Elévation. A Lausanne, place St. François
Elévation. A Lausanne, place St. François
Elévation. A Lausanne, place St. François
Détail. A Lausanne, place St. François
Meuble de la caisse : perspective. A Lausanne, rue du Bourg.
devanture : perspective
table et chaises : perspective
salle à manger : perspective
salle à manger : perspective
bibliothèque : élévation, coupes, plan
table et chaises : perspective
restaurant, intérieur : perspective
restaurant, intérieur : perspective
restaurant, intérieur : perspective
jardin d'hiver : perspective
jardin d'hiver : perspective
table de nuit : élévation
coiffeuse : élévation, plan ; armoire : plan, élevation
chambre à coucher : perspective
chambre à coucher : perspective
lit : plan, élévation
chambre à coucher : élévation
chambre à coucher : élévation
porte-manteau : perspective, plan, élévation
vitrine : élévation, plan
vitrine : élévation, plan
magasin, intérieur : perspective
jardin d'hiver : perspective
hall : perspective
magasin, intérieur : perspective
salon : élévation
salon : élévation
chambre à coucher : élévation
chambre à coucher : élévation ; table : perspective
chambre à coucher : élévation
table : perspective ; chaise : perspective
perspective
perspective
bahut : élévation ; armoire : élévation
chaise : perspective
élévation et plan
perspective
Représentation : plan/sous-sol, plan/rez-de-chaussée
Objet : Plusieurs carnets d'esquisses (0024.03.0001) contiennent des notes ou des croquis concernant cet objet. Il y est notamment spécifié que l'atelier comportait une cabine pour le modèle et était chauffé. Sur le dossier rendu pour l'obtention du permis de construire, l'atelier possède un rez-de-chaussée avec mezzanine et un petit salon séparé avec cheminée. La maquette (0024.06.0014) est peut-être une variante proposée au maître de l'ouvrage. La police d'assurance incendie, une des pièces du dossier 0024.01.001, donne comme date de commencement des travaux 1940 et date de fin 1944. Valeur d'assurance Fr. 32'500. 721 m3 et 125 m2. Charpente avec deux sommiers intermédiaires, reposant sur les murs goutterots, le tout en béton armé , dessinée par le bureau technique L. Berthod. Des taquets en bois sont noyés dans les pannes pour fixer les chevrons. Après l'atelier Clerc à Lutry, il s'agit du deuxième atelier pour lequel JC choisit une structure en béton armé. Il accorde également ici une attention particulière aux vitrages filants (système Weima"; plans d'exécution, dossier 0024.04.0062)
Représentation : plan/1er étage
Objet : Plan classique. Sous-sol (depuis l'escalier, sens antihoraire): cave à vins, fruits & légumes, W.C., buanderie, étendage, soute bûcher, repassage, chaufferie Rez-de-chaussée (sens antihoraire): hall, cuisine, office, salle-à-manger, salon, bibliothèque, vestiaire, billard. Entrée principale et entrée de service, avec escaliers conduisant tous deux et séparément à la cave. Premier étage: lingerie chambre d'enfants, penderie, bain, chambre monsieur, chambre madame, boudoir, chambre d'amis, bains, loggia, chambre cuisinière, femme de chambre. Dans l'angle rentrant de la cour, Cornaz implante une fausse tourelle décorative dont le toit repose sur les murs de l'angle du bâtiment, qui ne reçoit pas un escalier à noyau, mais émerge des toits pour conférer à l'ensemble une silhouette de manoir. Le segment de cercle visible est juste un décor de brique "en applique". Le bâtiment semble avoir été destiné d'abord à H. Grandjean puis à la SI de la tour Saint-Georges. Cornaz instrumente ce changement en substituant à une modeste banderole, un élément sommital figurant Saint-Georges terrassant le dragon (plusieurs variantes). Plan spécial pour les rayonnages de la bibliothèque. Les dépendances, dont les plans sont joints à celui du bâtiment principal, comptent 2 niveaux: garages, un petit studio à l'étage probablement pour le chauffeur ou le concierge.
Dans ce même dossier, 3 autres calques, élévations nord et sud avec variantes pour la même maison,série de 2 calques, plans marqués "Plan maison Devrient", de 1934, vraisemblablement un premier projet (mention du cube: 1770 et du coût approximatif: 100.000 francs).
