Numéro du 10 avril.
Article "L'architecture considérée comme un des Beaux-Ats" et dessins de Jack Cornaz
Dossier comprenant principalement de la correspondance, des factures ainsi que le rapport de police relatifs à l'accident causé par Marcel de Meuron le 24 décembre 1966, à l'angle des avenues Florimont et Juste-Olivier.
J. Cornaz a une jambe cassée, une plaie occipitale et souffre d'une commotion cérébrale. Avocat : André Bussy
Esquisses de la villa, de détails (portes, cheminées, fenêtres..), de la serre, d'un plan de situation de la serre par rapport à la maison; Variantes d'un projet de villa à toit plat et niveaux multiples, où un bloc en arc de cercle voisine avec une sorte de tour. Esquisses de pans de toits. Etudes de façade et perspective de la maison. Etudes de plans cotés de la maison. Nombreuses notes. Croquis de charpente. Relevés.
Objet : La propriété comprend un bâtiment principal (habitation), un atelier (au sud ouest de l'habitation) et une serre (à l'est de l'habitation). Le 3.5.1949: permis de construire pour une annexe et une remise à l'angle nord-ouest du bâtiment principal alors en transformation. 3 plans d'exécution au 1:50 du rez-de-chaussée et du premier étage dans le dossier 0024.04.0086.
Le dossier contient plusieurs carnets d'esquisses (projets en cours, relevés, motifs d'inspiration), dans lesquels on retrouve quelques uns de ses thèmes fétiches (cheminées, obélisques, masques dans des niches...).
L'un des carnets contient les premières esquisses pour la table à cocktail.
D'une façon générale, les indications sont de nature variée, sans systématique : les pages alternent des listes de courses, des relevés, des esquisses de bâtiments ou de mobilier.
Jack Cornaz se déplaçant en train, son écriture et souvent difficile à déchiffrer.
Quelques noms d'artisans ou de fournisseurs apparaissent.
Un carnet intitulé "Denantou" (catalogué dans Références).
Dans un carnet d'esquisse, croquis pour la cheminée et relevés pour le château de Schlossberg.
Dans un carnet, référence à Terry (plans table), sur la même page que des notes concernant St-Imier, Herren, Petit-Ouchy.
Dans le même carnet, des croquis pour des meubles dont il existe des plans signés E. Terry arch.(dossier 0024.04.0004).
Plusieurs notes et croquis pour St Imier (Flückiger), mais aussi concernant Rivier, Brüstlein, Mermod.
Indication relative à un éventuel monument funéraire pour Franziska Mermod (née Bender) (1855-1928) à faire réaliser par la marbrerie Baud à Montoie.
Horaire de trains (Cannes-Genève, Faoug, Arosa-Lausanne), et plusieurs notes prises lors de séjours à Paris (p. ex. série d'esquisses de détails ou ambiances de bars et hôtels parisiens : le Crillon, le Tout Paris, le Plaza...), le nom Magnelli apparaît, plusieurs croquis d'Arc-et-Senans et notes concernant Ledoux.
Renvois à une exposition de Hubert Robert.
Un croquis ressemble à un bâtiment de Terragni-Lingeri à Milan.
Objet : Concerne des carnets de notes et esquisses courantes, des agendas, et des quittances signées par les entreprises exécutantes.
Article complet paru sur J. Cornaz du 19.1.1935 signé Herbert Moos, corrigé par l'architecte.
Prises de vue accompagnant l'article avec diverses indications de cadrage, de retouches données par J. Cornaz.
Cette série couvre une période de 1917 à 1940 et comprend un article complet paru le 19 janvier 1935, signé Herbert Moos, qui inclut des prises de vue et des instructions de retouche fournies par Cornaz. Les dossiers contiennent également plusieurs carnets d'esquisses , ainsi que des croquis pour divers projets, y compris des meubles et des bâtiments. On y trouve des notes variées, allant de listes de courses à des esquisses architecturales. Le dossier inclut également des références à des projets spécifiques, comme la villa au Denantou, avec des esquisses détaillées et des plans. En outre, il contient de la correspondance et des factures, notamment en relation avec un accident impliquant Cornaz en 1966, ainsi qu'un numéro de l'hebdomadaire "Aujourd'hui" daté du 10 avril 1930, présentant un article sur l'architecture avec des dessins de Cornaz.
Pièces éparses, non identifiées, qui n'ont vraisemblablement pas de lien avec l'objet principal.
Rendu de la cour intérieure quelque peu bâclé.
Objet : Ensemble d'immeubles organisés en square autour d'une cour intérieure accessible par des passages "cardinaux" en plein cintre et agrémentée d'une fontaine centrale qui décline le thème du carré. 5 étages sur rez-de-chaussée. Toit plat rythmé par le décrochement d'un niveau supplémentaire percé d'ouvertures cintrées terminant les 4 angles. Loggias et balcons corniers. Dans les angles rentrants, entrées protégées par une marquise en ciment et cages d'escalier généreusement éclairées.
Maquette inachevée.
Couverture peinte, marbrures pour rendre la patine et les nuances de la terre cuite.
Dans le même carton, fragments non identifiés : toit à pavillon et pavillon assez semblable à celui de la cote 0024.06.004.
Objet : Plan au sol en L. Un niveau sous des toits revillonnés terminés par des pignons transversaux fonctionnant comme des frontons percés d'une serlienne. Répartition assez inélégante des pleins et des vides. Echancrure aussi disproportionnée que maladroite dans l'angle.
Simplicité d'exécution.
Recherche dans les aplats de couleurs, qui en jouant sur le bleu ciel et le blanc, définissent les volumes.
Objet : Un étage sur rez-de-chaussée, toiture-terrasse. Assemblage de volumes cubiques articulant, dans la tradition classique, un corps centralcantonné par deux ailes, alignées côté rue, en fort ressaut côté jardin. Ce ressaut est racheté par un corps d'un niveau desservi par un perron filant et couvert d'une toiture-terrasse accessible de l'étage. Particularité : le débord des murs côté rue est repris par une dalle en porte-à-faux sur les faces latérales. Ouvertures barlongues et carrées. Incontournable fenêtre cintrée à l'étage.
Recherche dans les coloris et le rendu des matériaux.
Objet : Vaste bâtiment "néo-18e" empreint de régionalisme. Un étage sur rez-de-chaussée sous un ample toit revillonné et percé de petits chiens assis. Ouvertures barlongues, sauf l'entrée en plein cintre. Certaines fenêtres de l'étage pourvues de tablette sur consoles. Porte d'entrée : menuiserie massive avec pointes de diamant et tympan à châssis rayonnant. Rigueur des règles classiques subtilement chahutée par l'inversion ressaut/retrait entre le corps central (3 travées) et les parties latérales (1 travée chacune) côté cour et côté jardin, et par l'absence de symétrie dans le traitement des faces latérales, chacune dotée d'un portique à toiture-terrasse.
Haie en ligne brisée réalisée avec du fil de laine vert foncé enroulé sur un carton rappelant la technique du pompon.
Bassin fait d'un miroir sur lequel le maquettiste a peint des nénuphars.
Objet : Plan carré. L'entrée médiane, accessible par un perron Renaissance à degrés concaves puis convexes, est placée dans un renfoncement semi-circulaire. La toiture-terrasse des deux adjonctions d'un niveau, en ressaut, qui définissent la zone de l'entrée est prolongée de manière filante sur trois faces avec retour sur la façade jardin, laquelle est percée de 3 baies-hauteur. Points communs avec la villa 8 (dossier 0024.06.013) : fenêtres cornières et accès latéraux au jardin (et non frontal). Crépi : camaieu de bleus. Serrureries blanc crème. Parc structuré par des haies basses (buis taillés?) et un bassin trapézoïdal. La perspective est fermée par une haie en ligne brisée (thuyas?).
Le toit de deux chiens-assis décollé.
Deux cheminées manquent.
Objet : Maquette d'une villa-type Cornaz. Un niveau, combles à la Mansart. Côté cour, entrée entre les travées extérieures en ressaut (dont une abrite le garage). Côté jardin, entrée médiane accessible par un perron à degrés convexes. Traitement symétrique des murs goutterot. Murs pignons comptant deux través d'ouvertures barlongues. Plates-bandes bordées de dallage. Une muret sépare le jardin de la route.
Etat : moyen (cheminées en voie de délabrement).
Objet : Maquette présentant le projet d'agrandissement d'une ferme dont les caractéristiques typologiques laissent penser qu'elle est vaudoise (Broye?). J. Cornaz accole, à la perpendiculaire du pignon de la maison rurale, un bâtiment comptant 2 étages sur rez-de-chaussée sous un toit à pavillon-croupes percé de nombreux chiens-assis. Le rez est percé d'ouvertures en plein cintre et les étages d'ouvertures barlongues. Angles talutés. Tracé des sentiers adapté à la circulation. Il se dégage de l'ensemble une impression de véritable lourdeur.
Détails soignés et rendu des matières très "réaliste" (tuiles, briques de terre cuite, pavage).
Objet : Maquette d'un atelier, éventuellement celui que J. Cornaz construisit pour E.-M. Sandoz au Denantou. Toit à 2 pans asymétrique couvert de tuiles romaines. Entrée surmontée d'une baie en demi-cercle. Verrière. Une cheminée signale un local chauffé.
