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Immeuble "Le serpent", à St-Blaise : photo

Tirage de photo sur bois. Ce bâtiment est une barre de logement qui présente deux incurvations, en forme de S. Cette volumétrie n'est pas sans évoquer certains bâtiments de Niemeyer, l'hôtel de Funchal à Madère en particulier. Cette référence de villégiature n'est d'ailleurs pas étrangère à la façade sud composée de loggias en continu orientées vers le lac. Les pilotis du rez-de-chaussée évoquent, dans le même esprit, un grand hall. Par contre, la typologie des appartements révèle un souci d'économie des surfaces, notamment des surfaces de circulation. Le plan est marqué par un couloir central qui distribue d'une part les chambres et d'autre part le séjour et la cuisine. Les locaux de services, tels que salle de bain et réduit, ou cage d'escalier et ascenseurs, épaississent l'immeuble en son centre. Bien que rationnelles, ces dispositions sont néanmoins caractéristiques d'une opération immobilière de rentabilité; les appartements semblent avoir été vendus en copropriété.

Immeuble "Le serpent", à St-Blaise : photo

Tirage de photo sur bois. Ce bâtiment est une barre de logement qui présente deux incurvations, en forme de S. Cette volumétrie n'est pas sans évoquer certains bâtiments de Niemeyer, l'hôtel de Funchal à Madère en particulier. Cette référence de villégiature n'est d'ailleurs pas étrangère à la façade sud composée de loggias en continu orientées vers le lac. Les pilotis du rez-de-chaussée évoquent, dans le même esprit, un grand hall. Par contre, la typologie des appartements révèle un souci d'économie des surfaces, notamment des surfaces de circulation. Le plan est marqué par un couloir central qui distribue d'une part les chambres et d'autre part le séjour et la cuisine. Les locaux de services, tels que salle de bain et réduit, ou cage d'escalier et ascenseurs, épaississent l'immeuble en son centre. Bien que rationnelles, ces dispositions sont néanmoins caractéristiques d'une opération immobilière de rentabilité; les appartements semblent avoir été vendus en copropriété.

Salle de spectacle, à Couvet : photo

Tirages de photo. Cette salle de spectacle de moyenne dimension a été ajoutée à un complexe de bâtiments communaux existants. Le classicisme élémentaire de l'ossature de béton sur la façade d'accueil confère au bâtiment un caractère monumental miniaturisé qui n'est pas dépourvu d'ambition. Les détails de modelage de l'ossature aux angles de l'édifice varient de façon à compenser la différence d'ossature entre les façades latérale et frontale, différence engendrée par la disposition d'une mezzanine en dessus de l'entrée. Ainsi, ces détails infimes donnent à lire l'organisation des espaces intérieurs sur une façade relativement peu disserte quant au contenu qu'elle enceint. Toutefois, force est de constater que l'étude géométrique de l'ossature est dans le cas présent un instrument au service de la stabilité de l'édifice autant qu'à la confirmation de sa charge symbolique.

Maison Veuve, à Serrières : photos

Cette maison a été construite pour les parents de l'architecte Léopold Veuve qui deviendra plus tard professeur d'architecture à l'école polytechnique fédérale de Lausanne. L'habitation est concentrée sur un niveau unique, surélevé par un socle de béton. La dissociation des pans de mur et des fenêtres est une pratique courante dans l'oeuvre des architectes.

Maison Roger Bader, à Auvernier : photo

Une photo sur bois. Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.

Maison Roger Bader, à Auvernier : photo

Une photo sur bois. Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.

Église, à Peseux : photos

Photos. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957

École, à Marin-Epagner : vue de la salle de gymnastique

Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

École, à Marin-Epagner : vue de l'ensemble

Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

Immeuble "Le serpent", à St-Blaise : vue

1 prise de vue en contre-plongée. Ce bâtiment est une barre de logement qui présente deux incurvations, en forme de S. Cette volumétrie n'est pas sans évoquer certains bâtiments de Niemeyer, l'hôtel de Funchal à Madère en particulier. Cette référence de villégiature n'est d'ailleurs pas étrangère à la façade sud composée de loggias en continu orientées vers le lac. Les pilotis du rez-de-chaussée évoquent, dans le même esprit, un grand hall. Par contre, la typologie des appartements révèle un souci d'économie des surfaces, notamment des surfaces de circulation. Le plan est marqué par un couloir central qui distribue d'une part les chambres et d'autre part le séjour et la cuisine. Les locaux de services, tels que salle de bain et réduit, ou cage d'escalier et ascenseurs, épaississent l'immeuble en son centre. Bien que rationnelles, ces dispositions sont néanmoins caractéristiques d'une opération immobilière de rentabilité; les appartements semblent avoir été vendus en copropriété.

Maison Farron, à Neuchâtel : photo de chantier

1 prise de vue, photo de chantier. Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.

Salles de gym "Pierre-à-Mazel", à Neuchâtel : photos

Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.

Salles de gym "Pierre-à-Mazel", à Neuchâtel : photos

Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.