Représentation : élévation/façade nord, élévation/variante façade nord, élévation/variante façade nord
Objet : Un étage sur rez, toit à deux pans. Villa-fronton, une niche réalisée en briques (rappel: la famille Savary, des cousins de Cornaz, possède une fabrique de briques à Faoug, faut-il en tirer des conclusions?) en contraste avec le reste du bâtiment, développée sur toute la hauteur de la façade sur rue, souligne l'entrée. La façade sud (vers le lac) a un rythme 1-3-1. La travée centrale est soulignée par un revêtement en briques, comme le fronton (qui s'étire sur toute la largeur de la façade). Photos dans le dossier 0024.02.0001, où l'on voit les obélisques placés aux quatre coins du toit. JC signe seul mais E. Terry n'est pas loin. Les déclinaisons autour de la niche-hauteur (ET en réalise une pour Marcel Nahmias à Boulogne-Billancourt) se retrouvent dans de nombreux dossiers, preuve que JC a cherché à la développer, à la replacer ailleurs. Certains détails sont jubilatoires (volute). La maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient. Réalisée, sans doute, par le même maquettiste que celles déposées aux A.C.M. Belle facture, très soignée dans le traitement des matériaux, des teintes. Souci hyperréaliste du rendu de la toiture, du dallage, des parements de briques. Une enveloppe avec permis de construire. Croquis d'intention puis trois variantes de façades sud et nord (les trois étant présentées sur le même calque). Une proposition hispano-provençale développe plusieurs corps de bâtiment disparates sur les trois côtés d'une cour fermée par un mur d'enceinte, dont la porte d'entrée est en arc. Une autre solution avec portique en façade nord au milieu duquel s'ouvre la porte d'entrée en forme de niche, propose en plan un hall rappellant, à une échelle différente, l'antichambre classique.
Dans le même dossier, deux autres plans pour des armoires dans le hall de la villa Hauterive, avec variante (2 ou 3 portes).
Représentation : élévation/armoire face nord, élévation/armoire face sud, plan/armoire face nord, plan/armoire face sud, coupe/armoires
Objet : Le dossier 0024. 04. 010 contient deux photos / cartes postales "de Jongh" de la Villa Mon Abri où le texte manuscrit mentionne Haute Rive.
Dans le même dossier, un autre calque concerne des armoires à rapprocher de la pièce 0024.04.0009-06 [villa Hauterive]. En plan, l'objet n'est n'est pas sans présenter quelques similitudes (notamment dimensionnelles, le type d'escalier, la disposition des pièces,…) avec la villa Georges Piguet à Epalinges [0024.04.0009-08]. Le fait que ces pièces soient réunies dans un même dossier [par Cornaz lui-même?] accrédite l'hypothèse de "l'habit d'arlequin". Copier / coller.
Représentation : plan/rez-de-chaussée
Objet : Maison individuelle, excavée, comptant 1 étage sur rez-de-chaussée sous un toit revillonné. Deux ailes d'un seul niveau, abritent d'une part une chambre à coucher et, de l'autre, une cuisine. Côté cour, ordonnance symétrique, axe médian marqué par l'entrée surmontée d'un balcon. Côté jardin, 3 travées, ordonnance symétrique. Elévations 1: 100 1 plan du rez-de-chaussée 1: 50 Collab. Pierre-J. Birbaum Jean Bettems arch., gestion et conduite de chantier. A retenir pour le chapitre "déclinaison en mode mineur" sur les relations entre le bâtiment principal et les dépendances.
L'hypothèse de "l'habit d'arlequin" associée à la décalcomanie énoncée dans la cote 07 semble se confirmer au vu des élévations. Copier / coller.
Représentation : plan/rez-de-chaussée
Objet : Villa et dépendances. Maison d'un niveau avec combles habitées, toiture vaudoise, révillonnée, plan au sol en tau. Escalier placé au bout de la longue branche du tau,les indications du propriétaire ont influencé le projet, autant du point de vue formel que de celui de l'organisation interne (information orale donnée par le maître de l'ouvrage) Le Dr Georges Piguet possède le dossier administratif et un dossier d'exécution presque complet de cet objet, catalogués sous 0024.05.0001 et 0024.04.0 Plusieurs plans dans le dossier varia 0024.04.0086 L'objet porte également le nom de SI Ballègues SA
Elévations développées de la bibliothèque, pliées afin de reconstituer le volume en 3 dimensions, les portes et fenêtres sont découpées.
Représentation : coupe/escalier
Objet : Bibliographie: Monuments d'Art et d'Histoire, tome IV, p. 25 et sqq.
La maison date du XVIIe, elle est réparée une première fois en 1786, première transformation 1926. La villa se trouve au bord du ch. de l'Elysée, en face du ch. de Fantaisie.
Texte: [Cher ami, Nos grands regrets pour avant-hier, hier et d'autres fois si aimablement conviés, mais Hte Rive (?) d'une part, d'où nous sortons blanchis par les échafaudages, boueux du jardin et imprésentables et notre (?) départ précipité (illisible) nous rendent les mondanités difficiles en ce moment! Hélas. Nous aimerions mieux rester paisiblement notre vie durant à Mon Abri, mais cela devient fatiguant (illisible) des coeurs déficients et usés (?) Il vaut mieux partir …,en beauté. Merci encore et mille bons voeux et nos pensées très amicales pour le 2 janvier»].