Subtilités chromatiques : 2 verts de gris rehaussés par l'éclatante blancheur des surfaces horizontales et des embrasures de fenêtres.
Objet : 2 parallélépipèdes de tailles différentes imbriqués formant un tau. 2 balcons rachètent le ressaut du volume central. Côté rue, un oriel dont la terrasse est accessible par une ouverture cintrée à l'instar de celle donnant accès à la terrasse principale, plus vaste, côté jardin. 3 ordres de grandeur différents dans les baies barlongues. Curieusement, l'accès au jardin n'est pas frontal mais latéral. 4 plates-bandes en L, placées dans les angles, soulignent le géométrisme du bâtiment. Tendance cubiste chez J. Cornaz ou réponse à une demande spécifique?
Soin des détails.
Objet : Plan carré. 1 étage sur rez-de-chaussée. 2 corps bas accolés aux faces latérales, l'une pour le garage, l'autre pour une véranda (?). Toit à pavillon couvert de tuiles romaines. Terrain en légère pente rattrapée par un talus et un muret de soutènement. Au rez-de-chaussée, fenêtres cornières. Langage moderniste, surtout explicite dans le traitement des percements et de la balustrade du balcon, en contraste avec le classicisme du volume, du plan et de l'aménagement du jardin.
Maquette en mauvais état, partiellement décollée.
Objet : Plan en U. 1 niveau sous une toiture à pavillon-croupe revillonnée rythmée par 5 chiens-assis. Toutes les ouvertures barlongues. 5 travées côté jardin, avec léger avant-corps, dont le traitement symétrique est contredit par l'entrée à gauche de l'axe médian. 1-2-5-2-1 travées côté cour, 5 sur les faces latérales. Tentative de faire "du grand avec du petit". L'ordonnance est classique mais les trumeaux, le chevauchement des contrevents signalent une disposition spatiale intérieure assez confinée.
Un chien-assis et 2 cheminées manquent.
Traces de la balustrade du perron.
Objet : Cube néoclassique 3-2 côté cour, 1-3-1 côté jardin distingué par son avant-corps à refends, son fronton, ses baies néo-classiques. Entrée surmontée d'une fenêtre à tablette sur consoles pour marquer l'axe. Façades latérales percées de fenêtres barlongues (et sur 1 côté d'oculi). Ample toit à pavillon-croupe percé de chien-assis et de lucarnes cintrées.
Les tuiles, plates et pointues, sont découpées dans des bandes de papier encollées sur du carton fort et peintes après séchage.
Décollement partiel.
Un chien-assis manque.
Objet : Un étage sur rez-de-chaussée. Combles. Vaste toit à pavillon-croupe avec retour en léger ressaut côté cour. Cube classique 1-3-1 travées côté cour, 5 côté jardin, 3 et 4 sur les murs latéraux. Succession d'ouvertures en plein cintre (munies de volets distincts haut / bas permettant une fermeture graduelle de la baie) ouvrant sur un portique filant.
Les tuiles, plates et pointues, sont découpées dans des bandes de papier encollées sur du carton fort et peintes après séchage.
Impression de bâclé, notamment dans le traitement des plates bandes et du pavage.
Objet : Un étage sur rez-de-chaussée. Combles probablement habitables. Toit à pavillon-croupe avec 4 retours en pignon tranversal simulant des ailes entre lesquelles la partie médiane est elle traitée façon "comble à la Mansart". Sur les murs latéraux, balcon sur pergola. Accès au jardin par un perron à degrés convexes. Côté cour, garage intégré à côté de l'entrée principale occupant, elle, l'axe médian.
Maquette.
Les tuiles, plates et pointues, sont découpées dans des bandes de papier.
Objet : Cube classique néo-XVIIIe. Une tourelle hexagonale abrite la cage de l'escalier hélicoïdal. Portiques prévus sur les murs latéraux (enlevés de la maquette). Toit "dans la tradition cornazienne" : à pavillon revillonné. Traitement symétrique. Différence d'ordre dans les dimensions et le type de fenêtres entre le rez-de-chaussée et le premier étage.
Les deux maquettes étaient probablement collées sur un support (voir les résidus de colle) associée à un ensemble.
Objet : Probablement deux variantes de garage venant compléter un bâtiment d'habitation dont le style est aisément déductible dans le traitement donné à ces édifices utilitaires. Chacun est de type parallélépipède sous un toit à pavillon légèrement revillonné, percé de fenêtres barlongues munies de contrevents.
Finesse et soin dans le rendu des détails.
Recherche dans le mélange du blanc et gris (comme pour l'église 0024.06.002).
Objet : Cheminée d'inspiration Régence. Piédroits en doucine (vérifier), cadre agrémenté d'un tore. Intérieur en brique de terre cuite.
Maquette inachevée.
Les tuiles, plates et pointues, sont découpées dans des bandes de papier encollées sur du carton fort et peintes après séchage.
Dans le même carton, la variante de l'entrée et un fragment non identifié, fonctionnant comme écorché, atteste que l'auteur de ces maquettes les construit comme un bâtiment : murs reposant sur le sol, dalle supérieure sur les murs, couches de papier fort faisant office de crépi, carton fort (recyclage des calendriers de fournisseurs!) pour la charpente du toit.
Objet : Bâtiment sur un niveau. Plan au sol en tau, dont une des branches est prolongée par un corps couvert d'un toit à pavillon abritant le garage et un étage de chambres. Entrée dans l'un des angles intérieurs. Deux variantes proposées, cylindre engagé une fois sommé d'une toiture complexe percée d'un chien-assis.
Végétation rendue à l'aide de matériaux divers.
Repentir dans le pavage côté jardin.
Le soin que Cornaz porte à la réalisation de ses maquettes doit être l'indice de quelque chose.
L'hypothèse actuelle est qu'il les réalise lui-même pour vérifier ses idées en 3 D.
Objet : Volume comprenant un corps principal cubique et deux corps latéraux accolés. Côté cour, le bâtiment est de facture classique, côté jardin le traitement est résolument moderniste (finesse des serrureries, fenêtres en bandeau, ...). Un changement d'axe accompagne le changement de fonctions (rez-de-chaussée, étage). Courbes et contre courbes dans le traitement de l'accès principal : le bâtiment, entre deux segments de cercles, est percé d'une entrée médiane accessible par un perron à degrés concaves. Le salon s'ouvre sur une terrasse. Le jardin à la française est accessible par un escalier à degrés concaves. Arbres taillés en obélisque. Symétrie rigoureusement observée tant pour le bâtiment que pour le jardin.
Soin extrême du rendu des matières, notamment des briques, de la pelouse, du pavage de pierres.
La haie qui formait le pourtour ainsi qu'un arbre ont été arrachés.
Les cloches manquent.
Objet : Eglise parallélépipèdique comportant un portique de brique, une nef percée de baies munies de vitraux sous un toit à 2 pans revêtu de plaques métalliques, que le maquettiste a pris soin de séparer des murs par un acrotère (l'espace libéré étant ainsi réservé à l'écoulement des eaux), une abside de brique semi-décagonale. Le mur avant se termine par un campanile.
Maquette d'un immeuble inconnu.
Objet : Immeuble locatif, 3 étages plus attique sur rez. Vaste parallélépipède comportant des ressauts. Les deux cages d'escaliers se présentent comme des cylindres engagés aveugles (étage-attique excepté). Eléments corniers traités selon un mode semblable et formant balcons.
Série de maquettes architecturales, réalisées en carton gouaché, bois et autres matériaux, conçues par Jack Cornaz. Elles incluent des représentations d'un atelier, une cheminée d'inspiration Régence, une église avec un portique de briques, un ensemble locatif organisé en square, un projet d'agrandissement de ferme, des garages, et divers types d'immeubles locatifs et de villas.
Photos de réalisations de Jack Cornaz, concernant plusieurs objets parmi lesquels : Mon Abri, pavillon Brandenburg, Fantaisie (Henri-Louis Mermod figure peut-être sur la photo), maison Rivier, ch. de Pierrefleur, Buchillon (?), Petit Fleur d'eau, avant et après travaux, Petit Ouchy, maisons Brandenburg ch. Denantou bis, Fraidieu, Pully.
Dossier de photos de maquettes et de réalisations de Jack Cornaz.
Plusieurs objets concernés, parmi lesquels :
– villa de Madame Guex,
– Denantou,
– peut-être Fluckiger [St-Imier].
Deux prises deux vue portent un timbre humide au verso : "Man Ray, 31bis, rue Campagne Premiere, Paris 14".
Deux cartes postales fixées sur un support en carton fort. Editions © Emile Gos.
Représentation : Vue exterieure depuis le parc (angle nord), vue depuis l'intérieur sur le parc
Objet : La construction du pavillon (1924) précède celle du bâtiment principal (1926). Cella à plan carré précédée d'un péristyle à colonnes toscanes, sous un toit à pavillon sommé d'une urne. Le sol en briques en point de hongrie et cloisonné par des plates-bandes, vraisemblablement de marbre. Le sol du péristyle est composé de petits galets de rivière.
Objets concernés :
– Fantaisie (7 photos),
– Mon Abri (2 photos),
– Petit Ouchy (10 photos).