Poste, à Fontainemelon : photos

Construite dans l'immédiat après-guerre, à une époque où la ferraille et le ciment sont contingentés, cette maison frappe par la simplicité élémentaire de sa composition. La technologie élémentaire des murs de moellons - encouragée à l'époque par les autorités, les palnchers de bois, le toit à croupe, la répétitivité des fenêtres et des contrvents, tout dans ce chantier révèle un souci d'économie tant au niveau des matériaux que de l'investissement humain. Seule l'intensité du travail de l'architecte semble faillir à cette règle: l'étude des proportions du volume et des ouvertures est le fruit d'une recherche fine et soignée, de même que la mise en oeuvre générale. La réalisation de l'avant-toit sur lequel la ligne de pose du chéneau accuse un bombement destiné à la correction optique des horizontale, procédé hérité de l'Antiquité, illustre le souci du détail et le soin du chantier qui ont présidé à la réalisation.

Centre scolaire des Coteaux, à Peseux : photos

Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

Immeuble "Le serpent", à St-Blaise : photos

Ce bâtiment est une barre de logement qui présente deux incurvations, en forme de S. Cette volumétrie n'est pas sans évoquer certains bâtiments de Niemeyer, l'hôtel de Funchal à Madère en particulier. Cette référence de villégiature n'est d'ailleurs pas étrangère à la façade sud composée de loggias en continu orientées vers le lac. Les pilotis du rez-de-chaussée évoquent, dans le même esprit, un grand hall. Par contre, la typologie des appartements révèle un souci d'économie des surfaces, notamment des surfaces de circulation. Le plan est marqué par un couloir central qui distribue d'une part les chambres et d'autre part le séjour et la cuisine. Les locaux de services, tels que salle de bain et réduit, ou cage d'escalier et ascenseurs, épaississent l'immeuble en son centre. Bien que rationnelles, ces dispositions sont néanmoins caractéristiques d'une opération immobilière de rentabilité; les appartements semblent avoir été vendus en copropriété.

École, à Marin-Epagner : photos

Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

Église, à Peseux : photos

Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957

Fabrique de ressorts d'horlogerie, à Peseux : photos

Bâtiment industriel composé e deux corps reliés par une passerelle. L'ossature de béton évoque l'architecture d'Auguste Perret. De nombreux écarts sont cependant perceptilbes par rapport au modèle du maître. Le plus frappant est l'interruption des pilastres dans leur hauteur par les corniches, en parfaite contradiction avec la notion d'abri souverain chère à Auguste Perret. Cette innovation est motivée par l'impossibilité de couler d'un coup le pilastre qui est logiquement interrompu par la tête de dalle. Cette contradiction interne du système d'Auguste Perret avait été surmontée par le maître dans la dissociation des ordres à l'intérieur d'un immeuble, les colonnes libres suportant la toiture étant dissociées strucutrellement et plastiquemement de la carcasse portante des étages. Dans le cas présent, les éléments obturés de la façade exécutés en surfaces enduites de même le cadre de baie défini par l'appuis et non par les jambages sont des interprétations de l'oeuvre de Perret.

Maison Loup, à Estavayer : photos

La transformation de cette ancienne maison villageoise est caractérisée par le maintien d'une infrastructure préexistante sous la forme d'un énorme mur de soutènement qui rachète la dénivellation du terrain. L'intervention de l'architecte consiste à décapiter la construction et à reconstruire le dernier niveau en structure de pans de bois dont le balcon en porte-à-faux évoque l'image médiévale des hourds ou du chemin de ronde qui couronnent une muraille. Le projet des architectes à proprement parler est une petite maison de bois qui n'est pas sans ressemblance avec les nombreux prototypes de maisons ouvrières économiques développés dans les décennies antérieures notamment par les architectes Alphonse Laverrière ou Jacques Favarger.

Maison Roger Bader, à Auvernier : photos

Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.

Maison Fallot, à Fontainemelon : photos

Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.

Maison Luther, à Neuchâtel : photos

Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.

Pavillon de vacances V. Stettler, à Enges : photos

Cette maison est une variante du modèle de maison familiale que les architetes n'ont cessé de décliner dans leur production: un plan en équerre dont l'aile principale, perpendiculaire au terrain, abrite le séjour et la cuisine, et l'autre aile, parraléle à la pente, qui abrite les chambres. Dans le cas présent, l'organisation de la section longitudinale en demi-niveaux est une astuce volumétrique qui affirme l'articulation de la masse. L'inversion des pans de toiture, inédite dans les projets de maisons individuelles des architectes, participe au même effet. Les façades construites partiellement en bois sont également une option à laquelle les architectes ont rarement recouru. Ce projet est sans doute un des plus originaux conçu par les architectes. Par son image générale de pavillon de vacances et certains détails de l'aménagement intérieur (cheminée du séjour), il n'est pas sans évoquer les maisons réalisées par Breuer dans la campagne de la côte Est des Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale.

Maison Perrenoud, à Peseux : photos

Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.