Représentation : Vue de la façade sur rue
Objet : Maison de maîtres, qui compte un étage sur rez, un comble à la Mansart et un sur-comble habité. Réglage horizontal donné par une large platebande sous la corniche. Façade nord avec portique à colonnades toscan, sous une frise de bucranes et un fronton à modillons d'aplomb. Façade en briques apparentes derrière le portique encadré par des niches. Façade sud: ordre des travées 1-3-1. Avant-corps sous un fronton à base interrompue, frontons sur consoles pour les ouvertures du rez,véranda contre la façade est. Démoli lors de la construction du collège de l'Elysée par Frédéric Brugger, 1961-1964.
D'autres pièces concernant cet objet se trouvent disséminées dans le même dossier (0024.04.0011).
Représentation : plan/premier étage
Objet : Création d'un escalier en façade ouest. Permis de construire délivré le 23.2.1956 (0024.04.0011)
Une enveloppe appartenant au même dossier (0024.04.0011) contient le plan cadastral ainsi que le permis de construire.
Représentation : élévation/façade ouest
Objet : Ouverture d'une fenêtre en façade ouest à l'occasion de l'aménagement d'une nouvelle salle-à-manger.
Représentation : plan/mise à l'enquête
Objet : Bibliographie: Monuments d'Art et d'Histoire, tome IV, p. 25 et sqq La maison date du XVIIe,elle est réparée une première fois en 1786,première transformation 1926. La villa se trouve au bord du ch. de l'Elysée, en face du ch. de Fantaisie.
Le plan porte le tracé au sol d'une construction (dépendance?) au sud de la villa,probablement Jack Cornaz utilise-t-il le plan cadastral comme plan de situation sommaire d'un nouveau projet. Rien n'indique que Cornaz est l'auteur de la construction principale datant de 1928. Dans ce même dossier, un autre plan sans date pour un pavillon au bord du lac.
Représentation : plan/pierre tombale, élévation/face, élévation/côté
Objet : La villa se situe au sud de la villa Fantaisie (Mermod, Henri Louis),sur cette pièce, le terrain de cette dernière a comme propriétaire: Mermod Louis.
Le coin en bas à droite du plan est arraché.
Représentation : élévation/face du kiosque, coupe/kiosque
Représentation : développé/élévations bibliothèque
Objet : Transformation du kiosque situé au bas du Petit-Chêne. L'intervention de Cornaz consiste à déguiser l'édifice existant en tente "Napoléonienne",la tôle reprend les effets du tissu de coutil, de même que la frise découpée,le tout est surmonté d'un oriflamme galvanisé. Exemple du comment faire du neuf avec du vieux et du style ancien avec du moderne.
Note manuelle au crayon rouge: "Faire ce plan à 1 cm par mt". .
Représentation : plan/ensemble
Objet : La villa se situe au sud de la villa Fantaisie (Mermod, Henri Louis),sur cette pièce, le terrain de cette dernière a comme propriétaire: Mermod Louis.
Représentation : élévation/portail, perspective/portail
Objet : Maison de maîtres, qui compte un étage sur rez, un comble à la Mansart et un sur-comble habité. Réglage horizontal donné par une large platebande sous la corniche. Façade nord avec portique à colonnades toscan, sous une frise de bucranes et un fronton à modillons d'aplomb. Façade en briques apparentes derrière le portique encadré par des niches. Façade sud: ordre des travées 1-3-1. Avant-corps sous un fronton à base interrompue, frontons sur consoles pour les ouvertures du rez,véranda contre la façade est. Démoli lors de la construction du collège de l'Elysée par Frédéric Brugger, 1961-1964.
Agencement rationnel et centrifuge (tous les éléments contre les murs, centre libre). Deux cuisinières (une à gaz, l'autre électrique). Deux prises de jour sur le même mur dans la cuisine, deux dans l'office. Version pour "ménie disposant de personnel de maison" de la cuisine hygiéniste. Claire séparation office / cuisine par des entrées distinctes débouchant à 45° sur un petit vestibule.
Représentation : plan/cuisine et office, élévation/face AA, élévation/face BB, élévation/face CC, élévation/face CC
Tableau détaillé des entreprises adjudicataires pour la maison de maître, les dépendances, les travaux extérieurs et les acomptes.
