Architecte ETH . Il participa à la direction du projet de l'EPFL de la 1ère étape.
Philosophe ayant travaillé dans le bureau METRON, et ayant collaboré à la planification directive de l'EPFL.
Architecte à Carouge.
Architecte, il participa à la direction de la 1ère étape de l'EPFL avec Robert Bamert et Jakob Zweifel.
Chef des travaux sur le chantier de l'EPFL.
Architecte ETH/SIA, collaborateur dans le bureau Z+S+A, ayant participé activement à la planification directive de l'EPFL
Groupement des différents ingénieurs, constitué pour la planification directive de la nouvelle EPFL, dont Bonnard & Gardel en font partie
Architecte-paysagiste ayant travaillé dans le bureau Z+S+A, et qui s'est entièrement occupée des études sur la verdure et des aménagements extérieurs lors de la planification directive de l'EPFL
Ce bureau d'ingénieur civil s'est principalement occupé de la planification directive et de toutes les études de la construction de la première étape de l'EPFL. Ce bureau est établi à Baden.
Formé de Franz Minikus & Eduard Witta
Ce bureau d'ingénieur de Zürich en installation électrique, dirigé par les ingénieurs ETH/SIA Ernst Brauchli et Rudolf Amstein, a participé à toute la planification directive de l'EPFL.
Ce bureau d'ingénieur de Zürich en chauffage, ventilation et installation sanitaire, dirigé par les ingénieurs ETH/SIA Hermann Meier et Wilhelm Wirz, a participé à toute la planification directive de l'EPFL.
Groupe de travail pour la planification de l'EPFL.
Il s'agit d'un grand bureau de planification sis à Brugg. Les personnes ayant participé à la planification directive de l'EPFL sont Alexander Henz, Heinz Kurth, Markus Brändle.
Groupe de travail constitué en 1972 pour étudier le problème de l'intégration de l'art dans l'EPFL.
C’est au Salon de l’automobile que l’on doit l'histoire de Palexpo. En 1926, pour sa 3e édition internationale, on construit le Palais des Expositions à Plainpalais, un espace qu’il a occupé presque exclusivement jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Dès les années cinquante, de nouvelles manifestations y sont organisées, comme les salons des arts ménagers, des poids lourds, du nautisme et des inventions, ou encore Telecom dès 1971. Grâce à ce développement, le besoin d'un espace d'accueil plus grand se fait ressentir. Si bien que dans la seconde moitié des années 1970, la décision est prise par les autorités cantonales d'entreprendre les travaux de construction d'un futur palais des expositions, le "Palexpo", sur un terrain situé près de l'aéroport de Genève.
Depuis son inauguration officielle en décembre 1981, trois agrandissements ont été nécessaires: la halle 5, inaugurée en janvier 1987, puis la halle 7 (février 1995) et enfin la Halle 6 (février 2003). En 23 ans, sa surface a donc pratiquement doublé, passant de 58'000 à 111'000 m2.
Palexpo est géré, exploité et développée par Palexpo SA.
Eugène Rey, architecte. Etudie à l'école des arts et métiers de Genève (section de construction - génie civil).
Fondée en 1943. Jean Tschumi y est directeur et chef d'atelier.
Absorbée en 1994 par le Département d’architecture de l’École polytechnique fédérale de Lausanne.
Société de Concerts et Spectacles fondée à Vevey en 1862. La recherche pour le terrain à bâtir est longue et fastidieuse. En 1866, la commune apporte son soutien en versant à la société, 45'000 francs. La société acquiert le jardin de l'Ermitage et ouvre un concours qui sera remporté par le projet "clé de sol d". Bâtiment construit par Késer, auteur des plans d'exécution, entre 1867 et 1868, inauguré en octobre 1868. Salle configurée à l'italienne avec galerie au 1er étage, café au rez et foyer à l'étage. La façade principale contient un balcon à balustres et une lucarne monumentale, signalant le caractère public de l'édifice. Le bâtiment est racheté par la commune en 1878 et dès lors, diverses modifications, surélévations, restaurations, transformations et rénovations voient le jour au fil des années.
Écrivain italien, fondateur du mouvement futuriste.
Architecte, politicien.
Architecte au Pré du Marché à la Villetta à Lausanne.
Participe en 1863 au concours pour la salle de spectacle de Vevey.