Vue perspective de l'angle rentrant du hall, escalier à faible reculement, balustrade constituée de fers méplats, dalles de marbre noir au sol, soucis particulier dans le rendu des murs et du sol, commode à trois tiroirs proche de la production de Jack Cornaz, suspension "années trente", grande sphère opaline suspendue à un longt câble.
Représentation : perspective/hall
Villa Brustlein, à Lutry, grand Denantou, Servan 24, à Lausanne.
Quelques objets non identifiés de façon certaine :
– tente de jardin en métal surmontée d'une figure faîtière sirène jouant de la lyre,
– sculpture de Casimir Reymond (Fantaisie),
– planche d'un intérieur marqué "Guisan",
– planche marquée "F.C. Ramuz", "E.H., Anfa (?) supérieur, C. Blanca" (tirage sur papier "velours"), "Villa Md Guex",
– deux maisons différentes sur une même planche, "Antonini" (pour cet objet, voir détails sous dossier 0024.04.0074).
– Gravure de la fontaine de "Vevay".
Hall que Jack Cornaz a transformé en 1930. Il travaille sur la symétrie avec une entrée centrale surmontée d'un fronton sur consoles, un escalier à double volée et rampes divergentes, conduisant à une mezzanine percée d'ouvertures en plein cintre. Deux tables de part et d'autre de l'escalier (pieds agrémentés d'une étoile à 6 branches), sûrement créations de Jack Cornaz (vérifier dans le dossier de mobilier), et deux miroirs qui se font face dans une mise en abyme à l'infini. Lampe en verre, probablement coloré, formant un polyèdre. Dallage en marbre, marches d'escalier en marbre noir, balustrade et portes en métal chromé.
Représentation : Vue de l'antichambre de la villa
Objet : Villa achetée par Maurice Sandoz dans les années 20, transformée par JC vers 1930 (hall). Dans le hall, JC travaille sur la symétrie avec une entrée centrale surmontée d'un fronton sur consoles, un escalier à double volée et rampes divergentes, conduisant à une mezzanine percée d'ouvertures en plein cintre. Deux tables de part et d'autre de l'escalier (pieds agrémentés d'une étoile à 6 branches), sûrement créations de JC (vérifier dans le dossier "mobilier"), et deux miroirs qui se font face dans une mise en abyme à l'infini. Lampe en verre, probablement coloré, formant un polyèdre. Dallage en marbre, marches d'escalier en marbre noir, balustrade et portes en métal chromé. Sur la même propriété, Vigna Pepoli 2, construite vers 1950, par l'architecte A. Beloborodoff (St-Petersbourg? celui qui a construit le palais Youssoupov?).
Vraisemblablement de la main de Jack Cornaz. Surenchère dans le registre "ruines": des fragments de fûts et de chapiteaux de colonnes effondrées parsèment les abords, le tout est mangé par la végetation. Représentation de personnages, un homme une femme, un enfant. Il pousse le souci du détail jusqu'à reproduire les trous de louve.
Représentation : perspective/portail
Objet : Portail à la romaine construit d'emblée comme une ruine (aussitôt terminé, il aurait été dynamité pour le rendre plus vraisemblable). Construit en grand appareil régulier, et remplage de briques, amorce de voûte laissant apercevoir des caissons, murs à l'intérieur du passage crusés de niches. Plusieurs vues de ce portail sur une page d'un album de photos (dossier 0024.02.0001). Ce projet est à mettre en relation avec l'ensemble des travaux réalisés pour (ou en collaboration avec) Emilio Terry, pour lequel à l'époque JC "négrifiait". Après visite et discussion avec le neveu de E. Terry, il ressort que JC a réalisé seul ce portail.
Chapelle perchée au bord d'un petit chemin qui serpente dans une falaise. Edifice à clocher-mur, toit à un pan, abside polygonale, mur latéral visible percé de trois hautes meurtrières. La mise en scène laisse penser qu'il s'agit d'un endroit surplombant un lac.
Représentation : perspective/chapelle
Objet : Chapelle perchée au bord d'un petit chemin qui serpente dans une falaise. Edifice à clocher-mur, toit à un pan, abside polygonale, mur latéral visible percé de trois hautes meurtrières. La mise en scène laisse penser qu'il s'agit d'un endroit surplombant un lac ou une mer.
– Perspective d'un chapelle sur une falaise,
– "Petit fleur d'eau, projet de décoration pour le salon",
– "Projet d'entrée pour le château de Clavary".
Ces documents ont probablement été préparés pour l'exposition des travaux de Jack Cornaz à la galerie Manassero (mai 1934 : une photo porte au dos de son support la date 17.03.1934 F.).
Photos © De Jongh (sauf celles de Rome) :
– Grand Denantou (3 photos),
– Vigna Pepoli 1, à Rome / photo © Vasari (2 photos),
– Schlossberg : notes au dos "Schlossberg St-Imier, Schlosser Fluckiger La Neuveville" (4 photos),
– Petit Fleur d'eau, à Rolle (3 photos).
Représentation : vue partielle façade lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : vue façade nord
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : Façade sud depuis le lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : vue intérieure, cheminée
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : Vue intérieure salon, vers le lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : vue intérieure du salon
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Représentation : façade rez côté jardin
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment; le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Représentation : vue de la face principale de la fontaine
Objet : Produit de la rencontre entre une grotte roccoco et un abreuvoir jurassien, le dispositif comprend un segment de mur en opus rusticum, dans lequel est ménagée une niche en plein cintre, dont la clé n'est pas sans rappeller Claude-Nicolas Ledoux et un bassin semi-circulaire inséré dans cette niche. Les monolithes du mur sont des lapiaz non équarris, non dressés en parement.
Objet : Aménagements intérieurs (et peut-être plus, voir dossier 0024.04.0101) d'une maison construite par les architectes Bosset & Bueche. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935, Herbert Moos. Esquisses concernant cet aménagement dans le dossier Mobilier, 0024.04.0004.
Représentation : Vue de la façade principale du caveau
Objet : Caveau de famille, accueillant des urnes. Parallélogramme taluté dont la partie centrale émerge et est surmontée d'un fronton agrémenté d'une scène allégorique d'inspiration romaine. Manière d'antéfixes évoquant le bonnet phrygien. La scène du fronton n'a pas été réalisée.
Objet : 1929: construction, par atelier Cornaz & Baumann Un étage sur rez, sous-sol percé d'abat-jours, toit en pavillons sur corniche. Cube classicisant avec un retour en biais à l'angle nord, et une terrasse soutenue par un portique à colonnes au sud-ouest. En 1951 Cornaz agrandit l'annexe à l'angle nord et construit ou agrandit le garage-dépendance au nord de la parcelle (Villa Ducrey-Heer, Eugène) figurant déja sur le "plan de situation" de 1929.
Représentation : Vue façade sud
Objet : Maison de deux étages sur rez, divisée en deux parties, un appart. pour M. Suter, et l'habitation pour la famille Rivier. Construction d'un garage. Encadrée à l'est et à l'ouest (cf. schéma de la maison Brustlein) par une terrasse sur colonnades (ordre toscan). Au sud, des portes-fenêtres dont l'arc en plein-cintre est fermé par un châssis rayonnant, occupent les trois travées centrales de la façade. Au nord, le "bel étage" est signalé par des corniches sur consoles. Deux escaliers: le principal dessert l'appartement indépendant du deuxième étage et part de l'entrée du bâtiment; le second, plus petit, sert de liaison verticale entre le rez et le premier étage et se poursuit jusqu'aux combles, où sont situées les chambres de bonnes. Ces deux circulations communiquantes font penser que la division en deux appartements devait pouvoir être supprimée. 1929: autorisation de construire, déposé par Cornaz & Baumann 1929: garage privé au nord de la parcelle, par Cornaz & Baumann 1959: démolition dudit garage et reconstruction à un autre emplacement 1960: transformation de l'immeuble et constr. annexe et 3 boxes, par Fantoli & Kropf 1961: mur de soutènement, par Fantoli & Kropf 1971: création d'un escalier du 2e niveau aux combles, Richter & Gut 1975 création d'une salle de bains, Miguel (source: Archives de la Ville de Lausanne)
Représentation : Vue de la façade vers le lac
Objet : Pavillon construit sur une éminence, un étage sur rez. Au rez: entrée, WC, petite cuisine et grand living-room prolongé par la terrasse. Le living est couvert par une sorte de solarium accolé d'un ou plusieurs locaux, peut-être des chambres à coucher. Sous-sol partiellement excavé. Certains calques sont signés "f" Rare exemple de production moderniste de JC, avec l'atelier pour Casimir Reymond construit à la même époque. Les premiers croquis montrent un réel enthousiasme pour cette petite construction (voir le "la tour belvédère jaune", notamment). Le bâtiment est transformé par JC en 1941 (dessins signés Fer.). La transformation est en effet radicale elle consiste à supprimer la première terrasse, a poser une toiture à 2 pans et à supprimer tout ce qui démarquait l'objet: fenêtre en bandeau a serrurerie métallique, marquise béton, … Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935, Herbert Moos. Offert, avec le terrain en vignes et forêts, par Henri-Louis Mermod à Germaine Favre qui l'a légué à son fils adoptif.
Une autre photo de la même série porte une date et une initiale (la même que sur certains plans): mars 1934, F.
Représentation : Vue du pavillon depuis le lac
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928: création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Les noms des objets concernés sont souvent inscrits à l'arrière.