Objet : Plan classique. Sous-sol (depuis l'escalier, sens antihoraire): cave à vins, fruits & légumes, W.C., buanderie, étendage, soute bûcher, repassage, chaufferie Rez-de-chaussée (sens antihoraire): hall, cuisine, office, salle-à-manger, salon, bibliothèque, vestiaire, billard. Entrée principale et entrée de service, avec escaliers conduisant tous deux et séparément à la cave. Premier étage: lingerie chambre d'enfants, penderie, bain, chambre monsieur, chambre madame, boudoir, chambre d'amis, bains, loggia, chambre cuisinière, femme de chambre. Dans l'angle rentrant de la cour, Cornaz implante une fausse tourelle décorative dont le toit repose sur les murs de l'angle du bâtiment, qui ne reçoit pas un escalier à noyau, mais émerge des toits pour conférer à l'ensemble une silhouette de manoir. Le segment de cercle visible est juste un décor de brique "en applique". Le bâtiment semble avoir été destiné d'abord à H. Grandjean puis à la SI de la tour Saint-Georges. Cornaz instrumente ce changement en substituant à une modeste banderole, un élément sommital figurant Saint-Georges terrassant le dragon (plusieurs variantes). Plan spécial pour les rayonnages de la bibliothèque. Les dépendances, dont les plans sont joints à celui du bâtiment principal, comptent 2 niveaux: garages, un petit studio à l'étage probablement pour le chauffeur ou le concierge.
Note: "Même type aux deux maisons du Denantou et maison Monay à Lonay".
Représentation : élévation/souche
Objet : Plan classique. Sous-sol (depuis l'escalier, sens antihoraire): cave à vins, fruits & légumes, W.C., buanderie, étendage, soute bûcher, repassage, chaufferie Rez-de-chaussée (sens antihoraire): hall, cuisine, office, salle-à-manger, salon, bibliothèque, vestiaire, billard. Entrée principale et entrée de service, avec escaliers conduisant tous deux et séparément à la cave. Premier étage: lingerie chambre d'enfants, penderie, bain, chambre monsieur, chambre madame, boudoir, chambre d'amis, bains, loggia, chambre cuisinière, femme de chambre. Dans l'angle rentrant de la cour, Cornaz implante une fausse tourelle décorative dont le toit repose sur les murs de l'angle du bâtiment, qui ne reçoit pas un escalier à noyau, mais émerge des toits pour conférer à l'ensemble une silhouette de manoir. Le segment de cercle visible est juste un décor de brique "en applique". Le bâtiment semble avoir été destiné d'abord à H. Grandjean puis à la SI de la tour Saint-Georges. Cornaz instrumente ce changement en substituant à une modeste banderole, un élément sommital figurant Saint-Georges terrassant le dragon (plusieurs variantes). Plan spécial pour les rayonnages de la bibliothèque. Les dépendances, dont les plans sont joints à celui du bâtiment principal, comptent 2 niveaux: garages, un petit studio à l'étage probablement pour le chauffeur ou le concierge.
Dans le même dossier, d'autres plans concernant ce même objet.
Représentation : élévation/façade n/ouest, élévation/façade s/est
Objet : Villa à un niveau sous un toit à pavillons, percé de chiens assis. Un sous-sol et combles habités.
Représentation : perspective/vol d'oiseau, ensemble
Objet : Ensemble -apparemment à proximité du lac- composé d'une maison principale et de dépendances, lesquelles définissent une place sur un mur de soutènement, contre lequel est adossé le bassin. Parc dessiné. Maison principale d'un étage sur rez-de-chaussée sous un toit à pavillons-croupes sur corniche (sans débords). Sud: portique à colonnades, perron creusé d'une niche à deux rampes convergentes. Le garage ressemble à une écurie transformée en garage! Bassin avec promenoir Louis XV.
Le rez-de-chaussée a été appauvri par les transformations (probablement 1971) et notamment le dispositif d'entrée encadré par des colonnes jumelles a disparu.
Représentation : élévation/façade nord
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment,le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Indication des matériaux. La tablette, l'encadrement du foyer de la cheminée du salon, sont en granit belge,plaque foyère: chomérac.
Représentation : élévation/face cheminée rez, élévation/côté cheminée rez, élévation/face cheminée bureau rez, élévation/face cheminée bureau 2e étage, plan/cheminée rez, plan/bureau rez, plan/bureau 2e étage, détail/corniches
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment,le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Escalier principal situé dans l'angle ouest du bâtiment (pas d'escalier de service, mais un deuxième escalier desservant l'appartement Rivier).
Représentation : plan/arrivée deuxième étage, plan/arrivée et départ 1er étage, plan/départ rez de chaussée, coupe/vue de face
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment,le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Représentation : perspective/façade garage
Objet : Une copie carbone d'une lettre d'accompagnement dépourvue de signature datée du 3 oct. 1936 adressée à Louis Monay, Garage Ch. Ramuz SA Lausanne: "Mon cher Monay, voici les petits croquis que je vous avais promis. Ils vous montreront plus clairement que mes explications comment j'envisage les différents enduits de la façade du garage." (dossier 0024.04.0036)
En vrac à la fin du dossier. Planche de mise en couleur du salon du pavillon, par Henry Bischoff,arc décoré d'une fresque.
Représentation : élévation/intérieure salon, élévation/intérieure face cheminée salon
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Sous-dossier 4, concernant ce même objet. Variante de façade, qui ne correspond pas à celle réalisée.
