Architecte, Alger. Collaboration avec Le Corbusier, Louis Miquel. Correspondance H.R. Von der Mühll 1936 (Exposition de la Cité Moderne, Alger). Vice-président Association Internationale des Amis de Le Corbusier
Président Société d'Art Public Vaud, Lausanne
à Basel (1970), docteur en philosophie. Rédacteur en chef de Werk (1962-1972)
Architecte neuchâtelois. Né en 1933 à Fontaine (NE). Dirige son bureau d'architectes à Neuchâtel de 1962 à 2000. Ancien président de la commission de restauration de la Maison Blanche à La Chaux-de-Fonds.
Parmi ses réalisations, la Cité Robinson à Marin, le bâtiment de l'UBS à Neuchâtel, l'hôpital Pourtalès à Neuchâtel, nombreuses écoles.
Écrivain, journaliste, philosophe et critique espagnol.
Architecte, Algérie-France.
Collaboration avec P.-A. Emery
Architecte, Algérie-France
Collaboration avec Louis Miquel
Architecte, Algérie-France.
Collaboration avec Miquel, Bourlier.
Architecte (USA-France). Collaboration avec ATBAT, Candilis.
Architecte.
Collaboration avec Le Corbusier, ATBAT.
Architecte.
Collaboration avec Bodiansky, Woods, Kosic.
En 1835 sont édifiées les premières casernes à l'ouest de la plaine de Champagne. La commune de Bière en cède gratuitement la jouissance à l'Etat de Vaud en 1864. Ce n'est qu'en 1868 que les casernes sont transférées à leur emplacement actuel. En 1873, le canton met en location le quartier militaire de Bière à la Confédération. Au début du siècle, Bière est la seule place d'artillerie n'appartenant pas à la Confédération. Une gestion déficitaire pour le canton aboutit à l'achat de la place d'armes par la Confédération en 1913. En 1938 seulement, les casernes seront agrandies et la superficie de la place d'armes doublera entre 1948 et 1950. A la suite de nouveaux achats de terrain, dès 1956, la place accueille également des troupes mécanisées et légères, puis après 1961, des écoles d'infanterie motorisée. Des halles d'instruction pour l'artillerie blindée sont à leur disposition depuis 1969
Ingénieur du Bureau Technique A. Paris & B. Berthod.
Architecte, professeur.
Originaire de Belgique, à Lausanne (1956), admis à la section vaudoise de la SIA en 1956, associé à Jean-Marc Lamunière à Genève, professeur EPFL.
Architecte et professeur EPFL.
Collaborateur de Gachet & Mestelan à Lausanne (1982), de Jean-Marc Lamunière à Genève (1980, 1994), de Patrick Devanthéry & Inès Lamunière, à Genève (1986), chargé de cours au DA/ITHA/EPFL (1991-).
Architectes FAS-SIA-AGA.
Autre orthographe Chatelain, à Genève (1959)(1979), à Onex/Genève (1981), architecte FAS, admis à la section genevoise de la SIA en 1959, probablement associé à Breitenbücher, auteur avec lui d'un article BTSR 1960 "Le Centre paroissial de Montbrillant, à Genève" (Jules Calame et André Tissot ingénieurs)
Architecte FAS-EAG.
Architecte.
Artiste. Auteur de nombreuses fresques et peintures murales au Tessin et en Suisse romande.
Architecte, entrepreneur, enseignant, Architecte en chef de la reconstruction du Havre.
Architecte EPFZ, professeur ENSA. Il ouvre un un atelier en 1985, à Lausanne et à Paris.
Le producteur est l'organisme ou l'individu responsable de la création, de la conservation ou de l'accroissement du fonds.
Architecte et professeur. Fils de Jean Tschumi. Etudes d'architecture à Ecole polytechnique fédérale de Zurich (diplômé en 1969), puis enseignent à l’Architectural Association de Londres (1970-1980), à l’Université de Princeton (1980-1981), à la Cooper Union (1980-1983) et enfin à l’Université Columbia à New York. Doyen de la Faculté d'Architecture, Planning and Preservation (1988-2003).
Lauréat du concours international de La Villette à Paris en 1983. Il réalise également : le Studio des Arts Contemporains Le Fresnoy à Tourcoing (1997), l’École d'Architecture à Marne la Vallée (1999), le Parc des Expositions et un Zénith de 7000 places à Rouen (2001), l'école d'Architecture de Miami en Floride (2002), etc. (cfr. "Bernard Tschumi Architects : Projects", http://www.tschumi.com/projects/featured/, accès du 25.09.2018). Notamment, avec Luca Merlini, il est l'auteur avec Luca Merlini du projet "Interface Flon" à Lausanne.
