- Acm - Henri Buisson
- Personne
- 1885 - 1937
Architecte. INSA, Lausanne : Mentionné à comme van Dorsser & Buisson, avec Adrien van Dorsser; décédé à Clarens/ Montreux.
Architecte. INSA, Lausanne : Mentionné à comme van Dorsser & Buisson, avec Adrien van Dorsser; décédé à Clarens/ Montreux.
Ecrivain Genève, auteur poèmes illustrés par H.R. Von der Mühll
Originaire de Savièse et Granges (VS). Scolarité achevée au progymnasium de Baden AG, apprentissage de maçon, trois semestres de formation professionnelle à l’École technique de la construction à Aarau, couronnés d'un diplôme de maître de chantier, voyages de formation en autodidacte en Espagne, France, Allemagne, Italie, Hollande, Finlande. De retour en Suisse, en 1930, il collabore dans l'agence d'Eduard Lanz à Bienne au grand chantier de la Maison du peuple et à la construction de maisons familiales. Il s'établit à son compte dès 1933 à Bienne, où il construit beaucoup de villas individuelles, des ensembles de logements pour des Sociétés coopératives, des aménagements de cinémas, des hôtels et des cafés-restaurants
Photographe à Lausanne et dans la région lémanique. Henri Germond (1931-1994), photographe à Lausanne. Après des études d’ingénierie, il se spécialise en tant que photographe. Actif sur plusieurs grands chantiers, tels que la Grande Dixence (1951- 1964), le campus UNIL-EPFL. Il est également l'auteur des campagnes photographiques autour de plusieurs infrastructures et chantiers suisses.
Henri Juillard, originaire de Sonvillier (Berne) sort diplômé ingénieur-électricien de l'école d'ingénieurs de Lausanne en 1938.
Architecte, Genève. Henri-G. Lesemann, à Genève (1943)(1947). à Genève (1944), collaborateur du sculpteur J. Probst. FAS Genève, organisateur conférence Aalto Genève. Membre de l'Atelier d'architectes genevois (Schwertz, Saugey, Lesemann, Vincent)
Architecte. (INSA, Lausanne) Regamey & Meyer. Nécrologie BTSR 1930 p. 185. EPFZ 1876-78, Stuttgart, 1878-79. Travaille dans le Midi de la France jusqu'en 1889. Part en Bulgarie, dirige à Sofia la construction de la Banque de Bulgarie (Bulgarische Nationalbank); architecte du gouvernement, exécute ouvrages officiels et privés, notamment mausolée du prince Alexandre et bâtiments de l'Exposition internationale de Philippoli en 1891. 1898, retour en Suisse, s'installe à Lausanne, associé avec Jacques Regamey: Kursaal et bâtiments de Bel-Air, casinos de Morges et de Lutry. Association dissoute après 4 ans. Nombreux prix dans concours, construit: monument des Jordils, Asile Recordon, pavillon Gabriel Dufour à l'Asile des Aveugles, Casino de Montbenon, etc. Collabore aux normes SIA et particulièrement réglementation des concours. Membre du conseil d'administration de "La Maison ouvrière" (1906). Membre de l'Association des anciens élèves (suisses ou résidant en Suisse) de l'école des Beaux-Arts de Paris dès février 1903, promotion 1883; domicile en 1912: rue de Bourg 10
Henri(-Charles) de Heller est originaire de Rolle. Il obtient son diplôme d'architecte en 1929 à l'EPFZ. En 1949, il est architecte à Caux-sur-Montreux quand il devient membre de la SIA. Il réalise des travaux à Genève, sur La Côte en grande majorité, ainsi que dans la région lausannoise de 1952 à 1978.
Ingénieur diplômé de la Faculté technique de l’Université de Lausanne en 1883.
Avec son frère Frédéric et Charles Weibel, associés pendant plus de trente ans sous la raison sociale de Morsier frères et Weibel, à Genève où s'effectuera l'essentiel de leur carrière. Ils obtiennent notamment le premier prix au concours pour l'Ecole des Beaux-Arts qu'ils construisent. Parmi leurs réalisations, on trouve des hôtels à voyageurs à Saint-Cergue, Château d'Œx, Chamonix et Aix-les-Bains, immeubles administratifs et commerciaux, des villas; la restauration du château de Ripaille et des études pour la transformation de la vieille ville de Genève.
Henri-Robert Von der Mühll (1898-1981), architecte EPFZ, membre fondateur des CIAM.
Actif à Lausanne de 1925 à 1980, plasticien, designer, critique et propagandiste du mouvement moderne, animateur de la vie culturelle lausannoise. Marié en 1944 à Cleopatre Mariango.