Maison Froidevaux, à la Chaux-de-Fonds : photos

Cette grande maison est située sur un terrain en léger surplomb. Les pièces principales s'ouvrent généreusement au sud sur un balcon en retrait à l'intérieur du volume habitable, le garde-corps est exécuté en ferronnerie. Partagée horizontalement par le nez de dalle, la maison abrite à chacun des deux étages un appartement similaire. Au sous-sol se trouvent un garage, un atelier d'horlogerie, les caves et la buanderie. La volumétrie, de configuration simple, est couverte d'un toit à croupe. Les façades présentent un ordonnancement symétrique, régulier et finement proportionné des ouvertures. L'accès, placé sur une façade latérale, est soutenu par un ramblai de terre dont la contention est assurée par un mur de soutènement. Cette n'est pas sans évoquer, par sa typologie, la maison locative Perrenoud réalisée par les architectes à Peseux à la même époque. Un projet non-réalisé de maison de paroisse qui présente une forme générale similaire aux deux habitations susnommées laisse deviner, derrière une apparente simplicité, une variété de partition intérieure, tant en plan qu'en coupe. La répartition des ouvertures par rapport à l'ossature, dans ce dernier projet, est dynamique et inventive.

Immeuble Runtal, à Neuchâtel : photos

Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.

Maison Farron, à Neuchâtel : photos

Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.

Église, à Peseux : photos

Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957

Fabrique de ressorts d'horlogerie, à Peseux : photos

Bâtiment industriel composé e deux corps reliés par une passerelle. L'ossature de béton évoque l'architecture d'Auguste Perret. De nombreux écarts sont cependant perceptilbes par rapport au modèle du maître. Le plus frappant est l'interruption des pilastres dans leur hauteur par les corniches, en parfaite contradiction avec la notion d'abri souverain chère à Auguste Perret. Cette innovation est motivée par l'impossibilité de couler d'un coup le pilastre qui est logiquement interrompu par la tête de dalle. Cette contradiction interne du système d'Auguste Perret avait été surmontée par le maître dans la dissociation des ordres à l'intérieur d'un immeuble, les colonnes libres suportant la toiture étant dissociées strucutrellement et plastiquemement de la carcasse portante des étages. Dans le cas présent, les éléments obturés de la façade exécutés en surfaces enduites de même le cadre de baie défini par l'appuis et non par les jambages sont des interprétations de l'oeuvre de Perret.

Salles de gym "Pierre-à-Mazel", à Neuchâtel

Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.

Salle de spectacle, à Couvet

Cette salle de spectacle de moyenne dimension a été ajoutée à un complexe de bâtiments communaux existants. Le classicisme élémentaire de l'ossature de béton sur la façade d'accueil confère au bâtiment un caractère monumental miniaturisé qui n'est pas dépourvu d'ambition. Les détails de modelage de l'ossature aux angles de l'édifice varient de façon à compenser la différence d'ossature entre les façades latérale et frontale, différence engendrée par la disposition d'une mezzanine en dessus de l'entrée. Ainsi, ces détails infimes donnent à lire l'organisation des espaces intérieurs sur une façade relativement peu disserte quant au contenu qu'elle enceint. Toutefois, force est de constater que l'étude géométrique de l'ossature est dans le cas présent un instrument au service de la stabilité de l'édifice autant qu'à la confirmation de sa charge symbolique.

Maison Loup, à Estavayer

La transformation de cette ancienne maison villageoise est caractérisée par le maintien d'une infrastructure préexistante sous la forme d'un énorme mur de soutènement qui rachète la dénivellation du terrain. L'intervention de l'architecte consiste à décapiter la construction et à reconstruire le dernier niveau en structure de pans de bois dont le balcon en porte-à-faux évoque l'image médiévale des hourds ou du chemin de ronde qui couronnent une muraille. Le projet des architectes à proprement parler est une petite maison de bois qui n'est pas sans ressemblance avec les nombreux prototypes de maisons ouvrières économiques développés dans les décennies antérieures notamment par les architectes Alphonse Laverrière ou Jacques Favarger.

Maison Roger Bader, à Auvernier : photos

Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.

Maison Fallot, à Fontainemelon : photos

Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.

Poste, à Fontainemelon

Construite dans l'immédiat après-guerre, à une époque où la ferraille et le ciment sont contingentés, cette maison frappe par la simplicité élémentaire de sa composition. La technologie élémentaire des murs de moellons - encouragée à l'époque par les autorités, les palnchers de bois, le toit à croupe, la répétitivité des fenêtres et des contrvents, tout dans ce chantier révèle un souci d'économie tant au niveau des matériaux que de l'investissement humain. Seule l'intensité du travail de l'architecte semble faillir à cette règle: l'étude des proportions du volume et des ouvertures est le fruit d'une recherche fine et soignée, de même que la mise en oeuvre générale. La réalisation de l'avant-toit sur lequel la ligne de pose du chéneau accuse un bombement destiné à la correction optique des horizontale, procédé hérité de l'Antiquité, illustre le souci du détail et le soin du chantier qui ont présidé à la réalisation.

Maison Luther, à Neuchâtel

Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.

