Reproduction photographique d'une perspective intérieure (salle à manger).
Reproduction photographique d'une coupe.
Reproduction photographique d'un plan signé A.G. Perret
Détails (façades, vue extérieures) de bâtiments non identifiés.
Portrait de Denis Honegger, travaillant à la maquette de l’Église de Notre-Dame des Buttes Chaumont (à la rue de Meaux à Paris).
3 photographies de groupe sur la terrasse d'Auguste Perret à Paris (avec tour Eiffel en arrière plan), au n°55 rue Raymond, pour le 100e anniversaire de sa naissance :
a-b) André Le Donné, [Michel ?] Luyckx, Forestier, Denis Honegger, Arno Goldfinger ;
c) André Le Donné, Mme André Le Donné, Forestier, [Michel ?] Luyckx, Humbert, Denis Honegger, Arno Goldfinger, Mme Honegger ;
Reproduction photographique d'un dessin. Vue de la halle d'entrée.
Signature illisible.
Façades.
Signature illisible.
Dessins attribués à Auguste Perret (avec annotations manuscrites, vraisemblablement de D. Honegger).
Dessins attribués à A. Perret, avec annotations manuscrites : "Dessin de la main d'Auguste Perret pour le projet de la porte Maillot à Paris recueilli par Denis Honegger".
Perspectives du projet de la porte Maillot avec annotations manuscrites : "chez Auguste Perret 25bis rue Franklin à Paris : étude pour la place de la porte Maillot".
Gravure aquarellée avec signature autographe et dédicace au verso : " Pour Marie Thérèse Honegger. Souvenir de Troinex. EMB. mai 1973".
Dessins signé (signature non lisible), sur un carton d'invitation, avec annotations.
Contenu hétérogène : écrits (auteurs divers), documentation complémentaire, pièces personnelles, etc.
Plusieurs fascicules (chapitres) d'un manuscrit non attribué, concernant l’œuvre de Denis Honegger.
Liste des titres, voyages, travaux et réalisations de Denis Honegger. Deux éditions : jusqu'à 1955 (a) et jusqu'à 1964 (b) + transcription (c).
Comprend :
- Attestation de mérite de l’École française de Salonique, 1915 ;
- Invitation de l'Université de Genève à la cérémonie d'inauguration du Nouvel Institut de Physique, s.d. ;
- Invitation du Conseil d'Etat de la République et Canton de Genève au déjeuner pour l'inauguration du Nouvel Institut de Physique, s.d. ;
- Attestation de pose de la première pierre du Nouvel Institut de Physique, 1949.
Note biographique (comprenant études, situation militaire, stages, bureaux).
Note biographique (comprenant études, situation militaire, stages, bureaux).
Écrit autour d'un projet de loi sur des titres et des attributions de l'architecte.
Note, coupure de presse et correspondance de M.T. Honegger.
Écrit non signé.
Récolte de coupures de presse, brochures, publications, etc., concernant l’œuvre de D. Honegger.
Avec Colliard Marcel.
Fribourg, av. de Tivoli
Fribourg, rue Saint-Pierre 16
Concerne l'université de Fribourg.
Commune de Fribourg : Extension de l'université (9 plans).
Dessin d'une horloge pour l'Université de Fribourg.
Documentation et correspondance (copies) et une coupure de presse.
Dossier concernant l'affaire Antognini et les plans d'extension de l’université de Fribourg.
Plan d'ensemble.
Photographies numérotés : aménagements, détails, vues extérieures et intérieures.
Propos, réduction des planches, photographies.
Plusieurs dessins (parfois autographes) non identifiés :
- Bar, 1927 ;
- une chambre, 1930 ;
- bahut, s.d. ;
- meuble avec tiroirs, s.d. ;
- vaisselier, s.d.
Relevé d'un appartement (8ème étage), par D. Honegger, et deux photographies.
Immeuble "propriété de la S.A.I.E.T.", architectes H. Trezzini et D. Honegger, Paris.
Croquis de relevé de la façade principale, et photographies.
Un petit album contenant des reproductions de projets datant de la période d’études à Paris, ainsi que des photographies de certaines réalisations à Cape Town et Johannesburg, mais aussi divers édifices français dus à d’autres architectes. Un dossier de correspondance concernant la participation de Taillens à des jurys de concours d’architecture (concours des villas à Genève, tribunal fédéral à Lausanne, etc.). Un album de photographies et de reproductions de plusieurs édifices bâtis par Taillens et Dubois, en particulier des vues du chantier du siège de l’Union de banques suisses à la place Saint-François à Lausanne.
Jean TaillensL'album contient de nombreuses photos souvent en plusieurs exemplaires. On y trouve des photos de dessins, de plans et aussi de constructions ainsi que des découpages d'articles. Les sujets sont d'Europe (Paris, Angleterre, ...), d'Afrique du Sud, du Nord de l'Afrique et du Proche-Orient. Les photos ont des annotations difficilement lisibles mentionnant des dates entre 1890 et 1905. A la fin on trouve une carte postale envoyée le 24 mars 1903 (?) à M. Taillens à Cap Town.
Un album de photographies et de reproductions de plusieurs édifices bâtis par Taillens et Dubois, en particulier des vues du chantier du siège de l’Union de banques suisses à la place Saint-François à Lausanne, ou la Gare de Lausanne.