En 1994, le Musée d'Art Moderne de New York (MOMA) et en 2014 le centre Pompidou à Paris exposent une rétrospective de son travail.
Entreprise fondée en 1864 à Villeneuve, installée à Montreux de 1869 à 1894. Gérée par la famille Held sur trois générations. Active à Lausanne, sur la Riviera et dans le Canton de Vaud, mais également hors des frontières cantonales et nationales. Collabore avec Laverrière, Epitaux, Favarger et autres. Réalise les intérieurs de plusieurs palaces (Montreux, Lausanne, Gstaad) et banques vaudoises (les sièges lausannois de la BCV, de l’UBS, de la SBS), du Tribunal fédéral et de nombreux bâtiments publics et privés.
Etudiant à l'EPUL/Lausanne (1960), architecte à Sion (1962 ; 1993), père et collaborateur de Claudine Lorenz à Sion (1990 ; 1992), "Paul Lorenz et ses collaborateurs".
5e prix lors du concours pour Les Vignettes à Montana en 1985.
Architecte espagnol.
Architecte paysagiste ?
ETIC Etudes techniques et industrialisation de la construction, J.-M. Yokoyama, Lausanne.
Architecte, professeur EPFL SIA FAS. Etudes à Genève, puis diplôme d'architecte à l'EPFL en 1969. Cours de Jean Prouvé à l'Ecole d'Arts et Métiers de Paris. Assistant à l'EPFL des professeurs Brechbühler et Foretay, puis chargé de cours au Département d'architecture de l'EPFL. Nommé en professeur-assistant à l'EPF-Z en 1985. et, dès 1990, professeurordinaire de projet et de théorie d'architecture à l'EPFL.
Bureau à Nyon. Fondateur, en 2007 (avec Jean-Gilles Décosterd, Eliane Rodel et Pierre Wahlen) de l'École spéciale d'architecture de Lausanne (ESAR).
Principales réalisations : Gymnase cantonal et école de commerce à Nyon (1985), Centre communal et scolaire à Arzier-Le Muids (1988), Bâtiment pour SwissControl à La Dole (1992), École de Gai-Logis à Nyon (1998), Centre professionnel de Delémont (1998), Maison de l'écriture, Montricher (2013).
Né en 1930, Lucio Di Clemente obtient son diplôme d'architecte à l'EPUL en 1960; il fait ses études avec Jean Tschumi. Il travaille à Lausanne et est admis à la section vaudoise de la SIA en 1960; auteur du centre de loisirs de l'UBS « La Sauffaz », à La Croix-sur-Lutry
Architecte EPFZ FAS SIA. Études d’architecture à l’EPF Zurich (diplômé en 1946). Assistant de William Dunkel de 1946 à 1949. Ouverture d'un bureau à Glaris et à Zurich en 1949, et à Lausanne en 1971. Réalise projets d'abord à Glaris, puis des planifications et des constructions à Zurich (gratte-ciel du personnel de l'hôpital universitaire de Zurich, 1952-1959) et dans l’ouest de la Suisse. Responsable du Secteur terre et forêt de l'EXPO 64. IEntre 1965 et 1969 il réalise le Centre de recherches agricoles Geigy à St. Aubin et dès 1970, la planification et la première étape de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Bureau fondé en 1962 par Jean Pythoud, Roger Currat, Thomas Huber, rejoint en 1966 par Claude Schroeter, en 1984 par André Lanthmann et Philippe Schorderet ; en 1978, départ de J. Pythoud.
En 1979, dissolution de l'AAF en tant que société simple et reconstitution en SA.
Artiste peintre, décorateur. Etabli à Lausanne (notices en 1928, 1937).
En 1928 son adresse est: J-J. M. Artiste décorateur, 30 Av. de Béthusy. Lausanne.
Architecte EPFZ. Diplôme dans les années 1930, puis travail en Turquie pour des clients allemands, autrichiens, et lituaniens qui s’y étaient réfugiés dès 1933. Il y rencontre sa femme. Ils sont tous deux communistes. De retour en Suisse, il s’installe d’abord à Berne, puis dans le canton de Vaud.
Architecte, enseignant et homme politique ; il y a été directeur des travaux publics de la Ville de Bienne, puis directeur des affaires sociales.
Architecte FAS SIA. Ecoles à St-Prex et Morges, gymnase à Lausanne. Il obtient un certificat de dessinateur en bâtiment (1957) et un diplôme d'architecte en 1966. Membre SIA dès 1973, FAS dès 1977. À Genève, membre de la Commission d'urbanisme (1976.-1984), de la commission d'architecture (1976-1984) de la Commission du Vieux Carouge (1976-1977).