Maison Veuve, à Serrières

Cette maison a été construite pour les parents de l'architecte Léopold Veuve qui deviendra plus tard professeur d'architecture à l'école polytechnique fédérale de Lausanne. L'habitation est concentrée sur un niveau unique, surélevé par un socle de béton. La dissociation des pans de mur et des fenêtres est une pratique courante dans l'oeuvre des architectes.

Pavillon de vacances V. Stettler, à Enges

Cette maison est une variante du modèle de maison familiale que les architetes n'ont cessé de décliner dans leur production: un plan en équerre dont l'aile principale, perpendiculaire au terrain, abrite le séjour et la cuisine, et l'autre aile, parraléle à la pente, qui abrite les chambres. Dans le cas présent, l'organisation de la section longitudinale en demi-niveaux est une astuce volumétrique qui affirme l'articulation de la masse. L'inversion des pans de toiture, inédite dans les projets de maisons individuelles des architectes, participe au même effet. Les façades construites partiellement en bois sont également une option à laquelle les architectes ont rarement recouru. Ce projet est sans doute un des plus originaux conçu par les architectes. Par son image générale de pavillon de vacances et certains détails de l'aménagement intérieur (cheminée du séjour), il n'est pas sans évoquer les maisons réalisées par Breuer dans la campagne de la côte Est des Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale.

Maison Perrenoud, à Peseux

Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.

Maison Froidevaux, à la Chaux-de-Fonds : photos

Cette grande maison est située sur un terrain en léger surplomb. Les pièces principales s'ouvrent généreusement au sud sur un balcon en retrait à l'intérieur du volume habitable, le garde-corps est exécuté en ferronnerie. Partagée horizontalement par le nez de dalle, la maison abrite à chacun des deux étages un appartement similaire. Au sous-sol se trouvent un garage, un atelier d'horlogerie, les caves et la buanderie. La volumétrie, de configuration simple, est couverte d'un toit à croupe. Les façades présentent un ordonnancement symétrique, régulier et finement proportionné des ouvertures. L'accès, placé sur une façade latérale, est soutenu par un ramblai de terre dont la contention est assurée par un mur de soutènement. Cette n'est pas sans évoquer, par sa typologie, la maison locative Perrenoud réalisée par les architectes à Peseux à la même époque. Un projet non-réalisé de maison de paroisse qui présente une forme générale similaire aux deux habitations susnommées laisse deviner, derrière une apparente simplicité, une variété de partition intérieure, tant en plan qu'en coupe. La répartition des ouvertures par rapport à l'ossature, dans ce dernier projet, est dynamique et inventive.

Maison de week-end B. Fer, à Corcelles

Située dans une pinède, la générosité du programme de cette maison de week-end révèle l'intense activité sociale du maître del'ouvrage. Le volume principal est couvert d'un toit à un pan, avec tuiles de terre cuite, auquel sont adjoints deux annexes en appentis: la terrasse couverte et le garage double. Les façades présentent une alternance d'éléments en béton et en enduit, alors que la construction (murs, dalles et toiture) est réalisée entièrement en béton. Cette caractéristique est justifiée notament pour les grandes portées nécessaires aux baies vitrées et aux retraits de façades côté jardin: au rez, un décrochement autorise une terrasse couverte, elle-même prolongée par un abri couvert. En contraste, à l'étage, les nombreuses chambres ne disposent que de petites fenêtres régulières, avec volets. Dans les angles de la maison, les murs coupe-vent forment un cadre avec l'avant-toit dont la matérialisation révèle discrètement la carcasse structurelle de béton inhabituelle dans un programme domestique. L'aménagement intérieur, à commencer par la configuration du plan, est un des ensemble les plus moderne réalisé par les architectes, comme en témoignent l'escalier avec marches encastrées en porte-à-faux ou la cheminée avec âtre et manteau métalliques dissociés de la maçonnerie.

Immeuble Runtal, à Neuchâtel : photos

Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.

Maison Farron, à Neuchâtel

Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.

Villa Stern, à Cologny (III) et Casino de Morges

Ce dossier contient des plans et des esquisses concernant un pavillon de la Villas Stern à Cologny, ainsi que des perspectives originaux du Casino Morges (cf. 0113.04.0011) et du bâtiment ICC (cf. 113.04.011/014)

Villa Stern, à Cologny (II)

Ce dossier contient des plans et cahier d'esquisses concernant la transformations de la villa Stern à Cologny.

Bâtiments d'habitation et de commerce (IV)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • concours "les Tresums" pour une bâtiment commercial à la ville d'Anneny (1990)
  • bâtiment administratif de CIRCO (1989)
  • bâtiment de la maison d'expédition Ackermann à Kriens (Cornel + Gherzi)
  • routes nationales suisses (AVV 1994)
  • installations portuaires (1982)
  • bar du paquebot "Homeric" (Jacques Mottier, Konstantin Roduner 1984)
  • garage/station service Ferrari
  • garage GB & M SA (Binggeli & Muhlebach) à la route du Nant-d'Avril à Genève (1987)
  • station d'essence (Giger + Radulescu 1979)
  • complexe de bureau de Technopolis (école polytechnique?) / Thoiry (Marteau 1990)
  • lotissement "Ville de Parc" au Rhin (Howard 1993)
  • plusieurs bâtiments d'habitation et de commerce