Représentation : élévation/face vers jardin
Objet : La "légende" locale veut que, les frères Mermod en cabotage sur le lac, aient aperçus le pavillon construit par JC et ET pour A. Brandenburg,se soient enquis auprès de celui-ci du nom de l'architecte et lui aient confié la construction du Petit-Ouchy. Autre anecdote, le bois qui a servi à la charpente est celui des trétaux de la fête des Vignerons de 1925, racheté par Walter Mermod. La description de l'objet, qui reste le plus référentiel et cité de la production JC, sera complétée.
Sous-dossier 3. Béatrice Stoffel conçoit et réalise le jardin de la villa. Le projet Jack Cornaz, que ce dessin restitue, n'a pas été réalisé.
Représentation : plan/jardin
Objet : La "légende" locale veut que, les frères Mermod en cabotage sur le lac, aient aperçus le pavillon construit par JC et ET pour A. Brandenburg,se soient enquis auprès de celui-ci du nom de l'architecte et lui aient confié la construction du Petit-Ouchy. Autre anecdote, le bois qui a servi à la charpente est celui des trétaux de la fête des Vignerons de 1925, racheté par Walter Mermod. La description de l'objet, qui reste le plus référentiel et cité de la production JC, sera complétée.
Sous-dossier 2, avec d'autres études de façade concernant plusieurs objets différents. Probablement variante de la maison Devrient, entrée instrumentée non seulement par la niche-hauteur mais aussi par deux colonnes qui soutiennent un entablement destiné à recevoir les retombées de la niche. Obélisques en antéfixes, et un trophée à la romaine au faîte du toit.
Représentation : élévation/façade nord
Objet : Un étage sur rez, toit à deux pans. Villa-fronton, une niche réalisée en briques (rappel: la famille Savary, des cousins de Cornaz, possède une fabrique de briques à Faoug, faut-il en tirer des conclusions?) en contraste avec le reste du bâtiment, développée sur toute la hauteur de la façade sur rue, souligne l'entrée. La façade sud (vers le lac) a un rythme 1-3-1. La travée centrale est soulignée par un revêtement en briques, comme le fronton (qui s'étire sur toute la largeur de la façade). Photos dans le dossier 0024.02.0001, où l'on voit les obélisques placés aux quatre coins du toit. JC signe seul mais E. Terry n'est pas loin. Les déclinaisons autour de la niche-hauteur (ET en réalise une pour Marcel Nahmias à Boulogne-Billancourt) se retrouvent dans de nombreux dossiers, preuve que JC a cherché à la développer, à la replacer ailleurs. Certains détails sont jubilatoires (volute). La maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient. Réalisée, sans doute, par le même maquettiste que celles déposées aux A.C.M. Belle facture, très soignée dans le traitement des matériaux, des teintes. Souci hyperréaliste du rendu de la toiture, du dallage, des parements de briques. Une enveloppe avec permis de construire. Croquis d'intention puis trois variantes de façades sud et nord (les trois étant présentées sur le même calque). Une proposition hispano-provençale développe plusieurs corps de bâtiment disparates sur les trois côtés d'une cour fermée par un mur d'enceinte, dont la porte d'entrée est en arc. Une autre solution avec portique en façade nord au milieu duquel s'ouvre la porte d'entrée en forme de niche, propose en plan un hall rappellant, à une échelle différente, l'antichambre classique.
Sous-dossier 1, concernant ce même objet.
Représentation : plan/étages
Objet : Immeuble de haut standing, prévu pour avoir 3 étages sur rez et un étage-attique. Immeuble à deux entrées marquée chacune par un avant-corps et un portique à colonnes. Socle appareillé. La déclivité de la pente rachète un niveau au sud, côté ch. du Trabandan. 2 appartements par étage chacun possédant sa propre cage d'escalier, un appartement courant: salon, s.-à-m., cuisine et office, chambre à coucher double, deux chambres à coucher simples, une salle de bain, une chambre de bonne,un appartement plus grand: grand salon, petit salon, salle à manger, cuisine, chambre à coucher double avec boudoir et salle de bain, 2 chambres à coucher simples, salle de bain et chambre de bonne. (Un plan de situation (dossier 0024.04.0037) porte le timbre W. Baumann architecte, daté 1926).
Proposition de niche hauteur comprenant porte et fenêtre,l'ensemble du bâtiment se présente comme un fronton muni d'une clé qui, en raison de sa position, prend une importance considérable et fausse les rapports d'échelle. Il ne s'agit probablement pas de la Villa Inaebnit, mais se trouve dans un dossier concernant cet objet.
Représentation : élévation/façade sur jardin
Objet : Cube "classicisant" d'un niveau sur rez-de-chaussée. Sous-sol. Toit à deux pans à faible pente. Gênoise sur les pignons simulant un fronton. Ordonnance des murs goutterot franchement quelconque. Quelques tics cornaziens: portes-fenêtres en plein cintre avec contrevents distincts haut / bas. Garde-corps "Empire".