Entre 1956 et 1958 il travaille (d'abord comme apprenti) dans le bureau D. de Freudenreich et Strobino à Lausanne, puis (1959-1963) chez A. et F. Gaillard à Genève et entre 1963 et 1966 chez Guex et Kirchoff à Genève. Ils s'associent par la suite entre 1964 et 1967 en Guex, Kirchhoff et Freudenreich. Dès 1967, il ouvre le bureau René Favre - Gabriel de Freudenreich. Il s’associera par la suite avec nombreaux architectes, tels que R. Favre, A. Guth, J. Farago, G. de Freudereich, M. Vatre, U. Brunoni, E. Guex, G. Kirchhoff, Patrick Devanthery, Inès Lamunière.
Ingénieur EPUL SIA, installé à Lausanne-Epalinges. Diplômé ingénieur civil EPUL en 1956. Il ouvre vers 1960 son propre bureau, en s'associant par la suite avec P. Cevey (bureau Chassot-Cevey).
Ingénieur civil EPFL. Diplômé en 1970. Installé à Epalinges. Il travail pour le bureau Chassot-Cevey (ouvert vers 1960 par Alain Chassot, associé par la suite à P. Cevey). M. Aviolat y travaille même après le décès des fondateurs (années 1990), et en 2002 le bureau se transforme en une Sàrl, au nom de Claude Aviolat.
Architecte. Activité à Vevey. Domicilié en 1912 à l'avenue de la Gare 14, Vevey et à La Tour-de-Peilz en 1934. Collabore avec S. H. Collombet (La Tour-de-Peilz). Construit le théâtre du Lumen à Lausanne (première salle lausannoise en béton, BTSR 1914 p.97). Il s'intéresse à la construction à bon marché. Avec E. Jost, auteur du monument à Guillaume Tell à Montbenon, à Lausanne. Auteur d'importants projets hôteliers et monumentaux é Lausanne et dans la région de Vevey-Montreux.
Membre de l'Association des anciens élèves (suisses ou résidant en Suisse) de l'Ecole des Beaux- Arts de Paris dès fév. 1903, promotion 1892. Atelier Laloux en 1898.
Architecte à Genève. Auteur de la Maison Laure Brolliet à Onex (Genève).
Architecte à Neuchâtel. Mentionné en 1929 et en 1960, fils de Jean Béguin auquel il succède, associé d'Ernest Prince.
Auteur d'articles dans le BTSR (1942 "Rue larges et mortes ou étroites et animées", BTSR 1944 "Urbanisme neuchâtelois" p.185 et 197, BTSR 1948 "L'évolution de la ville de Neuchâtel", BTSR 1950 "De l'Eglise et du temple protestant, propos d'un architecte", 1962 "Aménagement neuchâtelois").
Succède à Béguin, Jean, son père (décédé) sur le projet du Tribunal fédéral à Lausanne dès 1918.
Architecte FSAI. Mentionné à Genève en 1948, probablement fils de Jacques Béguin et petit fils de Jean. Mentionné à Neuchâtel (1966), à Auvernier (1979, 1986). Egalement mentionné comme ensemblier-décorateur en 1948.
Entreprise située à côté de la rivière la Serrière, à Neuchâtel. Dès le 14ème siècle, des fabriques, dont la papeterie, se sont installées dans le vallon afin de bénéficier de la force hydraulique des eaux de la Serrières.
Jacques Favarger (1889-1967), d’origine neuchâteloise, est architecte actif à Lausanne. D’abord architecte à la Direction communale des Travaux jusqu’en 1925, il est ensuite associé avec Charles Dubois; il travaille ensuite à nouveau seul, puis est une nouvelle fois associé durant quelques années, après la guerre, avec Bernard Murisier. De formation non académique, sa production débute par des oeuvres fortement marquées par le régionalisme. Il réalise quelques immeubles à Lausanne, parmi les plus remarquables des années trente, affichant un langage à la fois moderne et personnel. Sa production après la guerre est dominée par la construction de nombreux logements économiques. De nombreux projets témoignent de sa vision à l’échelle urbaine: îlots constitués d’immeubles de logements et équipements publics urbains tels que marché couvert, bâtiment administratif communal, cité résidentielle, tennis et patinoire.
Habite depuis une date difficile à préciser la villa "la Métairie" à Pully , chez Mlle Dupuis, à l'avenue de Chamblandes, villa actuellement démolie. Quitte Pully pour "Champ d'Asile" à Lausanne le 14 octobre 1919. Marié à Marie-Louise Convert, née le 268.8.1888. Ont un fils Robert, né le 18.02.1919 à Pully.
Adresse du bureau:
- 1928, rue du Lion d'Or. Selon G. Gorjat, première adresse du bureau au moment de la création de l'association avec Charles Dubois.