Ce dossier contient les documents suivants:
1) 4 Rapports de Jury des Concours de Villas (1908, 1912) et de Façades (1907, 1909)
2) brochure Programme de Concours d'Idées pour l'étude d'un Projet d'aménagement de Cité-Jardin comportant:
- lettre de M. Odier à M. Taillens datée de janvier 1919 à Genève concernant les questions soulevées par la création de Cité Jardin (1)
- lettre de M. Odier à Taillens du 22 février 1919 (2) avec annexe Rapport du Jury du concours Cité-Jardin
3) un dossier comprenant:
- un rapport du jury du concours de Façades de 1912
- 5 lettres de l' Association des Intérêts de Genève à M. Taillens (12.7.1912, 14.9.1912, 30.10.1912, 16.11.1912 et 5.12.1912 )
- lettre du Département des Travaux publics de Genève du 22 février 1913 et en annexe un rapport du Jury concernant l'aménagement des Quais entre la Promenade du Lac et le Port-Noir
- lettre de La Ville de Genève du 4 mars 1919 avec notes à la main
- télégramme du Conseil Fédéral proposant à M. Taillens une place dans la commission fédérale des Beaux-Arts avec coupure de presse confirmant sa nomination
- liste des membres de l'Association des anciens élèves de l'école des Beaux-Arts de Paris
- liste des membres de l'Association des anciens élèves de l'Atelier Douillard-Thierry-Deglane
- lettre de la Municipalité de Lausanne du 30 mai 1918 (concerne: cimetière du Bois de Vaux)
- lettre de la Municipalité de Lausanne du 2 mai 1918 ( concerne: Nomination en qualité de membre de la Commission consultative de la Direction des Travaux ) avec règlement de la commission
- lettre de la Direction de Police du 1er mai 1919 (concerne: éclairage électrique)
- lettre de la Municipalité de Vevey du 4 octobre 1915 (concerne: demande d'emploi dans un Jury)
- lettre de H. Lehmann concernant la Fontaine commémorative de Zofingue avec notes au crayon
- lettres du Département fédéral de l'Intérieur des 30 octobre 1917, 22 janvier 1918, 26 février 1918 et 18 février 1919 (concerne: nouveau Tribunal Fédéral de Lausanne)
- lettre de M. Laverrière du 25 février 1915
- lettre de la Basler Baugesellschaft du 14 mars 1919 avec annexe
Le fonds Mirco Ravanne couvre une large période de la carrière de cet architecte et designer, incluant des documents personnels, correspondances, projets et réalisations architecturales, documentation théorique, ainsi que des photographies et maquettes. Le fonds se divise en plusieurs séries qui reflètent divers aspects de son activité professionnelle et créative.
- Série A : Documents personnels et pièces diverses (1954-1963), incluant son début d'activité à Sion.
- Série B : Correspondances (1956-1970), comprenant des échanges variés, des contacts à Paris et des correspondances professionnelles.
- Série C : Projets et réalisations (1953-1990), avec des dossiers sur ses travaux majeurs tels que le Couvent des capucines à Sion ainsi que des projets en Suisse, en Italie et en Espagne, ainsi que des meubles iconiques comme la "Chaise Joëlle" et des collaborations avec des personnalités comme Jean Prouvé.
- Série D : Documentation (1955-1987), regroupant des références bibliographiques.
- Série E, F, G : Photographies, mobilier, prototypes et maquettes, ces séries ne sont pas encore inventoriées.
Une carte de voeux pour la nouvelle année 1961 de Patrizia Gargani; bulletins de l'association "Les amis de Danilo Dolci" (1960) (pour l'amélioration des conditions de vie et d'hygiène des régions arriérées de la Sicile); cartons d'invitation, programme, lettre du Centro Internazionale di Studi di Architettura "Andrea Palladio" (1962-63); une lettre de la revue Casabella (1962), signée Augusto E. Perelli, regrettant ne pouvoir, lui et l'arch. Rogers, intégrer dans ses programmes le produit présenté par Mirco Ravanne; un brouillon de lettre à A. Sartoris (1958), regrettant l'impossibilité de travailler ensembles à cause s'un malentendu, un brouillon de lettre non datée à Robert [avocat?] concernant la solution de l'affaire Hachette, un programme de choses à faire "en rentrant à Sion", parmi lesquelles: compléter les panneaux préfabriqués, étudier les dessins des lampes et les apporter à Zurich, étudier la ville Luyet; deux télégrammes de Bayard, pour des rendez-vous (1960-61); lettres de la revue "Il Gallo" (1960) (Mirco Ravanne y est abonné, la revue met à disposition de l'espace pour sa profession); quelques lettres de Lewis Braithwaite (1960-62), demandant de l'hébergement lors d'un tour de l'Europe; des lettres de Remo Schiavo, faisant allusion à la saison lyrique de Venise, aux cours du Centro Internazionale di Studi di Architettura "Andrea Palladio", et qui envoie les salutations du Dott. Cevese (1960-61); une lettre de Aldo Masso (1962), qui demande des précisions sur les dimensions du stand demandé par Mirco Ravanne à l'exposition sur la préfabrication lors de la Triennale de Milan de 1962; deux lettres de voeux de Nino Tomasini (1959-60); quelques lettres de Gabriele Abbado (1962), parlant du stand de Mirco Ravanne à la Triennale qu'il a montré à l'ing. Gatti (qui travaille pour l'entreprise Dalmine) et à l'arch. Lupi, et parlant du panneau préfabriqué de Mirco Ravanne; quelques lettres de Emilio Colombo (1962), parlant de tirages du stand à la Triennale; une lettre, un texte concernant la restauration et une publication de normes sur la conservation du patrimoine envoyés par Armando Vezzù (1960); une lettre de Bernard Briand, parlant d'un ami à faire rencontrer à Mirco Ravanne, qui travaille à Sud Aviation et qui voudrait construire une "machine à vivre", suivie de la réponse de Mirco Ravanne, remerciant et disant qu'il ne possède pas encore de plans de maison préfabriquée, mais qu'il veut bien en étudier (1961).
