etc. (AA, 09.62).

Le musée romain de Mérida

  • 0185.02.0011/12
  • Pièce
  • 24 novembre 1984
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Rafael MONEO, architecte, Madrid.
Les différents types de musée qui se sont succédés en architecture ont été le résultat de quelque idée dominante : palais des souvenirs, la lumière comme condition naturelle du spectacle, la mobilité spatiale comme adaptation permanente aux objets exposés. Il semblerait que l'architecture du musée ait quand même toujours été considérée comme la création d'un lieu vide pour lequel le projet doit opter pour le chemin de la neutralité et du fonctionnalisme. Le projet de Rafael Moneo pour le Musée archéologique de Merida en Espagne propose un concept de départ différent : le problème du support n’est pas interprété de façon neutre ni comme le résultat immatériel de quelques conditions dans lesquelles les objets viennent à être exposés mais, au contraire, il est défini au même niveau que les oeuvres elles-mêmes. Partir de la matérialité concrète d'un mur romain en briques signifie que les oeuvres du musée y sont installées d‘une manière précise confrontant le blanc du marbre au rose de l'appareil de briques et la délicatesse de sa ciselure à la rugosité de la terre cuite.
Trois images semblent souligner ce concept qui donne forme au plan de Mérida. d'un côté la forme romantique pour percevoir, en référence à Piranèse, comment ce fragment a pu parvenir jusqu’à nous. De l'autre côté, il y a la tradition moderne de la restauration et finalement, la troisième image, en même temps la plus littéraire, est celle qui naît de la redondance : l'image du mur romain reste comme la juste connotation pour une exposition d'architecture romaine (d'après I. D. S. Morales, Lotus 35).

Le Corbusier et De Stijl : convergences et divergences

  • 0185.02.0012/02
  • Pièce
  • 23 janvier 1985
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Bruno REICHLIN, professeur à l'EAUG.

  1. La Villa La Roche à Auteuil 1923-25 : vers la décomposition en plan du complexe pariétal
  2. De Stijl et Le Corbusier :
    • Affinités entre les projets De Stijl et la Villa La Roche : affinités formelles et coïncidences chronologiques ; l'exposition De Stijl à la Galerie de l'Effort moderne de 1923 : vers une architecture « dénaturalisée »
    • Diversité entre De Stijl, la Villa La Roche et l'œuvre successive de Le Corbusier : totalité informe versus totalité finie - deux conceptions opposées : une règle « universelle » pour former l'objet versus une pluralité de règles pour composer les contradictions de l'objet.

Construire l'architecture

  • 0185.02.0012/04
  • Pièce
  • 14 février 1985
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Gresleri & Varnier par G. GRESLERI & S. VARNIER, architectes, Rovereto, IT.
l'Italie est-elle encore en mesure de « s’exporter culturellement » ? La période actuelle connaît une remise en cause des grands idéaux avancés par le Mouvement Moderne, remise en cause issue principalement de l'intelligentsia architecturale Made in Italy.
Il est symptomatique de noter que l'Italie semble marquer un temps mort sur le plan des réalisations quand elle se met en évidence par une ample production culturelle architecturale exprimée surtout par le dessin d'architecture et le débat historique. Des expositions de critique architecturale, d'enquêtes historiques, de divulgation et de soutien aux thèses stylistiques de théorie d'architecture sont produites à un rythme remarquable et exportées en Europe et aux USA. Elles constituent un véhicule de grand intérêt mais les constructions sont le fait d'autres nations.
A pareil état de la situation italienne fait exception cette exposition complètement consacrée à des œuvres italiennes construites par Glauco Gresleri et Silvano Varnier dans les quinze dernières années dans le Frioul méridional. Leurs caractéristiques peuvent être résumées en quelques points : une grande sensibilité au génie du lieu et à la végétation, l'attention portée à la lumière, au contrôle technique de la construction, la poésie et la modestie des détails ainsi qu’une grande résistance au temps.

Libérer l'espace habitable entre les choses

  • 0185.02.0012/08
  • Pièce
  • 20 novembre 1985
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition Herman Hertzberger : six architectures photographiées par Johan van der Keuken par Herman HERTZBERGER, architecte, Amsterdam.

La fin des villes : mythes et réalités

  • 0185.02.0013/10
  • Pièce
  • 12 novembre 1986
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Paul-Henri CHOMBART DE LAUWE, directeur de recherches au CNRS, directeur d'études à l'EHESS, Paris.
Au croisement des différentes sciences autant psychologiques et ethnographiques que sociologiques, Paul-Henri Chombart de Lauwe étudie la peuplade que nous sommes, hommes des villes du XXe siècle, face aux maux du modernisme, aux assauts des médias et de la publicité. Comment construire des logements et des villes sans tenir compte de toutes ces données ? Entre l'espace construit, l'individu, les groupes et la société, un jeu complexe se déroule sous nos yeux. Une analyse plus fine des rapports entre les changements dans les techniques de construction, dans l'aménagement de l'espace, dans les modes de vie, dans les représentations, dans l'évolution des besoins fait ressentir l'existence d'un enchaînement de processus qui ne peut pas être analysé d'une manière simpliste, d'une façon linéaire.