- 1938, place Centrale 8
- 1939, rue Etraz 2
Ingénieur à Genève. D'origine belge. Ecoles à Berne, puis éudes d'ingénieur à l'EPF de Zurich (diplômé en 1894). Ingénieur d'abord chez Pümpin & Herzog à Berne (1894-1897), puis à la ville de Zurich au Département des travaux publics (1897-1899), et chez Froté & Westermann (1899-1901). Séjour en Russie entre 1912 et 1917 (construction de bâtiments industriels). En 1919, ouverture de son propre bureau à Genève (avec succursales à Berne et Zurich dès 1924).
Avec Maillart & Cie, participe dans un deuxième temps (après février 1902) au concours de projet pour la reconstitution du Pont du Mont-Blanc à Genève, auteurs d'un projet de poutre continue en BA, "sans devis".
Architecte diplômé de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris en 1896. Avec les frère Frédéric et Henri de Morsier, associés pendant plus de trente ans sous la raison sociale de Morsier frères et Weibel, à Genève où s'effectuera l'essentiel de leur carrière. Ils obtiennent notamment le premier prix au concours pour l'Ecole des Beaux-Arts qu'ils construisent. Parmi leurs réalisations, on trouve des hôtels à voyageurs à Saint-Cergue, Château d'Œx, Chamonix et Aix-les-Bains, immeubles administratifs et commerciaux, des villas; la restauration du château de Ripaille et des études pour la transformation de la vieille ville de Genève.
Ingénieur diplômé de la Faculté technique de l’Université de Lausanne en 1883.
Avec son frère Frédéric et Charles Weibel, associés pendant plus de trente ans sous la raison sociale de Morsier frères et Weibel, à Genève où s'effectuera l'essentiel de leur carrière. Ils obtiennent notamment le premier prix au concours pour l'Ecole des Beaux-Arts qu'ils construisent. Parmi leurs réalisations, on trouve des hôtels à voyageurs à Saint-Cergue, Château d'Œx, Chamonix et Aix-les-Bains, immeubles administratifs et commerciaux, des villas; la restauration du château de Ripaille et des études pour la transformation de la vieille ville de Genève.
Architecte AGA, FAS, SIA. Étudie à l’École d'Architecture de l'Université de Genève auprès de Marc-Joseph Saugey et Albert Cingria (diplômé en 1966). De 1959 à 1964 stagiaire chez André et Francis Gaillard et dans le Bureau des Tours, Genève-Carouge. De 1964 à 1965 assistant de Marc Saugey. De 1966 à 1968 collaborateur d'Eugène Beaudouin, Alberto Camenzind et Pier Luigi Nervi. En 1968 assistant d'Arthur Lozeron. Depuis 1973 possède son propre bureau à Genève. Collaborations de 1982 à 1994 avec Marc Vatré, depuis 1995 avec Albéric Hopf. A surtout réalisé des transformations de bâtiments historiques et des interventions sur le patrimoine bâti (notamment transformation d'une chapelle en centre culturel, Athénée 4, Genève)
Ingénieur.
A Zürich, président de la section Ost-Schweiz de l'Association suisse pour la navigation du Rhône au Rhin (1943).
Docteur ingénieur et ingénieur en chef à Vienne.
Ingénieur civil. A Bern (1921), ("L'esprit d'entreprise", SIA vaudoise,1987) originaire de Brugg, né au Caire, école primaire à Thun, stage au bureau de la correction du Rhin, Bureau des ponts des chemins de fer de l'Etat en Egypte, retour en Suisse à Näfels, dès 1908 à l'Office fédéral des transports en tant qu'ingénieur du contrôle puis inspecteur, dès 1935 professeur de constructions métalliques et de constructions en bois à l'Ecole d'Ingénieurs/ EPUL; théorie sur la répartition des charges concentrées au moyen des tabliers des ponts, voir aussi nécrologie BTSR 1958 p.51.
Auteur d'un article BTSR 1939 ""Concours pour la construction du nouveau pont de Peney sur le Rhône", BTSR 1951 "Quelques prpos sur l'enseignement des constructions du génie civil")
Organe créé en 1855 et rattaché à l'EPFZ.
Dès 1938: Laboratoire fédéral pour l'essai des matériaux et institut de recherche pour l'industrie, la construction et les arts et métiers» (Eidg. Materialprüfungs- und Versuchsanstalt für Industrie, Bauwesen und Gewerbe) soit Empa
Ingénieur, professeur. Ingénieur chez Zwahlen & Mayr SA (1944-1963), professeur des 1951 en construction métallique et en bois (1951-1963) et président de l'EPUL dès 1963, de l'EPFL dès 1969 puis dès 1978 du Conseil des écoles polytechniques fédérales jusqu'à sa retraite en 1987.
