contentieux et abandon du projet. Projet d'habitation sur terrain en forte pente, études de terrain. Le socle est composé de garages de grande dimension. Toiture à 4 pans. Nom du propriétaire: Koenig. Il s'agit en fait d'un projet pour un garage que le maître de l'ouvrage tente de rentabiliser par des logements à louer en dessus.
plan de situation (1:500), relevés (1:100), plans, coupes, façades (1:100, 1:50), plusieurs variantes d'entrées en perspectives, détails constructifs (1:10), détails d'aménagements intérieurs pour la librairie et l'appartement du propriétaire, meubles (1:10). Transformation d'un bâtiment urbain en librairie, surélévation du toit d'un niveau pour y installer l'appartement du propriétaire.
études (1:100) pour la surélévation du toit, plans, coupes, façades (1:50), agrandissement du magasin en 1966: aménagement intérieur, étagères ingénieuses à redans. Transformation d'un bâtiment urbain en librairie, surélévation du toit d'un niveau pour y installer l'appartement du propriétaire.
plans, coupes (1:50): état existant, plans, coupes (1:50): projet d'aménagement. petit projet pour l'aménagement d'un bureau dans un magasin de quincaillerie, transformation de ce magasin en vielle ville de Delémont, percement de vitrines
relevés, dessins et tableau comparatif de soumissions signés L. Bueche architecte, St-Imier. Relevés d'une ancienne maison sans doute faits par le bureau du père de Jeanne Bueche.
dossier complet pour la construction, dessins (1:100, 1:50, 1:10) . Maison en style moderne régional avec volumes et toitures encastrées. Ingéniosité de la coupe pour la prise de lumière, richesse spatiale, construction soignée. Une des plus belles réalisation privée de Jeanne Bueche. Le maître de l'ouvrage, Alphonse Widmer, recteur du lycée cantonal de Porrentruy, fera appel à Jeanne Bueche quelques années plus tard pour restaurer un mas en Provence.
relevés et avant-projet d'un appartement dans les combles, projets d'agrandissement de fermes et de bergeries dans les environs: les Ordons, les Chauffours, Montoz. Projet d'aménagement des combles d'un immeuble appartenant à la bourgeoisie de Court, village d'origine de la famille Bueche. Dans le même dossier, plans d'agrandissement de fermes se trouvant dans les environs du village, sans doute propriétés de la bourgeoisie.
dossier complet d'exécution (1:20) et avant-projet (1:50), détail de la porte d'entrée. Maison en style moderne régional avec jeu de volumes et de toitures encastrées propre à Jeanne Bueche. Modernité du plan avec articulation des espaces de jour (cuisine, living-room). Séparation des espaces de jour et des espaces de nuit. Etage partiellement mansardé. Les volets sont un élément pittoresque très marqué.
concours sur invitation auquel Jeanne Bueche prend part, rapport de cette dernière sur son projet (Les dessins de ce projet son classés dans le dossier Eglise varia, cote 0071.04.0286). Ce concours prévoyait la construction d'une chapelle catholique. Le projet de Jeanne Bueche n'a pas été construit mais elle a repris le conept pour le projet de Vellerat. A Ins, l'église est liée au presbytère par un passage couvert et un mur de soutènement formant ainsi un parvis.
projets de rénovation pour le choeur et adaptation à la nouvelle liturgie, intervention de Remo Rossi. Adjonction d'une sacristie et autres interventions mineures.
concours pour une école secondaire à St-Imier (rapport du jury 12.12.1958), concours pour un théâtre ou une salle communale à St-Imier, concours pour une école professionnelle à Delémont 22.11.1958. Voir la fiche dossier pour le contenu: école secondaire et théâtre à St-Imier et école professionnelle à Delémont.
plans, coupes (1/50) pour l'aménagement intérieur . Aménagement d'une confiserie au rez-de-chaussée d'une maison située sur l'Avenue de la gare. Bâtiment aujourd'hui disparu.
plans d'aménagement intérieur et études de façades (1/50). Aménagement d'une confiserie au rez-de-chaussée d'une maison située sur l'Avenue de la gare. Bâtiment aujourd'hui disparu.
plans, coupes, façades (1:100), projet de l'EPFZ, 3e semestre. Projet d'école (3e semestre) en style académique. Jeanne Bueche a effectué un stage d'étude en Suède dans le bureau Arbohm et Zimdahl qui construisait en style classique. Le thème du crématoire a été souvent traîté par les architectes nordiques.