1 calque, élévation d'une fontaine rocailleuse, face à l'entrée de la propriété M. Fluckiger à St Imier.
Carte postale écrite par L. Guex de l'hôtel Alexandra (Lausanne), 31.12.1940. Au recto figure une photo de l'angle nord de fantaisie, avec le parc à la française, et un texte indique "Ecublens", alors que le signataire de la carte ne semble pas avoir de liens direct avec cette maison.
Représentation : Façade est, vue depuis le jardin
Objet : Bibliographie: Monuments d'Art et d'Histoire, tome IV, p. 25 et sqq La maison date du XVIIe; elle est réparée une première fois en 1786; première transformation 1926. La villa se trouve au bord du ch. de l'Elysée, en face du ch. de Fantaisie.
Photo collée dans un album, concernant également d'autres objets; sur la même page et les deux suivantes (pp. 28-30), d'autres photos de cet atelier, dont deux de l'édifice terminé.
Représentation : Vue sud-est de l'atelier à la fin du chantier
Objet : Petit édifice construit vers 1931, de style méditerranéen. Le corps principal, soit l'atelier, présente une structure en arceaux de béton armé qui libère la façade au nord, largement vitrée (façade et une partie du toit). Actuellement, la maison (en voie de restauration, juin 2000) comporte une aile d'habitation à l'ouest non visible sur les photos de chantier, ajoutée en 1955 par P. Lavenex, architecte. A l'est, une petite aile constitue l'entrée.
Objets concernés :
– le Petit Ouchy,
– le Denantou,
– le Chalet des enfants (Chesières),
– l'atelier pour Jean Clec (Toffeyre 19, à Lutry),
documentant les réalisations (construction, transformation, mobilier) de J. Cornaz (extérieurs, intérieurs, chantiers, aménagements extérieurs) ou éventuellement des illustrations inspiratrices.
– Lausanne, Quai-d'Ouchy 1,
– Elysée (Fantaisie), Pierefleur 7
– Lutry, Lavaux 354, Lavaux 394
– Puidoux, pavillon Mermod
– Saint-Suplice, maison Roux.
– Rolle, Petit Fleur-d'Eau
– Mobilier (dont la desserte Brandenburg)
– Non identifié (2 objets)
La série regroupe une collection variée de documents iconographiques couvrant la période de 1928 à 1955. Elle comprend sept dossiers renfermant principalement des tirages photographiques en noir et blanc, ainsi que des dessins au lavis sépia et des héliographies, tous liés aux travaux de Jack Cornaz. Ces documents illustrent un éventail de projets, allant de villas et pavillons, à des éléments de décoration intérieure et de mobilier.
Classeur des factures des entreprises, candidatures spontanées d'architectes pour réaliser les travaux... concernant la reconstruction du bâtiment de ferme détruit par incendie.
Les travaux furent adjugés au bureau d'architecture Fritz Schwab, architecte, Meyriez-Morat (associé Jean Rollinet, Payerne)
Objet : Propriété de la famille comprenant quatre bâtiments : une ancienne maison baillivale (XVIIe?), deux bâtiments du XIXe et la ferme.
Dossier d'adjudications, de factures des entreprises ayant travaillé à la construction de la maison et de la piscine.
Permis de construire.
Contrat entre le maître de l'ouvrage et l'architecte Plan du portail (2.1968).
Objet : Villa et dépendances. Maison d'un niveau avec combles habitées, toiture vaudoise, révillonnée, plan au sol en tau. Escalier placé au bout de la longue branche du tau, les indications du propriétaire ont influencé le projet, autant du point de vue formel que de celui de l'organisation interne (information orale donnée par le maître de l'ouvrage) Le Dr Georges Piguet possède le dossier administratif et un dossier d'exécution presque complet de cet objet, catalogués sous 0024.05.001 et 0024.04.0 Plusieurs plans dans le dossier varia 0024.04.0086 L'objet porte également le nom de SI Ballègues SA
Contient des calques à diverses échelles, 1:20 et détails demi-grandeur, élévations, plan, coupes et détails.
Dessinateur : PI.
Ce dossier est une partie du dossier 0024.04.0051 (l'autre étant le 0024.04.0051a).
Le dossier 0024.04.0051 était à l'origine roulé avec le dossier 0024.04.0048.
Objet : Mausolée de genre tempietto avec cella unique précédé d'un portique à colonnade d'ordre ionique. Moyen appareil régulier (plein sur joint). Face nord : ouverture semi-circulaire avec clé passante. Faces latérales non percées. Le tout est surmonté d'un toit à deux pans formant fronton. Tracé régulateur à étudier. Pour mémoire : à la même époque Jack Cornaz réalise le mausolée de Chardonne pour Maurice Sandoz. L'intérieur est une voûte à caissons en staff. Le projet est réalisé, mais probablement Jack Cornaz ne s'est jamais rendu sur place. La concession est au nom de Señora Elvira Giraldo de Aristizabal.
Calques et hélios de détails de menuiseries et d'un portail.
Dessinateur PI.
Trois lettres de réclamation à des entreprises.
Une enveloppe avec en-tête Suter & Suter, adressée à Jack Cornaz par Baumgartner, Epalinges.
Ce dossier est une partie du dossier 0024.04.0051 (l'autre étant le 0024.04.0051b).
Le dossier 0024.04.0051 était à l'origine roulé avec le dossier 0024.04.0048.
Objet : Aménagement d'une bibliothèque. La réalisation devaitêtre terminée en juin 1957, date du retour du maître de l'ouvrage d'un voyage aux Amériques.
Lithogravures anciennes dans un cartable au nom de Daniel Cornaz à Faoug.
Dossier d'exécution.
Plan de situation, plans du sous-sol, rez-de-chaussée, premier étage, élévations est, nord, ouest et sud, coupes.
Elévations, plans et coupes du garage (2.1964) Quelques plans signés de Henri Auberson, architecte SIA EPUL, seul, notamment pour les armoires, l'aménagement de la salle de bains.
Objet : Villa et dépendances. Maison d'un niveau avec combles habitées, toiture vaudoise, révillonnée, plan au sol en tau. Escalier placé au bout de la longue branche du tau, les indications du propriétaire ont influencé le projet, autant du point de vue formel que de celui de l'organisation interne (information orale donnée par le maître de l'ouvrage) Le Dr Georges Piguet possède le dossier administratif et un dossier d'exécution presque complet de cet objet, catalogués sous 0024.05.001 et 0024.04.0 Plusieurs plans dans le dossier varia 0024.04.0086 L'objet porte également le nom de SI Ballègues SA
La maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient.
Réalisée, sans doute, par le même maquettiste que celles déposées aux A.C.M.
Belle facture, très soignée dans le traitement des matériaux, des teintes.
Souci hyperréaliste du rendu de la toiture, du dallage, des parements de briques.
Une enveloppe avec permis de construire.
Croquis d'intention puis trois variantes de façades sud et nord (les trois étant présentées sur le même calque).
Une proposition hispano-provençale développe plusieurs corps de bâtiment disparates sur les trois côtés d'une cour fermée par un mur d'enceinte, dont la porte d'entrée est en arc.
Une autre solution avec portique en façade nord au milieu duquel s'ouvre la porte d'entrée en forme de niche, propose en plan un hall rappellant, à une échelle différente, l'antichambre classique.
Un "pense-bête" pour la construction et aménagement de la maison, permis de construire.
Un emballage de Werk à l'adresse de Jack Cornaz,17, rue Etraz, Lausanne.
Une photo de l'intérieur du pavillon Brandenburg signée de Jongh.
Objet : Un étage sur rez, toit à deux pans. Villa-fronton, une niche réalisée en briques (rappel : la famille Savary, des cousins de Cornaz, possède une fabrique de briques à Faoug, faut-il en tirer des conclusions?) en contraste avec le reste du bâtiment, développée sur toute la hauteur de la façade sur rue, souligne l'entrée. La façade sud (vers le lac) a un rythme 1-3-1. La travée centrale est soulignée par un revêtement en briques, comme le fronton (qui s'étire sur toute la largeur de la façade). Photos dans le dossier 0024.02.001, où l'on voit les obélisques placés aux quatre coins du toit. Jack Cornaz signe seul mais E. Terry n'est pas loin. Les déclinaisons autour de la niche-hauteur (ET en réalise une pour Marcel Nahmias à Boulogne-Billancourt) se retrouvent dans de nombreux dossiers, preuve que Jack Cornaz a cherché à la développer, à la replacer ailleurs. Certains détails sont jubilatoires (volute). La maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient. Réalisée, sans doute, par le même maquettiste que celles déposées aux A.C.M. Belle facture, très soignée dans le traitement des matériaux, des teintes. Souci hyperréaliste du rendu de la toiture, du dallage, des parements de briques. Une enveloppe avec permis de construire. Croquis d'intention puis trois variantes de façades sud et nord (les trois étant présentées sur le même calque). Une proposition hispano-provençale développe plusieurs corps de bâtiment disparates sur les trois côtés d'une cour fermée par un mur d'enceinte, dont la porte d'entrée est en arc. Une autre solution avec portique en façade nord au milieu duquel s'ouvre la porte d'entrée en forme de niche, propose en plan un hall rappellant, à une échelle différente, l'antichambre classique.
