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              20 Description archivistique résultats pour Courfaivre

              20 résultats directement liés Exclure les termes spécifiques
              Église, à Courfaivre
              0071.04.0309 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              tirages héliographiques. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Église, à Courfaivre
              0071.04.0290 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              tirages héliographiques des plans d'ingénieur. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Église, à Courfaivre
              0071.04.0261 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              dessin (1/1) d'un claustras circulaire destiné à recevoir un vitrail de Fernand Léger. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Église, à Courfaivre
              0071.04.0247 · Dossier · 07.06.1961
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              tirages héliocopies de Paul Aubry, ingénieur civil EPFZ à Tavannes. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Église, à Courfaivre
              0071.04.0226 · Dossier · 11.1952
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              relevés, croquis d'étude, plans, coupes, façades (1/100), dessins finaux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Entrepôt Rémy Christe, à Courfaivre
              0071.04.0179 · Dossier · 30.09.1956
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              avant-projet (1/200). Entrepôt et bureaux pour une firme de produits préfabriqués en ciment. Jeanne Bueche a utilisé ce type de produits dans la commune pour la restauration et l'agrandissement de l'église. Bâtiment d'expression moderne avec toiture inversée.

              Cure, à Courfaivre
              0071.04.0144 · Dossier · 03.06.1962
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              adjonction d'un garage à un bâtiment existant.

              École enfantine, à Courfaivre
              0071.04.0097 · Dossier · 8.1961
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              plans, coupes, façades (1/100),
              architecture inhabituelle chez Jeanne Bueche. Projet à toit plat rare chez Jeanne Bueche, non construit.

              Halle, à Courfaivre
              0071.04.0052 · Dossier · 20.02.1956
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              plans, coupes, façades (1/200), plusieurs études de charpente avec conséquences volumétriques.

              École, à Courfaivre
              0071.04.0037 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              fragments (1:100). Projet mal déterminé. Il s'agit sans doute d'une école.

              Église, à Courfaivre
              0071.03.0241 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              factures de Fernand Léger pour l'exécution des vitraux. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Clocher, à l'Église, à Courfaivre
              0071.03.0198 · Dossier · 11.03.1960
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              devis et soumissions, correspondance. Quelques années après avoir transformé l'église, Jeanne Bueche est mandatée pour reconstruire la flèche du clocher. Elle élèvera une pointe de béton armé contrastant singulièrement avec le reste du bâtiment.

              Cure, à Courfaivre
              0071.03.0071 · Dossier · 02.11.1964
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              devis et factures pour la construction d'un garage à la cure de Courfaivre.

              Église, à Courfaivre
              0071.03.0038 · Dossier · 02.05.1953
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              décompte de maçonnerie et correspondance générale. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              Église, à Courfaivre
              0071.03.0037 · Dossier · 14.06.1972
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              adaptation tardive du choeur de l'église à la nouvelle liturgie de Vatican II. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.

              0071.03.0036 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              0071.03.0036/1: église, à Courfaivre: bons de charpentier et soumissions ; 0071.03.0036/2: halle, à Courfaivre: soumissions pour la halle des fêtes ; 0071.03.0036/3: église, à Courfaivre: soumissions.

              Église, à Courfaivre
              0071.01.0004 · Dossier · [s.d.]
              Fait partie de BUECHE Jeanne

              documents habituels précédent l'ouverture d'un chantier. L'église de Courfaivre joue un rôle capital dans l'oeuvre de Jeanne Bueche. Il s'agissait d'agrandir une église villageoise dans un milieu catholique conservateur. Les caractéristiques du site en terrasse ont dicté le parti d'agrandir l'édifice latéralement. Les murs épais de façade ont été abattus et remplacés par une série de poteaux en béton bouchardé, permettant ainsi la création de bas-côtés en dehors du volume initial. Les nouvelles façades sont faites de remplissages vitrés, alors que la toiture existante est conservée. En règle générale, la construction s'intègre subtilement à l'existant par une matérialité et une spatialité traditionnelles. Il est difficile de détecter rapidement les parties anciennes et les parties nouvelles. A l'extérieur, les façades sont partiellement vitrées et crépies, elles se retournent en pierre de taille à l'extrémité Est de manière à définir un porche (parti souvent utilisé par Jeanne Bueche). Le mode de construction confère à l'ensemble un caractère traditionnel, voire pittoresque. Par contre, à l'intérieur, c'est presque avec surprise qu'on découvre une grande luminosité. L'aménagement, mené avec soin et harmonie (dessin des bancs et du mobilier, choix de la pierre, qualité des plafonds), est complété par des oeuvres d'art de grande valeur: vitraux de Fernand Léger, tapisserie de Jean Lurçat et sculptures de Remo Rossi. Deux ans après la fin du chantier, Jeanne Bueche modernise le clocher: l'ancienne couverture néo-baroque est démolie et remplacée par une flèche en béton armé.