Jack Cornaz propose d'utiliser des planelles Zbinden 24/6, posées en fougère dans le hall, et par groupes de 4 disposés à 90° dans le fumoir et dans le salon. Jack Cornaz précise que l'axe médian doit être maintenu de l'entrée principale à la sortie sur le jardin.
Représentation : plan/dallage
Objet : Dans le dossier 0024.04.0044, plusieurs variantes d'avant-projet, qui peuvent se partager en deux groupes: Bâtiment à plan carré, plutôt de la main de Cornaz Plan en L, chacune des ailes est couvertes d'un toit à un pan, couvert de tuiles romaines (style provenço-moderniste), plus probablement de la main de Italo Ferrari. L'autre hypothèse étant que tous deux ont été construits respectivement comme maison principale et dépendances? D'autres documents du même dossier (notes du maître de l'ouvrage) font penser que la maison a été construite. La réalisation est une variante tardive sur le thème du cube classique, toit à pavillon sur génoise, encadrée par deux ailes basses qui abritent une annexe et une véranda. Au rez-de-chaussée sud, fenêtres sur l'angle telles qu'envisagées dans l'une ou l'autre des maquettes. 1953-1954, projet de dépendances: deux corps sur deux niveaux, implantés perpendiculairement (garage et salon au rez, deux chambres avec salle de bain à l'étage). Façade principale sur jardin avec une porte-fenêtre double en forme d'arc et à l'étage un balcon couvert façon galerie.
Représentation de personnages. Mise en situation de la maison au bord du lac, une voiture sur le chemin, le jardin fleuri, une table avec parasol sur la terrasse, un personnage à côté de la piscine, un autre marchant sur les chemins du jardin, un enfant courant sur la berge, un bateau à voile déployée sur le lac.
Représentation : vue plongeante/côté lac
Objet : Dans le dossier 0024.04.0044, plusieurs variantes d'avant-projet, qui peuvent se partager en deux groupes: Bâtiment à plan carré, plutôt de la main de Cornaz Plan en L, chacune des ailes est couvertes d'un toit à un pan, couvert de tuiles romaines (style provenço-moderniste), plus probablement de la main de Italo Ferrari. L'autre hypothèse étant que tous deux ont été construits respectivement comme maison principale et dépendances? D'autres documents du même dossier (notes du maître de l'ouvrage) font penser que la maison a été construite. La réalisation est une variante tardive sur le thème du cube classique, toit à pavillon sur génoise, encadrée par deux ailes basses qui abritent une annexe et une véranda. Au rez-de-chaussée sud, fenêtres sur l'angle telles qu'envisagées dans l'une ou l'autre des maquettes. 1953-1954, projet de dépendances: deux corps sur deux niveaux, implantés perpendiculairement (garage et salon au rez, deux chambres avec salle de bain à l'étage). Façade principale sur jardin avec une porte-fenêtre double en forme d'arc et à l'étage un balcon couvert façon galerie.
Dans le dossier 0024.04.0049 (?) concernant le même objet une chaise semblable à celle qui paraît sur ce plan. A confronter au cartable de dessins de mobilier. Une table basse, une chaise et une étagère, lignes épurées, aucune décoration.
Représentation : perspective/mobilier en situation
Objet : Dans le dossier 0024.04.0044, plusieurs variantes d'avant-projet, qui peuvent se partager en deux groupes: Bâtiment à plan carré, plutôt de la main de Cornaz Plan en L, chacune des ailes est couvertes d'un toit à un pan, couvert de tuiles romaines (style provenço-moderniste), plus probablement de la main de Italo Ferrari. L'autre hypothèse étant que tous deux ont été construits respectivement comme maison principale et dépendances? D'autres documents du même dossier (notes du maître de l'ouvrage) font penser que la maison a été construite. La réalisation est une variante tardive sur le thème du cube classique, toit à pavillon sur génoise, encadrée par deux ailes basses qui abritent une annexe et une véranda. Au rez-de-chaussée sud, fenêtres sur l'angle telles qu'envisagées dans l'une ou l'autre des maquettes. 1953-1954, projet de dépendances: deux corps sur deux niveaux, implantés perpendiculairement (garage et salon au rez, deux chambres avec salle de bain à l'étage). Façade principale sur jardin avec une porte-fenêtre double en forme d'arc et à l'étage un balcon couvert façon galerie.
Carte postale signée F (vraisemblablement Fred-Roger) adressée à Jack Cornaz concernant une cheminée et un rendez-vous à Burier. Un fragment de programme d'opéra avec des cotes. Important car, pour l'instant (25.10.2000), unique preuve tangible de la collaboration professionnelle des deux frères.