Les plans sont signés Baumann et Cornaz.
Projet de bassin devant la terrasse, pavillon de jardin (élévation, plan, coupe, charpente et détails au 1:5), deux variantes du pavillon, développé des façades intérieures de l'une d'elles, élévations nord, élévations sud, détails de la balustrade de la niche et des obélisques de la terrasse, plan de chevronnage (réalisé avec les tréteaux de la fête des Vignerons de 1925 rachetés par Mermod), élévation est, coupe et plan du portail (fer de lance grec et urnes à godrons), plan de 1942 (premier étage), coupe transversale et longitudinale (héliographies), plans des dépendances, non datés, qui abritaient des garages, une buanderie, une cuisine et à l'étage des chambres à coucher et un bain.
Quelques dessins d'un fronton (la culture dans ses deux acceptions), divisé en deux par un oculus, d'un côté sont représentés (entre autres) un arrosoir, un chapeau de vendangeuse, un filet de pêche et une brouette, de l'autre un violoncelle, des livres et une palette de peintre.
C'est au dessin ce que Ramuz appelle dans son oeuvre : l'association des arts et de l'agriculture, le labeur et le loisir…, Jack Cornaz excelle quand il faut créer une ambiance apte à domestiquer le regardant : exemple, dans un calque pour un cabanon, le souci dans la manière de restituer le désordre propre à l'endroit (brouette, outils...) est particulièrement remarquable.
Objet : La "légende" locale veut que, les frères Mermod en cabotage sur le lac, aient aperçus le pavillon construit par Jack Cornaz et ET pour A. Brandenburg, se soient enquis auprès de celui-ci du nom de l'architecte et lui aient confié la construction du Petit-Ouchy. Autre anecdote, le bois qui a servi à la charpente est celui des trétaux de la fête des Vignerons de 1925, racheté par Walter Mermod. La description de l'objet, qui reste le plus référentiel et cité de la production Jack Cornaz, sera complétée.
Plan de la propriété de Alfred-Louis Brandenburg du 20 mai 1902 (arch. A. Prod'hom).
7 études de lotissement du terrain au sud de l'ancienne propriété du Belvédère.
Objet : La propriété de A. Brandenburg, démolie lors de la construction du gymnase du Belvédère par Picard, avait déjà perdu de son charme agreste lorsque le tracé du chemin de fer vint labourer son extrémité sud. Le lotissement -est-il un projet de Jack Cornaz?- (les calques ne sont pas signés et le dessin n'est pas de lui (crayon tendre étendu "trasfarello", contours énergiques, ...) consistait à implanter une série de maisons individuelles de façon tapissante dans le triangle au sud de la maison. Une brasserie est indiquée au nord-est, chercher des renseignements.
Avant-projet (1923), projet (1924).
Tous les plans sont signés Terry et Cornaz.
Plusieurs documents à double (héliographies et calques).
Plan de situation, portail, plan du sous-sol, plan de l'entresol, du rez-de-chaussée, coupe transversale, coupe longitudinale, élévation ouest, est, nord, sud, coupe longueur sur le salon, coupe transversale du salon (en caisson à la romaine), détail au 50ème de la façade sud, détail au 50ème de la façade nord, plan de dallage de l'antichambre (vestibule d'entrée) avec les matériaux utilisés -briques à baton rompus ou marbres noir et blanc (solution retenue)- plan du dallage du salon.
1928 : création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron.
Le muret est doté de deux giulie.
Un plan non daté, sans doute extrait du cadastre de Lutry avec estimation fiscale, pour la propriété Auguste Brandenburg, n°433.
Objet : Bâtiment antiquisant avec portique à colonnades de style ionique avec cella. Un corps central cubique est flanqué de deux ailes. Il est situé en contrehaut de la rive à laquelle on accède par un escalier monumental. Publié dans la revue "Œuvres", 19 janvier 1935 (article Herbert Moos). 1928 : création d'un portique au sud, dont le plan (déchiré) est dans ce dossier, et agrandissement de la terrasse, création d'un mur de soutènement avec une niche abritant un banc au point de rencontre des deux rampes divergentes du perron. Le muret est doté de deux obélisques. Transformé en 2000-2001.
Plusieurs documents relatifs aux objets "Maurice Sandoz".
Burier : dossier de la transformation que Jack Cornaz réalise Au château de Burier : menuiseries, plans de dallages, colonnades.
Un plan géométral toilé de Burier 1855 (Desplands arpenteur) a été inclus dans ce dossier.
Chardonnes : calques des dépendances que Jack Cornaz projette de construire [renseignements pris, elles n'ont pas été construites, à cause de la guerre] pour Maurice Sandoz au nom de la S.I. les Espaliers.
A mettre en relation avec le dossier 0024.04.0089 Un plan de situation d'un lieudit "En perche", à cheval sur les communes de Saint-Saphorin et Chexbres du 13.12.1938.
Une feuille volante de l'Hôtel Beau-Rivage a servi à un croquis très maladroit (de la main de M. Sandoz?) de la reconstruction du pavillon de Bellerive lorsqu'il été encore prévu de le poser au bord du lac comme hangar à bateaux (voir dossier 0024.04.0139).
Quatre hélios non datées de la propriété de M. Van Asch van Wyck à la Tour-de-Peilz, portant le timbre humide F. Echenard, architecte, Vevey.
Objet : Château de Burier (voir Maillard in Les Sandoz : histoire d'une famille, 2000 : ...) Dépendances à Chardonnes (voir aussi dossier 0024.04.0089). Petite maison comptant deux niveaux sous un toit à pavillon à faible pente revêtu de tuiles romaines "du pays" : rez-de-chaussée pour garage, petit logement à l'étage.
Dossier comprenant des calques et des hélios.
Principalement de l'aménagement d'un bar-dancing entre 1938 et 1939 (Initiales IF (?) et G (?) sur les calques de 1938-39).
Quelques Emilioterribleries à la plume sur papier : appliques et meubles en forme de conques... (voir livre d'or de Faoug).
Deux calques pour un projet de transformation de l'entrée ouest (septembre 1949).
Un plan au timbre de H. et J. Verrey - architectes, Lausanne (octobre 1924) .
Un calque 1:20 du bar (meuble) sans nom, sans date provenant d'un autre bureau (l'hélio porte l'étiquette rue Ledermann, ébenisterie-menuiserie, Tivoli 18, Lausanne).
Une autre hélio laisse deviner que Jack Cornaz travaille avec la parqueterie d'Aigle.
Objet : Dossier d'une transformation réalisée par Jack Cornaz entre 1938 et 1939. Aménagement d'un bar, semble-t-il avec création de mobilier.
Dessins préparatoires, plan de situation de la main de Jack Cornaz (où figurent les canalisations) et dossier d'exécution selon liste annexée dans le dossier même (manque le N° 21).
Un plan des encadrements des portes-fenêtres et des fenêtres de la villa rue Devrient (Général-Guisan 71) à Pully, daté 7.6.1938.
Liste des entreprises et des coûts.
Objet : Un niveau sur sous-sol, comble aménagé sous toiture revillonnée percée de 4 chiens-assis. Véranda adossée au pignon sud-ouest (sol en simili grès de la molière). Trois travées d'ouvertures en arc surbaissé. Porte d'entrée au nord à crossettes (marche palière au nord et au sud en grès de la molière). Dans un plan de 10, 50 m par 7, 50 m, Jack Cornaz parvient à placer son programme et à maintenir la sacro-sainte transparence nord sud par l'enfilade classique hall/salon, complété par une cuisne un bain et W.C. séparés et une chambre. A l'étages trois chambres. Une variante maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient, elle propose un plan au sol en tau : un corps bas à croupe rabattue est implanté dans un bâtiment de 2 niveaux sous un toit à pavillon. Rendu soigné des matériaux, des teintes, des détails. Le maquettiste construit avec une logique certes différente de la construction réelle mais avec des éléments qui s'en approche : "chevron-portant-ferme" au point de raccord, ou tenon d'assemblage des deux corps en carton fort (toujours des dos de calendriers) dans le prolongement de la faîtière du chien-assis, ...
Dossier d'exécution de calques et héliographies pour la maison et le garage avec dépendances.
Bâtiment principal : plans de situation, du rez-de-chaussée, du premier étage, du sous-sol, des charpentes, élévations sud-est, nord-est, sud-ouest, nord-ouest, coupe en long, détails des menuiseries, détails des escaliers extérieurs et intérieurs.
Axonométrie vue de l'angle nord de la propriété.
Projet d'aménagement de la cour.
Dépendances : tous les plans et élévations.
Listes des plans, des entreprises et des coûts (partiels).
Quelques plans de provenance d'autres dossiers de dates ultérieures (château de Cheseaux, 1961, propriété Baumgartner à Epalinges, 1960, villa Roux, Saint-Sulpice, 1934, projet d'auvent pour Monsieur le Baron Graevenitz, 20 bis, avenue de Florimont à Lausanne, 2 février 1961)
Objet : Bâtiment d'un étage sur rez-de-chaussée. Toit à pavillons et coyaux. Composition à symétrie axiale nord / sud. Le corps principal est cantonné par des vérandahs. Comme dans la maison Brustlein à Lutry, Jack Cornaz dispose une annexe déboîtée dans l'angle nord. Selon un dispositif courant, le garage est relié au bâtiment principal par un mur percé d'une porte faisant communiquer la cour et le parc. Portail semi-circulaire.