Auteur d'articles BTSR :
- 1950 "La construction métallique de la nouvelle halle d'exposition de la Foire nationale d'automne, à Lausanne" ;
- 1964 "Propos relatifs au développement de l’Ecole polytechnique de l'Université de Lausanne".
Ingénieur. Né en 1925, Gilbert Béguin a fait ses études d'ingénieur civil à l'EPUL (diplôme en 1948), puis les a poursuivies par un doctorat à l'Université du Michigan en 1951-1955. Il ouvre un bureau à Genève. Il est l'initiateur d'un hommage à l'ingénieur et constructeur de ponts Robert Maillart (1872-1940) publié dans le "Bulletin technique de la Suisse romande" en 1973.
Architecte EPUL SIA. Née en 1923 à Györ en Hongrie. Elle étudie l'architecture à l'EPUL auprès de Jean Tschumi et sort diplômée en 1948. Elle est la première femme à avoir été diplômée de cette école. Elle effectue ensuite un stage de 6 ans auprès de l'architecte finlandais Alvar Aalto. A son retour en Suisse, elle travaille pendant quelques temps dans le bureau de Lippert et Waldkirch à Zurich puis, jusqu'à sa retraite en 1984, dans le bureau d'Edouard Neuenschwander. Son architecture faite de nombreux concours, de bâtiments publics et privés est empreinte des modèles architecturaux des architectes qui l'ont côtoyée durant sa carrière. Elle entreprend aussi durant son parcours professionnel des études en Lettres et obtient le grade de docteur es Lettres avec une thèse sur le langage de l'architecture russe du 18e siècle. Membre de la SIA depuis 1958, du Werbund suisse depuis 1965.
Architecte, professeur.. Né en 1921 à la Chaux-de-Fonds, André Gaillard étudie l'architecture à l’École d'architecture de l'Université de Genève où il enseignera par la suite. Pendant dix-sept ans, il travaille en association avec son frère Francis; d'autres associations suivront et de nombreux jeunes architectes collaboreront également aux activités de ce bureau. André Gaillard pratique également la peinture et le dessin et s'est consacré au cours de sa retraite à la création de bijoux. André Gaillard est un architecte emblématique des trente glorieuses, il est de toutes les aventures modernes: création de villes nouvelles, de stations touristiques à la montagne comme en bord de mer. Il utilise avec brio les possibilités plastiques des matériaux constructifs modernes, béton, verre, ou métal. La carrière d'André Gaillard se déroule pour l'essentiel à Genève. Il participe activement à la réalisation de nouveaux quartiers de logements, notamment l'ensemble résidentiel de Morillon-Parc, mais aussi à l'édification des villes nouvelles d'Onex et de Meyrin. Il construit également des bâtiments publics comme le temple de Châtelaine (1958), des écoles ou encore le centre international de conférences de Genève, en collaboration avec Alberto Camenzind. Avec son frère Francis, à qui elle était destinée, il est l'auteur de la première villa moderne construite après-guerre à Genève, inspirée par Richard Neutra. Dans un registre formel très différent, il cosignera avec Daniel Grataloup le temple Saint-Jean à la Chaux-de-Fonds, œuvre sculpturale réalisée par projection de béton. Il est également l'auteur de plusieurs opérations exceptionnelles à divers titres en Suisse romande: immeuble Numaga à la Chaux-de-Fonds, fortement inspiré de la Cité Radieuse de Le Corbusier à Marseille, création de la station d'Aminona près de Crans en Valais.
Entreprise de préfabrication. La création de l’usine IGECO résulte de la volonté de César Tacchini (né en 1915), entrepreneur, ingénieur et architecte diplômé. Le projet mettra huit ans pour se concrétiser (1950-1958) et quatre ans pour gagner une crédibilité (1958-1962). Il doit sa réalisation au soutien financier de l’entreprise Zschokke. L’usine fabriquera et montera des éléments en béton armé ou précontraint, selon un système de préfabrication basé sur des éléments muraux. IGECO sera dotée de trois usines autonomes avec leur fabrique locale d'éléments, leurs équipes de montage et leur team de conseillers techniques, ainsi que de trois points de fabrication judicieusement répartis (Etoy, Lyssach, Volketswil) pour être en mesure de livrer sur tout le territoire suisse. IGECO SA fait ensuite partie du groupe LOSINGER
Architecte vaudois domicilié et travaillant à Donneloye. Il a terminé sa formation au Technicum de Bienne (1929-1931) avant d'ouvrir son entreprise. Il a participé à la création de nombreux projets privés (maisons, fermes, appartements) mais aussi publics (collèges, écoles, grandes salles, restaurants) entre 1933 et 1960
Ingénieur. Pratique professionnelle à Bâle principalement où il vit dès l'enfance. Formé comme ingénieur civil à l'ETHZ, il développe des structures en béton précontraint (coques et voiles) qu'il expérimente dans son propre laboratoire d'essai, créé en 1953, au moyen de maquettes. Ses expérimentations mettent en œuvre des solutions formelles et structurelles innovantes et audacieuses. Parmi ses œuvres, relevons notamment: fabrique Elastic AG à Gossau (1955), le pavillon Les échanges à l'Expo64, la salle de lecture de la bibliothèque de l'université de Bâle (1962-1964), le théâtre municipal de Bâle (1968-76).