Objet : Maison de un étage sur rez. Toit en pavillons. Au sud et au nord, le toit forme dans la partie centrale un comble à la Mansard, dont le brisis est percé d'une lucarne. Cette disposition donne à ces deux façades l'allure d'un corps central cantonné par deux pavillons. Calques de commandes de menuiseries intérieures et extérieures (1:20) se trouvent dans le dossier 0024.04.0128.
Construction à plan centré sur une base en pierre rustique genre rocaille, percée de niches "grotte" et d'oculi. Le bâtiment comprend un corps central circulaire, encadré par deux ailes paralélépipédiques caractéristiques: fenêtres en hauteur avec garde-corps en corbeille néo-gothique, et surtout une manière de belvédère percé d'ouvertures en tiers-point. Représentation de personnages: famille de quatre personnes, au rez père mère et petit enfant, sur le belédère, une personne.
Représentation : élévation/façade lac mise en scène
Objet : Projet,probablement pour Maurice Sandoz
Le dessin laisse à penser que la base de la corniche est commune entre Rivier et Fantaisie, seuls les profils de la doucine (côté plafond). Copier-coller.
Représentation : détail/corniche
Objet : Bibliographie: Monuments d'Art et d'Histoire, tome IV, p. 25 et sqq La maison date du XVIIe,elle est réparée une première fois en 1786,première transformation 1926. La villa se trouve au bord du ch. de l'Elysée, en face du ch. de Fantaisie.
Trois pyramides à 12 faces tronquées inversées décroissantes. Le plan indique au crayon: "C'est le bon! à bientôt. Italo", ce qui laisserait penser qu'en 1929 déjà, alors que la maison est signée Cornaz & Baumann, Italo Ferrari collabore déjà avec Jack Cornaz.
Représentation : élévation/élément cornier de la balustrade du balcon, plan/élément cornier de la balustrade du balcon
Objet : 1929: construction, par atelier Cornaz & Baumann Un étage sur rez, sous-sol percé d'abat-jours, toit en pavillons sur corniche. Cube classicisant avec un retour en biais à l'angle nord, et une terrasse soutenue par un portique à colonnes au sud-ouest. En 1951 Cornaz agrandit l'annexe à l'angle nord et construit ou agrandit le garage-dépendance au nord de la parcelle (Villa Ducrey-Heer, Eugène) figurant déja sur le "plan de situation" de 1929.
Variante C de la deuxième demande Woodfield, accompagnée de ses propres schémas, variante plus libre mais également plus aboutie où Cornaz réorganise de manière plus rationnelle les espaces (se reporter à Connaissance des Arts, 1956).
Représentation : plan/rez de chaussée, plan/1er étage
Objet : Un étage sur rez-de-chaussée. Les propositions de JC se situent entre le chalet suisse et le bastidon provençal…
Représentation : élévation/façade nord, élévation/façade sud, élévation/façade est, élévation/façade ouest
Objet : Bâtiment d'un niveau sous un toit en croupe, cantonné par une véranda à l'ouest. Composition symétrique des façades nord et sud avec pignon transversal en guise de fronton. Le toit est recouvert de tuiles canal formant génoise et toutes les ouvertures sont barlongues. Variation en mode mineur des grandes demeures cornaziennes.
Héliographie colorée, avec légende des parties à démolir, à construire et à conserver. Suppression du porche hors oeuvre d'origine, remplacé par une entrée centrale. Libéré de l'escalier à double volée, le hall reçoit un nouvel escalier semi-circulaire balancé à droite. Un vestiaire et un WC sont logés sous cet escalier. Le plan est clarifié, la façade nord hiérarchisée, les espaces servants bien définis. La suppression du vestiaire et du WC initiaux au profit d'une grande bibliothèque donne une bonne idée du travail de détail auquel se livre Jack Cornaz. Une fois tracé l'axe de symétrie nord-sud, curetage du volume (suppression de deux vérandas semi-circulaires). En façade sud, il retravaille parfois de quelques centimètres seulement les embrasures des ouvertures de façon à respecter les entraxes.
Représentation : plan/rez-de-chaussée
Objet : Le nom de la propriété est successivement: Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par JC associé à Bujard et Roessler en 1960. JC n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails: ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …,Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Etude de l'ordonnance nord dépouillée de tous les ornements et surtout sans toit, ce qui laisse penser que à ce stade il s'agit de définir un parti, basé uniquement sur l'analyse des pleins et des vides, et que la forme du toit n'est pas encore définie. Des études similaires existent dans le même dossier pour les façades est et ouest.