Dossier composite des calques et tirages des interventions successives et de la construction de la maison (pour les détails, vois notes de l'objet)
Objet : Le nom de la propriété est successivement : Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par Jack Cornaz associé à Bujard et Roessler en 1960. Jack Cornaz n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails : ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …, Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Petit dossier d'héliographies.
Plan de situation, plans, élévation et coupes au 1:50 de la maison et du garage.
Plan du rez-de-chaussée, 1er, poutraison du 1er et charpente.
Coupe en long et coupe en travers.
Elévations nord, sud, est et ouest.
Objet : Un étage sur rez, toit à deux pans. Villa-fronton, une niche réalisée en briques (rappel : la famille Savary, des cousins de Cornaz, possède une fabrique de briques à Faoug, faut-il en tirer des conclusions?) en contraste avec le reste du bâtiment, développée sur toute la hauteur de la façade sur rue, souligne l'entrée. La façade sud (vers le lac) a un rythme 1-3-1. La travée centrale est soulignée par un revêtement en briques, comme le fronton (qui s'étire sur toute la largeur de la façade). Photos dans le dossier 0024.02.001, où l'on voit les obélisques placés aux quatre coins du toit. Jack Cornaz signe seul mais E. Terry n'est pas loin. Les déclinaisons autour de la niche-hauteur (ET en réalise une pour Marcel Nahmias à Boulogne-Billancourt) se retrouvent dans de nombreux dossiers, preuve que Jack Cornaz a cherché à la développer, à la replacer ailleurs. Certains détails sont jubilatoires (volute). La maquette de la maison se trouve chez Jean-Nicolas Devrient. Réalisée, sans doute, par le même maquettiste que celles déposées aux A.C.M. Belle facture, très soignée dans le traitement des matériaux, des teintes. Souci hyperréaliste du rendu de la toiture, du dallage, des parements de briques. Une enveloppe avec permis de construire. Croquis d'intention puis trois variantes de façades sud et nord (les trois étant présentées sur le même calque). Une proposition hispano-provençale développe plusieurs corps de bâtiment disparates sur les trois côtés d'une cour fermée par un mur d'enceinte, dont la porte d'entrée est en arc. Une autre solution avec portique en façade nord au milieu duquel s'ouvre la porte d'entrée en forme de niche, propose en plan un hall rappellant, à une échelle différente, l'antichambre classique.
Dossier d'exécution lacunaire, qui comprend des croquis d'intention, des dessins d'exécution et des détails grandeur pour les maisons A. Brandebourg et SA Denantou.
Plans communs aux deux maisons : plan et élévation au 1:20 (Initiales P.G.) de la "Brandenburger Tor" avec indications sur les matériaux et les techniques («béton bouchardé à la pique» pour la clef) ainsi que des profils-grandeur des corniches, développé des façades sur rue (façade nord A. Brandebourg, façade est SA Denantou) et projet de clôture (élévations et coupes), détail de la pièce d'eau, détail de taille des couronnements, implantation, porte d'entrée et détail de taille de la porte d'entrée, petite fontaine du jardin.
A. Brandebourg : élévations façade est, ouest, sud, plans du rez, de l'étage et du sous-sol, coupe transversale, plan du dallage du sol et façades intérieures de la salle à manger (plafond voûté), développé des façades intérieures du hall (plafond voûté).
SA Denantou : élévation façades nord, sud, ouest, plans rez-de-chaussée, plans premier étage, sous-sol, charpente, consoles du hall et détails (mobilier).
Tableau récapitulatif des entreprises et des coûts.
Objet : Le terrain appartenait à Aurèle Sandoz (frère de Edouard-Marcel et de Maurice) qui l'a vendu à Auguste Brandenburg. Deux maisons définissent une cour d'honneur, elles sont reliées par un arc en briques, connu sous le nom de "Brandenburger Tor", qui donne sur une esplanade verte avec un bassin circulaire. Il faudra revenir sur le thème de l'élément de liaison (voir E. Terry à Groussay) qu'il utilise plus tard pour joindre le bâtiment principal aux garages par exemple (voir Baumgartner, Ballègue 71, Epalinges) Les deux maisons sont des variations sur le cube classique. Dans la maison asppelée sur plans SA Denantou, en réalité destinée aux deux soeurs de A. Brandenburg, Jack Cornaz est éventuellement moins habile à distribuer son programme de cohabitation avec espaces séparés, personnel commun, etc. (comme il l'a fait au Grey, Pierrefleur 7, avec escaliers séparés ou encore pour les soeurs Hayes à Morges).
Dossier d'exécution relativement complet du bâtiment principal et des dépendances : plans, élévations, coupes, détails grandeur, plans de dallages, escalier du hall (en demi-cercle), menuiseries.
Intéressante "collection" de projets de balustrades pour la SI en Ballègue (158), Mlle Mac Cann.
Remplissages périodiques du plan.
Deux variantes proposent une inversion dimensionnelle "à la Terry" (post-moderne précoce?) : la grecque quitte sa frise et devient le motif central, disproportionné.
Plan d'une piscine par J. Bettems.
Objet : Maison individuelle, excavée, comptant 1 étage sur rez-de-chaussée sous un toit revillonné. Deux ailes d'un seul niveau, abritent d'une part une chambre à coucher et, de l'autre, une cuisine. Côté cour, ordonnance symétrique, axe médian marqué par l'entrée surmontée d'un balcon. Côté jardin, 3 travées, ordonnance symétrique. Elévations 1 : 100 1 plan du rez-de-chaussée 1 : 50 Collab. Pierre-J. Birbaum Jean Bettems arch., gestion et conduite de chantier. A retenir pour le chapitre "déclinaison en mode mineur" sur les relations entre le bâtiment principal et les dépendances.
Coupures de presse (15.1.1952-9.8.1955) concernant l'ancien pavillon de Bellerive.
Une lettre datée 1940 fait référence à la volonté de Maurice Sandoz de construire un hangar à bateaux sur une parcelle à la Tour-de-Peilz que la commune serait disposée à lui céder.
Projet d'installation du pavillon au bord du lac, à la Tour-de-Peilz, avec un local à bateau en sous-sol et un petit canal débouchant sur le lac : correspondance, études, plans, élévations et coupes de plusieurs variantes, conçues à trois époques différentes (1940, 1952, 1954).
Projet de reconstruction à Chardonne, la colonnade autrefois tournée au sud, vers le lac, est positionnée désormais vers le nord (1954-1958) : plans, coupes, élévations, détails, plusieurs calques portent les initiales PI.
Quelques calques de plans de dallage pour le château de Burier, pour le même maître de l'ouvrage.
Héliographies de plans non signés d'une villa, dont Jack Cornaz n'est probablement, pas l'auteur, peut-être concernant la propriété de Maurice Sandoz à Rome.
Objet : Ancien pavillon de Bellerive (construit par Alexandre Perregaux pour Henri de Cerjat) démonté lors de l'élargissement de la route. Racheté par Maurice Sandoz (qui a tout de même essayé de l'obtenir gratuitement), démonté pierre à pierre, il est entreposé durant quelques années à Burier. La première idée de reconstruction le situait au bord du lac, à la Tour de Peilz au lieudit Burier-Dessous (voir lettre du 16.6.1952). Le projet se révèle impossible (coût, servitude, ..., lettre du 5.6.1953). La pavillon est finalement remonté, dans la double acception du terme, sur le coteau où il reçoit l'urne funéraire de Maurice Sandoz. François Petermann signe la mosaïque.
Etudes de décors.
Un calque porte le titre : "Grand théâtre de Lausanne, projet de décor Louis XV".
4 projets, trois intérieurs et une façade d'immeuble.
1 esquisse pour un décor "rokoko", 2 études pour extérieur.
Trois reproductions des "ruines de Rome" et un calque dans le même esprit que les travaux d'études BA de Jack Cornaz.
Représentation de personnages : une mère et ses enfants + un chien, n'était-ce le costume, la scène est celle qu'il reproduit dans ses variantes aquarellées.
A retenir : Jack Cornaz travaille par modules (panneaux) interchangeables.
En ce qui concerne le vocabulaire stylistique, il y a beaucoup de similitudes avec ce qu'il a fait au Petit-Ouchy ou à Mon-Abri (fronton avec opimes et autres trophées).
L'emballage annonce un dossier relatif à Mon Abri, mais les calques concernent les propriétés Brandebourg, au Denantou.
Quelques plans portent les initiales if, tous portent des annotations sans doute de la main d'Italo Ferrari.
Quelques dessins portant le titre de pavillon Brandenburg, mais concernent un avant projet pour cet objet, datés 1947.
Un dessin de relevé de la parcelle à construire, par I. Ferrari.
Objet : Le terrain appartenait à Aurèle Sandoz (frère de Edouard-Marcel et de Maurice) qui l'a vendu à Auguste Brandenburg. Deux maisons définissent une cour d'honneur, elles sont reliées par un arc en briques, connu sous le nom de "Brandenburger Tor", qui donne sur une esplanade verte avec un bassin circulaire. Il faudra revenir sur le thème de l'élément de liaison (voir E. Terry à Groussay) qu'il utilise plus tard pour joindre le bâtiment principal aux garages par exemple (voir Baumgartner, Ballègue 71, Epalinges) Les deux maisons sont des variations sur le cube classique. Dans la maison asppelée sur plans SA Denantou, en réalité destinée aux deux soeurs de A. Brandenburg, Jack Cornaz est éventuellement moins habile à distribuer son programme de cohabitation avec espaces séparés, personnel commun, etc. (comme il l'a fait au Grey, Pierrefleur 7, avec escaliers séparés ou encore pour les soeurs Hayes à Morges).
