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Courfaivre
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Église, à Courfaivre

documents habituels précédent l'ouverture d'un chantier. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre et Halle, à Courfaivre

0071.03.0036/1: église, à Courfaivre: bons de charpentier et soumissions ; 0071.03.0036/2: halle, à Courfaivre: soumissions pour la halle des fêtes ; 0071.03.0036/3: église, à Courfaivre: soumissions.

Église, à Courfaivre

adaptation tardive du choeur de l'église à la nouvelle liturgie de Vatican II. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

décompte de maçonnerie et correspondance générale. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Cure, à Courfaivre

devis et factures pour la construction d'un garage à la cure de Courfaivre.

Clocher, à l'Église, à Courfaivre

devis et soumissions, correspondance. Quelques années après avoir transformé l'église, Jeanne Bueche est mandatée pour reconstruire la flèche du clocher. Elle élèvera une pointe de béton armé contrastant singulièrement avec le reste du bâtiment.

Église, à Courfaivre

factures de Fernand Léger pour l'exécution des vitraux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

École, à Courfaivre

fragments (1:100). Projet mal déterminé. Il s'agit sans doute d'une école.

Halle, à Courfaivre

plans, coupes, façades (1/200), plusieurs études de charpente avec conséquences volumétriques.

École enfantine, à Courfaivre

plans, coupes, façades (1/100),
architecture inhabituelle chez Jeanne Bueche. Projet à toit plat rare chez Jeanne Bueche, non construit.

Entrepôt Rémy Christe, à Courfaivre

avant-projet (1/200). Entrepôt et bureaux pour une firme de produits préfabriqués en ciment. Jeanne Bueche a utilisé ce type de produits dans la commune pour la restauration et l'agrandissement de l'église. Bâtiment d'expression moderne avec toiture inversée.

Église, à Courfaivre

relevés, croquis d'étude, plans, coupes, façades (1/100), dessins finaux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

tirages héliocopies de Paul Aubry, ingénieur civil EPFZ à Tavannes. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

dessin (1/1) d'un claustras circulaire destiné à recevoir un vitrail de Fernand Léger. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

tirages héliographiques des plans d'ingénieur. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

Église, à Courfaivre

tirages héliographiques. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.