Représentation : élévation/façade nord
Objet : Le nom de la propriété est successivement: Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par JC associé à Bujard et Roessler en 1960. JC n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails: ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …,Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Variante de la façade nord (il ne s'agit pas de la variante réalisée). Axonométrie et élévation de la villa moderniste: il reprend le schéma classique du corps central cantonné par des ailes, mais qui ici s'interpénètrent. Travail sur l'angles avec des fenêtres qui se retournent et des vérandas cornières cylindriques engagées et vitrées. Abstraction faite du toit, les dimensions et les proportions sont respectées par rapport au projet de Mon Abri. La volumétrie est conservée, avec parfois une inversion des pleins et des vides. Ces croquis pourraient accréditer l'hypothèse selon laquelle Jack Cornaz reste intéressé par la réinterprétation moderniste des canons classiques. Quelques croquis de plans partiels pour une salle de bain au deuxième étage, qui pourraient être d'une autre main que celle de Jack Cornaz,de façon presque "corbuséenne", ce sont les objets qui définissent l'espace, et génèrent une découpe dynamique des murs (voir immeuble Clarté, et plans de restauration Dévanthéry-Lamunière).
Représentation : élévation/façade nord, axonométrie/villa moderniste, plan/salle de bain 2e étage
Objet : Maison de maîtres, qui compte un étage sur rez, un comble à la Mansart et un sur-comble habité. Réglage horizontal donné par une large platebande sous la corniche. Façade nord avec portique à colonnades toscan, sous une frise de bucranes et un fronton à modillons d'aplomb. Façade en briques apparentes derrière le portique encadré par des niches. Façade sud: ordre des travées 1-3-1. Avant-corps sous un fronton à base interrompue, frontons sur consoles pour les ouvertures du rez,véranda contre la façade est. Démoli lors de la construction du collège de l'Elysée par Frédéric Brugger, 1961-1964.
Photo collée dans un album, concernant également d'autres objets; sur la même page et les deux suivantes (pp. 28-30), d'autres photos de cet atelier, dont deux de l'édifice terminé.
Représentation : Vue sud-est de l'atelier à la fin du chantier
Objet : Petit édifice construit vers 1931, de style méditerranéen. Le corps principal, soit l'atelier, présente une structure en arceaux de béton armé qui libère la façade au nord, largement vitrée (façade et une partie du toit). Actuellement, la maison (en voie de restauration, juin 2000) comporte une aile d'habitation à l'ouest non visible sur les photos de chantier, ajoutée en 1955 par P. Lavenex, architecte. A l'est, une petite aile constitue l'entrée.
Carte postale écrite par L. Guex de l'hôtel Alexandra (Lausanne), 31.12.1940. Au recto figure une photo de l'angle nord de fantaisie, avec le parc à la française, et un texte indique "Ecublens", alors que le signataire de la carte ne semble pas avoir de liens direct avec cette maison.
Représentation : Façade est, vue depuis le jardin
Objet : Bibliographie: Monuments d'Art et d'Histoire, tome IV, p. 25 et sqq La maison date du XVIIe; elle est réparée une première fois en 1786; première transformation 1926. La villa se trouve au bord du ch. de l'Elysée, en face du ch. de Fantaisie.
Une autre photo de la même série porte une date et une initiale (la même que sur certains plans): mars 1934, F.
Représentation : Vue du pavillon depuis le lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : Vue de la façade vers le lac
Objet : Pavillon construit sur une éminence, un étage sur rez. Au rez: entrée, WC, petite cuisine et grand living-room prolongé par la terrasse. Le living est couvert par une sorte de solarium accolé d'un ou plusieurs locaux, peut-être des chambres à coucher. Sous-sol partiellement excavé. Certains calques sont signés "f" Rare exemple de production moderniste de JC, avec l'atelier pour Casimir Reymond construit à la même époque. Les premiers croquis montrent un réel enthousiasme pour cette petite construction (voir le "la tour belvédère jaune", notamment). Le bâtiment est transformé par JC en 1941 (dessins signés Fer.). La transformation est en effet radicale elle consiste à supprimer la première terrasse, a poser une toiture à 2 pans et à supprimer tout ce qui démarquait l'objet: fenêtre en bandeau a serrurerie métallique, marquise béton, … Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935, Herbert Moos. Offert, avec le terrain en vignes et forêts, par Henri-Louis Mermod à Germaine Favre qui l'a légué à son fils adoptif.
Représentation : Vue façade sud
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment; le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Objet : 1929: construction, par atelier Cornaz & Baumann Un étage sur rez, sous-sol percé d'abat-jours, toit en pavillons sur corniche. Cube classicisant avec un retour en biais à l'angle nord, et une terrasse soutenue par un portique à colonnes au sud-ouest. En 1951 Cornaz agrandit l'annexe à l'angle nord et construit ou agrandit le garage-dépendance au nord de la parcelle (Villa Ducrey-Heer, Eugène) figurant déja sur le "plan de situation" de 1929.
Représentation : façade rez côté jardin
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment; le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Représentation : vue intérieure du salon
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : Vue intérieure salon, vers le lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : vue intérieure, cheminée
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : Façade sud depuis le lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : vue façade nord
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : vue partielle façade lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.