Variante de la façade nord (il ne s'agit pas de la variante réalisée). Axonométrie et élévation de la villa moderniste: il reprend le schéma classique du corps central cantonné par des ailes, mais qui ici s'interpénètrent. Travail sur l'angles avec des fenêtres qui se retournent et des vérandas cornières cylindriques engagées et vitrées. Abstraction faite du toit, les dimensions et les proportions sont respectées par rapport au projet de Mon Abri. La volumétrie est conservée, avec parfois une inversion des pleins et des vides. Ces croquis pourraient accréditer l'hypothèse selon laquelle Jack Cornaz reste intéressé par la réinterprétation moderniste des canons classiques. Quelques croquis de plans partiels pour une salle de bain au deuxième étage, qui pourraient être d'une autre main que celle de Jack Cornaz,de façon presque "corbuséenne", ce sont les objets qui définissent l'espace, et génèrent une découpe dynamique des murs (voir immeuble Clarté, et plans de restauration Dévanthéry-Lamunière).
Représentation : élévation/façade nord, axonométrie/villa moderniste, plan/salle de bain 2e étage
Objet : Maison de maîtres, qui compte un étage sur rez, un comble à la Mansart et un sur-comble habité. Réglage horizontal donné par une large platebande sous la corniche. Façade nord avec portique à colonnades toscan, sous une frise de bucranes et un fronton à modillons d'aplomb. Façade en briques apparentes derrière le portique encadré par des niches. Façade sud: ordre des travées 1-3-1. Avant-corps sous un fronton à base interrompue, frontons sur consoles pour les ouvertures du rez,véranda contre la façade est. Démoli lors de la construction du collège de l'Elysée par Frédéric Brugger, 1961-1964.
Dossier de calques de travail d'avant-projet.
Croquis d'intention, quelques détails grandeur annulés (profils de chapiteaux de colonnes et de corniches).
Un dessin de la façade sud coté et signé par l'architecte et le maître de l'ouvrage.
Proposition de dallage pour le grand salon.
Cheminée du petit salon (marbre de type "reppen echaillon de St-Tryphon").
Plusieurs variantes pour une console, et l'aménagement de deux des côtés du grand salon.
Objet : Maison de maîtres, qui compte un étage sur rez, un comble à la Mansart et un sur-comble habité. Réglage horizontal donné par une large platebande sous la corniche. Façade nord avec portique à colonnades toscan, sous une frise de bucranes et un fronton à modillons d'aplomb. Façade en briques apparentes derrière le portique encadré par des niches. Façade sud : ordre des travées 1-3-1. Avant-corps sous un fronton à base interrompue, frontons sur consoles pour les ouvertures du rez, véranda contre la façade est. Démoli lors de la construction du collège de l'Elysée par Frédéric Brugger, 1961-1964.
Calques et héliographies d'une transformation à faire dans la propriété De Rham, à St-Sulpice, apparemment au salon.
Relevés, études d'aménagement et élévations des façades.
Un cartouche d'un dessin de façade est d'une main inconnue jusqu'ici, et pour cause, puisque le calque de relevé est signé Cornaz, alors que l'héliographie correspondante porte la signature de G.
Bertholet architecte à Prilly.
Le papier d'emballage porte "abbaye de St-Sulpice".
Plan de situation pour la propriété La Baudelle SA, Les Tourelles, Ch. Ed. Sandoz, à Ouchy (10.10.1954).
Une lettre de William De Rham, qui remerci Jack Cornaz et lui demande sa facture d'honoraires.
Deux calques et une héliographie concernant un bureau transformé par Jack Cornaz (7.01.1946).
Dossier incomplet concernant cet objet, une lettre précise qu'il devait y avoir des plans de transformations de plusieurs bureaux, d'un vestiaire.
Deux calques de la bibliothèque Théo de Preux (3.7.1946).
Série de calques d'un couvert, sans précisions sur son emplacement.
Etudes 1:200 et 1:100 de la maison pour M. Capt à Prilly, aussi intitulé Villa Collonges SI SA.
Plans de situation signés.
1 plan pour les aménagements extérieurs de l'entreprise Ch. Lardet, horticulteur-paysagiste, Chailly-Lausanne (101145)
Objet : Bâtiment d'un étage sur rez-de-chaussée. Toit à pavillons et coyaux. Composition à symétrie axiale nord / sud. Le corps principal est cantonné par des vérandahs. Comme dans la maison Brustlein à Lutry, Jack Cornaz dispose une annexe déboîtée dans l'angle nord. Selon un dispositif courant, le garage est relié au bâtiment principal par un mur percé d'une porte faisant communiquer la cour et le parc. Portail semi-circulaire.
Calques d'une transformation au château de Renens pour M. Sauter (1951).
Collaboration I. Ferrari.
Dallage de l'entrée.
Cheminée.
2 calques d'un dallage pour l'imprimerie Roth et Sauter à l'avenue du Simplon (1946)
2 calques et 1 hélio des dépendances de Fantaisie pour Mermod (1946)
Objet : Transformations de Jack Cornaz datées 1946 et 1951.
Etude de l'ordonnance nord dépouillée de tous les ornements et surtout sans toit, ce qui laisse penser que à ce stade il s'agit de définir un parti, basé uniquement sur l'analyse des pleins et des vides, et que la forme du toit n'est pas encore définie. Des études similaires existent dans le même dossier pour les façades est et ouest.
Représentation : élévation/façade nord
Objet : Le nom de la propriété est successivement: Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par JC associé à Bujard et Roessler en 1960. JC n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails: ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …,Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Héliographie colorée, avec légende des parties à démolir, à construire et à conserver. Suppression du porche hors oeuvre d'origine, remplacé par une entrée centrale. Libéré de l'escalier à double volée, le hall reçoit un nouvel escalier semi-circulaire balancé à droite. Un vestiaire et un WC sont logés sous cet escalier. Le plan est clarifié, la façade nord hiérarchisée, les espaces servants bien définis. La suppression du vestiaire et du WC initiaux au profit d'une grande bibliothèque donne une bonne idée du travail de détail auquel se livre Jack Cornaz. Une fois tracé l'axe de symétrie nord-sud, curetage du volume (suppression de deux vérandas semi-circulaires). En façade sud, il retravaille parfois de quelques centimètres seulement les embrasures des ouvertures de façon à respecter les entraxes.
Représentation : plan/rez-de-chaussée
Objet : Le nom de la propriété est successivement: Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par JC associé à Bujard et Roessler en 1960. JC n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails: ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …,Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Deux calques originaux d'élévations des façades nord et ouest (deux variantes pour cette dernière) et une héliographie de coupe transversale, de 1913-1914, signés Verrey & Heydel.
1 plan de situation avec timbre du bureau H. et J.-H. Verrey (1, avenue Agassiz, Lausanne) de décembre 1923.
Héliographies d'une transformation (13.11.1930), dont la signature est illisible.
Cet ensemble de documents est signalé par un type de classement (bande percée de 2 trous pour suspension) qui laisse supposer qu'ils viennent du dernier bureau qui a transformé avant Jack Cornaz (Géo Winkler?) ou de la commune.
1 hélio de l'entreprise Schindler - moteurs et ascenseurs (18.10.1960).
Détails grandeur des urnes, des moulures, plans au 1:10 pour des lucarnes, au 1:20 pour les menuiseries, au 1:50 pour l'intérieur, plan du dallage du hall devant l'escalier principal.
Les plans portent les initiales Pi (Pierre Birbaum).
1 plan de l'armoire de l'antichambre de la maison Piguet à Epalinges (nov. 1964).
1 plan du sous-sol du Denantou, E.-M. Sandoz (oct. 1930).
Objet : Le nom de la propriété est successivement : Champré (1927), Hauterive (1937) elle appartient alors à la Pommeraye SA. Maison construite vraisemblablement par Verrey & Heydel en 1913-1914 pour Mlles Annie Ewen et Marguerite Ruey, dans un style historiciste surchargé de citations académiques mais construite sur pilotis avec fondations en béton armé (un calque de ferraillage, 22.6.1914). Volume et toiture complexes (pignon transversal, oriel et véranda, etc.). Toit à terrasson ceinturé par une balustrade. La maison a été transformée en 1930 (signature de l'architecte illisible sur les héliographies [A. Laverrière, pour Mme Sonnenberg, voir fonds Laverrière cote 2.01.045]). En 1934, projet de lotissement par quatre villas identiques de la partie sud de la parcelle (i.e. Hauterive sur le chemin de la Teinturerie) par le bureau A. Laverrière (2.01.045) Transformation en 1946 par Geo Winkler Arch. (à Lausanne?), la propriété s'appelle alors la Pommeraie. Tranformation par Jack Cornaz associé à Bujard et Roessler en 1960. Jack Cornaz n'hésite pas à clarifier le volume pour imposer une symétrie (voir référence 0024.0.4131-01). Comme d'habitude, soin particulier apporté aux détails : ferronnerie, urne de faîtage, menuiseries, moulures, …, Les nouveaux encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre artificielle bouchardée. Le bâtiment fonctionne comme pensionnat en 1937 (voir plan de situation et description du bien-fonds consistant en 4 parcelles, 1205, 1210, 3424, 3432). Cette même année
Héliographies 1 : 50 annotées des transformations de la maison principale : façade sud et ouest, plan du premier étage et du deuxième étages, coupes en long et en travers.