Quelques lettres de G. Abbado concernant la conception du couvent des capucins(1963), l'exposition des rendus du concours de Osaka (1969), et un concours pour un hôpital psychiatrique près de Venise (1967); en parlant des possibilité de projet de celui-ci, GA écrit: "Comunque dobbiamo trovare una norma un modulo che non esca dal fabbricare ma dalla funzione dell'interno". Lettres de H. Baudot concernant une éventuelle rencontre entre lui et ses amis et les amis architectes de Milan, pour parler de leurs recherches (1964); la rencontre est manquée, mais HB et Mirco Ravanne gardent le contact; enfin HB déménage à Alger et envoie à Mirco Ravanne les noms et adresses de trois personnes à contacter pour poursuivre les échanges: Cl. Laferrière, D. Bertrand, J. Mogenat [?]. Le Père Balm [v. fiche auteur] parle (1966) de collaborations professionnelles que Mirco Ravanne pourrait éventuellement avoir avec un architecte belge, et avec Paul Vimond [?], à Paris. Une lettre de Alessio Arenosto dit le plaisir que ce dernier aurait à travailler avec Mirco Ravanne, et parle des conditions financières de cette collaboration.
Une affiche de voeux pour l'année 1964-65 d'Arteluce, comportant les photographies des différents modèles de luminaires, dont deux ont été découpés, servait d'emballage à ce dossier.
Michel Bataille propose à Mirco Ravanne de travailler avec lui (1958) à la SNIB, Société nouvelle de l'industrie et du bâtiment qui vient de l'engager; Mirco Ravanne lui répond qu'il accepte, à condition de pouvoir rester à Sion, où il vient de s'installer, ce qui finalement n'est pas possible. En octobre 1957, Mirco Ravanne envoie à A. Sartoris un résumé de sa biographie.
Une lettre à une femme inconnue (s.d.) s'excuse de ne pouvoir envoyer tout de suite le dossier pour la publication du Pavillon Hachette dans Architecture d'Aujourd'hui, comme elle et Mme Dreyfuss-Sees lui ont proposé, à cause d'une mésentente avec la maison Hachette.
Des brouillons de lettres de Mirco Ravanne à Richard (1958), qui remercie ce dernier de son accueil pendant tout le séjour de Mirco Ravanne à Paris, et d'avoir introduit Mirco Ravanne chez Hachette pour le concours du pavillon; et de Mirco Ravanne à Robert, demandant des nouvelles de l'affaire Hachette.
Notes de Mirco Ravanne à propos de l'ouvrage "Art et technique" de Pierre Francastel.
Facture, rappel et commandement de payer de la menuiserie Jos. Clivaz-Mudry, pour des pièces en bois et la réparation d'une table à dessin (1962-1963).
Correspondance avec Gaston Membrez et avec l'Office Cantonal de Conciliation du canton du Valais et notes concernant un conflit avec Gaston Membrez sur le salaire versé par ce dernier à Mirco Ravanne (1961).
Un billet signé Dr. M. Luyet [? peut-être une femme], qui demande des nouvelles de Mirco Ravanne, pour que l'entrepreneur puisse recommander la marchandise [couvent?] (1962).
Une copie de lettre de Mirco Ravanne au bureau des amendes, concernant le travail sans permis de la part de Mirco Ravanne chez Dufour arch., dans laquelle Mirco Ravanne proteste de sa bonne foi.
Une déclaration d'association signée par Henry Dufour entre celui-ci et Mirco Ravanne pour le concours d'architecture de l'ensemble Communal et Paroissial à Hérémence, partageant les gains éventuel raison de 70% pour HD et 30% pour Mirco Ravanne (1962).
Dessins d'enfants.
Un faire-part de décès de Mme Vve Antoine Fischer (1962).
Adresses concernant les années de Paris (1957-1961), en Suisse, France, Belgique et Italie.
Plusieurs cartes de visites:
- Arteluce, Milano (manuscrit au verso: Sig. Emery Sergio, via Piodo, Lugano, 091-28103);
- Nino Tomasini; Marcello Ricchiero, architetto "presso Mitzakis" (manuscrit adresse à Paris).
Un cahier d'adresses, plusieurs adresses manuscrites par Mirco Ravanne: Yonel Schein; Henri Chauvet; Monsieur Aujame; Italo Toso, Murano; Yersin, Echandens; à Sion: Mme Vve Maurice Antille; Francis Chappot; Oscar Gillioz; René Mabillard, menuisier; Maurice Vadi; Robert Tronchet architecte; Henri Dufour, architecte; Camillee Rudaz, Jean Suter, architecte.