Décédé en 2006 à Madrid où il résidaient depuis une vingtaine d'années.
Ingénieur EPUL SIA, inventeur. Diplômé à l'EPUL en 1960. Il a effectué ses études auprès du professeur Stucki. Membre du parti Radical.
Collaborateur de Bernard Murisier à Lausanne (1960)(1961).
Architecte actif à Genève dès les années 1970, originaire de Belgrade, décédé en 2003.
Ingénieur civil, professeur EPFL. Fondateur avec André Gardel en 1954 du bureau d'ingénieurs-conseil Bonnard & Gardel.
Après un baccalauréat latin-mathématiques spéciales, il obtient le diplôme d'ingénieur civil de l'Ecole d'Ingénieur de Lausanne. Après un bref passage au Bureau Alfred Stucky, il consacre l'essentiel de sa carrière au développement puis à la direction des Laboratoires d'hydraulique et de géotechnique de l'EIL/EPUL/EPFL. Chargé de cours dès 1940, professeur extraordinaire dès 1947 et ordinaire dès 1959, il prend sa retraite en 1972, après avoir enseigné notamment le Calcul hydraulique, l'Alimentation en eau et la Navigation intérieure. De 1938 à 1972, il est rédacteur puis président du Bulletin Technique de la Suisse Romande. En 1954 il fonde, avec André Gardel, le bureau Bonnard & Gardel, Ingénieurs-conseils qu'il préside jusqu'en 1977.
Architecte à Vernayaz puis à Martigny (cf INSA vol. 9 Sion).
Architecte vaudois installé à Sion en Valais au début du XIXe siècle.
Architecte et ingénieur civil à Martigny.
Bureau d'architecture, fondé par René Lyon.
René Lyon, architecte EPFL SIA. Fonde le bureau d'architecture Lyon & Goldmann S.A et réalise diverses transformations, extensions et constrcutions situées dans la région lausannoise.
Ingénieur, professeur à l'EPFL (1971), auteur d'un article BTSR 1971 "Le nouveau stand d'essai universel pour machines hydrauliques de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne" (av. de Cour 26).
Ingénieur civil, professeur. Transféré d'une autre section SIA, il devient membre de la SIA vaudoise en 1967, probablement à Lausanne, professeur à l'EPFL (1971)(1993), puis Président de cette école dès 1993.
Architecte EPFZ FAS SIA. Diplômé de l'EPFZ en 1935. Stages en Suisse et à Rome. Il ouvre son bureau en 1941 à la Tour de l'Ile après avoir gagné le concours des abbatoirs, en s'associant à MM. Lozeron et Herb. Le bureau déménage à la rue des Cadolles aux années 1960. Est associé à Pilossian et Tavernay de 1960 jusqu'en 1989. Plusieurs collaboration avec le bureau Honegger. Dès cette date, il s'établit à son propre compte. Membre et président de la SIA à Genève.
Spécialement investi dans la conservation des monuments et des sites 8Commission Fédérale des Monuments, ICOMOS, Comité du Patrimoine mondial de l'UNESCO...).
Il a réalisé notamment le bâtiment de l'Organisation Mondiale Météorologique, CFF la Praille et bâtiment administratif, la Cité Universitaire de Genève, la transformation de la SBS au Grand-Mézel, divers immeubles commerciaux et logements en ville de Genève, les travaux de restauration de l Cathédrale Saint-Pierre à Genève, la restructuration de Carouge-Centre, la rénovation de l'église Sainte-Croix à carouge, la transformation et logements de la campagne Masser à Aïre.
Architecte.
Photographe français, spécialiste de la photographie d'architecture.
Architecte à Morges. Il entreprend des études au Technicum de Fribourg et sort diplômé architecte en 1933. Collabore avec son frère Dominique à Morges en tant qu'architecte et entrepreneur. Edifie de nombreuses villas, immeubles locatifs, l'église de l'Institut de la Longeraie (1957, Morges) et l'église Saint-Nicolas de Flüe (1964, Lausanne).