Création d'une dalle de type Norma car changement du dispositif de circulation au centre du bâtiment (dédoublement éventuel d'un grand escalier en deux plus petits pour gagner de la place pour desservir 2 appartements).
Les notes ont des contenus divers : techniques (dimensions, écoulements...) ou concernant l'aménagement (placards, lumière diffuse dans une penderie...).
1 plan des dépendances qui sont éventuellement construites alors (19.10.1951).
Objet : Transformation d'une ferme, peut-être de la première moitié du XIXe. A l'intérieur, changement de l'organisation par la suppression de cloisons et même de murs de refends, principalement au rez-de-chaussée. A l'extérieur, surabondance d'éléments en placage (briques, pierre...). Selon un procédé désormais "classique", Jack Cornaz tente d'appliquer un plan "maison de maître" (chambre monsieuret chambre de madame, personnel, ...) dans une autre typologie.
Dossier d'exécution, études et plans de détails.
Elévations nord, sud, est, ouest, détails de menuiseries, escaliers, rayonnages de garde-manger, armoires de la cuisine et du bureau, poignées, plan et coupes des combles, détail du perron au sud, détails cheminées, encadrements, porte d'entrée, escaliers, serrurerie.
Héliographies de plans sous-sol, rez-de-chaussée, combles, détails d'escaliers, plans de situation, plans de plancher sur rez-de-chaussée et sur sous-sol signés par C. Vergotis (bureau technique).
Objet : Villa à un niveau sous un toit à pavillons, percé de chiens assis. Un sous-sol et combles habités.
Le dossier contient des plans concernant : Cuénod, à la Tour-de-Peilz (1935), Messen-Jaschin, à La Rosiaz (1949), la SI Ballègue SA à Epalinges, en collaboration avec Bujard & Roessler, en 1957, quelques calques concernant la balustrade pour la maison Piguet, à Epalinges, qui sont cosignés par Pierre Birbaum.
Objet : Villa et dépendances. Maison d'un niveau avec combles habitées, toiture vaudoise, révillonnée, plan au sol en tau. Escalier placé au bout de la longue branche du tau, les indications du propriétaire ont influencé le projet, autant du point de vue formel que de celui de l'organisation interne (information orale donnée par le maître de l'ouvrage) Le Dr Georges Piguet possède le dossier administratif et un dossier d'exécution presque complet de cet objet, catalogués sous 0024.05.001 et 0024.04.0 Plusieurs plans dans le dossier varia 0024.04.0086 L'objet porte également le nom de SI Ballègues SA
Dossier complet, projet et exécution, études et plans de détail : coupes en long et en travers, façade ouest et sud, plans du sous-sol, du rez-de-chaussée, des combles (1er étage), plans au 1:10 des lucarnes, escaliers, détails grandeur des moulures intérieures et extérieures, embrasures avec spécification des matériaux, dallage.
3 calques et des esquisses d'un avant-projetportant l'indication "Noiraigue" [alors lieu de résidence du maître de l'ouvrage].
Chronologiquement, les premiers documents portent l'indication Noiraigue (7.61) puis Auvernier (à partir de 10.61).
Héliographies de plans, détails et plans de situation pour le projet d'Auvernier.
Dessinateur Pi.
2 plans de situation d'Auvernier portent le timbre Ed[ouard] Calame architecte à Neuchâtel.
Quel lien avec Jack Cornaz?
Objet : Plan au sol en U, le ressaut des ailes sert à définir des courettes. Un niveau sur sous-sol, deux pièces habitables dans les combles. Ordonnances nord et sud symétriques, vue traversante (à travers le hall et le salon). Les sanitaires et la cuisine sont placés sur l'axe longitudinal (est-ouest). Vocabulaire ornemental habituel : urnes faîtières, balustrades en fer forgé...
Le dossier comprend deux choses distinctes : 4 héliographies de 1929, transformation par J. de Freudenreich arch., plans (calques et héliographies) de 1960, transformation par Jack Cornaz (initiales PI, vraisemblablement pour Pierre Birbaum).
Objet : Transformation. Rez-de-chaussée : Jack Cornaz réalise des ouvertures, modifie l'entrée de service, déplace ou supprime des galandages. Au premier étage, il supprime des galandages pour créer 11 pièces distribuées par un couloir central, et crée des volumes de rangements et diverses armoires.
Plans d'exécution sur calques, esquisses de détails d'aménagements intérieurs, plan d'exécution de la cheminée.
Queques héliographies de plans, dont une portant le timbre humide de l'entreprise Notari, à Cully.
Le dossier était roulé dans une héliographie du projet d'immeubles locatifs pour la Propriété du Crédit agricole et industriel de la Broye (Estavayer-le-Lac), juin 1945.
Objet : Transformation du rez-de-chaussée et premier étage.
Calques de projet 1:100, plans des étages et façades.
Certains plans portent les initiales PI.
6 héliographies, plans des étages.
Plan financier.
Objet : Immeuble de 4 étages sur rez, 1 étage-attique.
Représentation : élévation/façade nord, élévation/façade sud, élévation/façade est, élévation/façade ouest
Objet : Bâtiment d'un niveau sous un toit en croupe, cantonné par une véranda à l'ouest. Composition symétrique des façades nord et sud avec pignon transversal en guise de fronton. Le toit est recouvert de tuiles canal formant génoise et toutes les ouvertures sont barlongues. Variation en mode mineur des grandes demeures cornaziennes.
Plans des étages, façades, coupes.
Projet et exécution.
Relevés, plans de situation.
Cheminées, escaliers, menuiseries.
Héliographies (relevés) de plans, élévations coupes, signés G. Perrier arch.(février 1934).
3 héliographies, des croquis et quelques feuillets de notes pour une maison de week-end pour Ch. Ramuz, à Préverenges (juillet-septembre 1942).
Une page du magazine House & Garden.
Objet : Deux objets : villas Mousquines 24 (villa Myrte) et 22, immeuble H. Dufour (i.e. Mousquines 22). Transformations. Création d'un abri pour le 22. Dans l'immeuble Mousquines 22, un appartement, loué aux Perrier, est également transformé en 1942 par Jack Cornaz.
Dossier de projet au 1:50.
Plans du rez-de-chaussée, étage, sous-sol.
Détails, profils, parquet du salon, cheminée du salon, élévation façade sud.
2 héliographies de plans du rez et du premier (annotées), et des façades est et ouest.
Objet : Petite maison (de vignes?) que Jack Cornaz transforme, en créant un salon dans l'ancienne annexe. Il crée une cheminée et le parquet pour le salon, une nouvelle porte d'entrée, dote les fenêtres du rez-de-chaussée de grilles.
Héliographies et calques de la transformation de la campagne du petit Denantou.
Porche d'entrée, modifications en façades sud et nord, aménagement intérieurs, création d'une terrasse avec escalier à double rampe divergente, aménagement du jardin (avec création d'un système d'arrosage), balustrades et ferronneries (jardin et maison).
Elévations de l'état existant et projeté.
Plans de chauffage de Calorie SA.
Deux calques datant de 1932 concernant le grand Denantou.
Notes et relevés.
Pierre Birbaum collab.
Objet : La campagne du petit Denantou appartenait à la famille Mercier, elle abritait alors un pensionnat. Les Mercier ont vendu la propriété à Edouard Marcel Sandoz, qui a loué le bâtiment à Mme Martine Montes, qui a demandé à Jack Cornaz de rétablir le bâtiment à grand frais (information orale : on dit que Jack Cornaz s'est inspiré de gravures anciennes pour retrouver un état proche de l'origine).
Le kraft d'emballage porte le nom les Dailles.
Calques et héliographies pour la propriété S.I.T.E.M., villa Sunny, à la Rosiaz.
Plusieurs variantes et détails de chapiteaux pour un portail.
Transformation de l'escalier, ce qui explique la présence d'une page de la revue Plaisir de France, présentant des balustrades en fer forgé style Louis XV.
Note de l'Union Vaudoise du Crédit (11 juin 1953), utilisé pour un croquis au dos adressée à Maurice Baumgartner.
Lettre d'Alfred Meystre, gypserie-peinture.
Une lettre de P. & W. de Rham, gérance d'immeubles, datée 1er mars 1954 et signée W. de Rham, concernant la maison de Rham à St-Sulpice, dont Jack Cornaz projette la transformation du salon au rez-de-chaussée, en post scriptum de la lettre, de Rham signale à Jack Cornaz l'arrivée à Lausanne de Mme Gerney.
Un entête du journal Rivarol du 25.10.1952.
Objet : Probablement transformation (cage d'escalier?) et création d'un portail.
Avant-projet (plusieurs études) et une héliographie du plan coté du rez-de chaussée et du premier étage
Objet : Transformation de la maison du jardinier en maison d'habitation.