Quelques cartes postales (Mizette Putallaz (1958), donnant l'adresse de U. Tibaldi, sculpteur à Milan; Lucette Baudoux, Bruxelles; Marcello et Françoise Ricchiero (1958).
Quelques notes, notamment concernant l'affaire Hachette (1957).
Un brouillon de lettre de sa femme (1960), une lettre de sa mère (1961).
Quelques lettres de Noël Devaud, probablement connus lors du séjour de Mirco Ravanne à Paris, qui envoie entre autres des photos du Pavillon Hachette tel que finalement réalisé par Viseux et Hutchison. Gabriele Abbado envoie deux rapports de travaux de groupe: l'un, daté 14. 10. 1964, par Abbado, Arenosto, Demaria, Saltini; le deuxième, daté 12-13-14. 11. 1964, par Mercandino, Abbado, Giorcelli, Giorcelli de Varda, "Operazione sopravvivenza, Relazione di Base al XVI convegno nazionale degli ingegneri ed architetti italiani, Milano", d'un point de vue écologique de l'architecture.
Divers papiers concernant un tourne-disque, facture au nom d'Arenosto, garanties, plan, manuel (1965). Un papier d'emballage adressé à Gianfrancesco Ravanne à Paris (fils) par Giovanni Giuliani, Pisa. Un autre ayant contenu des livres envoyés par Romano Ravanne (frère). Une carte postale écrite par Mirco Ravanne à M. et Mme Prouvé, pas envoyée (1956). Une invitation au vernissage de l'exposition des oeuvres de Giovanni Sacchi, et la copie de la lettre envoyée à celui-ci par Mirco Ravanne, regrettant ne pouvoir s'y rendre, mais espérant pouvoir à nouveau travailler avec lui (1972). Un billet signé Heidi (Wenger). Une lettre signée Jimmy [?], avec une coupure concernant un concours international de jeu de construction (construction préfabriquée), lancé par le ministère de l'Equipement français (1972). Une invitation ai vernissage de l'exposition de Kengiro Azuma, avec une conférence de celui-ci "Come nasce una forma", à l'Université de Pavia (1972). Carte de Angel Duarte, lui envoyant des photos de l'exposition du Couvent à la Majorie, à Sion. Une carte de Luciano Ceschia (sculpteur), et la copie de la réponse de Mirco Ravanne (1972). Une lettre du Centro Cesare Cassina, refusant la fabrication et commercialisation d'une librairie (1971). Une lettre de Gabriele Abbado, le remerciant de lui avoir été proche, donnant les dates de représentation d'un opéra et le téléphone privé de Claudio Abbado. Une lettre + réponse de Mirco Ravanne de Henri Dallèves, avocat et notaire (1971-72). Une lettre de Emilio Colombo, en-tête de la direction de Brionvega, concernant une visite de la rétrospective Burri (1971). Henry Baudot écrit depuis Alger qu'il aimerait collaborer avec Mirco Ravanne s'il obtenait de gros projets, et lui envoie des photocopies d'un appel d'offres pour la réalisation des bâtiments de l'Institut Algérien du Pétrole, à la Cité Universitaire et Technique de Boumerdes, par l'entreprise Sonatrach (1971). Correspondance avec l'avocat De Ninno et l'avocat Reitano, concernant les affaires Bernini/Couvent et Ravanne/Bernini (1971). Une carte postale signée par: Gabriele [Abbado], Alessio [Arenosto], Gisella [?], Barbara [?], Emilio [Colombo], Giulio [?] (1964). Une lettre de Andrea D'Odorico, après son déménagement en Espagne. (1972). Une lettre de Ruedi Mettler-Jost, de compliment après la visite du Couvent en compagnie de Mirco Ravanne, mais refusant de lui confier le projet de sa maison, qu'il veut moins "esthétique" (1970).