Peut-être Pierre-Joseph Marguet (1785-1870, Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées de France, membre fondateur et directeur 1854-1855 de l’École Spéciale où il est professeur de construction et d'architecture de 1853 à 1864), père de Jules Marguet.
Architecte, il a fait un apprentissage de maçon à Bâle puis étudie les techniques du bâtiment au technicum de Winterthur. Il est collaborateur dans les bureaux d'architecture de Leon Loeschetter au Luxembourg (1946-1947), d'Eugène Baudouin à Paris (1947-1948) et de Marc-Joseph Saugey à Genève (1949-1957). Partenaire de Robert Frei à Genève, plus tard de son frère Jakob H., notamment, dans l'atelier Frei, Hunziker, Architectes Associés (1957-1983). Il construit des ensembles résidentiels, des villas, des centres de réunion. Professeur à l'école nationale supérieure d'architecture de Strasbourg (1976-1991).
Architecte à Genève, il surveille le chantier de Villa Rajada à Gland.
Industriel à Vevey. Fonde l'entreprise Rinsoz & Ormond Tabac SA.
Architecte, membre SIA.
Ingénieur EPFL-SIA, à Lausanne.
A été président de la Société de développement de Pully-Nord - La Rosiaz (24heures, 27-28-29 mai 1977)
Architecte à la Tour-de-Peilz et à Villeneuve. Membre FSAI/SIA et conseiller communal.
1988-1996 : Roger Lack S.A. Devient (après sa mort) : 1996-1998 : Futur Habitat, Villeneuve.
Réalise la transformation de la Résidence des fortifications à Villeneuve, en 1992.
Société créée en 1895 par Paul Piccard et Lucien Pictet.
Il exerce son métier d'architecte à Genève. Associé depuis les débuts avec Maurice Turettini, ils ont fondé l'agence Revilliod et Turrettini. Ils construisent de nombreuses usines dont celle de la société Piccard-Pictet et Cie SA, aux Charmilles qui est une entreprise d'automobiles. Ils s'occupent de la restauration de l'Hôtel des Bergues et de la transformation ou reconstruction de nombreuses banques dont celle du Crédit suisse à Genève.
Née en 1912 à St-Imier et décédée en 2000 à Delémont, architecte. Diplômée de l’ETHZ en 1935. Stages chez les architectes Nils Arbohm et Helge Zimdahl à Stokholm. Collaborations avec son père Louis Bueche à St-Imier, Rino Tami à Lugano et Hans Brechtbühler à Berne. J. Bueche ouvre son propre bureau en 1944 à Delémont. Membre de la SIA, du BSA et de l’Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Rural Jurassien (dès 1976). Nombreuses réalisations de maisons familiales; constructions et transformations d’églises jurassiennes, bernoises et vaudoises.
Henri Juillard, originaire de Sonvillier (Berne) sort diplômé ingénieur-électricien de l'école d'ingénieurs de Lausanne en 1938.
Né en 1918, est diplômé architecte de l'EPFZ en 1946. Effectue des stages chez Thévenaz à Lausanne et chez Denis Honegger à Fribourg. Indépendant depuis 1950, il dirige divers bureaux (Sion, Vevey, Rabat, Genève). Réalisation d’immeubles locatifs, construction d’une école à Saint-Maurice (1958), banque UBS à Sion (1965). Plusieurs réalisations au Maroc dans les années 1970. Architecture faisant référence à Auguste Perret, chez lequel il a travaillé, à Frank Lloyd Wright, à Richard Neutra ou à Ludwig Mies van der Rohe. Membre de la FAS et de la SIA.
Florian Vischer, architecte né à Bâle en 1919. Il est l'architecte du secteur Les Echanges de l'exposition nationale de 1964 à Lausanne. Associé à Georges Weber, dès le début des années 50, il fonde un bureau d'architecture à Bâle.
Né en 1929, architecte à Genève. Etudes à l’Ecole d’Architecture de l’Université de Genève. Stage de 3 ans à Paris chez Eugène Beaudoin. Partenaire de l’architecte Arthur Lozeron (1907-1970) dans le bureau Lozeron et Moser, créé en 1957. Le bureau réalise notamment le bâtiment du service hôtelier de Swissair à l’aéroport de Genève (1960-1961), ainsi que le port franc du Grand-Lancy (1962-65). La Halle des Fêtes construite pour l’Exposition nationale de 1964 à Lausanne compte parmi les réalisations les plus originales du bureau
Expo 64: compositeur de la symphonie des Echanges, pour machines à écrire, perforatrices de bureau, caisses enregistreuses, métronomes, cloches, claxons, gongs, appareils de téléphone etc.