Rome : décomposition et recomposition de la ville antique

  • 0185.02.0014/03
  • Pièce
  • 21 janvier 1987
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Carlo BERTELLI, professeur d'histoire de l'art à l'Université de Lausanne.
l'emplacement à la périphérie de la ville ancienne de deux pôles principaux de la nouvelle réalité chrétienne a provoqué un dynamisme centrifuge qui s’opposait à la centralité du Forum. La situation politique créée dans la nuit de Noël 800 avec le couronnement de Charlemagne empereur donne au Pape la possibilité de détruire le Palatin comme résidence de l'empereur et de transformer son palais administratif au Latran en une résidence officielle sur le modèle du palais de Constantinople.
La deuxième étape sera la construction d'une ville nouvelle, la cité léonine, tout près de Saint Pierre. Rome devient une conurbation composée de centres différents, petites communautés fortifiées disséminées dans une région en grande partie inhabitée. C’est au XIVe siècle qu’on remet en question cet aspect de Rome en réalisant une grande construction publique, l'escalier de l'Aracoeli qui change l'orientation de la ville vers le nouveau centre habité qui est installé dans la région autrefois peu peuplée du Champ de Mars. Cette situation détermine le dynamisme de la Rome des Papes, comme problème de rattachement des parties isolées dans la ville, ce qui demande la présence de symboles urbains très forts pour souligner une unité qui existe à peine dans le tissu urbain.

l'architecture contemporaine à Barcelone : du privé au public

  • 0185.02.0015/03
  • Pièce
  • 3 février 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence d'Ignasi DE SOLA-MORALES, historien de l'architecture, Barcelone.
On a écrit l'histoire de l'art moderne comme un récit linéaire. Mais cette vision est bien trompeuse. Dans les dernières années, il y a eu dans la culture architectonique une certaine découverte de ce qui se réalise maintenant à Barcelone. Mais ce qui se passe aujourd'hui a ses propres racines qui ne sont pas étrangères à l'histoire « officielle » du mouvement moderne et qui doivent être lues comme des tournants particuliers des tendances dominantes de l'architecture européenne des trente dernières années. A Barcelone, à la fin des années 50, un certain nombre d'architectes importants ouvrent un espace de modernité dans la sclérose de l'académisme : Coderch, Sostrés, Moragas pour les premiers ; Bohigas, Carréa, Nadal et d'autres plus tard, en établissant un intense rapport entre l'architecture, la cité et la culture, ont établi les bases qui peuvent expliquer la situation contemporaine. Inégal développement économique, folle croissance urbaine, poids de la tradition, abstraction et réalisme, goût pour les gestes mineurs et exquis, densité linguistique et ironie sont quelques termes qui permettent de dessiner la portée d'une architecture qui, avec les libertés politiques et l'optimisme des institutions publiques, a permis l'explosion architecturale des dernières années.

Architecture in the status of marginality

  • 0185.02.0015/08
  • Pièce
  • 1er juin 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Larry MITNICK, chairman of the Dpt of Architectural Studies, College of Arts, Philadelphy, professeur invité au DA de l'EPFL.
During a period of transition, unknown waters must be navigated in order to reveal possibility. Rather than seek closure and certainty one must learn to exist at a level of instability. An ever revealing, ramificating process is the primary means of authenticity. The legitimacy of knowledge comes from the process rather than the discourse. As Rilke has summed up, one must realise « Poetry as experience ». An architecture on the status of marginality is an architecture at the horizon, where light enters cracks between sunrise and Sunset. Here at the margin, in the cracks, we leave our messsages to our unseen being.

Emanations spectrales / Projections architecturales

  • 0185.02.0015/10
  • Pièce
  • 2 novembre 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Dialogue inaugural de l'exposition « cHUbe cHrOME » entre Robert SLUTZKY, professeur invité au DA de l'EPFL, Peter VERSTEGH et Bruce DUNNING, architectes, Genève, assistants au DA.
cHUbe/cHrOME est une recherche sur les relations métaphoriques et métaphysiques possibles dans et entre la peinture et l'architecture. Elle pose les questions suivantes : est-ce que leur essence peut être déterminée à l'aide de l'expression de métaphores, actuellement à la mode, à la fois comme outil de projétation et comme critère analytique ? Dans ce cas, la signification de l'architecture et de la peinture serait toujours déplacée par rapport à leur expression naturelle (significative). Ou alors, est-ce que la métaphore est à la base même de cette expression naturelle, ce qui déplacerait architecture et peinture de leur contexte historique et technologique ?
En utilisant forme et couleur en tant que concepts abstraits, nous opposons dans ce projet la peinture à l'architecture. Les objets montrent un mouvement entre peinture et architecture. Sans être des réponses, ils renvoient toujours aux questions, en leur permettant d'être ainsi réfléchies.