projet d'agrandissement (1/100), croquis d'étude et relevés. Transformation d'une maison du début du siècle et agrandissement par épaissisement du bâtiment.
devis général et correspondance. Bel exemple pour illustrer l'oeuvre de Jeanne Bueche en matière de maison familiale. L'aspect régional et la modernité sont subtilement présents simultanément dans ce projet: murs porteurs crépis, tuiles jurassiennes, fenêtres en bandeaux, sous-pente en béton, plafond suspendu d'inspiration aaltienne dans le séjour. Le grand toit assure une perception volumétrique unitaire alors que le volume de l'habitation et en fait découpé. Plan hybride très intéressant au rez-de-chaussée: le séjour est traîté de manière contemporaine (circulation,ouvertures, plafond) mais il cohabite avec un vestibule traversant traditionnel.
plans d'ensemble montrant la chapelle et la résidence avec jardin, avant-projet (1/100) de la version finale vraisemblablement dessiné après la fin du chantier, très beaux plans, avant-projet plus simple daté 06.49. Le projet de Montcroix comprend tous les objets regroupés sous la dénomination Domaine de Montcroix.
aménagements intérieurs dans les combles de l'ancien bâtiment: chambres, bains et WC. Projet pour une extension de l'école normale de Delémont. Belle composition moderne avec toit en pente. Belle façade Nord. Le bâtiment était prévu sur la rue des marronniers.
Soumissions, devis et correspondance. Jeanne Bueche restaure l'ancienne école du village. Dans les années septante, une nouvelle école sera construite par André Brahier,autre architecte jurassien intéresant.
Règlement et programme du concours pour la construction d'une école au lieu-dit: le Gros-Seuc par la municipalité de Delémont. Rapport de Jeanne Bueche sur son projet Evariste. Règlement et programme du concours pour la construction d'une école au lieu-dit: le Gros-Seuc par la municipalité de Delémont. Rapport de Jeanne Bueche sur son projet Evariste.
correspondance envoyée. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.
correspondance reçue. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.
relevés (1/50), dessins d'exécution, détails de conservation des stucs, projets pour l'autel et l'ameublement, relevés de la charpente. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.
relevés (1/100), plans, coupes, élévations (1/50) du choeur et de la nef, détails (1/20, 1/10, 1/1) de l'autel, des fenêtres, des marches, de la porte, croquis d'étude (autel). Transformation intérieure d'une petite église dominant le village. Coeur gothique bien proportionné et nef tardive, clocher situé à l'intersection. Jeanne Bueche réaménage le coeur et y crée une sacristie. Création de mobilier sacré.
tirages des plans d'origine, signés Gustave Doppler architecte, Bâle. Etudes pour la modernisation et l'agrandissement de l'église de Boncourt. Plusieurs variantes originales par l'utilisation de la surface semblent avoir été proposées mais le projet n'a finalement pas été réalisé.
correspondance, devis et soumissions. Jeanne Bueche restaure la chapelle du village de Buix. Elle modernise l'accès à l'extérieur, ajoute une entrée, dégage les poteaux porteurs en bois et les plafonds de leurs stucs. La décoration intérieure et le mobilier sont refaits d'une manière sobre et élégante.
dossier complet pour la transformation de l'église et de son clocher: soumissions, devis, décompte et correspondance. L'église de Cornol est une église jurassienne typique du XVIIIe siècle. Le projet de modernisation de Jeanne Bueche est caractéristique de sa spécialisation dans ce domaine. L'intervention consiste à mettre en évidence la carcasse structurelle du bâtiment. Le décor - autels, chaire, stucs, statuaire - étant supprimé, Jeanne Bueche réinterprète la spatialité du lieu et modernise sa matérialisation: platrage des murs, redessin du pavement, reconstruction du plafond en bois. Les éléments cultuels et le mobilier sont repensés dans l'esprit de la liturgie postconsiliaire et de l'esthétique nouvelle: autels en pâte de verre, bancs modernes, polychromie du choeur. Les vitraux sont de Manessier et le retable en marbre rose de Remo Rossi. L'effet général est de bon ton. En 1961, Jeanne Bueche remplace la couverture du clocher par une majestueuse flèche en style régional.