Architecte. Apprentissage de dessinateur en bâtiment chez Burkhardt à Zurich de 1941 à 1944. Diplômé en 1949 du Technikum de Winterthur. Auditeur à l’EPFZ des cours de Sigfried Giedion. S’installe à Bâle et devient membre de SWB, SIA, BSA, CIAM et OISTAT (Organisation Internationale des Scénographes, Techniciens et Architectes du Théâtre). Participe à la contribution d’Otto Senn au congrès des CIAM en 1951 et prépare celui de 1955 à Dubrovnik avec le Team X. En 1956, fonde un bureau à Zurich avec Felix Schwarz, auquel collaborent ensuite Frank Gloor, Hans Schüpbach, puis Martin Pfister. Assistant d’Alfred Roth à l’ETHZ de 1957 à 1961, il obtient ensuite une chaire d’enseignement. Collaborateur de la revue “Werk”, du supplément “viele bauen – alle wohnen” de la “National-Zeitung Basel” et correspondant de “Architectural design”. Influencé par le “Neues Bauen” d’Otto Senn, Gutmann privilégie le travail en équipe ainsi qu’une liberté créatrice par rapport à la géométrie dépouillée du Neues Bauen. Il s’est distingué notamment par ses réalisations dans le domaine du théâtre et du cinéma (Stadttheater Basel, 1969-1976 ; transformation du théâtre de Zurich, 1973-1977 ; projet d’opéra national à Sofia, 1975 ; transformation du cinéma Camera, Bâle, 1985). Il a collaboré pour le secteur Les échanges lors de l'exposition nationale de 1964.
Collaborateur d'Alberto Sartoris
Christian Beck, né en 1957 à Lausanne, est diplômé en architecture en 1980. Il a travaillé en Scandinavie et en Inde avant de revenir en Suisse pour fonder son bureau. Beck a remporté de nombreux concours pour des bâtiments publics. Parmi ses réalisations : Eglise de Mase (VS), 1983-1986 ; salle polyvalente des Evouettes (VS), 1992-1994 et plusieurs maisons individuelles.
Technicien à Morges.
Alberto Camenzind (né à Lugano en 1914, décédé en 2004) est un architecte diplômé de l'EPFZ en 1939. Il effectue ses études auprès d'Otto Rudolf Salvisberg, avec lequel il va ensuite travailler durant deux ans avant de s'installer à Lugano, où il ouvrira un bureau d'architecture (associé à Bruno Brocchi et Roberto Sennhauser). Il effectue au Tessin principalement l'édification de bâtiments commerciaux et d'habitations et conçoit le gymnase de Bellinzone (1956-58). En 1959, il est nommé architecte en chef et codirecteur de l'exposition nationale de Lausanne, EXPO 64, où il dirige le secteur de la Voie suisse. Camenzind est choisi de préférence à Saugey, sa personnalité étant jugée moins impulsive et plus en phase avec "les besoins de la structure collégiale voulue par le comité". Plus tard, il réalise ses deux plus grands chantiers: le Bureau International du Travail de Genève (1965-75 avec Eugène Beaudoin et Pier Luigi Nervi) et le Centre International de Conférence de Genève (1969-73 avec André et Francis Gaillard). Président de la Fédération des architectes suisses (FAS) de 1958-1964. En 1965, il est nommé professeur à l'EPF de Zurich. Inspirés à ses débuts de la modernité classique, ses bâtiments seront par la suite influencés par un nouveau langage architectural: combinaison de différents matériaux de tradition locale, pièces spacieuses et plan d'étage clair.
Paul Ruckstuhl est diplômé en sciences économiques et sociales et fait sa thèse de doctorat sur la gestion dans l'imprimerie. C'est dans ce milieu qu'il commencera à travailler en étant directeur commercial et administrateur pour l'imprimerie familiale. Il sera commissaire général de Graphic 57, une exposition internationale des industries graphiques entre 1955 et 1957. Nommé directeur adjoint du Comptoir suisse en 1958. Conseiller communal à Pully. Directeur des finances et des exposants de l'Exposition nationale à Lausanne en 1964, c'est lui qui met sur pied le programme général de l'exposition depuis 1959.
Associés de 1938 à 1960. Ils édifient notamment un immeuble d'habitation aux Eaux-Vives en 1956.