Architecte SIA, à Morges. Diplômé de l'EAUG en 1970. Il est assistant à mi-temps à l'EAUG de 1970 à 1980 et travaille à mi-temps avec son père à Morges jusqu'en 1985. Dès cette date, il devient indépendant, en reprenant le bureau de son père. Membre SIA dès 1979.
Architecte EPFL SIA et urbaniste neuchâtelois. Diplôme d'architecte technicien au Technicum cantonal de Bienne en 1953, d'architecte EPUL en 1958, d'urbaniste et aménagiste de l'Université de Toronto, en 1960.
Il est notamment l'auteur de plusieurs bâtiments publics (Collèges de Cortaillod NE et de St. Blaise, bâtiments communaux du Cerneux-Pequignot et d'Auvernier, de la Poste d'Auvernier), privés (immeubles locatifs, HLM, villas groupées, villas individuelles), industries (usine de cartonnage à Fribourg et Marly, silo à céréales de Verrières, centre d'entretien de la H5 à Cressier), bâtiments pour la Confédération (Complexe des Grandes-Pradières, douanes de Meudon aux Verrières et du Cerneux-Péquignot), nombreuses transformations de bâtiments et expertises, plans d'aménagement.
En 1965, 1er prix du concours National pour la traversée de Neuchâtel et l'aménagement des rives (avec H. Hirsch).
Directeur de l'ASPAN-SO, association pour l'aménagement du territoire en Suisse romande.
Membre de l'UTS (Union technique suisse), de l'OEV, de la SPSAS.
Architecte EPFZ. S'associe avec Bracher et Widmer. Ensemble, ils réalisent plusieurs édifices publics et privés à Berne.
Architecte EPUL SIA, à Lausanne. Diplômé en 1960. Il effectue des stages à Bruxelles chez l'architecte Van Nueten en 1958 et en 1959 chez son père Marcel Maillard, avec lequel il travaillera jusqu'à la retraite de ce dernier en 1973. Il reprendra le bureau dès cette date. Parmi les constructions importantes, on note l'édification de l'EPSIC (1968-1973), l'immeuble de la Banque cantonale vaudoise à la place Bel-Air de Lausanne (1971-1974) ou la Maison de la radio (1972-1975).
Architecte du complexe Avanchet-Parc à Genève.
Bureau à Zurich.
Photographe à Lausanne.
Ingénieur, professeur.
Architecte. A Villars-sur-Glâne (1977).
A Fribourg (1998).
Ingénieur du génie rural EPFL SIA. Ingénieur géomètre officiel.
Architecte SIA FAS, diplômé de l'ETH de Zurich en 1930.
Séjour en Chine dans les années 1930.
Admis à la SIA vaudoise en 1938. Vice-président puis président de la section vaudoise. Membre FAS dès 1953.
Membre du jury du concours pour une grande salle à Pully en 1944.
Auteur avec L. Roux d'un article BTSR 1955 : "Collège de La Sallaz, à Lausanne".
Réalise sa propre villa "Les Cornaches" à Clarens (BTSR 1969 p.153).
Participe à plusieurs concours :
Concours pour l'aménagement général et construction de tribunes couvertes au Parc des Sports, à la Pontaise, à Lausanne ; Concours pour l'Ecole cantonale d'agriculture, à Moudon, 1945 ; Concours d'architecture pour la grande salle de Pully ; Concours pour un plan de quartier aux lieux dits "Près du Lac, à Yverdon (1946) ; Concours pour une infirmerie à Cully (1940) ; Concours pour le Temple de Saint-Marc, à Lausanne ; Concours pour l'étude d'un groupe scolaire, à Pully ; Concours d'idées pour un plan directeur d'aménagement et d'extension de la Commune de Payerne ; Concours de la fondation Geiser (8eme), règlement des concours.
Architecte ENSBA, établi à Lausanne. Diplômé du Technicum de Bienne et de l’École des Beaux-Arts de Paris en 1905-1906. Son activité à Lausanne vers et dans le canton de Vaud débute vers 1910. Associé avec Jean Picot, avec Edouard Boy de la Tour (durant l'Entre-deux-guerres), et avec son fils Pierre (Bureau René et Pierre Bonnard, à Lausanne). Préside la Société coopérative d'habitation, conseiller communal à Lausanne 1918-1945. Nombreuses réalisations à Lausanne (voir INSA), Hôpital de la Vallée de Joux, imprimerie à Aigle (Gilles Barbey p. INSA), des villas, des immeubles de rapport, des bâtiments administratifs et commerciaux. Également auteur "un nouveau pont Bel-Air-Montbenon à Lausanne " (BTSR 1933 p.167). L’atelier Bonnard s’occupe régulièrement de transformations intérieures d’immeubles lausannois ou de la rénovation d’édifices aussi différents que des églises ou des bâtiments ruraux.