décompte de maçonnerie et correspondance générale. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
tirages héliocopies de Paul Aubry, ingénieur civil EPFZ à Tavannes. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
tirages héliographiques des plans d'ingénieur. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.
correspondance et soumissions pour la surélévation de la toiture et l'aménagement de dortoirs dans les nouveaux espaces ainsi créés. Après l'abandon du projet de collège, Jeanne Bueche est mandatée pour surélever l'ancien bâtiment des pères, qui perdra ainsi son cachet rustique. La nouvelle charpente est constituée de fermes industrialisées en bois sans appuis intermédiaires et permet l'aménagement de dortoirs.
relevés du bâtiment existant (1:50), projet de surélévation, études d'implantation (1:1000), tirages annotés de la chapelle. Après l'abandon du projet de collège, Jeanne Bueche est mandatée pour surélever l'ancien bâtiment des pères, qui perdra ainsi son cachet rustique. La nouvelle charpente est constituée de fermes industrialisées en bois sans appuis intermédiaires et permet l'aménagement de dortoirs.
documents pour la transformation d'une maison et pour un lotissement. Le travail effectué par Jeanne Bueche pour les demoiselles Drouhard est mal défini. Il est fait mention d'un pavillon à Montcroix, quartier dans lequel Jeanne Bueche construira la chapelle des Capucins. Il semble aussi que les vénérables demoiselles désiraient viabiliser et parcelliser un terrain dans le même quartier.
dossier complet pour la construction de ce bâtiment. Construction avec toit à deux pans et murs porteurs crépis, expression plus régionale que moderne.
dessins d'exécution (1:10), belles élévations intérieures (1:20). Aménagements intérieurs dans le séjour et la cuisine d'une maison existante: cheminée en pierre avec console pour statue, variante en brique, chenets, banquette, hotte d'aspiration en tole.
devis général, soumissions et correspondance: le client abandonne le projet et Jeanne Bueche propose une réduction des honoraires (50%) s'il trouve une autre personne intéressée par le projet. Petite maison locative plus régionale que moderne.
plans, coupes, façades (1:100),habitation à coût minimal à monter en plaques Durisol. Projet très intéressant pour une petite maison familiale à construire avec éléments préfabriqués Durisol. Expression de maison minimale.
dossier d'appel d'offres, de soumissions et correspondance. Maison en style jurassien (murs crépis, toit de tuile, pignon bois) typique dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Construite hors du village au lieu-dit les Noires-Terres pour la famille de l'agriculteur du lieu. De l'entrée, découverte spatiale intéressante et progression visuelle: pignon fermé, porte, tambour d'entrée, hall à double hauteur, baie vitrée et horizon. Maison familiale en style moderne régional. Bel effet spatial et progression visuelle traversante de l'entrée jusquà la terrasse.
dossier d'avant-projet (1:100). Projet non-réalisé d'une maison à caractère régionaliste marqué avec programme relativement aisé (garage, chambre de bonne).
dossier d'avant-projet (1:100). Ce projet d'habitation est d'inspiration alpine: une moitié du bâtiment est prévue en bois (type chalet, éventuellement idée de préfabrication) et le reste en maçonnerie. Un grand socle atteste la présence d'un sol en forte pente.
correspondance et devis. Une des première maison familiale de Jeanne Bueche, programme économique. L'expression semble dérivée des projets de maisons jumelées faits à la même époque.
dessin pour les portes (1:20). Une des première maison familiale de Jeanne Bueche, programme économique. L'expression semble dérivée des projets de maisons jumelées faits à la même époque.
dossier d'avant-projet (1:100) avec estimation des coûts griffonnée sur la couverture par Jeanne Bueche. Une des première maison familiale de Jeanne Bueche, programme économique. L'expression semble dérivée des projets de maisons jumelées faits à la même époque.
projet et relevés. Projet de transformation d'une maison de 1596 avec fenêtres à meneaux sculptés. Relevés de meneaux similaires au numéro 36 de la grand-rue, chez Jeanne Bueche.
plans, coupes, façades (1:100), étude de coût. Aspect élégant, murs de refend en pierres apparentes et façades en bois. Propositions d'aménagements extérieurs délicats. Type de cité-jardin.
