Historien de l'art.
Critique de cinéma.
Juriste italien.
Sénateur et député, professeur et recteur de l'École Polytechnique d'Athènes, président de la Chambre Technique de Grèce et fondateur de sa revue, Technika Chronika.
Journaliste, poète, écrivain et bellettrien suisse. Il a dirigé la Cinémathèque suisse de 1951 à 1996.
Éditeur.
Historien et critique d'art italien.
Naturaliste italien.
Architecte d'intérieur britannique et écrivaine architecturale connue pour être la rédactrice en chef de la conception architecturale de 1946 à 1975.
Scénariste.
Editeur italien, le fils du peintre Cesare Tallone.
Galeriste d'art contemporain d'avant-garde française d'origine grecque. Elle a participé à l'émergence du mouvement du Nouveau Réalisme.
Architecte français, disciple de Le Corbusier.
Directeur de musée et professeur d'université néerlandais.
Après des études d'architecture à Delft, il devient directeur du Van Abbemuseum d'Eindhoven en 1964.
Architecte
Artiste visuel.
Peintre italien expressionniste.
Architecte italien.
Peintre.
Historienne de l'art
Architecte.
Historien de l'art.
Fondateur en 1929 de la Scuderia Ferrari, écurie de course qui allait devenir une pionnière puis un pilier du championnat du monde de Formule 1, il crée en 1947 la firme Ferrari Automobili, qui conçoit, fabrique et commercialise des voitures de sport de très haut-de-gamme.
Peintre italien, cofondateur du futurisme.
Peintre italien.
Peintre italien pointilliste.
peintre italien connu pour ses paysages.
Designer Italien.
Architecte catalan de nationalité espagnole et principal représentant du modernisme catalan.
Architecte.
Epouse d'Henri Correvon
Professeur aux Ecoles techniques de Genève (nécrologie, Sté de la flore valdotaine, n° 26/1972)
Licencié ès sciences. Professeur de sciences naturelles
Petit-fils d'Henry, botaniste - chimiste
Animateur de la société genevoise "Les Amis de la rocaille"
Mari d'Adelheid
Epouse d'Aymon Correvon
Jardinier et paysagiste. Petit-fils d’un horticulteur-pépiniériste, il se forme dans divers établissements à Genève, Zurich et Francfort. L’activité d’Henry Correvon se développe dans plusieurs domaines d’activités voisins : la connaissance, l’acclimatation, le commerce, mais également la protection des plantes alpines. La cause du jardin alpin trouve en lui un infatigable défenseur. Il poursuit le dessein de créer des jardins alpins qui sauvegardent véritablement l’aspect pittoresque du paysage en « jardinant les Alpes ». Henry Correvon déploie une activité soutenue pour défendre la cause des jardins alpins : conférences, voyages, ouvrages, articles et surtout présence dans les expositions horticoles ou les expositions suisses d’agriculture. Il a fondé un établissement Floraire en 1902, qui a aujourd'hui cessé son activité.
Naturaliste, botaniste
Membre fondateur de l'Association pour la protection des plantes.
Membre fondateur du Jardin alpin d'Acclimatation.
Fondateur de la Société d'horticulture de Genève. (J. Fowler).
Créateur du jardin botanique de Valeyres (1850).
Auteur de "Flora orientalis".
Elève d'Augustin de Candolle (Académie de Genève).
Liens avec HC: Boissier donne des conseils à l'établissement Froebel (ZH) pour la culture de plantes alpines, département dont HC s'occupe (Floraire)(J. Fowler)
- Biographie plus détaillée dans : 117.0498/28 (Edmond Boissier : botaniste genevois 1810 - 1885 - 1985)
- également référence 11.01.039/1, nécrologies de HC
Antidarwiniste "une espèce était une espèce et ne pouvait se transformer en une autre" (cité par HC).
Membre du synode de l'église libre du canton de Vaud.
«Naissance 25.5.1810 à Genève, décès 25.9.1885 à Valeyres-sous-Rances, prot., de Genève. Fils d'Auguste Jacques, philanthrope, et de Caroline Butini. Frère de Valérie de Gasparin. ∞ 1840 Lucile Butini (décès 1849), fille d'Adolphe Pierre, médecin. Etudes à l'académie de Genève, orientées vers les sciences naturelles et la botanique. B. herborisa dans le Jura et les Alpes, puis tout autour de la Méditerranée et en Orient jusqu'aux Indes. Membre de plusieurs sociétés renommées, il a écrit sur la flore de l'Espagne et de l'Orient et sur la systématique des angiospermes, dont il décrivit 6000 nouvelles espèces. Son œuvre, en particulier l'énorme "herbier Boissier", fut poursuivie par son gendre William Barbey.
Fonds d'archives
-Herbier, Conservatoire et Jardin botaniques, Genève
Bibliographie
-A. de Candolle, «Edmond Boissier», in Actes SHSN, 1886, 128-139 (avec liste des œuvres)
-G. Beauverd et al., Edmond Boissier, 1938
-A. le Lièvre, «A View of Edmond Boissier», in The Kew Magazine, 11, 1994, 131-143»
(tiré de Luc Lienhard, «Boissier, Edmond», in Dictionnaire historique de la Suisse, version 11.02.2005;URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F28782.php)
Selon le Petit Robert: Journaliste et écrivain français. D'abord professeur, il se tourna vers le journalisme et devint, en 1839, directeur du Figaro. Son roman le plus célèbre a pour titre Sous les tilleutls (1832). Retiré sur la Côte d'Azur après le coup d'Etat de 1851, Alphonse Karr s'y livra à sa passion, l'horticulture, tout en composant de nouveaux romans et des oeuvres dramatiques qui eurent peut de succès.