Le rôle professionnel de l'architecte

  • 0185.02.0015/13
  • Pièce
  • 22 novembre 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Colloque inaugural de l'exposition « Jean Tschumi, esquisse d'une rétrospective » avec la collaboration de :

  • Bernard VITTOZ, président de l'EPFL
  • Paul CHEMETOV, architecte, Paris, professeur à l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
  • Mario DAPRA, ingénieur, responsable des constructions scolaires de la Commune de Turin
  • Peter KNOBLAUCH, directeur général de ZSCHOKKE SA, Genève
  • Pacifico PAOLI, ingénieur, administrateur-délégué de la FIAT Engineering, Turin
  • Pierre TERCIER, professeur de droit à l'Université de Fribourg.

Implications between technology and architecture

  • 0185.02.0015/15
  • Pièce
  • 7 décembre 1988
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Javier SAENZ DE OIZA, architecte, Madrid.
Né en Navarre en 1918 et diplômé de l'Ecole d'Architecture de Madrid en 46, J. Saenz de Oiza va travailler aux Etats-Unis comme pensionnaire de l'Académie des Beaux-Arts et enseigne à Madrid dès son retour. « J’ai une certaine préoccupation pour la didactique, le professeur continue à être un étudiant et, de ce fait, il ne se fige pas. J’ai enseigné l'hygiène et la salubrité à une époque où l'architecture domestique de mon pays présentait des lacunes de cet ordre. J’ai enseigné la matière en partant du sol, de l'eau, de l'importance du contrôle des moyens pour créer la forme du logement. Puis j’ai travaillé au Service d'urbanisme de la province de Madrid. J’ai peu construit : seuls les Torres Blancas de Madrid, la Banque de Bilbao, quelques logements sociaux sont un peu connus. »

Coop Himmelblau

  • 0185.02.0016/03
  • Pièce
  • 1er février 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Wolf D. PRIX, architecte, Vienne et Los Angeles.

Hans Kollhoff, réalisations et projets

  • 0185.02.0016/14
  • Pièce
  • 15 novembre 1989
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition « Hans Kollhoff, réalisations et projets, 1979-1989 » par Hans KOLLHOFF, architecte, Berlin.

Bienne : lecture de la ville ancienne

  • 0185.02.0017/02
  • Pièce
  • 17 janvier 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence inaugurale de l'exposition « Bienne : lecture de la ville ancienne » par Luigi SNOZZI, professeur au DA de l'EPFL, Margaretha PETERS, architecte à Zurich et Ingrid EHRENSPERGER, architecte à Bienne.

Architectures

  • 0185.02.0017/06
  • Pièce
  • 28 février 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Gonçalo BYRNE, architecte, Lisbonne, professeur invité au DA de l'EPFL.

Recent works

  • 0185.02.0017/07
  • Pièce
  • 18 avril 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Justo SOLSONA, architecte, Buenos Aires.

Promenades sur le fil du rasoir

Conférence de Félix KUHN, architecte, Aarau, professeur invité au DA, membre du bureau Metron jusqu’en 1989.
« Promenade entre simplicité et banalité, fasciné par la complexité et la contradiction. Promenade entre rationalisme et romantisme avec le danger de la désolation et du kitsch.
Promenade entre utopies sociales et contraintes économiques. Promenade entre provincialité, petite bourgeoisie et culture familière de la périphérie de la petite ville ou du village. Ce qui me manque le plus dans la discussion actuelle sur l'architecture, ce sont les contenus. Dans le débat intensif sur la forme, la technique, le détail et l'image, ces contenus sont souvent réduits à un rôle secondaire ».

Peter Eisenmann versus Hiromi Fujii : Landscape of Architectural Displacement

  • 0185.02.0017/12
  • Pièce
  • 30 mai 1990
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Hiroshi MARUYAMA, architecte, New York, professeur invité au DA.
If one might say « landscape » appeared in architecture with the birth of « modern subject », Hiromi Fujii, Japan and Peter Eisenmann, USA, are two typical architects who have rejected this « landscape » since the beginning of their work.
However, this problem recently became an inevitable issue for both architects, confronting them with « Outside/Otherness ». The transcendency of « landscape » being confused with tradititional view of nature, seems to be an obstacle to understand Japonese contemporary architecture.
This lecture will define the different approach of these two conceptual architects through my experience of working with them and open a new critical discourse on Japonese Contemporary Architecture.