Entre 1917 et 1921 il est étudiant d'architecture à l'EPFZ à Zurich, puis il achève sa formation à Berlin, Paris et Bruxelles. Membre de la Commission fédérale des beaux-arts de 1957 à 1964.
On lui doit le pavillon de l'institut suisse d'Athènes (1938), l'aménagement du quartier de Valency à Lausanne (1948-1953), nombreuses villas et travaux d'art graphique (illustrations, affiches...).
Jardinier et paysagiste. Petit-fils d’un horticulteur-pépiniériste, il se forme dans divers établissements à Genève, Zurich et Francfort. L’activité d’Henry Correvon se développe dans plusieurs domaines d’activités voisins : la connaissance, l’acclimatation, le commerce, mais également la protection des plantes alpines. La cause du jardin alpin trouve en lui un infatigable défenseur. Il poursuit le dessein de créer des jardins alpins qui sauvegardent véritablement l’aspect pittoresque du paysage en « jardinant les Alpes ». Henry Correvon déploie une activité soutenue pour défendre la cause des jardins alpins : conférences, voyages, ouvrages, articles et surtout présence dans les expositions horticoles ou les expositions suisses d’agriculture. Il a fondé un établissement Floraire en 1902, qui a aujourd'hui cessé son activité.
Rédacteur du mensuel Architecture Actuelle , Architecture-Art Appliqué, Oeuvres. Correspondance avec H.R. Von der Mühll 1932-1933
Architecte, à Monthey (1983), secrétaire de l'édilité et de l'urbanisme à Monthey (1988).
Hermann Franke, Aarbour,g Fabrique d'appareils métalliques.
Architecte. Nécrologie BTSR 1913 p. 94. Fils d'Henri Lavanchy architecte. Débute en 1889 au bureau Lavanchy & Neuhaus à Montreux. Dès 1891 à son compte, construit: des édifices scolaires, divers hôtels, les abattoirs de Clarens, la Banque de Montreux, villas à Veytaux, Collonges, Glion, les Avants, Montreux, Clarens, etc. Membre de l'Association des anciens élèves (suisses ou résidant en S.) de l'école des Beaux- Arts de Paris dès mai 1903, promotion 1885; domicile en 1912: Grande rue 72, Montreux
Financier et homme d'Etat allemand, ministre des Finances IIIe Reich
Fille Geza Anda?, animatrice Fondation, Zurich
Hubert Gilliéron, architecte, professeur de dessin technique et de construction métallique et bois à L'EPFL.
Architecte, Bruges. Rédacteur revue Obbouwen, Antwerpen
Architecte, il a fait un apprentissage de maçon à Bâle puis étudie les techniques du bâtiment au technicum de Winterthur. Il est collaborateur dans les bureaux d'architecture de Leon Loeschetter au Luxembourg (1946-1947), d'Eugène Baudouin à Paris (1947-1948) et de Marc-Joseph Saugey à Genève (1949-1957). Partenaire de Robert Frei à Genève, plus tard de son frère Jakob H., notamment, dans l'atelier Frei, Hunziker, Architectes Associés (1957-1983). Il construit des ensembles résidentiels, des villas, des centres de réunion. Professeur à l'école nationale supérieure d'architecture de Strasbourg (1976-1991).
Née Revilliod, artiste-décoratrice, châtelaine de La Sarraz, initiatrice CIAM 1928 et Maison des Artistes. 1922: fonde la "Maison des artistes" (La Sarraz). Accueille les CIAM (1928). Hélène de Mandrot-Revilliod, amie des arts et de l'architecture (INSA, Genève)
Entreprise de préfabrication. La création de l’usine IGECO résulte de la volonté de César Tacchini (né en 1915), entrepreneur, ingénieur et architecte diplômé. Le projet mettra huit ans pour se concrétiser (1950-1958) et quatre ans pour gagner une crédibilité (1958-1962). Il doit sa réalisation au soutien financier de l’entreprise Zschokke. L’usine fabriquera et montera des éléments en béton armé ou précontraint, selon un système de préfabrication basé sur des éléments muraux. IGECO sera dotée de trois usines autonomes avec leur fabrique locale d'éléments, leurs équipes de montage et leur team de conseillers techniques, ainsi que de trois points de fabrication judicieusement répartis (Etoy, Lyssach, Volketswil) pour être en mesure de livrer sur tout le territoire suisse. IGECO SA fait ensuite partie du groupe LOSINGER
Galeriste d'art contemporain d'avant-garde française d'origine grecque. Elle a participé à l'émergence du mouvement du Nouveau Réalisme.
Dessinateur, peintre et aquarelliste italien.