Une lettre du bureau Larsen & Nielsen consultor, à Lausanne, refusant l'offre de services de M. Ravanne (Mirco Ravanne) (1971). Francesco Pavan écrit à Ravanne, à propos de leur collaboration passée, également avec Manfredo [Massironi?], lui ayant apporté beaucoup (1971). Une lettre de M. Ravanne à Heidi et Peter Wenger s'excuse d'un retard dans son travail, dû à son déménagement d'atelier (1971). Un télégramme et la réponse de Mirco Ravanne concernent un rendez-vous lors de la visite du premier à Sion ou Lausanne (1970). Une lettre de la "Famiglia artistica Piero Manzoni", signée Prospero Zuccotti avec un mot de Aldo Spinelli (galleria Cenobio-Visualità), demande la participation de Mirco Ravanne (1970). Andrea D'Odorico se lamente du manque de travail dû à la crise, demande une lettre de références de Mirco Ravanne pour un travail en Algérie, puis écrit à Mirco Ravanne sa volonté de partir bientôt pour l'Espagne à la recherche de travail (1970), et lui dit ne pas avoir de nouvelles de Lovat [?]. "Il pane di S. Antonio", oeuvre franciscaine, demande à Mirco Ravanne de faire don d'une de ses créations, pour la nouvelle pinacotèque du couvent (signé Sebastiano Pazzini) (1970). Une lettre de Manfredo Massironi (1970). Une lettre trilingue, signée Lotti Oberli et intitulée "Liebesrief an Mirco (lettera d'amore)", admirative du travail de Mirco Ravanne. Gabriele Abbado envoie un schéma de prévision d'une série d'articles sur le Couvent, en italien [?] (1969). Des voeux de Giovanni Sacchi, manuscrits sur sa carte de visite. Des voeux de la famille Lovat (1971). Quelques lettres de correspondance entre le Couvent et Paolo Lazzarini (1969-1970). Une lettre de Jacques Felber, architecte FAS-SIA à Lausanne, qui demande d'être informé des prochaines publications sur le Couvent qu'il a beaucoup aimé (1971). Deux lettre de Domus, concernant la publication d'un article sur le Couvent. Une lettre de Michel Schmidt, "ex-Wladimir", parlant d'un article qu'il a lu sur Pessac, est assurant à Mirco Ravanne que l'on vit bien dans son couvent (1971) [ex-capucin?]. Une lettre du Président du Comité technique administratif du Palais Ducal de Venise au père Gardien du Couvent, concernant une exposition éventuelle (1968) et une lettre de Mirco Ravanne au même président demandant des précisions (1970). Une lettre de Arno H [?], disant à Mirco Ravanne avoir parlé de lui à un ami, Ruedi Mettler (voir suite au dossier 0043.03.028), et qu'il voudrait lui confier la construction d'un musée d'art contemporain constitué d'éléments préfabriqué à pouvoir monter et démonter de fois en fois (1970). Une carte du Père Paul (nouveau gardien du Couvent) interdit à Mirco Ravanne de faire visiter le couvent sans son autorisation expresse (1970). Une lettre est signée Guido [?], et porte l'en-tête de la Galleria Apollinaire et est destinée à Arnal [?], à Paris. Une lettre de Azuma date des bois que celui-ci lui a donné en 1960. Correspondance avec l'avocat De Ninno et l'avocat Reitano, concernant le renoncement de la part du Couvent de se défendre dans la cause qui l'oppose à l'entreprise Bernini (1970-1971). Des lettres et factures de l'entreprise des Fratelli Toso, concernant notemment les plaques en verre dans l'Infirmerie du Couvent. Une lettre signée Barbagallo, Stebi design, concerne la diffusion et vente éventuelle de la chaise Joëlle (1970-71).
Une lettre à en-tête de la revue Architecture-Formes-Fonctions confirme l'envoi d'exemplaires du n° de 1958 et le renvoi des plans du Pavillon Hachette. Correspondance avec Alberto Sartoris: voeux de AS et sa femme pour 1956, lettre donnant rendez-vous à Montreux pour inspection du terrain pour le concours pour l'Eglise de Clarens, une lettre informant Mirco Ravanne que AS renonce au concours à cause d'une mésentente entre un collaborateur et Mirco Ravanne; une lettre informant Mirco Ravanne que AS participe seul au concours. Facture et compte des heures de travail de la maison Velatta (1970). Programme de cours du Département d'architecture de l'EPFL (1956, envoyé 1957). Correspondance avec Yersin, à propos d'une éventuelle participation de Mirco Ravanne à une exposition collective sur la matière (Mirco Ravanne ne participe finalement pas) (1958). Une lettre de Daniel Chenut, ami de Nino Tomasini (1957). Note concernant le pavillon Hachette, auteur inconnu, explique l'affaire jusqu'à l'éviction de Mirco Ravanne et son dédommagement. Bulletin de salaire pour Mirco Ravanne et P. Kowalski comme dessinateurs pour le Groupe scolaire de Tourneville par Franche, Bourret et Vernot, arch. au Havre (1956-1957). Correspondance avec Michel Bataille: une lettre lui reproposant la place d'assistant qu'il lui avait déjà proposé; deux lettre concernent l'époque où lui et Mirco Ravanne travaillaient pour les Constructions Prouvé. (1956-1958). Certificats de travail et de salaire: Steph Simon (où Mirco Ravanne est envoyé par le bureau Zehrfuss); A. Ed. Wyss (1952); Constructions Jean Prouvé (1956); Publinel (honoraires) (1956). Certificat d'obtention du diplôme de Maturité Artistique italienne en 1950-51 (1952).
Concerne un problème dans la réalisation de la dalle. Le dossier contient 2 plans, une liste de fers et une lettre d'accompagnement du bureau technique à Mirco Ravanne.
Mur sur lequel la balustrade de l'escalier au sud aurait dû se fixer, mais dont la réalisation ne permet pas un tel travail sans modifications
Plan général de l'exposition internationale de Bruxelles; notes et correspondance diverses; esquisses de travail. Une photo de la réalisation par Hutchison, accompagnée par une édition spéciale de France-soir consacrée à l'exposition Hachette.
Pavillon pour l'exposition internationale de Bruxelles en 1958, pour la maison d'édition Hachette. Mirco Ravanne gagne le premier prix du concours, puis collabore pour le projet à réaliser, avec deux architectes: Claude Viseux et Neil Hutchison, avec lesquels il forme pour ce projet l'Association de recherche et d^études d'architecture (Cité Vanneau, Paris 7). Le projet conçoit un hall central, sur toute la hauteur de la construction et avec un dôme de verre, et des salles d'exposition tout autour, partant du même niveau et placées toujours plus haut, reliées entre elles par des rampes. Un grand escalier permet de redescendre dans le hall. Une sortie permet de se rendre dans un jardin amenagé, dont l'accès n'est possible que par le pavillon. Le pavillon n'a jamais été réalisé
Dossier vide "Sion, Couvent capucins, Coperture".