Aspects de la réalité constructive en bois : Brésil : José Zanine et son œuvre : Suisse : recherche et promotion

  • 0185.02.0018/03
  • Pièce
  • 25 janvier 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Inauguration du cours postgrade de IBOIS et conférence inaugurale de l'exposition Aspects de la réalité constructive en bois avec la collaboration de :

  • Marc-André HOUMARD, conseiller national et directeur de l'Ecole du Bois de Bienne
  • Philippe VOLLICHARD, représentant du Lignum
  • Julius NATTERER, directeur de IBOIS et du cycle d'études postgrades
  • Rubens RECUPERO, ambassadeur du Brésil
  • Roland SCHWEITZER, architecte, professeur à UP7, directeur du CEAA
  • José ZANINE CALDAS, architecte, Brasilia
  • Ricardo CARUANA, architecte, Sao Paulo.
    Le bois représente un des points communs entre la Suisse et le Brésil, l'un pour son patrimoine historique en matière de construction en bois, l'autre pour ses ressources forestières qui sont les plus importantes du monde. Mais, dans les deux pays, le bois n'apparaît finalement que sporadiquement dans la réalité constructive.

Gian Carlo de Carlo : Urbino

  • 0185.02.0018/04
  • Pièce
  • 30 janvier 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Connie OCCHIALINI, architecte, assistante de G. de Carlo.
Né en 1919 à Gênes. Après avoir fait des études d'ingénieur au Politecnico de Milan et des études d'architecture à l'IAUV, G. de Carlo s’installe à Milan en 1950. Il enseigne l'urbanisme à l'IAUV depuis 1955. Membre du Team X, de Carlo appartient à ce noyau du mouvement de rénovation éthique et formel au sein de l'architecture des années 50. Il acquiert une renommée internationale avec la cité étudiante d'Urbino et ses diverses interventions dans cette ville pour lesquelles cette citation pourrait résumer son attitude : « Le caractère du lieu est donné par la nature et par l'histoire. La nature est l'état original, l'histoire est sa transformation et toutes les deux, par le biais de leurs interrelations, définissent la réalité avec laquelle l'acte de construire doit se mesurer. Un édifice, un ensemble d'édifices, une ville, un paysage cultivé deviennent à leur tour des lieux quand ils réalisent et expriment un rapport équilibré entre la nature et l'histoire. Un autre édifice qui s’y ajoute n’a de valeur que s’il participe à cet équilibre en introduisant l'innovation dans la tradition. »

Parler architecture : Vitruve et le vitruvianisme

  • 0185.02.0018/17
  • Pièce
  • 20 novembre 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Conférence de Georg GERMANN, directeur du Musée historique de Berne.
En tant que discipline, la théorie de l'architecture se situe dans le champ de la littérature artistique et se manifeste par des traités autant que par des chroniques, des pamphlets, voire des utopies. La tradition scientifique du traité remonte aux « Dix livres de l'architecture » de l'ingénieur-architecte Vitruve, ouvrage dédié à l'empereur Auguste. En Italie, en France et en Allemagne, le discours lettré sur architecture répercute jusqu’au XIXe siècle l'écho du texte fondateur. d'où cette affirmation, cette amplification et ce déclin du Vitruvianisme en tant que doctrine cardinale, sujette aux remises en cause de l'histoire. Partant de ce texte fondateur, G. Germann explique le retentissement de Vitruve sur la théorie de l'architecture au Moyen Age, à la Renaissance et dans les temps modernes.

Espace intérieur : photographies de Christian Vogt

  • 0185.02.0018/18
  • Pièce
  • 20 novembre au 4 décembre 1991
  • Fait partie de BIANCHI Edith

Exposition réalisée par le Musée d'Architecture de Bâle.
Christian Vogt révèle une approche complètement différente de l'espace avec la camera panoramique. Avec de grandes images de deux mètres de long, le visiteur expérimente l'espace comme des raies, comme une bande. D'une part il se déroule devant nos yeux ou, d'autre part, il vient à notre rencontre à l'instant, comme si notre champ de vision s'était élargi. les parois s'étendent pour approcher le visiteur.

Pharmacie-droguerie G. Riat

  • 0001.04.0157/01
  • Pièce
  • 16.10.1929
  • Fait partie de HELD

entrée : perspective ; meubles de magasin : plans et élévations

Chambre M. et Mme Séchaud

  • 0001.04.0751/15
  • Pièce
  • [s.d.]
  • Fait partie de HELD

coiffeuse : élévation, plan ; armoire : plan, élevation

Sièges années soixante

  • 0001.04.0799/14
  • Pièce
  • 04.07.1967
  • Fait partie de HELD

plusieurs chaiselongues : perspective

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