Bâtiments d'habitation et de commerce (III)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • centre polyvalent d'IDEA à Lisbonne (1987)
  • immeuble administratif au quai du Mont-Blanc à Genève (A. Gallay, J. Berger, C. Steffen 1987)
  • avant-projet d'aménagement du quartier de la Gravière Meyvin à Genève (1985)
  • centre commercial de la Migros (1986)
  • plusieurs bâtiments d'habitation et de commerce (1991/92)
  • lotissement (1991)

Villa Stern, à Cologny (I)

Ce dossier partagé en deux contient des perspectives et des plans microfilmées (0113.04.0020a), ainsi que des plans de détails et perspectives originaux (0113.04.0020b) concernant la transformation de la villa Stern.

Bâtiments d'habitation et de commerce (II)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • bâtiment de l'union Carbide (Europe) SA à la rue du Pré-Bouvier à Genève (Giger et Radulescu 1976)
  • Hospice Général au boulevard de la Close à Genève (Eric Dunant 1991)
  • plusieurs bâtiments administratifs et commerciales

Bâtiments commerciaux (VI)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • centre commercial "Biz" (1982)
  • plusieurs bâtiments de commerce
  • avant-projet du presbytère ENPG / paroisse protestante de Cologny (Raymond Bossy 1983)

Etablissements de loisir

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • Stade de Charmille à Genève (Koechlin, Mocellin, Richardet 1991)
  • club de tennis (Giger et Radulescu 1980)
  • piscine du paquebot "Homeric" (Jacques Mottier, Konstantin Roduner 1984)
  • parking et vestiaires /Fraisier (Tschumi Bernarnd 1991)
  • école provisoire "Louis Hugon" (VdG 1992)
  • siège de Rolex à Genève (Bolliger 1983).

Bâtiments commerciaux (V)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • complexe hôtelier (Held + Cochet 1985)
  • bâtiment administratif à la rue Maunoir à Genève
  • bâtiment de la Société Privée de Gérance à Genève (1985)
  • centre commercial de la Migros (1986)

Divers projets à Genève (V) et Vaud

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • complexe hôtelier des Jardins du Soleil SA à Aigle (CF 1990)
  • complexe de bureau de Technopolis (école polytechnique?) / Thoiry (Marteau 1990)
  • immeuble d'habitation de de commerce à Gland (Dreier 1990)
  • complexe hôtelier "Eagle-Lodge" à Aigle (Mottier, Roduner 1990)
  • immeuble administratif à Burgdorf (Erbeia + Krüger 1990)
  • Garage Mercedes à Nyon (Held + Cochet 1990)
  • immeuble d'habitation au chemin du Point-du-Jour à Genève (J. Cerutti et D. Lafleur
    1990)
  • immeuble d'habitation à Villette (Erbeia 1990)
  • bâtiment administratif à Lugano (Krüger 1990)
  • centre de commerce / Annency (Erbeia 1990)
  • appartements à St-Sulpice (Henriod + Malnati 1990)
  • centre commercial "les Terrasses" (Erbeia 1990) à Versoix (GE)
  • concours pour l'usine de fabrication de Bobst (Plarel SA 1990)
  • machines Dupont (Plarel 1990)
  • aménagement du centre-ville de Morges (Gabriel de Freudenreich 1990)
  • complexe d'habitation "Pinchat-Parc" (Montessuit + Carlier 1990)
  • lotissement "Pré-Jaquet" à Villeneuve (Marteau 1990)
  • Vignettes de Service pour les complexes hôteliers des Jardins du Soleil SA (CF 1990)

Divers projets à Genève (IV) et Vaud

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • bâtiment ICC (Kleinert 1991)
  • complexe hôtelier des Jardins du Soleil SA à Chexbres (CF 1990)
  • complexe hôtelier des Jardins du Soleil SA à Aigle (CF 1990)
  • lotissement "Pré-Jaquet" à Villeneuve (Marteau 1990)
  • bâtiment de la maison d'expédition Ackermann à Kriens (Cornel + Gherzi)
  • aménagement de la centre-ville de Morges (Gabriel de Freudenreich 1990)
  • chalet au Château d'Oex (CF 1990)
  • centre polyvalent d'IDEA à Lisbonne (1994)
  • immeuble d'habitation " Les Minoteries" au quai Charles-Page à Genève (J. Cerutti + D. Lafleur 1990/92)
  • Villa Cologny (Dubey + Humbert 1990)
  • Country et Golf Club en Espagne (Gambert 1990)
  • bâtiment administratif "Opération Sécheron" à Genève (Badahan 1991)
  • parking et vestiaires /Fraisier (Tschumi Bernarnd 1991)
  • immeuble d'habitation et de commerce / Epinettes (Lin, Luisoni, Bronzino 19891)
  • lotissiment (HBM, Koechlin, Mozer 1991)