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Titre du dossier: "Sion, couvent capucins, Bacini d'acqua"3 films négatifs N/B 24x36 de la chaise Joëlle montée et démontée, certaines photos la montrent dans la vitrine du magasin de l'Editoriale Domus, à Milan.
Chaise en bois, projetée pour le couvent des Capucins de Sion, avec accoudoirs et dossier démontables. Dessin au lignes courbes, les pieds sont en forme de V inversé. Diffusée par Domus design, la chaise a été exposée au centre Apollinaire, à Milan (1970), et au Musée des Arts décoratifs du Louvre, à Paris (1970)..
Correspondance, un rapport d'expertise et un P.V. de séance concernant un litige à propos de malfaçon dans la pose du chauffage au sol.
Installation de chauffage au sol, défectueux, ayant créé un contentieux entre le maître de l'ouvrage et Marcel Recrosio de l'entreprise Termica, responsable des travaux
Rapports de travail, devis.
Installation d'une centrale téléphonique
Correspondace entre Mirco Ravanne et Astir Dubuis, entrepreneur, (surtout lettres de Mirco Ravanne), une lettre du père Damien à Astir Dubuis (contestant des factures trop élevées et l'absence de justificatifs). Les lettres font état de retards successif dans la réalisation des travaux de la part de M. Dubuis, qui semble les justifier par le retard ou l'absence de plans précis. Le dossier contient également le contrat d'entreprise avec A. Dubuis, signé par toutes les parties.
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Avant-metrés des travaux à effectuer en vue de la mise en soumission.
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Correspondace entre Mirco Ravanne et Termica, concernant l'adjudication des travaux, factures, état des travaux, deux exemplaires de la soumission et cahier des charges rédigée par Termica pour le chantier du couvent, décompte définitif des travaux destiné à l'architecte. Plusieurs lettres de convocation et rendant compte de retards et malfaçons dans la réalisation des travaux. Dans une lettre du 18 janvier 1968, Mirco Ravanne et le Père Damien somment M. Recrosio d'arrêter les travaux et l'informent d'une expertise demandée par leurs soins. A la suite de cette expertise, un accord est trouvé au 19 septembre 1969.
Installation de chauffage au sol, défectueux, ayant créé un contentieux entre le maître de l'ouvrage et Marcel Recrosio de l'entreprise Termica, responsable des travaux
Carnets de bons pour le contrôle des heures de travail des entreprises. Soumission d'Aster Dubuis (la mise en soumission est signée Mirco Ravanne, architecte designer, Sion et Henry Dufour, architecte EPF, Sion). Metrés.
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Etats de situation et metrés des travaux de maçonnerie.
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Deux entreprises semblent se partager les travaux de couverture, ferblanterie et serrurerie. Deux devis existent pour les mêmes travaux. L'entreprise Bianco effectue les travaux de couverture et de serrurerie. La correspondance rend compte d'excellents rapports entre Mirco Ravanne et l'entreprise Costa, qui réalise entre autres choses la grille du couvent.
Correspondance entre Mirco Ravanne et le maître d'état. Rend compte de quelques retards et malfaçons, corrigés dans la réalisation des rayons et autres meubles de bibliothèque, et de travaux de charpente.
Correspondance avec Marius Zambaz, deux lettres de Sarosa sa, peinture. .
Offres pour un réchaud à gaz.
Factures et situations de l'entreprise de bâtiments Aster Dubuis.
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Réalise notemment divers mobiliers pour le couvent, le plafond de la grande classe, les confessionaux, les bancs de l'église, les stalles.
Plusieurs lettres et papiers du Service cantonal des étranger concernant le permis de séjour (1957); plusieurs papiers et lettres de l'Ecole Cantonale des Beaux-Arts du Valais-Sion (inscription-thèse [?]-diplôme) (1957-59); carte de membre de l'Oeuvre de 1958; papiers divers concernant le déménagement (factures et dédouanement)(1958); papiers administratifs divers concernant l'établissement à Sion (1957-59); trois dessins d'enfants; un P.V. de constatation d'infraction à la loi sur l'établissement des étrangers (travaille chez Henri Dufour) (1959); une lettre de Emilio Colombo, parlant de l'organisation d'une visite à l'entreprise Dalmine (1962).
En 1958, Mirco Ravanne s'inscrit aux cours d'architecture de l'Ecole Cantonale des Beaux-Arts du Valais-Sion, suivant notemment les cours de A. Sartoris. Il s'installe donc à Sion, et quitte Paris où il était domicilié.
Une lettre de la Société Suisse des Inventeurs (1965), concernant la 14e salon international des inventeurs à Bruxelles. Brevets pour la paroi en panneaux préfabriqués, en Suisse (1964) et en Italie (1965), plus la correspondance y relative.