Membre de l'Association des anciens élèves (suisses ou résidant en Suisse) de l'école des Beaux-Arts de Paris dès mai 1907.
Architecte FAS. Formé comme dessinateur-architecte chez Alphonse Laverrière, associé momentanément avec Eugène Mamin (1932-1936) et Eugène Béboux (1937-1938). Il se distingue par la construction de plusieurs temples protestants et la rénovation de près de trente temples dans le canton de Vaud. Parmi ses œuvres importantes, il faut mentionner la construction, pour la plupart après un concours, des temples de Saint-Luc (Lausanne-Pontaise), Saint-Marc (Pully-la Rosiaz), Mathod-Suscévaz, Renens et Juriens. Paul Lavenex est aussi l’auteur de deux importants groupes d’immeubles à Lausanne, au Treyblanc et au Valentin, de cinq cabanes de montagne, de la Cave vaudoise à l’exposition nationale de Zurich de 1939 et de pavillons suisses pour les foires commerciales de Valence, Leipzig, Paris et Barcelone dans les années quarante.
Architecte. De Cheseaux. Associé à Marcel Maillard. Travaille à Lausanne.
Architecte de l'immeuble des assurances PAX à la place Saint-François à Lausanne. Auteur avec Marcel Maillard de la Poste de la Gare à Lausanne, voir leur article BTSR 1968 : "La conception architecturale du bâtiment postal".
Architecte. Mentionné à Martigny en 1938-1939
Architecte. Mentionné à Neuchâtel, comme Wavre & Carbonnier (1924 ; 1930), auteurs de la ferme de l’École cantonale d'agriculture de Cernier
Peintre, décorateur, mosaïste. INSA, Genève : également peintre de vitrail, oeuvres dans les églises (arch.Guyonnet) de Saint-Paul à Granges-Canal (1915) et de Tavannes. Dès 1912, création de 9 vitraux de Notre-Dame de Genève. Publie La Décadence de l'Art Sacré en 1917 et fonde le groupe de Saint-Luc en 1919. Dans le canton de Fribourg, oeuvres à Attalens, Autigny, Broc (église paroissiale et chapelle des Marches), Bulle, Echarlens, Ependes, Fribourg (St-Pierre, Cordeliers, St-Michel, chapelle de l'Université, Orsonnens, Romont (collégiale et chapelle du pensionnat St-Charles), Semsales, Siviriez et Sorens. Décor peint de Lutry (VD) et de Finhaut (VS). [Patrimoine Fribourgeois, 5]
Journaliste et critique d'architecture anglais.
Architecte.
Auteur avec S. Larco du pavillon de la foire de Tripoli (1927) ; le projet du palais pour les bureaux (III Biennale di arti decorative e industriali, Monza, 1927) ; des typologies de "Casette in serie" (I Esposizione italiana di architettura razionale, 1928).
Architecte à Bienne. Collaborateur de M. Schlup entre 1958 et 1971.
Architectes. Ouvrent ensemble un bureau d'architectes en 1942 à Berne.
Architecte EPFZ SIA, actif à Genève. Fils de Louis Henri et de Marie Alice née Fazan. Originaire de Berne, Val-de-Travers et Neuchâtel. Collabore avec G. Barbey, G. Brera, P. Walthensphül, autres. Avec G. Brera et P. Waltenspühl.
Architecte, diplômé de l’ETHZ en 1937 auprès du professeur Otto Rudolf Salvisberg et fonde son propre bureau l’année suivante à Soleure. Il édifie villas et bâtiments industriels. En 1948, il est nommé architecte de la ville de Soleure. En 1961, il devient architecte en chef du canton de Bâle-Ville, charge qu’il occupe jusqu’en 1978.
Autant intéressé par le projet urbain que par l’objet construit, il poursuivra les deux pratiques. A Soleure, grâce à une autorisation spéciale, il peut, à côté de son emploi dans la fonction publique, mettre en œuvre ses propres projets. A Bâle, il projette en collaboration avec le service des bâtiments du canton plusieurs réalisations d’importance comme le Musée des Antiquités ou l’école primaire Vogelsang. De l’avis de ses biographes, les traces de Luder dans la ville rhénane sont significatives et témoignent de sa haute conception de la profession d’architecte ; en tant que responsable cantonal, il a su, malgré la surchauffe et le mauvais état des finances publiques, susciter un climat favorable au développement d’une architecture de qualité.