Note du: Grand Larousse encyclopédique, 6e tome.
KARR (Alphonse), journaliste et écrivain français (Paris 1808 - St-Raphaël 1890).
Son premier roman, 'Sous les tilleuls' (1832), imprégné de romantisme, lui ouvrit les portes du Figaro. Par la suite, il devait donner de nombreux autres ouvrages, tels que 'Une heure trop tard' (1833), 'Le chemin le plus court' (1836), 'Voyage autour de mon jardin' (1845), 'Les soirées de Sainte Adress' (1853), 'Histoire d'un pion' (1854), bien oubliées aujourd'hui. En revanche, les pamphlets qu'à partir de 1839 il pub lia chaque mois, pendant une dizaine d'années, sous le titre 'les guêpes', sont conservé son souvenir, et l'on y retrouve son esprît et sa gouaille. Fondateur du "Journal", créé pour soutenir le général Cavaignac contre Louis-Napoléon, Alphonse Karr se retira, après le coup d^Etat de 1851, à Nice où il fonda un établissement d'horticulture. Il y puisa l'inspiration de ses derniers ouvrages.
Botaniste.
Professeur d'histoire naturelle à l'Académie de Genève, directeur du Jardin Botanique.
1855, fondateur de la Sté d'horticulture de Genève
1889, Président d'honneur de la Société d'Horticulture de Genève.
Auteur de "L'origine des plantes cultivées". Fils d'Augustin-Pyramus de Candolle.
Aurait encouragé Henry Correvon à étudier l'anglais et à voyager en Angleterre. (J. Fowler)
Formé à Paris, chez Cuvier. Elève du botaniste Vaucher.
Naturalilste
Willy Eigenheer est architecte. Il crée un bureau à Sierre en 1945. En 1972, il s'associe avec Jean-Claude Renggli, architecte ETS. Prend sa retraite en 1984.
Frédéric Louis Gilliard, frère cadet d'Edmond Gilliard (1875-1969) professeur, écrivain, et de Pierre Gilliard (1879-1969) professeur, précepteur de la famille du Tsar II. Classes primaires à Sion, études secondaires à Lausanne. EPFZ (1904-1909), diplôme d'architecte. Ecole des beaux-arts à Paris (1909-1910), stage chez Bonnard et Picot, architectes, Lausanne. Associé à Frédéric Godet (1913-1937). Début de carrière consacré à la construction de villas et de chalets, puis un certain nombre d'églises, avant de s'intéresser au logement social. Lauréat de concours d'architecture. Constructions scolaires. Membre de nombreuses sociétés académiques et de commissions fédérales. Reconnu pour ses compétences dans le domaine de la protection et de la restauration des monuments historiques.
Peintre italien.
Architecte, historien de l'art, critique d'art et théoricien de l'architecture italien. Il est particulièrement connu pour ses prises de positions en faveur de l'architecture moderne
Architecte.
Architecte et designer italien
Physicien et un ingénieur italien, professeur de physique à l'école polytechnique de Milan.
Peintre italien, critique d'art, restaurateur, archiviste, illustrateur et journaliste.
Architecte (Italie).
Architecte (Italie).
Artiste, à Cantù.
Futurisme, puis peinture figurative. Fait partie du groupe I sei di Torino (1929) avec Boswell, Galante, Chessa, Levi et Menzio. Habite à Rapallo pendant la deuxième guerre Mondiale. Nommé en 1941 prof. à l'Académie Albertina (Turin), qu'il dirige en collab. avec Casorati dès 1954, et préside dès 1973.Peintre (Italie).
Architecte (Espagne).
Collaboration Sartoris (Italie).
Architecte.
Architecte.
Architecte.
Architecte.
Architecte.
Bureau J. Müller
Architecte ETSG, St-Pierre 2 Lausanne
Elève de Sartoris?.
Ingénieur.Architecte technicien ETSG, collaborateur Sartoris (Suisse).
Architecte à Nyon.
Architecte.
HES Genève, diplôme 1948 ; emploi chez Stévenin ing. civil, puis Bréra-Waltenspühl, Genève, 1948-1952 ; Atelier-école Sartoris, novembre 1952-1955, assistant et chef de projet ; Collaborateur et associé d'Alberto Sartoris à Lutry, 1956-1968, auteur principal de nombreux projets et réalisations du bureau, parfois cosignés ; Bureau personnel à Lausanne dès 1969, puis associé à Olivier Bettens et Raymond Cartier. Collaboration : Alberto Sartoris
(Suisse).
Architecte, Lausanne
Elève AS (Suisse).
Architecte. Chef d'agence chez Alberto Sartoris en 1964 (Suisse).
Architecte paysagiste.Architecte ETS, agence Alberto Sartoris vers 1964 (Suisse).
Conseiller communal.
Architecte.
Architecte.
Architecte. Bureau à Dietikon.
Architecte.
Architecte (Hollande).
Architecte (Hollande).
Architecte. André Farcy (nom d'artiste: Andry-Farcy). Conservateur du musée de Grenoble (1919-1949).
Peintre, sculpteur (France).
Fondateur du "Gruppo 7" (1926) avec Rava, Figini et PolliniArchitecte. Collaboration : Carlo Enrico Rava (Italie).
Professeur.
Architecte. Sous-titre: riviste di storia dell'arte fondata nel 1955, Milano.
Architecte, ingénieur, critique.