Diplômé de l’École des Beaux-Arts de Genève, section architecture. Il travaille à Paris (années 1930) et participe à l'Exposition Universelle de 1937. Il est associé à Albert Deberti entre 1938 et 1960. Aux années 1960 il participe au projet des tours de Carouge, puis (1963-1980) il s'associe à Jean Zuber. Il est membre de la Commission des monuments et des sites de 1958 à 1965.
Architecte SIA/EPUL a notamment construit un bâtiment pour l'Exposition nationale de 1964, devenu ensuite l'Espace des Inventions. C'est lui qui s'est occupé de construire l'ensemble de la Vallée de la Jeunesse de Lausanne.
Alban Gerster (1898 -1986, Laufon) étudie l'architecture à l'EPFZ et obtient son diplôme d'architecte en 1922; en parallèle, il étudie l'histoire de l'art et l'archéologie à l'université de Zurich. Il est membre de la SIA de Bâle dès 1927/28. En compagnie de Willy Meyer (1875-1952), il construit de nombreuses églises. Il réalise aussi des écoles, des hôpitaux, des bâtiments administratifs et industriels et il restaure certains monuments historiques. Intéressé aussi par l'archéologie, spécialiste de l'archéologie gallo-romaine, il participe à des fouilles, publie sur le sujet et fait des tentatives de reconstitution.
Marcel D. Mueller (1908-1992) est né en 1908 à Hal en Belgique et est décédé en 1992 à Lausanne. Il entreprend des études d'architecte à Bruxelles, dans l'atelier de Victor Horta et de H. Lacoste. Il obtient son diplôme en 1929 après avoir suivi des cours à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Paris. Il travaille ensuite entre la Suisse et la Belgique. Dans l'après-guerre, il est nommé chef du service du plan d'extension de la Ville de Lausanne, poste qu'il occupera jusqu'en 1959. Il s'occupe de la restauration du temple de la Croix d'Ouchy mais également de ceux de Couvet, Estavayer, Morrens, Cheseaux et de l'Eglise écossaise de Lausanne. Il est l'auteur de plusieurs articles historiques sur le thème de l'urbanisme dans les années 1930-1940.
Jean Taillens (1872-1963 à Lausanne) étudie à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts, dans l’atelier de Deglane (1894-1900). Il passe ensuite 5 ans à Cape Town (Afrique du Sud) où il ouvre un atelier avec Schaerer. En 1907, il revient en Suisse et s’associe à Charles Dubois (1874-1956). L’un des plus importants chantiers menés par l’agence est celui de la gare de Lausanne (1911-1916), en collaboration avec Eugène Monod et Alphonse Laverrière. Avec ces deux architectes, il est aussi l’auteur du Monument de la Réformation à Genève (1908-1917). Dès 1917, Taillens est membre de la Commission fédérale des Beaux-Arts. L’année suivante, il s’établit à Paris et participe à la reconstruction des villes dévastées par la guerre. Taillens prend sa retraite en 1958; il retourne alors à Lausanne, ville dans laquelle il passe la fin de sa vie
Denis Honegger (1907 – 1981) est fils d’un ingénieur zurichois et d’une femme turque. Son père est directeur des chemins de fers nationaux en Turquie. Honegger fait ses écoles en Suisse et va à Paris en 1923 pour étudier à l’Ecole des Beaux-Arts, avant de s’inscrire en 1924 comme élève chez Auguste Perret dans l’Atelier du Palais de Bois. Il n’a jamais obtenu de diplôme. Toute sa production se situe dans la tradition du classicisme du béton de son maître. En 1926, il séjourne quelques mois dans le bureau de Le Corbusier à Genève, pendant le concours pour le palais des Nations Unies. Des traces de cette période se manifestent plus tard dans des éléments tels que les passerelles sur pilotis de l’Université Miséricorde à Fribourg. Perret tenait Honegger pour l’un de ses plus talentueux élèves et lui offrit de travailler comme maître d’œuvre sur d’importants chantiers jusqu’en 1932. Durant les années suivantes, il est maître d’œuvre de la cité de la Muette à Drancy (Seine-Saint-Denis) d’Eugène Beaudouin et Marcel Lods (1932-1934). Parallèlement, Honegger dirige son propre bureau à Paris et construit quelques maisons locatives et prend part à des concours internationaux. En 1937, il remporte un grand succès : le premier prix pour l’Université catholique Miséricorde à Fribourg. Le bâtiment, réalisé entre 1938 et 1942 avec l’architecte Fernand Dumas et les ingénieurs Alexandre Sarrasin, Henri Gicot et Beda Hefti, représente non seulement son œuvre la plus importante, mais également l’exemple le plus marquant de l’héritage de Perret en Suisse. Professeur à l’Ecole d’Architecture de Genève et au Technikum de Fribourg, il esquisse des bâtiments publics qui seront réalisés plus tard, tels le bâtiment de Chimie de l’Université de Genève (1943) et l’Eglise Christ-Roi à Fribourg (1946). Jusqu’au milieu des années 1960, il construit principalement des lotissements, des hôpitaux et des bâtiments industriels. Durant son activité à Paris, il réalise de nombreux appartements subventionnés dans des cités en banlieue, témoins d’une nouvelle urbanité. Il collabore avec Marcel Lods pour des projets de lotissements.