Un rapport d'analyse des avantages et désavantages respectifs de la préfabrication ou du coulage in situ de la structure du couvent (1963), probablement par le bureau Kurmann-Cretton, mais non signé; on relève parmi les désavantages de la solution préfabriquée, des risques de fissures dans les parois verticales et dans les plafonds à cause de la différence de matériaux côte à côte; la dalle préfabriquée en outre est moins rigide et moins durable, surtout en tenant compte de la longueur des ailes du Couvent et de l'absence de joints de dilatation; les avantages de cette solution sont la rapidité d'exécution et la légéreté de la structure. Une offre de la maison Hunziker-Baustoffwerke AG, à Berne (Fabrique de matériaux de construction) pour des panneaux préfabriqués de type LECA (1963). La solution de la préfabrication est finalement retenue. La correspondance concerne la coordination des efforts de Mirco Ravanne, des ingénieurs et de l'entrepreneur Aster Dubuis.
Liste des plans d'architecture pour le Couvent; quelques notes à propos de l'affaire des chaises du Couvent, entre le Couvent, Mirco Ravanne et Lazzarini concernant les droits de reproduction; un brouillon de lettre concernant la démolition de la chapelle du couvent, est adressée à l'auteur des vitraux de celle-ci, lui demandant de protester.
3 copies de la facture définitive des travaux de vitrerie + note d'accompagnement.
Plusieurs croquis et esquisses, une feuille de notes.
Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
Les plans portent la mention de "L'uovo". Série de quatre tirages.
Fauteuil pliant, en métal, dont la structure de base est très proche de celle de la chaise Joëlle. Les jambes qui sont le prolongement des accoudoirs se rabattent vers l'extérieur, alors que le dossier se rabat vers l'avant
Plan n°11, calque original et 2 tirages. Variante schéma implantation, nouvelle structure
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Agrandissement d'un couvent du XVIe-XVIIe siècles, ayant déjà subi plusieurs interventions. Mirco Ravanne et le père Damien (commettant) ont quelques difficultés à obtenir le permis de construire, qui est finalement délivré en 1964. La construction est définitivement terminé en 1968. Le plan est articulé en deux zones, une publique et une privée, reliées entre elles par des territoires mixtes, semi-privés et semi-publics. "Pour se conformer à la typologie du couvent franciscain, [Mirco Ravanne] conserve la forme initiale du couvent et y ajoute un cloître à l'est. Il construit une nouvelle aile est sur le nouveau cloître. Celle-ci est sur pilotis pour conserver la transparence du cloître. L'ancienne aile est devient un espace de séparation entre les deux cloîtres. L'aile sud et l'aile est sont séparées par un passage qui permet aux frères laïcs l'accès à l'ancien cloître. Il acquiert un caractère d'accueil. Par cette séparation l'aile devient autonome avec les fonctions semi-publiques. Il semble y avoir une coïncidence avec le plan-type des cloîtres cisterciens." (L'apprentissage d'un oeuvre : travail de mémoire élaboré dans le cadre du cours d'histoire de l'architecture du Professeur Jacques Gubler, par François Doggwiler, Grégoire Evéquoz, Roland Scacher, Lausanne, printemps-été 1985). Agrandissement du ch oeur de l'église et aménagement de l'église même, construction d'une nouvelle sacristie. L'avant-projet date de 1962, le projet de fin 1962-août 1963 et la mise à l'enquête d'août 1963, le début des travaux de terrassement est fixé par contrat (dossier 0043.03.0004) au 1er juin 1964. Le couvent est inauguré le 4 octobre 1968.
Les travaux comprennent: 1ère étape: aile est, choeur, provincialat, sacristie et une partie de l'aile ouest. Il est prévu de terminer le gros oeuvre pour la fin d'octobre 1964, l'aile est étant prévue habitable fin février 1965. 2ème étape: aile sud et partie aile ouest.
L'emballage comportait la mention: "DESIGN, Televisore. 1970, Studi vari. primi studi." Série d'esquisses.
Télévision avec cache-écran rabattable et antenne mobile. L'appareil peut tourner sur une base cylindrique, et a été prévu comme un objet "entier", visible au delà de sa fonction et non seulement d'un seul côté, ayant sa place dans un salon même éteint. Le projet a été conçu à la suite de contacts avec l'entreprise Brionvega, mais n'a jamais été réalisé.
Lampada componibile: esquisses, plan, élévation. Lampada a sfere agganciabili: esquisses, détail des sphères, élévation(?).
Trois propositions pour bloc salle de bains-cuisine, solution A: 205x255cm, solution B: 190x250cm, solution C: 190x245cm. Plusieurs esquisses et études d'autres solutions. A cette époque Mirco Ravanne travaillait chez Jean Prouvé. Etudes pour Jean Prouvé pour les maisons pour sans-logis des compagnons d'Emmaüs, 1956, à Paris.
Projet pour un bloc comprenant une salle de bain et une cuisine, pour le bureau Prouvé, et concernant une maison minimale préfabriquée, dont la construction est très rapide (huit heures) et ne demande pas de fondations excavées, pour les compagnons Emmaüs
1 tirage du plan du sol de la terrasse, 1 tirage concernant un objet indéterminé qui n'est sans doute pas un projet pour la terrasse de M. Merlo (date très antérieure aux extrèmes connues du projet), peut-être le terrain de la maison de Michela ou Fanti. Traitement graphique et structuré de l'espace. Les originaux sont en possession de J. Ravanne.