Architecte. Mentionné à Orient-ville 10 Lausanne (1941).
Papier à en-tête (1968): Ministère de l'Education nationale, conservatoire national des arts et métiers, Centre de recherches et de documentation d'histoire moderne de la construction (XIXe et XXe siècles).
Architecte, Algérie-France.
Collaboration avec Miquel, Bourlier.
Bureau J. Müller
Architecte ETSG, St-Pierre 2 Lausanne
Elève de Sartoris?.
Architecte. Mentionné en 1937 en collaboration avec J. Guignard arch., à Nyon.
Probablement d'origine veveysane. Mentionné à Lausanne (1924); à Genève (1937) avec A. Cingria. Avec Cingria, de Reynold, Robert Zwahlen à Lausanne et Genève (1941).
J.P. Junod et Lucien Archinard
Architecte ENSBA. Formé à l'ENSBA-Paris (atelier Defrasse), actif à Lausanne et environs de 1924 à 1966. Réputation d'architecte "néo XVIIIe" puisant son inspiration chez Andrea Palladio ou chez Claude-Nicolas Ledoux et ayant travaillé pour la bourgeoisie locale. Création de meubles; composition de jardins; aménagement intérieur. Association avec E. Terry, W. Baumann, I. Ferrari.
Bureau situé à la rue du Lion d'Or 2b, Lausanne. Cornaz se voit confier les travaux de restauration du château de Locarno en 1908, par Naef, président du comité de la société suisse des monuments historiques et ami de son père (Théodore Cornaz), avant le début de ses études aux Beaux-Art de Paris (il pensait alors s'inscrire au Polytechnique de Zurich). Il semble à cette époque avoir déjà une certaine familiarité avec le métier d'architecte (il a 22 ans), peut-être à la suite d'un stage.
Parmi ses réalisations les plus emblématiques figurent le manoir du Petit-Ouchy, aux allure classique, ainsi qu'un petit édifice à fronton et deux maisons reliées par une porte au-dessus du Denantou, pour la famille Brandenburg. Cornaz a également conçu le palais de Roger de Cérenville, un banquier, caractérisé par son portique dorique et ses niches ornées de statues. De plus, il a travaillé sur de nombreuses demeures nouvelles, notamment pour Devrient, Guiness, Maurice Baumgartner, Dr. Georges Piguet, Dr. Jacques Roux, et Dr. Brüstlein, ainsi que sur des rénovations d'anciennes maisons telles que Fantaisie, Hauterive, Cheseaux, et le Schlossberg à la Neuveville. Il a également travaillé au palais de Maurice Sandoz au-dessus des Thermes de Caracalla à Rome. Parmi ses projets, on trouve également le "Pavillon pour un éditeur" à Puidoux, situé sur une éminence.
Architecte (Hollande).
Géographe, urbaniste.
Collaborateur d'Urbaplan à Lausanne (1987)
Architecte à Neuchâtel. Mentionné en 1929 et en 1960, fils de Jean Béguin auquel il succède, associé d'Ernest Prince.
Auteur d'articles dans le BTSR (1942 "Rue larges et mortes ou étroites et animées", BTSR 1944 "Urbanisme neuchâtelois" p.185 et 197, BTSR 1948 "L'évolution de la ville de Neuchâtel", BTSR 1950 "De l'Eglise et du temple protestant, propos d'un architecte", 1962 "Aménagement neuchâtelois").
Succède à Béguin, Jean, son père (décédé) sur le projet du Tribunal fédéral à Lausanne dès 1918.
Architecte. De Fribourg, admis à la section vaudoise de la SIA en 1958, à Lausanne (1958 ; 1993). Fils de Fernand et frère de Pierre, domicilié à Lutry (Bossières).
Musicien-compositeur, premier professeur piano H.R. Von der Mühll
Jacques Favarger (1889-1967), d’origine neuchâteloise, est architecte actif à Lausanne. D’abord architecte à la Direction communale des Travaux jusqu’en 1925, il est ensuite associé avec Charles Dubois; il travaille ensuite à nouveau seul, puis est une nouvelle fois associé durant quelques années, après la guerre, avec Bernard Murisier. De formation non académique, sa production débute par des oeuvres fortement marquées par le régionalisme. Il réalise quelques immeubles à Lausanne, parmi les plus remarquables des années trente, affichant un langage à la fois moderne et personnel. Sa production après la guerre est dominée par la construction de nombreux logements économiques. De nombreux projets témoignent de sa vision à l’échelle urbaine: îlots constitués d’immeubles de logements et équipements publics urbains tels que marché couvert, bâtiment administratif communal, cité résidentielle, tennis et patinoire.