Marc-Joseph Saugey (1908 – 1971), architecte à Genève. Diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Genève en 1926. Dès 1931, il fait partie du groupe d’architectes GANG (Groupe pour l’Architecture Nouvelle à Genève). Dans les années 1950, son activité principale se situe dans la construction. De 1961 à 1970, il est professeur et directeur du département d’urbanisme et d’aménagement de l’Ecole d’architecture de l’Université de Genève. Plusieurs réalisations à l’étranger (Espagne, Turquie). Fonde avec Alberto Sartoris et Anthony Krafft la revue “Architecture, formes + fonctions“ en 1956. Après avoir collaboré avec Louis Vincent, René Schwertz et Henri Lesemann, il mène une activité individuelle très innovatrice dans les années 1950. Ses réalisations les plus importantes sont notamment l’immeuble d’habitation La Tour de Rive (1934-1938) et l’Hôtel du Rhône (1947-1950), Mont-Blanc-Centre et cinéma le Plaza (1951-1954), immeuble d’habitation Miremont-le-Crêt (1953-1957), tous à Genève
Typographe de formation, étudie ensuite l'architecture, à Lausanne (1956), admis à la section vaudoise de la SIA en 1956, professeur au Département d'architecture de l'EPFL jusqu'en 1993, architecte FAS, membre de l'Atelier des architectes associés (AAA) à Lausanne (1966), domicilié à Servion en 1984, auteur avec Alin Décoppet d'un article BTSR 1966 "Rôle de l'architecte dans l'étude et la réalisation de la Centrale thermique de Vouvry".
Architecte neuchâtelois, à Lausanne (1957)(1960), fondateur du bureau AAA avec notamment Alin Décoppet, membre fondateur d'Urbaplan, professeur au Département d'architecture de l'EPFL.
Admis à la section vaudoise de la SIA en 1956, FAS, professeur.
Auteur d'un article BTSR 1968 : "La collaboration dans la pratique entre le professionnel de l'épuration des eaux et l'urbaniste".
Architecte. Au Service cantonal des bâtiments à Lausanne (1989)
Géographe, urbaniste.
Collaborateur d'Urbaplan à Lausanne (1987)
Alexandre Plancherel est architecte. Actif essentiellement dans la région lausannoise dès 1957, il a construit de nombreux logements, immeubles et villas.
Entre 1918 et 1914, il est artilleur aux frontières, où il se familiarise avec avec les ballons d'observation et les appareils photographiques.
Il travaille par la suite pour les entreprises As de Trèfle et Gilles Faller.
Aux années 1920, il prend des des milliers de clichés stéréoscopiques des alpes valaisannes, et plus tard il est chargé den photographier les barrages de Cleuson, de Salanfe et de la Grande Dixence. Il est l'auteur d'un inventaire des bisses valaisans.
Ferdinand Jacques Meyrat épouse Pyhillis laverrière (née le 28.11.1912 à Lausanne), fille d'Alphonse Laverrière et artiste peintre.
Il est architecte.
Obtient le 3e prix pour le concours du plan d'extension de Payerne en 1946.
Obtient le 6e prix lors du concours pour le complexe scolaire du Belvédère en 1949 (jury sous la présidence de son beau-père, Alphonse Laverrière). Auteur de trois immeubles exécutes dans le quartier du château de Renens.