appartement dans les combles de la maison Feuneà Delémont (mars 1949), maison familiale Rais, Courrendlin (septembre 1949), maison Affolter (janvier 1945), vestiaire Enard à Delémont (2 novembre 1945), habitation Blaserà Recolaine (1945). Divers petits projets réunis en un seul dossier pour une raison non-élucidée: Appartement dans les combles de la maison Feune, Delémont (mars 1949). Maison familiale Rais, Courrendlin (septembre 1949). Maison Affolter (janvier 1945). Vestiaire Enard, Delémont (2 novembre 1945). Habitation Blaser, Recolaine (1945).
devis et correspondance. Alphonse Widmer, recteur du lycée cantonal jurassien, avait déjà fait construire sa villa de Porrentruy par Jeanne Bueche. Enthousiasmé par l'architecte, il lui confie la transformation de sa maison de vacances vingt ans plus tard. Le mas se situe dans un hameau des Alpilles; il est constitué de deux corps contigus en construction traditionnelle. Les interventions de Jeanne Bueche, bien que fonctionnelles, sont aussi en style traditionnel.
études sous forme de croquis pour autel, bancs d'église, tables de communion et autre mobilier liturgique, études de croix géminées, ciboires, calices et aitres objets de culte, dessin du Christ ressemblant à la fresque d' Adrien Holy pour l'église de Grandfontaine. Divers projets de mobilier et d'objets de culte en style traditionnel.
dossier, divisé en trois parties, riche et complexe, mériterait une étude approfondie car il retrace l'engagement de Jeanne Bueche pour le patrimoine rural jurassien. Aménagement d'un musée rural jurassien dans la ferme de Gaston Voirol, aux Genevez.
plans, coupes (1/20) pour restauration. Restauration d'un petit bâtiment agricole d'origine incertaine. Il tient son nom du porte-à-faux spectaculaire qui caractérise les deux pignons.
correspondance de la municipalité avec les vainqueurs du concours (H+G Rheinhard, Berne), dossiers de devis et de plans, correspondance avec la municipalité de Zwingen pour invitation à un concours local concours pour la construction d'une école secondaire. Etudes pour une nouvelle école dans le quartier de la gare à Delémont. Le bâtiment sera construit par H. et G. Reinhard, architectes à Berne, vainqueurs du concours.
plans, coupes, façades (1/100, 1/50), 2 variantes. Projet d'une résidence de vacances. L'expression régionale est adaptée au Valais mais elle est matérialisée par des éléments similaires à ceux du Jura: toit en pente, bois en façade, etc.
devis, soumissions et correspondance. Il s'agit de la restauration d'une petite chapelle sur la paroisse de Bassecourt, située autrefois en dehors de l'agglomération et aujourd'hui intégrée dans les quartiers résidentiels. L'intervention est typique de Jeanne Bueche: mise à nu de l'espace initial, traîtement des éléments constructifs et restauration des éléments manquants. Aspect général sobre.
dossier de correspondance. Une des grandes églises totalement neuves construites par Jeanne Bueche. Implantation parallèle à la route principale, sur un terrain en pente. Coupe intelligente avec salle paroissiale en sous-sol comme prolongation du mur de soutènement. L'église est composée d'un grand volume avec toiture en pente et d'un volume encastré avec toiture en pente inversée pour définir le choeur. Efficacité spatiale malgré l'économie de moyens. La volumétrie relativement réduite de cette église catholique en terre réformée est agrandie visuellement par l'absence de percements dans la maçonnerie. La maquette montre que les toits inversés de la chapelle jouent en opposition au toit traditionnel d'une grande ferme (aujourd'hui disparue) sur le terrain en face. L'ensemble est construit de maçonnerie crépie en blanc, les claustras sont en béton. L'intérieur en brique de terre cuite apparente est chaleureux. Ce choix de matériau pour le revêtement intérieur révèle discrètement le matériau des murs structurels.
soumissions, devis, correspondance. Une des grandes églises totalement neuves construites par Jeanne Bueche. Implantation parallèle à la route principale, sur un terrain en pente. Coupe intelligente avec salle paroissiale en sous-sol comme prolongation du mur de soutènement. L'église est composée d'un grand volume avec toiture en pente et d'un volume encastré avec toiture en pente inversée pour définir le choeur. Efficacité spatiale malgré l'économie de moyens. La volumétrie relativement réduite de cette église catholique en terre réformée est agrandie visuellement par l'absence de percements dans la maçonnerie. La maquette montre que les toits inversés de la chapelle jouent en opposition au toit traditionnel d'une grande ferme (aujourd'hui disparue) sur le terrain en face. L'ensemble est construit de maçonnerie crépie en blanc, les claustras sont en béton. L'intérieur en brique de terre cuite apparente est chaleureux. Ce choix de matériau pour le revêtement intérieur révèle discrètement le matériau des murs structurels.