Aménagement d'une terrasse, traitement du sol et construction d'un pavillon et de grilles brise-soleil sur les bords, dont certaines peuvent être ouvertes et écartées vers les coins de la terrasse. Une maquette du pavillon grandeur nature en bois (la réalisation définitive aurait dû être en métal) a été montée à l'emplacement même, afin d'obtenir le permis de construire, juste avant la mort de Mirco Ravanne. Il existe deux variantes du projet de pavillon, l'une comportant trois coupoles sur le toit (trop visibles depuis la route selon le commanditaire, l'autre deux (retenue). Une maquette en carton de la première version existe chez Joëlle Ravanne.
Titre propre (emballage) : [T.P 29] 1975. Savièse: Ricerca 1:500 + plan du terrain.
Projet de concours; études de terrain, de disposition des différents bâtiments, d'inclinaison des toits; quelques calques, plusieurs études, esquisses, croquis. L'emballage contenait la mention suivante: "Ricerca 1:500".
A la fin de l'année 1974 Perroud (sans doute arch. à Sion, pas d'informations trouvées sur lui) contacte Mirco Ravanne en vue d'une collaboration à l'occasion du lancement d'un concours pour la construction d'une école à Savièse. Relevé dans les agendas de MR: 20. 7. 1974, "3000 frs. da Perroud"; 2. 1. 1975, reçoit le programme du concours; 15. 5. 1975, Mirco Ravanne finit le projet; 21. 5. 1975, "Perroud" vient chercher maquette (et projet fini?). La devise du projet est "Alba". La conception (dessins et croquis existent dans le fonds Ravanne, de la main de celui-ci) se fait selon la méthode que Mirco Ravanne met au point à cette époque: une trame sert à structurer les modifications d'un module carré. Il en résulte 4 groupes de constructions (1 ou 2 étages sur rez), dont trois sont liés par des espaces de circulation et le dernier, détaché, abrite une halle de sport avec ses locaux annexes. Les toits, de pans triangulaires dont l'inclinaisons est perpendiculaire à l'axe N-S, rappellent le module de base. Les bloc, à l'exception de la halle de sport, s'organisent autour d'un espace carré (couloirs, escaliers et sanitaires). Les salles de cours sont disposées le long des côtés de ce carré, et des petites cours occupent les coins.
Esquisses et études d'un club nautique; esquisses, études et plans avec quelques variantes de 5 appartements, tous avec attique. Le dossier 0043.04.0011, comporte la même remarque que l'une des études, "la Casa Veneziana". La mention sur une feuille de papier dans ce dossier "L'appartamento di Gianna" (Gianna Abbado, Milan) n'a aucune correspondance de dessins.
Transformation des premier et deuxième étages d'un bâtiment existant, en créant un grand appartement central, sur deux étages, avec deux terrasses, et quatre appartements plus petits, toujours sur deux étages. Au premier étage un hall d'entrée distribue vers les cinq appartements; sa surface correspond, au deuxième, à l'appartement central. Ce dernier possède un escalier normal, alors que les autres appartements possèdent un escalier en colimaçon. Le projet comprend également un club nautique, dont la situation et les rapports avec les appartements ne sont pas clairs. La construction comporte un rez-de-chaussée qui ne paraît sur aucun dessin. Mirco Ravanne avait reçu le mandat pour le projet après le début d'une transformation par un "ragioniere", qu'il prévoit de démolir en grande partie. Ce projet n'a jamais été réalisé, probablement à cause des coûts élevés de la réalisation
Plans au 1:20. Etudes, "trama modulare". Dans ce dossier les accès aux appartements n'est pas encore étudié clairement. Aucun dessin ne montre l'emplacement du club nautique par rapport à cette construction, ni aucun dessin ne considère le rez-de-chaussée.
Transformation des premier et deuxième étages d'un bâtiment existant, en créant un grand appartement central, sur deux étages, avec deux terrasses, et quatre appartements plus petits, toujours sur deux étages. Au premier étage un hall d'entrée distribue vers les cinq appartements; sa surface correspond, au deuxième, à l'appartement central. Ce dernier possède un escalier normal, alors que les autres appartements possèdent un escalier en colimaçon. Le projet comprend également un club nautique, dont la situation et les rapports avec les appartements ne sont pas clairs. La construction comporte un rez-de-chaussée qui ne paraît sur aucun dessin. Mirco Ravanne avait reçu le mandat pour le projet après le début d'une transformation par un "ragioniere", qu'il prévoit de démolir en grande partie. Ce projet n'a jamais été réalisé, probablement à cause des coûts élevés de la réalisation
L'emballage comporte la mention "Ricerca: la Casa Veneziana". Une des études du dossier 0043.04.0009, comporte la même remarque.
Projet non-réalisé; les entrepreneurs locaux ont beaucoup hésité à l'époque à accepter le mandat de construction, à cause des coûts et de la difficulté de celle-ci. Le projet semble être une synthèse des projets de maisons précédents. La construction se base sur un module carré de 9 mètres de côté (dont les diagonales correspondent à des pentes du terrain), placé sur une grille composée par des modules de trois fois trente centimètres sur quatre-vingt-dix centimètres. La maison comporte trois niveaux, le sous-sol, le rez-de-chaussée et un étage. Une courette intérieure donne de la lumière à la salle de bain qui se trouve à l'étage (vide).