Pierre Dumas est décédé en 2004. Architecte diplômé EPFZ en 1956. Fils de Fernand Dumas, il collabore activement avec ce dernier. A la mort de Fernand Dumas, il reprend le bureau à son compte. Construit plusieurs églises catholiques en Suisse et en France, où il est l’un des acteurs de la reconstruction des églises détruites pendant la guerre. Il participe à la rénovation de l’architecture religieuse, à la suite de Vatican II. Ses églises favorisent la participation des fidèles, la communauté et l’intégration de la religion dans la vie séculaire. Comme son père, il considère l’intégration des arts comme un principe de l’architecture religieuse.
Architecte non diplômé, Fernand Dumas (1892-1956) étudie au Technicum de Fribourg et à Munich, avant d'ouvrir en 1922 un bureau d'architecte à Romont (FR). Actif dans le canton de Fribourg mais aussi dans l'ensemble de la Suisse romande, il est surtout connu pour les nombreuses églises qu'il a construites (notamment Saint-Pierre à Fribourg, les églises d'Orsonnens et Mézières (FR), les chapelles catholiques de Lutry et La Sarraz (VD)) ou transformées (Notre-Dame-du-Valentin à Lausanne, église de Finhaut). Il participe aussi avec Denis Honegger à la construction de l'Université Miséricorde de Fribourg (1938-1941). Il est le co-fondateur, avec Alexandre Cingria, du groupe de Saint-Luc et de St-Maurice (section romande), dont il est l’architecte le plus actif. Comme les autres artistes de ce groupe, il considère comme une nécessité l’intégration des arts dans l'architecture et le renouveau de l’art religieux, qu’il veut plus proche de la modernité et des fidèles.
Basé à Milan depuis 1956, Team Prodec est un atelier spécialisé dans le projet et la réalisation d'aménagements commerciaux (magasins, expositions, bureaux) exclusivement pour le secteur de l'horlogerie et de la joaillerie ; il a collaboré avec les plus prestigieuses marques de montre.
L'entreprise de construction métallique trouve son origine dans l'atelier de ferronnerie d'art fondé à Lausanne en 1881 par le serrurier Louis Zwahlen (1857-1919). Au lendemain de la Première guerre mondiale, l'ingénieur Henri Mayr (ingénieur constructeur, diplômé de l'EPUL en 1903) oriente progressivement l'entreprise vers le domaine de la construction métallique. En 1946, les ingénieurs Jean Zwahlen (1908-1964, diplômé en ingénierie civile à l'EPUL en 1931) et Maurice Cosandey (1918-, diplômé en ingénierie civile à l'EPUL en 1940, directeur de l'EPUL puis président de l'EPFL de 1969 à 1978, président du Conseil des EPF de 1978-1987) créent un bureau technique; deux ans plus tard l'entreprise, qui connaît un essor remarquable, est transformée en SA sous la raison sociale Zwahlen & Mayr SA; elle se trouve dès lors à l'avant-garde de la construction métallique en Suisse. Elle déménage en 1964 à Aigle et se concentre sur le secteur ponts et charpentes lourdes et développe ses activités à l'étranger; en 1979, est créé le département des tubes soudés en inox.
Jacques Nobile (1926 – 1980) est un architecte genevois. Grâce à son oncle Albert Nobile, marchand immobilier et ami des frères Honegger, Jacques Nobile est rapidement introduit dans le domaine de l’immobilier et de la construction. Il obtient son diplôme d’architecte à l’Ecole d’Architecture de l’Université de Genève en 1952 et effectue ensuite des stages chez les frères Honegger ainsi que chez Georges Addor. Dès 1959, il compte parmi les membres du Groupe Onze. Nobile réalise avec Alain Ritter et Jacques Bardet le club de tennis des Eaux-Vives (1958-59), la transformation d’une maison à Vernier (1958-61), ainsi qu’un immeuble d’habitation à Plainpalais (1962-65).
Fernand-Louis Dorier est né à Nyon en 1895. Auteur des bains de Nyon en 1938. Il est admis en 1935 comme membre de la SIA sous le patronyme de Louis Dorier. Le Conseil d'Etat lui reconnaît la qualité d'architecte en 1943.