études de variantes architecturales et avant-projet (1/100). Projet pour une petite chapelle sur le site de l'ancien couvent de Lucelle. Plan trapézoïdal avec effet spatial intéressant. Toit pyramidal pointu avec clocher en croupe. Le projet n'a pu être réalisé suite à un contentieux. Imitation construite à Ferrette par quelqu'un d'autre.
dossier de ce projet abandonné suite à un contentieux. Projet pour une petite chapelle sur le site de l'ancien couvent de Lucelle. Plan trapézoïdal avec effet spatial intéressant. Toit pyramidal pointu avec clocher en croupe. Le projet n'a pu être réalisé suite à un contentieux. Imitation construite à Ferrette par quelqu'un d'autre.
avant-projet, projet (1/50) et détails d'exécution, vue intérieure en perspective centrale, vue du choeur de la chapelle de Vellerat. Restauration de la chapelle villageoise en surplomb de la commune. Jeanne Bueche construit un plafond voûté en bois de type naval. Des esquisses montrent cette bizarrerie spatiale en terre jurassienne. Toutefois, ce procédé permet d'améliorer considérablement les proportions intérieures du bâtiment.
correspondance, devis, décompte et soumissions, photos de la chapelle avant et après intervention. Transformation élégante d'une chapelle de taille réduite dans un hameau. L'intervention de Jeanne Bueche se concentre sur la façade principale: elle construit simultanément un porche et un petit clocher avec le même élément de maçonnerie apparente. Ce type de façade s'apparente à la chapelle de Berlincourt.
plans d'exécution (1/20) et détails constructifs, variantes d'implantation avec le même bâtiment. La chapelle de Vellerat est un des bâtiments religieux entièrement neuf construit par Jeanne Bueche. Construite dans un hameau jurassien en 1960, c'est une oeuvre tardive. Malgré la dimension réduite, la répartition des ouvertures et des pleins permet d'agrandir visuellement l'échelle des masses. Le bâtiment est composé d'un clocher pénétrant le volume de la chapelle et définissant ainsi le choeur. Construction de la chapelle en maçonnerie crépie et claustras en béton, le clocher est en béton. Vitraux de Bréchêt malgré l'économie de moyens.
soumissions du maçon, du charpentier et contrat. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
soumissions de maçonnerie et descriptif des travaux de béton armé. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
brouillons des dessins, études de détails architecturaux (profil des colonnes, etc), beaux dessins d'étude, élévations et axonométries. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
dessins d'exécution, en particulier pour la croix et l' escalier à vis de la tribune. La chapelle de Montcroix est sans équivoque le chef-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Ce chantier l'a rendue célèbre et constitue le réel point de départ et de référence pour son oeuvre entière. Architecture classique en béton avec expression de la structure à la manière de Perret. Exécution fine et extrèmement soignée presque entièrement en béton. Fresques d'Albert Schnyder et vitraux en béton de Bréchet. Remarquable chemin de croix de Remo Rossi.
Tirages héliographiques du cinéma "La Piccionaia" de Rino Tami. Durant la guerre, Jeanne Bueche est stagiaire au Tessin chez Rino Tami. Il est difficile de savoir à quels projets elle collabore, mais l'influence de Tami sur Jeanne Bueche est évidente. Les deux architectes sont restés bons amis longtemps.
projet de concours (1/100) sous forme de tirages collés sur du papier cartonné. Projet de concours pour un grand palais urbain de type classique. Dans le cas présent, ce modèle est adapté à une configuration urbaine en V à l'angle de deux rues, créant ainsi une façade sur rue et une façade sur jardin. L'architecture exprime le système porteur ossaturé en béton armé. L'effet monumental convient au programme et au site. Ce projet s'inspire directement du bâtiment de Perret construit au Trocadéro des années auparavant.
Concours sur invitation pour une chapelle à l'hôpital universitaire de Berne. Les dessins du rendu de Jeanne Bueche se trouvent dans le dossier Eglises varia 1.
Jeanne Bueche était la secrétaire de la société des conférences de Delémont, société à but culturel. C'est donc elle qui dactylographiait le courrier pour les conférenciers, ainsi que les offres et les refus.