Divers projets à Genève (III)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • station de transformation à Verbois (AVV 1994)
  • immeuble de logement au plateau de Frontenex à Genève (Stucki 1994)
  • habitation individuelle en bande continue à Avusy (Gabriel Deboul 1995)
  • tunnel d'autoroute (AVV 1993)
  • bâtiment de fabrication HP (Howard 1993)
  • Villa Chambésy (Bendahan 1993)
  • lotissement "Ville de Parc" au Rhin (Howard 1993)
  • concours pour la promenade St-Antoine à Genève (AVV 1993)
  • intérieur de la Banque Llyods (Beric + Zuber 1993)
  • routes nationales suisses / SN1a (AVV 1994)
  • complexe hôtilier "Les Jardins de Chevry" (Christen 1994)
  • centre polyvalent d'IDEA à Lisbonne (1994)
  • le musée et la salle du siège de Rolex à Genève (Bolliger 1994)
  • maison des deux appartements à Lullier (Koechlin + Mozer 1994)
  • habitation individuelle en bande continue "Mission Iran" (Gampert Dominique1994)
  • Hôtel du Rhône à Genève (Christen 1994)
  • bâtiment administratif à la rue Ami-Lullin à Genève (Christen 1994)
  • exposition de la suisse (AVV 1994)

Divers projets à Genève (II)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • aménagement urbain à la Place du Rhône à Genève (VdG 1992)
  • école provisoire "Ronzades" (VdG 1992)
  • école provisoire "Louis Hugon" (VdG 1992)
  • aménagement urbain au carrefour Masset (1992)
  • embouchure de la Rhône / Rade-Horloge / vue aérienne (K+M 1993)
  • immeuble de logement à la rue François-Grast à Genève (Born + Sauvin 1993)
  • immeuble de logement à la rue de l'Aubépine à Genève (Born + Sauvin 1993)
  • immeuble de logement à la route de Chêne à Genève (Born + Sauvin 1993)
  • la façade d'une maison d'habitation titrée "Le Club" (Deboul Gabriel 1993)
  • immeuble de logement à l' angle du Trembley-Bouchet (Frey 1993)
  • UBS / Agence Cornavin (Born + Sauvin 1993)
  • immeuble d'habitation " Les Minoteries" au quai Charles-Page (J. Cerutti + D. Lafleur 1990/92)
  • aménagement urbain à la Place de Longemalle (VdG 1992)
  • urbanisme / lotissement à l'avenue du Mervelet à Genève (VdG 1992)
  • gymnase à l'avenu de la Roseraie à Genève (VdG 1992)
  • station de transformation à Verbois (AVV 1992)
  • concours d'extension des bâtiments UIT à l'avenue de France et à la route de Ferney à Genève (Cottier1992)
  • urbanisme à l'Aihambra / complexe d'habitation (VdG 1992)
  • immeuble de logement à l'avenue Wendt à Genève (Brolliet SA 1992)
  • projet de l'urbanisme / lotissement "Le Fôret" (VdG 1992)
  • SBS (Société de Banque Suisse) / Caraterie (Ardin 1992)

Divers projets à Genève (I)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • centre polyvalent d'IDEA à Lisbonne (1992)
  • magasin à la Place Bel-Air à Genève (Herth Joseph 92)
  • Asen / centre commercial à Genève (1991)
  • restaurant Chausse-Coqs Chirat Marc à Genève (1992)
  • Quartier des Hallebardiers / aménagement de centre-ville (Grand Rue III) à Morges (Gabriel de Freudenreich 1991)
  • Stade de Charmille à Genève (Koechlin, Mocellin, Richardet 1991)
  • immeuble d’habitation "Crèche" à la rue de Carouge à Genève (Hermes Alain 1991)
  • immeuble d'habitation au Quai Cheval Blanc à Genève (Vasas + Albisati 1991)
  • complexe hôtelier en Antilles (Dürr Andreas1992)
  • Casino à Morges (Gabriel de Freudenreich 1992)
  • Concours Foyer Handicap (Christen 1992)
  • Tour Blavignac à Genève (VdG 1992)
  • bâtiment ICC (Kleinert 1991)
  • Hôtel Président-Wilson à Genève (Erbeia 1991)
  • Rousseau Immobilier au Clos St-André
  • immeuble d'habitation "Tulipiers" (Ardin 1991)
  • immeuble d'habitation à la rue Christiné et la rue de Carouge à Genève (J. Cerutti + D. Lafleur 1991)
  • complexe de bureau d'IDEA (Institut pour le Développement et l'Education des Adultes) à l'avenue de Sécheron à Genève (Erbeia1991)
  • immeuble des logements à l'avenue de Sécheron à Genève (Bendahan Samuel)
  • lotissement "Le Clos Charmeil" (Sibille 1991)
  • Marché en Gros à Poznan en Pologne (Radulescu, S+M 1991)
  • bâtiment SIG à Verbois (AVV)
  • avenue Eugène-Pittard à Genève (Bendahan Samuel 1991)
  • CSEM (Centre Suisse d’Électronique et de Micro-technique SA recherche et développement) à Neuchâtel (Gredig 1991)

Bâtiments commerciaux (IV)

Ce dossier contient que des perspectives et plans microfilmés concernant divers projets:

  • bâtiment de Rolex (1983)
  • Garages SA Blanc + Paiche - Mazda (1981)
  • projet d'implantation d'une usine de fabrication "Carad-Ara" des produits audio-visuels en Tunisie (Radulescu & Giger1975)
  • perspectives d'un tunnel d'autoroute
  • complexe hôtelier de Rougemont (1984)
  • vue aérienne de Genève

Bâtiments commerciaux (III)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • deux agences de l'UBS (Radulescu & Giger, Born & Sauvin 1980)
  • centre commercial "les Terrasses" (Erbeia 1990) à Versoix (GE)
  • l'espace commercial et salle du jeu du paquebot "Homeric" (Jacques Mottier, Konstantin Roduner 1984)
  • nouveau Pavillon d'Accueil de l'Hôpital Cantonal Universitaire de Genève (Roland Meige 1988)
  • hôtel en 1979
  • projet d'un concours de Lugano (Joye & Decroux 1984)

Bâtiments commerciaux (I)

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • complexe d'administration de "Yamaichi Switzerland L.T.D." (1988)
  • centre commercial (1981-1984)
  • bâtiment de la Banque Populaire Suisse (aujourd'hui Crédit Suisse) à Genève (Guex & Kirchhof)
  • caisse d'épargne, agence de la Servette (Alain Hermes 1988)
  • avant-projet d'un cage d'ascenseur (In Albon Jean-Charles 1985)
  • l'espace commercial du paquebot "Homeric" (Jacques Mottier, Konstantin Roduner 1984)
  • des hôtels en 1984
  • des chalets

Complexes d'habitation

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets:

  • complexe d'habitation "Pinchat-Parc" (A. Damay, J. Montessuit, A. Carlier en mai 1990)
  • maisons d'habitation (1987/89)
  • quartier d'habitation "Villas des Crêtes" à Aire-la-Ville (GE) (en novembre 1989)
  • grand immeuble administratif (1989)

Complexes hôteliers en montagne

Ce dossier contient que des perspectives microfilmées concernant divers projets en montagne:

  • hôtel "Schweizerhof" à Zermatt (1981)
  • complexe hôtelier à Rougemont (1984/87)
  • divers hôtels et chalets (Giger & Radulescu 1974/86)
  • hôtel en Caribes

Centre électronique, Université de Fribourg (2)

Dossier rangé par erreur sous la cote 112.04.113, cote déjà attribuée à un dossier concernant le couvent de la Visitation. Il s'agit d'une adjonction, mais il n'a pas été possible de déterminer si celle-ci est située sur le site de Miséricorde.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : tabernacle : esquisses et dessins

Esquisses et dessins du tabernacle et de son emplacement sous la coupole. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : tabernacle : projet

Projet de tabernacle de l'artiste Buck. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : grille de séparation, portes coulissantes : projets

Projet de grille de séparation, portes coulissantes. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : dessins et perspective des fonds baptismaux

Dessins et perspective des fonds baptismaux par un artiste non-identifié. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : plans de mise à l'enquête

Plans de mise à l'enquête. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : projet de clocher

Tirages du projet de clocher (abandonné). Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : plans anciens

Tirages bleus, anciens. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg

Dossier comportant 2 subdivisions (tirages papier) (2 boîtes). Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Église du Christ-Roi, à Fribourg : lans et correspondances

Tirages et lettre du maître-ferronnier Subes. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Cure du Christ-Roi, à Fribourg : dossier d'éxecution

Dossier d'exécution (calques originaux). La cure du Christ-Roi est attenante à l'église du Christ-Roi et a été construite environ trente ans après le début du chantier de cette dernière. Le bâtiment projeté et réalisé par Emilio Antognini est un simple parallélépipède qui présente des éléments d'inspiration structuralistes (têtes de dalles, encadrements des ouvertures en béton) malgré un caractère général régionaliste : murs en maçonnerie, toit à croupe). Cette construction abrite les locaux de la cure qui avaient été prévus par Denis Honegger, responsable général du projet du Christ-Roi, dans un des immeubles du boulevard de Pérolles construits en même temps que l'église.

Cure, à Romont

Plans, coupes et élévations (1/50). Cette cure ressemble à la cure construite par Antognini à la paroisse du Christ-Roi dans les années 70, semble contigüe à un bâtiment plus grand du même architecte, éventuellement l'école de Romont.

École technique supérieure, à Fribourg : agrandissement des laboratoires

Agrandissement des laboratoires, plans 50e, dossier d'exécution. (un rouleau et une boîte). Grand projet comportant plusieurs corps de bâtiments, atmosphère stalinienne, référence perretiste. Nous ignorons si le projet a été construit selon les plans d'Antognini qui enseignait au département d'architecture de cette même école. Différents projets semblent avoir été demandés à Antognini pour l'aménagement de nouveaux laboratoires d'électrotechnique ou pour le déplacement complet du technicum, ceci en accord avec la faculté des sciences de l'université. Le lien entre ces deux institutions n'apparait pas clairement dans ces documents.