Jacques Gubler est né en 1940 à Nyon. Il effectue ses études en histoire de l'art à Lausanne, Urbino, Philadelphie et Zurich. En 1975, il devient docteur es Lettres à l'Université de Lausanne avec une thèse intitulée Nationalisme et internationalisme dans l'architecture moderne de la Suisse, réalisée sous la direction du professeur Enrico Castelnuovo. Il a enseigné à l'école Polytechnique du New Jersey à Newark entre 1983 et 1984, à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne de 1984 jusqu'en 1992, au New Jersey Institute of Technology, à l’Ecole d’architecture de l’Université de Pennsylvanie à Philadelphie et à l'Académie d'architecture de l'Université de la Suisse italienne de Mendrisio, de 1999 à 2006. Il est rédacteur de "Casabella" de 1982 à 1995. Il a publié sur l'architecture moderne de la Suisse, sur entre autres Jeanneret avant le Corbusier, Sartoris, Hennebique et le béton armé ainsi que sur l’histoire urbaine de La Chaux-de-Fonds.
Bühler Bühler est né en 1882 à Zurich et décédé en 1951. Il obtient un diplôme d’ingénieur en construction en 1904 à l'EPFZ. Après quelques années dans l'industrie privée, auprès de «Conrad Zschokke», «Buss & Cie» et de la «Società italiana per costruzioni in ferro et gasometri», il entre en 1912 au service de la section de construction des ponts de la direction générale des CFF; il accède au titre d'ingénieur en chef des ponts et des centrales électriques et prend sa retraite en 1948. Il est actif dans les domaines du développement de l’électrification du réseau (centrales, lignes, renforcements et reconstructions de ponts) et de la construction d'ouvrages et de bâtiments. En 1928, membre honoraire de l’Institut américain du béton; en 1937, docteur honoris causa de l’école d’ingénieurs de Lausanne; en 1943, président de la commission technique de l'Association suisse des constructeurs de ponts et de bâtiments en fer.
Marc-Henri Collomb est un architecte et professeur d’architecture originaire du canton de Vaud, en Suisse. Le bureau d'architectes Atelier Cube a été fondé en 1982 par Marc Collomb, son frère Guy Collomb et Patrick Vogel.
Angelo Mangiarotti est né le 26 février 1921 à Milan. En 1948, il est diplômé de l'école d'Architecture et de l'École polytechnique de Milan. Il parti ensuite aux États-Unis et travaille à Chicago comme professeur à l'Institut de technologie de l'Illinois où il rencontre Frank Lloyd Wright, Walter Gropius, Ludwig Mies van der Rohe et Konrad Wachsmann, qui ont eu une grande influence dans l’évolution de son travail. il fut très actif sur la planification urbaine, en architecture et en design industriel. Il est décédé le 2 juillet 2012.
Entrée dans le registre du commerce
Forma Construction S.A est un groupement entre les entreprises Foretay S.A et Martin Constructions S.A.
Son entrée dans le registre du commerce a été faite le 20.02.1982 et sa radiation, suite à une faillite, le 08.09.2006.
Historique bla bla
Responsable programme films sur l'art à l'UNESCO, Paris
Secrétaire général de la fédération internationale du film d'art (FIFA); Paris
Bureau d'étude d'analyse environnementale.
Entreprise spécialisée dans la réfrigération et la climatisation.
Pierre Foretay (1922-2017), architecte et professeur EPUL/EPFL.
Apprentissage de dessinateurs-architecte chez Alphonse Laverrière, diplômé de l’École d'architecture de Lausanne en 1949, il fait partie des premiers élèves de Jean Tschumi. Collaborateur au bureau Addor et Julliard à Genève de 1949 à 1950, puis de Roger Adatte à Lausanne entre 1950 et 1954.
Admis à la section vaudoise de la SIA en 1952.
Indépendant dès 1954. Bureau d'architecture à Pully avec le professeur Jacques Favre, puis à Lausanne et à Vufflens-le-Château.
Il réalise plusieurs études d'urbanisme, pour la commune de Payerne (1965-1966, implantation d'un ensemble scolaire), pour celle du Mont-sur-Lausanne (1965), pour le plan directeur de l'EPUL (1965-1969).
En 1972 il réalise le Centre de détention pour adolescents de Valmont en collaboration avec Marx Lévy, avec qui il participera aussi à l'élaboration d'un projet pour la plateforme du Flon, en 1990. Il est mandaté en 1978 pour l'étude de l'avant-projet du bâtiment du département d'architecture à Dorigny.
Professeur extraordinaire d'architecture à l'EPUL en 1955, ordinaire de 1965 à 1987, d'abord comme enseignant d'architecture et de construction en 1ère année, puis de projet d'architecture en 2e et 3e année.
