Affichage de 2 résultats

Description archivistique
RAVANNE Mirco Kenjiro Azuma
Aperçu avant impression Hierarchy Affichage :

Correspondance: varia

  • 0043.03.0028
  • Dossier
  • 06.04.1956 - 13.07.1972
  • Fait partie de RAVANNE Mirco

Divers papiers concernant un tourne-disque, facture au nom d'Arenosto, garanties, plan, manuel (1965). Un papier d'emballage adressé à Gianfrancesco Ravanne à Paris (fils) par Giovanni Giuliani, Pisa. Un autre ayant contenu des livres envoyés par Romano Ravanne (frère). Une carte postale écrite par Mirco Ravanne à M. et Mme Prouvé, pas envoyée (1956). Une invitation au vernissage de l'exposition des oeuvres de Giovanni Sacchi, et la copie de la lettre envoyée à celui-ci par Mirco Ravanne, regrettant ne pouvoir s'y rendre, mais espérant pouvoir à nouveau travailler avec lui (1972). Un billet signé Heidi (Wenger). Une lettre signée Jimmy [?], avec une coupure concernant un concours international de jeu de construction (construction préfabriquée), lancé par le ministère de l'Equipement français (1972). Une invitation ai vernissage de l'exposition de Kengiro Azuma, avec une conférence de celui-ci "Come nasce una forma", à l'Université de Pavia (1972). Carte de Angel Duarte, lui envoyant des photos de l'exposition du Couvent à la Majorie, à Sion. Une carte de Luciano Ceschia (sculpteur), et la copie de la réponse de Mirco Ravanne (1972). Une lettre du Centro Cesare Cassina, refusant la fabrication et commercialisation d'une librairie (1971). Une lettre de Gabriele Abbado, le remerciant de lui avoir été proche, donnant les dates de représentation d'un opéra et le téléphone privé de Claudio Abbado. Une lettre + réponse de Mirco Ravanne de Henri Dallèves, avocat et notaire (1971-72). Une lettre de Emilio Colombo, en-tête de la direction de Brionvega, concernant une visite de la rétrospective Burri (1971). Henry Baudot écrit depuis Alger qu'il aimerait collaborer avec Mirco Ravanne s'il obtenait de gros projets, et lui envoie des photocopies d'un appel d'offres pour la réalisation des bâtiments de l'Institut Algérien du Pétrole, à la Cité Universitaire et Technique de Boumerdes, par l'entreprise Sonatrach (1971). Correspondance avec l'avocat De Ninno et l'avocat Reitano, concernant les affaires Bernini/Couvent et Ravanne/Bernini (1971). Une carte postale signée par: Gabriele [Abbado], Alessio [Arenosto], Gisella [?], Barbara [?], Emilio [Colombo], Giulio [?] (1964). Une lettre de Andrea D'Odorico, après son déménagement en Espagne. (1972). Une lettre de Ruedi Mettler-Jost, de compliment après la visite du Couvent en compagnie de Mirco Ravanne, mais refusant de lui confier le projet de sa maison, qu'il veut moins "esthétique" (1970).

Correspondance: varia

  • 0043.03.0029
  • Dossier
  • 07.05.1968 - 17.08.1971
  • Fait partie de RAVANNE Mirco

Une lettre du bureau Larsen & Nielsen consultor, à Lausanne, refusant l'offre de services de M. Ravanne (Mirco Ravanne) (1971). Francesco Pavan écrit à Ravanne, à propos de leur collaboration passée, également avec Manfredo [Massironi?], lui ayant apporté beaucoup (1971). Une lettre de M. Ravanne à Heidi et Peter Wenger s'excuse d'un retard dans son travail, dû à son déménagement d'atelier (1971). Un télégramme et la réponse de Mirco Ravanne concernent un rendez-vous lors de la visite du premier à Sion ou Lausanne (1970). Une lettre de la "Famiglia artistica Piero Manzoni", signée Prospero Zuccotti avec un mot de Aldo Spinelli (galleria Cenobio-Visualità), demande la participation de Mirco Ravanne (1970). Andrea D'Odorico se lamente du manque de travail dû à la crise, demande une lettre de références de Mirco Ravanne pour un travail en Algérie, puis écrit à Mirco Ravanne sa volonté de partir bientôt pour l'Espagne à la recherche de travail (1970), et lui dit ne pas avoir de nouvelles de Lovat [?]. "Il pane di S. Antonio", oeuvre franciscaine, demande à Mirco Ravanne de faire don d'une de ses créations, pour la nouvelle pinacotèque du couvent (signé Sebastiano Pazzini) (1970). Une lettre de Manfredo Massironi (1970). Une lettre trilingue, signée Lotti Oberli et intitulée "Liebesrief an Mirco (lettera d'amore)", admirative du travail de Mirco Ravanne. Gabriele Abbado envoie un schéma de prévision d'une série d'articles sur le Couvent, en italien [?] (1969). Des voeux de Giovanni Sacchi, manuscrits sur sa carte de visite. Des voeux de la famille Lovat (1971). Quelques lettres de correspondance entre le Couvent et Paolo Lazzarini (1969-1970). Une lettre de Jacques Felber, architecte FAS-SIA à Lausanne, qui demande d'être informé des prochaines publications sur le Couvent qu'il a beaucoup aimé (1971). Deux lettre de Domus, concernant la publication d'un article sur le Couvent. Une lettre de Michel Schmidt, "ex-Wladimir", parlant d'un article qu'il a lu sur Pessac, est assurant à Mirco Ravanne que l'on vit bien dans son couvent (1971) [ex-capucin?]. Une lettre du Président du Comité technique administratif du Palais Ducal de Venise au père Gardien du Couvent, concernant une exposition éventuelle (1968) et une lettre de Mirco Ravanne au même président demandant des précisions (1970). Une lettre de Arno H [?], disant à Mirco Ravanne avoir parlé de lui à un ami, Ruedi Mettler (voir suite au dossier 0043.03.028), et qu'il voudrait lui confier la construction d'un musée d'art contemporain constitué d'éléments préfabriqué à pouvoir monter et démonter de fois en fois (1970). Une carte du Père Paul (nouveau gardien du Couvent) interdit à Mirco Ravanne de faire visiter le couvent sans son autorisation expresse (1970). Une lettre est signée Guido [?], et porte l'en-tête de la Galleria Apollinaire et est destinée à Arnal [?], à Paris. Une lettre de Azuma date des bois que celui-ci lui a donné en 1960. Correspondance avec l'avocat De Ninno et l'avocat Reitano, concernant le renoncement de la part du Couvent de se défendre dans la cause qui l'oppose à l'entreprise Bernini (1970-1971). Des lettres et factures de l'entreprise des Fratelli Toso, concernant notemment les plaques en verre dans l'Infirmerie du Couvent. Une lettre signée Barbagallo, Stebi design, concerne la diffusion et vente éventuelle de la chaise Joëlle (1970-71).