Villa Roger Walther : plans, coupes et élévations

Plans, coupes et élévations (1/50) du premier projet. Villa pour le professeur Roger Walter. La maison comporte une ossature de béton visible à l'intérieur comme à l'extérieur dont l'image n'est pas sans rappeler l'architecture d'Auguste Perret mais avec un toit à croupe. Programme : deux appartements indépendants et différents, avec jardin indépendant pour chaque appartement. Cette maison est située sur une butte visible de toute part, tout en jouissant d'une vue imprenable sur la vieille ville de Fribourg. Selon Antognini, l'ossature de béton a permis la disposition différente des appartements, mais il n'en apporte pas la démonstration fonctionnelle. Il s'agit en fait d'un manifeste. Les travées rythmées sont basées, semble-t-il, sur le tringle égyptien.

Usine Louis Walther : execution

Divers plans d'exécution et projet d'architecture pour cette usine de produits textiles. Extension à une usine existante pour la firme appelée Walter SA et Nuthofil SA. Annexe avec squelette béton et remplissage brique visible. Implantation à vingt mètres des anciennes fortifications de Fribourg et des tours de la porte de Morat. L'exiguïté du terrain semble avoir dicté le parti d'une construction en hauteur.

Université de Fribourg : Faculté de Sciences : rendu de concours

Rendu de concours. Concours pour un nouveau bâtiment, la situation exacte n'est pas précisée. Bâtiment linéaires disposés en réseau sur une trame en T ou en barres parrallèles, ou en peigne, de différentes hauteur, avec toit à croupe et expression constructive du béton qui évoque le classicisme structurel. Motto 34 45 56.

Chancellerie d'Etat, à Fribourg : concours

Rendu de concours, relevé et profils des bâtiments existants, photo du site montrant le tissu médiéval de Fribourg. Bâtiment en tête d'îlot avec un clocheton. L'aile sur rue propose une répétition mécanique des ouvertures sur la façade en enduit.

École ménagère, à Fribourg : plans d'exécution (1/20)

Agrandissement d'un bâtiment ancien et pittoresque par une annexe perretiste. Projet accepté et réalisé en 1956. Le problème posé consiste à agrandir l'ancienne école ménagère dans d'anciennes constructions à démolir. Parmi ceux-ci, on trouve une ancienne maison patricienne de Fribourg, de laquelle il faut garder une véranda et une façade en mollasse sur la rue de Morat. Ces éléments caractéristiques de cette rue pittoresque sont rattachés à la nouvelle ossature en béton.

École, à Châbles : plans d'exécution (1/50)

Plans d'exécution (1/50). Transformation de l'ancienne école : l'implantation devait être gardée et était dictée par les murs de l'ancienne école. La différence de niveau a permis l'aménageemnt d'un étage supplémentaire et la sortie de plein pied sur la cour de récréation.

École du Jura, à Fribourg : rendu de concours sur papier

Belle école dont l'architecture évoque le classicisme structurel, toit à croupe, répétition mécanique des éléments de façade. Volumétrie avec une tête qui abrite l'entrée principale. Motto : 12345. Projet non primé et écarté sans critique. Le projet primé n'a pas été réalisé suite à l'achat d'un bâtiment ancien.

Chapelle, à Châbles : plans d'éxecution

Plans d'exécution (1/20, 1/50) pour le renforcement de la charpente, héliocopies des plans de construction d'origine (1939). Chapelle construite en 1939 par l'architecte fribourgeois Albert Cuony.

Université de Miséricorde, à Fribourg

Agrandissement: projet de prolongement du bâtiment des cours pour la faculté des sciences morales: plans d'exécution (1/50) et détails constructifs, nombreuses variantes d'étude pour la partie appelée "poterne"(bâtiment d'articulation entre les deux nouveaux corps), esquisses du bureau Honegger à Paris. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Immeuble et garage, à La Chaux-de-Fonds : dossier d'exécution

Dossier d'exécution. Coupes très intéressante, études en perspective de la rotonde, plans d'exécution (2 boîtes). Cet immeuble très intéressant dans l'œuvre de Antognini est une de ses réalisation les plus puristes en regard de l'enseignement de Perret : squelette béton, colonnes cannelées et fuselées, corniches, pilastres, rotonde néo-classique. Nombreuses similitudes avec les immeubles résidentiels de la cité paroissiale du Christ-Roi à Pérolles, Fribourg projetée par Honegger et à laquelle Antognini a été associé pour la surveillance de l'exécution. L'immeuble de la Chaux-de-Fonds est peut-être un prototype si la réalisation est antérieure à celle des immeubles du Christ-Roi. Le maître de l'ouvrage est la société immobilière "rue Léopold-Robert 17 SA" représentée par Monsieur Charles Koller. Une coupole de 14 m de diamètre permet la solution des circulations des ateliers et des postes de travail. La différence de niveau du sous-sol et du rez autorise le double garage.

École normale des instituteurs

Transformation et agrandissement d'un bâtiment ancien. Antognini réalise en particulier une grille en fer forgé séparant le hall (escalier) et la salle d'étude. Ce dispositif permet une meilleure surveillance des élèves tout en donnant un bon éclairage au vestibule sombre.

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