Principales réalisations :
- 1952-1954 (avec Roger Adatte) : Immeubles Le Pré de la Croix et Le Pré Fleuri, à Lausanne (collaboration avec Roger Adatte)
- 1960-1961 : Maison familiale à Savièse sur Sion
- 1972 (avec Marx Levy) : Centre de détention pour adolescents à Valmont
- 1973 : Villa Foretay, à Vufflens-le-Château.
Président de la Commission de construction de l'Institut de physique, Genève
Professeur de physique au département de physique de l'Université de Genève.
Charles, Eric & André Billaud à Genève (1951)(1967), adresse en 1954: 1, rue de l'Aubépine, également associés à H. Frey, puis à son successeur M. Frey (1959); A. Billaud est architecte FAS
Histoire Bla Bla Bla
Fils de Carl et frère de Georg. Il fait ses études à Münich et puis à l'EPF Zurich (diplôme en 1918). Marqué par un sejour au Pays-Bas entre 1920 et 1922, il ouvre son propre bureau à Bâle avec Paul Artaria (1925-1930) et en 1928 il est parmi les cofondateurs du CIAM. Entre 1930 et 1937 il est urbaniste en URSS. De retour à Bâle en 1937, entre 1956 et 1969 il enseignera à la Deutsche Bauakademie de Berlin-Est. Membre de la Fédération des architectes suisses, de la SIA, de L'Oeuvre et de l'Union internationale des architectes. Député du PdT au Grand Conseil (1944-1955). Collabore avec P. Artaria.
Roger Gonet, dessinateur-architecte à Renens. Actif à Lausanne et dans le Canton de Vaud, collabore avec Jacques Favarger.
Ses principales réalisations :
– Immeuble de la place St-François No 1 à Lausanne (1933-1934) avec les contributions de Charles B. Dubois et de Jacques Favarger ;
– société immobilière rue d'Etraz à Lausanne (1937-1938) avec les contributions de Jacques Favarger et de P. Genoud ;
– cinéma Atlantic Lausanne (1948-1949), après l'incendie ;
– de nombreuses villas et construction ou transformations de cafés et bars de Lausanne.
Né à Carouge et mort à Genève, a étudié à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Après ses études, il ouvre un bureau à Genève et fonde, en collaboration avec d’autres architectes de la place, la Société des architectes de Genève. On lui doit d’intéressants édifices néo-médiévaux, parmi les premiers de la région, et de remarquables constructions néo-Renaissance: il fait partie de la génération d’architecte qui passe du néo-classicisme à l’éclectisme.
Coopérative, à Bienne.
Sculpteur japonais.
Ami de Mirco Ravanne, a réalisé les bénitiers du couvent des Capucins et la fontaine de la sacristie. A également préparé trois maquettes pour le grand crucifix de l'église du couvent, qui ont été refusée (car considérées trop modernes, cf. K. Azuma): ces trois projets sont maintenant au Musée du Vatican. A également mis en contact Mirco Ravanne et Ugo Reitano, un avocat ami de K. Azuma, et commanditaire de la transformation d'une cascina à Pavia.
Ingénieur SIA-EPUL, en association avec J.-P. Kurmann, Bureau technique, Béton armé, Geénie civili; Ingénieurs pour l'agrandissement du Couvent des Capucins
Ingénieur-architecte et designer français.
Co-gérant des Constructions Prouvé. Puis, travaille à la SNIB, Société nouvelle de l'industrie du bâtiment.
Architecte. Frère du directeur d'orchestre Claudio Abbado et oncle de Gianna et Daniele Abbado, amis, commettants et collaborateurs de Mirco Ravanne.
La vie et l’œuvre de Jules Carrard (1833-1906), architecte lausannois, restent mal connues. On sait qu’il est l’associé de Jean-Baptiste Bertolini (1822-1883), qui lui-même avait travaillé avec Achille de La Harpe, notamment lors de la construction de l’Hôtel Beau-Rivage à Ouchy. Avec Bertolini, Carrard édifie notamment l’Ecole de Charité du Valentin (orphelinat, 1872-1873).
Auteur du rapport de la Commission de la SVIA chargée d'examiner l'emplacement du Tribunal fédéral à Montbenon en 1879, voir Eisenbahn 1879, vol. X, p. 66.
Architecte, syndic. Dans INSA, Lausanne. Inspecteur des travaux/ingénieur de la Ville 1851-1857, Syndic 1867-1882.