Habite depuis une date difficile à préciser la villa "la Métairie" à Pully , chez Mlle Dupuis, à l'avenue de Chamblandes, villa actuellement démolie. Quitte Pully pour "Champ d'Asile" à Lausanne le 14 octobre 1919. Marié à Marie-Louise Convert, née le 268.8.1888. Ont un fils Robert, né le 18.02.1919 à Pully.
Adresse du bureau:
Né en 1921, Jacques Favre a entreprit des études en architecture sous la direction notamment de Jean Tschumi. Il obtient son diplôme en 1950 et fait divers stages à l'étranger dont Paris et Milan. Il débuta réellement son activité professionnelle en travaillant 6 ans pour le bureau d'architecture P.Bonnard à Lausanne puis ouvrira son propre atelier en 1956. Il entreprendra alors diverses réalisations qui atteindront toutes un niveau de qualité largement reconnu dont "Le Framar", un chalet qui fut considéré comme sa plus belle œuvre et qui fut détruit par la suite. Il fut aussi professeur à l'EPUL durant plusieurs année. Il décèdera subitement d'une crise cardiaque en 1973.
Jacques Gubler est né en 1940 à Nyon. Il effectue ses études en histoire de l'art à Lausanne, Urbino, Philadelphie et Zurich. En 1975, il devient docteur es Lettres à l'Université de Lausanne avec une thèse intitulée Nationalisme et internationalisme dans l'architecture moderne de la Suisse, réalisée sous la direction du professeur Enrico Castelnuovo. Il a enseigné à l'école Polytechnique du New Jersey à Newark entre 1983 et 1984, à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne de 1984 jusqu'en 1992, au New Jersey Institute of Technology, à l’Ecole d’architecture de l’Université de Pennsylvanie à Philadelphie et à l'Académie d'architecture de l'Université de la Suisse italienne de Mendrisio, de 1999 à 2006. Il est rédacteur de "Casabella" de 1982 à 1995. Il a publié sur l'architecture moderne de la Suisse, sur entre autres Jeanneret avant le Corbusier, Sartoris, Hennebique et le béton armé ainsi que sur l’histoire urbaine de La Chaux-de-Fonds.
Architecte EPUL SIA, à Lausanne. Diplômé en 1960. Il effectue des stages à Bruxelles chez l'architecte Van Nueten en 1958 et en 1959 chez son père Marcel Maillard, avec lequel il travaillera jusqu'à la retraite de ce dernier en 1973. Il reprendra le bureau dès cette date. Parmi les constructions importantes, on note l'édification de l'EPSIC (1968-1973), l'immeuble de la Banque cantonale vaudoise à la place Bel-Air de Lausanne (1971-1974) ou la Maison de la radio (1972-1975).
Jacques Nobile (1926 – 1980) est un architecte genevois. Grâce à son oncle Albert Nobile, marchand immobilier et ami des frères Honegger, Jacques Nobile est rapidement introduit dans le domaine de l’immobilier et de la construction. Il obtient son diplôme d’architecte à l’Ecole d’Architecture de l’Université de Genève en 1952 et effectue ensuite des stages chez les frères Honegger ainsi que chez Georges Addor. Dès 1959, il compte parmi les membres du Groupe Onze. Nobile réalise avec Alain Ritter et Jacques Bardet le club de tennis des Eaux-Vives (1958-59), la transformation d’une maison à Vernier (1958-61), ainsi qu’un immeuble d’habitation à Plainpalais (1962-65).
Architecte SIA, à Morges. Diplômé de l'EAUG en 1970. Il est assistant à mi-temps à l'EAUG de 1970 à 1980 et travaille à mi-temps avec son père à Morges jusqu'en 1985. Dès cette date, il devient indépendant, en reprenant le bureau de son père. Membre SIA dès 1979.
Professeur à l'ETH de Zürich de 1960 à 1970. Pour sa biographie et sa carrière, cf. le livre intitulé "Jakob Zweifel, Architekt", pages 30-31.
A Zürich (1947)(1981), architecte FAS.
Architecte EPUL, admis à la section vaudoise de la SIA en 1968, à Nyon (1970)(1994).
Architecte. Mentionné à Saint-Prex ( 1951).
Né à Carouge et mort à Genève, a étudié à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Après ses études, il ouvre un bureau à Genève et fonde, en collaboration avec d’autres architectes de la place, la Société des architectes de Genève. On lui doit d’intéressants édifices néo-médiévaux, parmi les premiers de la région, et de remarquables constructions néo-Renaissance: il fait partie de la génération d’architecte qui passe du néo-classicisme à l’éclectisme.